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    The Birth of a Nation
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    155 critiques spectateurs

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    Ophélie C
    Ophélie C

    10 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 11 janvier 2017
    Je sors de l'avant-première et je ne peux que vous recommander d'aller le voir !
    Un moment d'histoire assez survolé dans notre cursus scolaire français.
    Un film poignant et bouleversant qui est interdit au moins de 12 ans et c'est justifié car il pourrait être perturbant pour ce public.
    Aussi impactant que La Liste de Schindler !
    Pomme Acide
    Pomme Acide

    7 abonnés 28 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 janvier 2017
    Un film très classique sur l'esclavage des noirs "D'après une histoire vraie", comme d'hab, il semblerait qu'il n'y ait plus d'auteurs dans le cinéma US. Le vrai intérêt de ce film est dans la version française avec Abd al Malik et son phrasé très littéraire et facilement reconnaissable 😲
    BeatJunky
    BeatJunky

    149 abonnés 1 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2017
    Encore un film sur l'esclavage je me suis dit... Oui mais non! Enfin si, bien-sûr l'histoire est tjrs à peu près la même à savoir le destin d'un esclave qui va se révolter pour changer son destin... Mais le personnage est attachant, émouvant par son calme et ses valeurs humaines qu'il aura défendu jusqu'au bout. Son destin prend forcément aux tripes.... D'ailleurs, grand coup de chapeau à Nate Parker tout d'abord mais aussi aux autres acteurs qui sont tous incroyables de justesse .... Si le film est aussi émotionnellement fort, c'est en grande partie grâce à cette excellente interprétation selon moi puisque je n'ai rien trouvé de révolutionnaire dans la mise en scène, dans la photo ou au montage qui restent assez classiques... Attention, soyons d'accord: Classique ne veut pas dire loupé ! Bien au contraire ... Malgré Qq images dures , c'est un très beau film avec tout ce qu'il faut pour rester captivé de la première à la dernière image: Emotion, action, etc.. qui n'a pas à rougir devant les "Twelve Years a Slave" ou plus récemment "Free State of Jones"...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    C'est bien, mais pas waw! histoire trop connue, trop de rapport à Dieu...mais toujours aussi choquant de voir qu'un jour il y a pu avoir ce racisme et cette période d'esclavagisme!
    Mieux vaut voir twelve years a slave, on sent qu'ici le budget est moins, mais les acteurs sont bons
    superbe fin après 70% du film soporifique
    Myk O
    Myk O

    3 abonnés 3 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 janvier 2017
    Attention, cet avis est purement personnel.
    Voila un film touchant, nous montrant la dureté de l'esclavagisme du peuple noir. Ce film m'a quelque peu rappelé "12 years a slave" que pour ma part j'avais preféré et m'a permis d'apprendre une partie de notre passé que je ne connaissais pas. Une rebellion du peuple noir qui mit un peu du temps à se dessiner dans ce film (à mon gout). Solidarité, amour et religion sont les trois mots qui définissent ce film.
    Une belle découverte.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 8 janvier 2017
    Une palcopie bas de gamme de twelwe years a slave, on voit un serieux manque de budget de grosse lenteur, franchement c'est dommage il y a tellement de chose qui se sont passé durant cette période et qui devrais être raconté
    elriad
    elriad

    432 abonnés 1 859 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 janvier 2017
    "The birth of a Nation" s'ajoute à une pléthore de films consacrés au sujet et même s'il remplit son contrat, même si la réalisation est soignée, si la distribution est réussie, si l'épisode factuel émeut, n'apporte finalement rien de plus à cette période douloureuse et révoltante de l'esclavage aux USA. Un bon film de facture classique qui ne fera pas date.
    FaRem
    FaRem

    8 637 abonnés 9 523 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 janvier 2017
    Nat a vécu toute sa vie chez les Turner, une famille qui lui a appris à lire ce qui lui a permis de s'affirmer en tant que personne même s'il est toujours resté dans son rôle pour ne pas s'attirer des ennuis. Ayant peur d'une révolte, certains esclavagistes demandent à Nat de venir prêcher pour calmer les esclaves, mais les terribles scènes auxquelles il va assister vont complètement le changer et le pousser à agir... Pour son premier long-métrage, Nate Parker a signé un film très fort qui monte tout doucement en puissance jusqu'à une dernière partie explosive. Il ne tombe jamais dans la facilité ou le pathos et ne montre que rarement des images difficiles comme pour accentuer la banalité des faits et ainsi donner plus d'importance à ce qui arrive plus tard avec cette fois-ci des images marquantes. Je ne connaissais pas ce fait et en cherchant un peu, on remarque que certains détails importants de la révolte, des massacres et du personnage ont été oubliés ce qui est problématique, mais si on ne doit juger que le contenu, c'est un très bon film à l'ambiance parfois mystique, très bien réalisé et porté par un très bon Nate Parker qui assure dans les deux rôles.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 4 janvier 2017
    percutant, qui vous retourne le coeur mais il manque qqch à ce film. peut-être trop américain, mais en tout cas l'acteur principal est excellent!
    Xavi_de_Paris
    Xavi_de_Paris

