Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Le réalisateur de Leonera (2008) signe une œuvre forte à la bande-son toute droite venue des années 1980 et s’inspire de l’histoire vraie de mafieux argentins pour raconter comment un patriarche autoritaire cause la perte de sa famille.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
L'Express
par Christophe Carrière
Un film noir tendu et rock'n roll.
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Par une mise en scène nerveuse, électrique, tendue, Pablo Trapero joue habilement du contraste entre l’honorabilité et la pathologie meurtrière d’un homme qui veut préserver sa petite entreprise criminelle, entre la préparation méticuleuse des enlèvements et des ellipses saisissantes qui accélèrent le récit.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film de gangsters sobre et sombre, qui est aussi une mise en abyme de l’exercice despotique du pouvoir.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Le mélange (des) procédés peut paraître un peu tape-à-l'oeil mais le fait divers est grandiose, traité dans un tourbillon captivant avec un casting impeccable.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Difficile de ne pas voir (...) l'ombre joueuse et cruelle du grand Luis Bunuel.
Le Parisien
par Alain Grasset
Un film fort, déroutant, perturbant, qui dresse un portrait glaçant des Puccio.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Entre mélo familial, saga criminelle et évocation des derniers feux de la dictature argentine, Pablo Trapero minore ses penchants tragiques au profit d'une farce noire et violente. Efficace, et plus retors qu'il n'y paraît.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Ariane Allard
Un jeu de contrastes d'autant plus salutaire qu'il maintient le spectateur à distance, pariant non pas sur son émotion (trop facile), mais sur son intelligence.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
De ce fait divers qui a marqué l’Argentine, Pablo Trapero tire une tragi-comédie à la mise en scène flamboyante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Pierre Murat
Tout est vrai dans le film et tout y est fou.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Bernard Achour
Sous la caméra de Pablo Trapero, l'affrontement père/fils qui en constitue l'épicentre vrille les tripes de la première à la dernière image, jusqu'à une conclusion à en (littéralement) hurler de saisissement.
L'Obs
par La Rédaction
Trapero est un filmeur hors pair, il a le sens de l’atmosphère et de bons goûts musicaux. Il lui manque un point de vue.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
aVoir-aLire.com
par Sébastien Uguen
Pablo Trapero nous montre comment un décor familier peut se révéler être la couverture d’une horrible vérité. Même si certains passages semblent redondants, ce thriller historique est porté par une mise en scène maîtrisée et un acteur principal magnétique et glaçant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Morgan Pokée
Avec "El Clan", Trapero dérape encore plus dans la "radicalisation" de son dispositif (et la normalisation de son cinéma) en ne délivrant que des effets de manche...
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Trapero se prend (un peu trop) pour le Scorsese argentin en recréant la saga réelle d’une famille de kidnappeurs des eighties.
Libération
par Clément Ghys
Le problème du film est qu’en évacuant trop vite l’indécence du système qui a pu amener à de tels faits divers, il rend seulement compte d’une association de malfaiteurs, ici quasiment glamourisés par une musique pop et un traitement du son qui fait la part belle aux hurlements des victimes ou aux vociférations des membres de la famille Puccio, arrêtés en 1985.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Les activités criminelles d'une famille dysfonctionnelle, filmées avec une indéniable efficacité, mais dont le récit reste superficiel et anecdotique.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Comme on ne fera pas l’injure à Trapero de le ranger du côté des bourreaux, on ne peut que se désoler de voir ce qu’a pu sacrifier le chef de file du nouveau cinéma argentin. Rien de moins que son âme.
20 Minutes
Le réalisateur de Leonera (2008) signe une œuvre forte à la bande-son toute droite venue des années 1980 et s’inspire de l’histoire vraie de mafieux argentins pour raconter comment un patriarche autoritaire cause la perte de sa famille.
L'Express
Un film noir tendu et rock'n roll.
La Croix
Par une mise en scène nerveuse, électrique, tendue, Pablo Trapero joue habilement du contraste entre l’honorabilité et la pathologie meurtrière d’un homme qui veut préserver sa petite entreprise criminelle, entre la préparation méticuleuse des enlèvements et des ellipses saisissantes qui accélèrent le récit.
Le Dauphiné Libéré
Un film de gangsters sobre et sombre, qui est aussi une mise en abyme de l’exercice despotique du pouvoir.
Le Journal du Dimanche
Le mélange (des) procédés peut paraître un peu tape-à-l'oeil mais le fait divers est grandiose, traité dans un tourbillon captivant avec un casting impeccable.
Le Monde
Difficile de ne pas voir (...) l'ombre joueuse et cruelle du grand Luis Bunuel.
Le Parisien
Un film fort, déroutant, perturbant, qui dresse un portrait glaçant des Puccio.
Les Fiches du Cinéma
Entre mélo familial, saga criminelle et évocation des derniers feux de la dictature argentine, Pablo Trapero minore ses penchants tragiques au profit d'une farce noire et violente. Efficace, et plus retors qu'il n'y paraît.
Positif
Un jeu de contrastes d'autant plus salutaire qu'il maintient le spectateur à distance, pariant non pas sur son émotion (trop facile), mais sur son intelligence.
Première
De ce fait divers qui a marqué l’Argentine, Pablo Trapero tire une tragi-comédie à la mise en scène flamboyante.
Télérama
Tout est vrai dans le film et tout y est fou.
VSD
Sous la caméra de Pablo Trapero, l'affrontement père/fils qui en constitue l'épicentre vrille les tripes de la première à la dernière image, jusqu'à une conclusion à en (littéralement) hurler de saisissement.
L'Obs
Trapero est un filmeur hors pair, il a le sens de l’atmosphère et de bons goûts musicaux. Il lui manque un point de vue.
aVoir-aLire.com
Pablo Trapero nous montre comment un décor familier peut se révéler être la couverture d’une horrible vérité. Même si certains passages semblent redondants, ce thriller historique est porté par une mise en scène maîtrisée et un acteur principal magnétique et glaçant.
Critikat.com
Avec "El Clan", Trapero dérape encore plus dans la "radicalisation" de son dispositif (et la normalisation de son cinéma) en ne délivrant que des effets de manche...
Les Inrockuptibles
Trapero se prend (un peu trop) pour le Scorsese argentin en recréant la saga réelle d’une famille de kidnappeurs des eighties.
Libération
Le problème du film est qu’en évacuant trop vite l’indécence du système qui a pu amener à de tels faits divers, il rend seulement compte d’une association de malfaiteurs, ici quasiment glamourisés par une musique pop et un traitement du son qui fait la part belle aux hurlements des victimes ou aux vociférations des membres de la famille Puccio, arrêtés en 1985.
Studio Ciné Live
Les activités criminelles d'une famille dysfonctionnelle, filmées avec une indéniable efficacité, mais dont le récit reste superficiel et anecdotique.
Cahiers du Cinéma
Comme on ne fera pas l’injure à Trapero de le ranger du côté des bourreaux, on ne peut que se désoler de voir ce qu’a pu sacrifier le chef de file du nouveau cinéma argentin. Rien de moins que son âme.