Derniers Avis : Scream Girl - Page 2

Un scénario riche en péripéties , un mix entre Scream et Last action hero !! le casting est correct pour ce style de film !! C'est rythmé, la durée est juste bonne pour rester captiver !! Le film se veut parfois caricatural mais c'est voulu d'en faire une parodie par moment et c'est plutôt bien vu !!

Encore une découverte grâce à Netflix, et tout repose sur l'intelligence et l'originalité du scénario. On s'amuse à revoir les codes des films d'horreur des années 70 / 80 mis à mal, moqué, mais en même temps respecté, et la frontière entre la parodie, et le respect du genre est adroitement mis en scène. Alors, sans tomber dans le gore absolu, car là, n'est pas le but, on se plonge dans cet univers, à la Last Action Hero, où nos amis se retrouve dans le film.
Est-ce qu'ils vont s'en sortir, ou vont-ils tous mourir dans d'atroces souffrances, là n'est pas la question, d'ailleurs c'est quoi le but, ah oui, juste se divertir et là c'est réussit.

A découvrir. The Final Girl, ou Scream Girl pour d'autres, adopte l'ironie sur l'hommage du slasher le plus connus de tous les temps. Et dans ce camp de vacances, l'histoire de s'y voir projeter en tant que spectateur, laisse de grandes possibilités, que ce petit film plein d'inspirations ne manque pas d'aborder. Linvétéré fan, les modèles de narration et les clichés, avec le devoir de bien faire. C'est chouette tant c'est appliqué.

Scénario d'une inconsistance abysalle, 1h30 d'un ennui très très intense...Du très très grand n'importe quoi !

Le film possède plusieurs atouts notamment l'idée de base et sa volonté parodique. Le casting féminin est charmant avec Taissa Farmiga, la révélation d'Américan Horror Srory, la sémillante Malin Åkerman ou encore Angela Trimbur dans un rôle bien déjantée, hélas peu approfondi. Le revers de la médaille est de trois ordres, déjà l'aspect dramatique (qui n'a rien à faire dans une comédie) est traité de façon très lourde et prend trop de place, ensuite le casting masculin qui n'a rien de terrible…et puis et surtout là où on attendait que le film twiste (et il y avait 36 façons de le faire) on n'a droit qu'à du convenu de chez convenu. Une semi-déception mais de bons moments malgré tout...

Je me suis lancé dans ce film après avoir lu les avis: grosse erreur... Clairement un mauvais divertissement, jeu d'acteurs dégueulasse. C'est une parodie, on est censé rigoler, le seul moment qui m'a fait décrocher un sourire c'est le bêtisier pendant le générique, en partie parce que cela marquait la fin de mon calvaire... À éviter !

Nul pourtant très prometteur de par son originalité mais cela s’essouffle très vite. L’ambiance est ridicule les dialogues sont à mourir de rire.
Aucun intérêt ne perdez pas votre temps pour ce genre de film. Je ne comprends même pas qu’il soit noté à l’heure actuelle 3,2/5 ne mérite même pas la moyenne.

Servi par un casting convaincant, c'est un bel hommage parodique aux Vendredi 13 et consorts. On attaque tous les clichés du genre avec un humour et meme une certaine sensibilité ! Un film qui aurait mérité une exploitation en salles. Car il atteint son objectif divertir et captiver

