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Le NanarPhile
11 abonnés
117 critiques
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4,5
Publiée le 22 août 2019
Film d'épouvante très sympathique, proche de l'ambiance d'un Chair de Poule, moins enfantin et plus effrayant. De réelles scènes d'épouvantes, avec des effets visuels soignés pour les monstres et apparitions. L'ambiance et les décors sont bien foutus, même si les scènes dans la maison hantée sont légèrement trop sombres. Seul bémol, le scénario n'est pour moi pas assez creusé, j'ai regretté la fin qui m'a parue très téléphonée, et malheureusement beaucoup d'éléments sont laissés en suspend à la fin, ce qui m'a déçu. Un bon film d'horreur, on reconnaît là une production signature à la Del Toro et ça fait très plaisir à voir. 4.5/5
enfin un film d'horreur qui porte bien son nom. plus qu'un film pour ados , il nous réserve des surprises nouvelles dans le genre. pas des jeunes "beta" mais des jeunes en pleine souffrance étouffés par leur mental délirant , il y a de vraies scènes d'épouvante très bien mises en image, bien jouées et plutôt réalistes, serait ce la renaissance d'un genre tres galvaudé ces derniers temps, oui mais il y a Guillermo et ça change tout
Après l'excellent thriller horrifique américain "The Jane Dos Identity", on retrouve le norvégien André ØVREDAL à la réalisation de ce film d'horreur sombre et baroque pour ados. "Scary Stories" ressemble à un terrifiant épisode des "Contes de la crypte" mené tambour battant par une équipe de jeunes acteurs dynamiques. On passe un bon moment devant le récit de leurs mésaventures les opposant aux forces des ténèbres.
J’en viens’ tout juste de sortir de la salle de cinéma, et je ne suis pas déçus. Je reste juste un petit peu sur ma faim. Dans le sens, où le seul personnages travaillé ( en grande ligne ) c’est le personnage principale ( stella ). Ce qui entraîne un manque d’intérêt grandiose pour les autres personnages quand ils leurs arrivent quelque chose, car on possède aucun espoir pour ces personnages, dans le sens où on aura plus tendances à insulter leurs manque de jugeote que à ressentir de la sympathie et de la peur pour eux. Mais au final le film possède un charme et de bon code de l’horreur dans le thème histoires autour du feu de camps. C’est un moment sympathique mais pas indispensable.
mais d'où c'est un film d'horreur , l'histoire est sympa mais en rien il ne fait peur donc c'est vraiment dommage de nous faire croire l'inverse alors que c'est juste un film interdit au moins de 12 ans en fait
ça fait depuis longtemps que je ne me suis pas ennuyé autant au cinéma. Que ce soit les incohérences, les scènes qui sont déduites à l'avance et ce coté enfantin au possible. Je comprends pas. C'est un mélange entre destination finale et chair de poule. Et encore, dans chair de poule (la série), j'avais des moments de suspens. Ici il n'y a aucune tension. Même dans les scènes qui se veulent en avoir. Grosse déception
Ce n'est pas une histoire qui se passe de nos jours, en effet, cela se déroule en 1968. C'est un très bon film d'épouvante. C'est vraiment bien foutu et le divertissement est au poil. Franchement j'ai vraiment bien aimé.
J ai passé un très bon moment en regardent ce film le meilleur film d horreur que j ai vu cette année sa change bien que les autre film d'horreur que j ai pu voir ces dernières années une très bonne histoire très bon scénario de très bonne musique on s'attache aussi bien au personnage principal de l'histoire un agréable moment
Ce film est excellent !! Il fait très peur en plus. Et j’ai bien aimé la moral ! Cette année on a des très bon films d’horreur (Midsommar,Annabelle 3, brightburn,us...)
Ce film m'a rendu heureux enfin un film d'horreure qui fait parler de lui, je pense que se film mérite les blockbusters, serte ce n'est pas réellement effrayant mais ça vaut le coup de le regarder, un très bon film À voir
Guillermo del Toro à la production et à l’écriture. Le prometteur André Ovredal (« The Jane Doe Identity ») à la mise en scène. Un contexte sixties et une promesse de retour à de l’horreur old school. Il n’en fallait pas moins pour allécher nos babines de cinéphiles avides d’un cinéma d’horreur différent de ce que nous propose Blum et cie. Et un cinéma peut-être plus accessible que la nouvelle garde indépendante dans le genre (Aster avec les superbes « Hérédité » et « Midsommar » ou encore Robert Eggers et son « The Witch »). Une nouvelle génération plus pointue qui épate mais reste clivante et peut-être trop singulière pour le gros du public. Le résultat n’est malheureusement pas à a hauteur des attentes et alterne bonnes surprises et grosses déceptions, la plupart étonnantes, pour un long-métrage sympathique mais qui ne restera pas dans les annales.
Commençons par le moins bon. Le film a pour titre « Scary Stories » et au vu du peu de peur que l’on ressent à la vue du film, on peut clairement dire qu’il est mal nommé. En effet, si on est satisfait de ne pas se taper des jump-scares foireux durant près de deux heures avec grosse musique qui nous dit quand sursauter, on n’est jamais vraiment effrayé. Et on ne saute jamais de notre siège. On dirait plus une œuvre conçue pour faire peur aux adolescents. Si c’est le cas, c’est pardonnable et réussi. C’est de l’horreur gentille et light en somme. Il y a un climat un tantinet malsain lors des attaques des différentes créatures, répugnantes et mémorables à souhait, mais pas au point de nous faire monter le curseur de la trouille à son apogée. Autre déception et d’autant plus étonnante quand on sait que Del Toro officie à la plume, c’est la caractérisation des personnages. D’une banalité affligeante, semblable à n’importe quelle bobine horrifique bas de gamme. Étonnant pour un cinéaste qui a toujours écrit et filmé des protagonistes forts et à la psychologie fouillée. Enfin, le final est classique de banalité et tristement raccord à tout ce que l’on peut voir dans la production actuelle, fidèle à une histoire pas vraiment plus originale.
Mais tout n’est pas à jeter, au contraire. Derrière la caméra Ovredal fait le boulot avec une mise en scène soignée et qui colle parfaitement au contexte sixties et à cette forme vintage si particulière. Une mode en ce moment dans la production fantastique (coucou « Stranger Things » pour les séries et « Ça » pour le cinéma). Attention cependant à ce que cela ne devienne pas un effet de mode justement qui finisse par lasser. La reconstitution est impeccable et la fibre nostalgique marche à plein régime notamment dans les décors (ah ce cinéma en drive-in ou encore ce vieil hôpital !). Mais le plus réussi dans « Scary Stories » ce sont lorsque ces histoires prennent vie et que les créatures apparaissent. Leur design est original (et ce n’est pas facile après plus de cent ans de cinéma) et rappelle aux meilleures du genre, des créations de Lovecraft à celles d’Harryhausen. Elles sont magnifiquement mises en scène et exploitées et donnent tout leur piquant au film avec une préférence pour la femme de l’hôpital. Alors si ce n’est pas la bombe attendue et que le contexte politique et social ainsi que les parallèles possibles qui vont avec ne sont pas exploitées (Nixon, la guerre du Vietnam, …), on trouve assez de bonnes choses à se mettre sous la dent pour passer un bon moment défaut de trembler vraiment.
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