    291 abonnés 2 854 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 décembre 2016
    Souffrant la comparaison avec l'excellent "Twelve years a slave", "The Birth of a nation" manque parfois un peu d'intensité dramatique au vu du sujet traité. Il assure quand même l'essentiel en faisant œuvre de mémoire, le qualificatif de film nécessaire n'étant pas galvaudé. Les acteurs sont bons, quelques scènes fortes et choquantes, mais le final est un peu grotesque et hollywoodien, alors que le film s'en tenait à une certaine sobriété jusque là. Ce final a néanmoins le mérite de réveiller le film, qui souffrait de quelques longueurs. Un bon film de la part de l'acteur-réalisateur Nate Parker.
    blacktide
    blacktide

    58 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 janvier 2017
    Gods and Monsters

    « Was blind, but now, I see »

    A l’image de la portée libératrice de l’Amazing Grace, The Birth of a Nation se veut être un hymne rédempteur à l’impact universel. Outre sa capacité à susciter la réflexion, l’œuvre de Nate Parker prend forme dans son symbolisme permanent. Un peu comme si Parker avait voulu figurer Jean 9.1-41, passage où Jésus guérit l’aveugle de naissance, comme la métaphore d’une prise de conscience et de compréhension du monde. Puisque tout passe par cette élévation initiatique d’un simili-héros analogue au Prométhée moderne qui au lieu d’apporter le feu sacré de la connaissance, procure la force aux hommes de se révolter. La Rébellion serait-elle un engagement citoyen ?

    Alors que le tout Hollywood s’est tourné vers le cinéma « esclavagiste » pour mieux servir sa morale de « l’esclavagisme c’est mal », Nate Parker tente de s’inscrire dans un cinéma-questionnement, où le passé sert une réflexion sur la potentialité d’un vivre ensemble sous couvert d’un contexte de racialisation de la société. Démarche louable en somme. Mais encore fallait-il souligner ouvertement cette volonté allégorique pour éviter une certaine redondance avec Twelve Years a Slave. Pourtant, c’est dans sa complexité que The Birth of a Nation surprend. Certes, il ne s’engage pas sur les nuances explosives d’un Django Unchained, mais sa rupture avec l’opposition manichéenne du « méchants/ gentils » a de quoi questionner les thèmes de violence et (in)justice.

    Puisque violence n’engendre que violence et sous ses airs de film brutal et révolutionnaire, se cache un véritable manifeste sur l’interprétation des textes sacrés, propos qui se veut l’épicentre de la réflexion de Parker. Tout s’exécute autour de l’Instrumentalisation de l’appareil religieux, que constitue La Bible, pour détourner l’essence même des écritures en faveur des esclavagistes par une interprétation strictement littérale : « Serviteurs, obéissez à vos maîtres selon la chair, avec crainte et tremblement ». Pour le « prêcheur noir », cela représente un voyage initiatique au bout de la lucidité. Cette clairvoyance s’efforce à se révéler par les inégalités et la cruauté formant son quotidien, des scènes âpres de torture au viol de sa femme. Alors que les asservisseurs prônent l’ignorance de leurs nègres, c’est justement par l’éducation religieuse et spirituelle que Nat prendra conscience des pratiques biaisées de ses maîtres pour devenir le berger guidant ses brebis égarées : la culture comme source d’élévation de l’humanité.

    Plus encore, on peut dès lors aisément comprendre l’accueil mitigé réservé au film par son actualité brûlante étant donné son parallèle avec les extrémismes religieux doublé des tensions liées à la campagne de Trump et du mouvement Black Lives Matter. Puisque The Birth of a Nation, au-delà du simple film anti-esclavagiste, incarne le refus sous-entendu de tout extrémisme. C’est à la fois sa force et sa faiblesse car l’indignation de Parker biaise partiellement sa narration des faits : il surestime le rôle de son héros, glorifié en prophète et figure de martyr alors même que son massacre des esclavagistes se retrouve aux antipodes du sixième commandement : « Tu ne tueras point ». Mais n’est pas Mel Gibson qui veut. Car en voulant faire un film presque anti-hollywoodien, Parker oublie son récit au bénéfice de fulgurances esthétiques. Par ce rassemblement de contradictions historiques au profit de conventions fictionnelles alimentant le récit populaire, Parker adapte de vieilles tactiques à de nouvelles visées : par l’héroïsme et l’amour de Nat Turner, Parker allie la violence visuelle aux émotions romanesques, ce qui en un sens renforce en premier lieu l’efficacité apparente de l’œuvre mais se révèle finalement incapable d’extérioriser le postulat politique de départ.