Red is Dead, le film. "Il ne peut plus rien nous arriver d'affreux, maint'nant...", cela résonne comme une petite chansonnette sympathique pour vous aussi ? Alors bienvenue au Club des Adorateurs (pas anonymes) de La Cité de la Peur (un film de Les Nuls) qui, en 1994, proposait une ouverture mythique qui se moquait des slashers de façon très (mais alors : très très) absurde. Et en regardant Scream Girl, on jurerait qu'il s'agit d'une version longue de ce petit sketch, tant il y a d'échos dans le scénario (le gars à l'arme blanche disproportionnée qui marche à deux à l'heure en faisant des bruits de Dark Vador) mais aussi dans l'humour (les ficelles du genre horrifique qui sont poussées à l'extrême). Alors, copier-coller involontaire (il est davantage probable que le réalisateur Todd Strauss-Schulson ait voulu détourner les Vendredi 13) ou œuvre à part entière ? Si vous connaissez les Scary Movies, cette production ne vous surprendra pas, n'en étant qu'une version "Vendredi 13" (comme cité), mais on peut toujours se prêter à rire dans l'absurdité générale des gags bas de plafond : les filles à qui l'on scotche des maniques aux mains pour les empêcher de se déshabiller ("car c'est quand la jolie fille se déshabille que le tueur arrive") est certainement la meilleure trouvaille du film (on a ri, on l'avoue). Mais à ces quelques bonnes idées, l'on peut opposer d'autres blagues plus lourdes (celles du personnage interprété par Adam Devine particulièrement) qui ne fonctionnent pas, des situations de plus en plus tirées par les cheveux (les flashbacks qui tombent du ciel), une réalisation très médiocre (calibrée "teen movie bon marché") et un final avec un pseudo-twist qu'on commence à connaître par cœur (dans la grande majorité des films d'horreur pour ados, nous avons droit à ce spoiler: "on est sauvés...ah non."
qui devient un cliché ambulant). Dommage pour la réalisation assez peu reluisante de ce sympathique projet, on dira qu'avec un coup dans le nez (soirée-potes) ou à l'occasion d'une soirée-nanar, le film conviendra. Alors, enlevez vos maniques, prenez un chewing-gum (Émile), et détendez-vous devant Scream Girl.

The Final Girls est une parodie de films slasher. L'intrigue suit une fille nommée Max dont la mère Amanda est tuée dans un accident de voiture. Trois ans plus tard, une connaissance de lycée lui demande d'assister à une projection de Camp Bloodbath 1 & 2. La mère de Max était une Scream Queen dans les années 80 et avait joué dans le premier film. Max est d'abord hésitante étant donné que la douleur de la perte de sa mère persiste, mais décide d'y assister. Lorsqu'un incendie éclate dans le théâtre, Max et ses amis se précipitent pour s'échapper. Alors qu'ils ont fait un trou dans l'écran ils se rendent compte que la seule façon de s'échapper est de jouer dans le film lui-même. The Final Girls n'est pas seulement une parodie hilarante de Vendredi 13 et autres slashers, mais ce qui le fait vraiment briller c'est sa profondeur émotionnelle. Max interagit avec sa mère et essaie de la sauver dans le film. Ce film est destiné a un futur statut de classique du cinéma. Si vous aimez les bons films parodique The Final Girls est un sacré bon moment...

Sortie en France directement en vidéo, je n'avais jamais entendu parler de ce "Scream girl" qui sur le papier n'avait pas l'air de réserver de grandes surprises. Si j'ai pu le découvrir, c'est surtout parce que je suis tombé sur le Blu-ray à deux euros par hasard et que la jaquette avait un peu de gueule. Je ne savais pas trop à quoi m'attendre mais c'est en voulant voir un film sans prise de tête que je me suis mis à le regarder.

Mes attentes n'étaient pas hautes mais j'ai vraiment bien aimé ce scénario écrit par M.A. Fortin et Joshua John Miller. Divertissant, je comprends qu'il soit sorti directement en vidéo mais je l'ai trouvé quand même suffisamment plaisant pour ne pas regretter mon achat. Prévisible sur le papier, il suffit de lire le synopsis pour voir que de toute façon, on ne nous trompe pas sur la marchandise.

Le scénario aurait peut-être mérité un poil plus d'originalité. "Vendredi 13" qui rencontre "Last Action Hero" dans une parodie de "Scary movie", c'est un concept très sympa mais il y avait quand même matière à aller encore plus loin que ses illustres aînés dont il assume pleinement l'inspiration. Avec son humour très potache qui ne vole pas haut, j'ai quand même souris et ça m'a fait plaisir.

Devant la caméra, le casting est aussi léger que le scénario. On nous présente une belle palette de caricatures et chacun tient sa place avec toute l'exagération qu'on lui demande. Parmi ceux que je retiens, il y a la charmante Taissa Farmiga (Max Cartwright) ainsi que Malin Akerman (Nancy / Amanda Cartwright) qui sont celles qui parviennent le mieux à canaliser les excès de leurs caricatures respectives.

Nina Dobrev (Vicki Summers) est pas mal aussi dans le cliché de la peste de service et Alia Shawkat (Gertie Michaels) incarne bien la bonne copine qui dose bien sa folie. Thomas Middleditch (Duncan Michaels) m'a lui aussi bien fait marrer même si son rôle me fait fortement penser au personnage de Randy Meeks dans "Scream".