    Pourtant, The Birth of a Nation n’est pas dénué d’idées intéressantes. Force est de constater l’ironie et la puissance des antagonismes. Rien que le choix du titre témoigne d’une antithèse flagrante avec le film de D.W. Griffith, apologie du nationalisme américain par l’éloge de l’action du Klux Klux Klan. Avec la version 2016, fini les « fous ta cagoule ». Nate Parker inverse le point de vue pour le consacrer aux « Minorités visibles » et à l’injustice régnant dans les sociétés modernes. Cette critique s’étend même sur la ou les affiche(s) du film, soit par la pendaison du héros par le drapeau américain soit à travers la revisite de ce même drapeau avec l’opposition violente des esclaves et des esclavagistes en arrière plan. La nation américaine s’est construite sur l’injustice et l’inégalité, dans le sang et la révolte, à l’opposé des principes démocratiques mis en place par les pères fondateurs (ce que vient rappeler la citation de Thomas Jefferson au tout début). C’est de cette théorie d’une nation polarisée que Nate Parker en fait l’examen. Cette société de l’injustice construit les normes et endoctrine les hommes à les poursuivre. La société se racialise et la scène du dîner en est la parfaite illustration : le maître Samuel, autrefois l’enfant s’amusant avec Turner sans préoccupation des différences raciales, voit son comportement changer au fur et à mesure de l’influence que portent les esclavagistes autour de la table ; évolution renforcée par l’opposition avec sa mère en bout de table et le recul progressif de la caméra intensifiant l’antithétisme de la (s)cène.

    En dépit du manque de cohérence général, le discours de Parker se voudrait fédérateur et humain, anticonformiste et sans véritable classification des caractères mais manque de maîtrise pour véritablement toucher à l’unité. Néanmoins, la fin peut se voir comme l’esquisse de la charge symbolique du film : Turner, la corde au cou, transmet ses idéaux révolutionnaires par un simple jeu de regard avec le jeune enfant noir. C’est par cet effet miroir que l’enfant prend lui-même conscience de ses convictions, héritage qui le conduira à la révolution (aux côtés des Nordistes pendant la guerre de Sécession) et à la naissance d’une nation.

    Pick a bale of cotton

    Malgré une certaine simplicité dans le traitement émotionnel (la découverte progressive d’enfants et hommes noirs pendus au son de Strange Fruit) et la reprise déjà-vu des codes du genre, Nate Parker mêle élégamment émotion et réflexion, tout en s’assurant de notre frustration par le non-respect du schéma traditionnel. Dans une ambiance proche du récent Free state of Jones, Parker fait preuve d’une incontestable habileté visuelle (hormis l’excès de gros plans) par son effort philosophique de mise en scène. Mais la forme peut-elle réellement faire le fond ? Demander donc à Winding Refn. Difficile alors de se prononcer au vue de l’efficacité du film, ne laissant ni indifférent ni sans réaction. Soyons indulgent et avouons que pour un premier long métrage, ça mérite bien une petite acclamation (ou rébellion, choisissez). The Birth of a Nation ou La naissance d’un commencement en somme.

    All Lives Matter…

    ♫ All we wanna do is take the chains off
    All we wanna do is break the chains off
    All we wanna do is be free ♫
    Spe64
    Spe64

    26 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 novembre 2016
    The Birth of a Nation raconte les prémices de la guerre de sécession avec la Révolte de Nat Turner, un esclave afro-américain, intelligent, qui appris à lire très tôt et devint prêcheur pour les autres esclaves de la région.
    Filmé de façon sobre et classique avec un brin de mysticisme, on assiste dans une première partie à sa vie d'esclave et de prêcheur puis dans une seconde partie à la revanche des esclaves dans le comté de Southampton en Virginie porté par lui même.
    Une réponse de la violence par la violence pour un espoir de liberté qui coûtera un bon nombres de vies mais lancera une première alerte sur la suite de l'histoire, un film assez réussi, en émotions.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 18 novembre 2016
    Privilégié que je suis! Ce film est une "douceur" cinématographique. Le réalisateur/acteur principale joue et montre cette période sombre sans aucune pudeur, il prend le temps d'installer son personnage et son histoire. Ce film est l' Histoire, il l'a montre avec une vrai justesse, sans faux semblant, sans prendre de pincette.
    Ludo S
    Ludo S

    23 abonnés 15 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2017
    Un ton en dessous de 12 years a slave selon moi mais un très beau film sur l'esclavagisme aux Etats-Unis
    pierrre s.
    pierrre s.

    426 abonnés 3 304 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2016
    Bien plus qu'un énième film sur l'esclavage, The Birth of a Nation, est une œuvre puissante et singulière. Nate Parker (acteur/ réalisateur qui m'était jusque là inconnu) parvient à rendre son sujet universel, si bien que l'on fait le lien entre les horreurs d'il y a 200 ans, et celles présentes d'aujourd'hui dans notre société...
    Un film poignant et important!
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