Après, Alexander Ludwig (Chris Briggs) est peut-être un peu trop léger, Angela Trimbur (Tina) trop excessive et Chloe Bridges (Paula) trop transparente ainsi que sous exploité par le récit. Le pire, c'est quand même Adam DeVine (Kurt). Je sais que son rôle est un stéréotype mais le comédien en fait des tonnes dans le potache et son jeu ne m'a jamais vraiment convaincu même dans l'humour. Trop lourd, j'ai même trouvé que par moment les gags qui tournaient autour de son personnage ralentissait un peu le rythme.

A noter que j'avais commencer le long métrage dans sa version française (je ne voulais vraiment pas me prendre la tête) mais j'ai trouvé les doublages assez atroces. Du coup, au bout de dix minutes, je suis passé à la version originale et c'est nettement mieux passé. L'humour et l'esprit du film a commencé à me plaire à partir du moment où j'ai zappé la version française.

Derrière sa caméra, Todd Strauss-Schulson ne se foule pas trop. Le metteur en scène pille à tout va les différents films dont il s'inspire. C'est bien fait c'est déjà ça mais une petite touche personnelle n'aurait pas fait de mal à ce projet. Il y a pourtant de bonnes idées. Je pense par exemple à la typographie du mot "summer" avec lequel les personnages jouent ou encore le travelling en boucle où nos héros reviennent toujours au même endroit façon "Un jour sans fin". Tout ceci ne va malheureusement pas assez loin pour vraiment marquer les esprits.

C'est dommage car après ça se laisse quand même regarder. Je ne me suis pas ennuyé et même si l'on devine tout ce qui va se passer, pour un film pop corn du samedi soir à voir du coin de l’œil, j'ai trouvé le résultat agréable. Les décors m'ont plu par exemple et j'ai aimé la façon de jouer avec les clichés jusque dans les costumes. La musique de Gregory James Jenkins n'est pas très percutante mais elle colle bien aussi.

Pour résumer, "Scream girl" s'est avéré à mes yeux une très bonne surprise. Pour deux euros le blu-ray, j'ai vraiment passé une soirée sympathique devant ce film qui manque d'innovation mais qui assure le spectacle. Se reposant un peu trop sur ses références et ne prenant pas beaucoup de risques, cette comédie horrifique m'a néanmoins bien fait sourire et même donner envie de revoir certains films. Rien que pour cela, je ne regrette pas mon achat.

Mr Vladdy - 27 janvier 2019.

Film très drole, mais aussi très triste de part l'histoire avec sa mère qui est très touchante, la scène final à même fait pleurer dans mon entourage, ils y a un bon jeux du coté des acteurs.

Un pitch original ça ne fait pas tout. Alors oui c'est bien pensé avec les boucles et le fait de s'immerger complètement dans le film, mais même avec un premier tiers bien géré, ça ne suffit pas à rattraper le reste. 3/10, surtout pour un long métrage.

La critique complète sur mon blog : Critique du dimanche

C'est un film moyen destiné aux adolescents et aux jeunes adultes. L'histoire est simpliste, le film reste humoristique, il est plaisant à regarder. Bon après rentrer dans un film c'est un peu paradoxale et le scénario peut partir à tout va et peut s'éparpiller à n'importe quelle suggestion. De belles actrices. Il y a de l'humour futile et plaisant. De bons comédiens américains et à la sauce américaine.

J'ai visionné « Scream girl » un peu par hasard et parce que le scénario m'a intrigué. Il semblait en effet parodier les vieux films d'horreur des années 80... Ceux que j'ai regardé en boucle pendant des années (nostalgie quand tu nous tiens...) Ceci dit, je n'attendais pas grand chose de cette expérience hasardeuse, bien conscient que horreur et comédie font rarement bon ménage. C'est donc avec une joie non dissimulée que j'ai constaté que j'avais tort sur toute la ligne. Non seulement le réalisateur a souhaité faire de son film un hommage, bien plus qu'une parodie... Mais en plus, il parvient à être plutôt drôle avec cette version totalement déjantée de « Vendredi 13 ». La colonie de vacances au bord du lac, rappelle bien des souvenirs tout comme le tueur masqué qui traîne aux alentours. Alors certes, les gags sont parfois un peu lourds et les dialogues ne sont pas signés Michel Audiard, mais l'ensemble fonctionne quand même très bien et on rit de bon cœur. Bref, il ne faut surtout pas bouder son plaisir. Ce film m'a rappelé le bon vieux temps des « slasher », dont il se moque gentiment. Rien que pour ça je dis bravo et j'en redemande.