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Un visiteur
2,0
Publiée le 9 janvier 2018
Jessica Chastain est une actrice exceptionnelle . Le scénario et la mise en scène sont minables : sexiste, voyeurisme, superficiel, prétentieux, bête , suffisant , en un mot nul à partir d’un sujet ou une génie tel que Kurosawa aurait fait un chef d’œuvre .
Divertissant mais trop cliché et naïf. J'ai aussi eu l'impression que le réalisateur empruntait des codes d'autres films sur le même thème comme la voix off qui pose le contexte très rapidement et puis parfois on voit des plans inachevés. D'un coup on voit un gros plan sur les mains de l'avocat qui l'écoute sans qu'il y ait un lien particulier et sans les voir en entier assez étrange. On a le sentiment qu'il voulait copier les films à grands succès en oubliant d'approfondir son propre film et de lui donner une particularité qui le ferait sortir du lot ... à part faire du personnage principal une femme.
bonne histoire mais la réalisation est trop bavarde.les scènes de poker incompréhensible pour un novice. le personnage du père est un peu cliché en psychologue et entraîneur....J.Chastain est géniale et un peu trop omniprésente ce qui efface le reste du film
« Dommage ! Inspiré d’une histoire vraie, le début du film « Le grand jeu » est tellement saisissant ... on découvre une jeune championne de ski alpin, surdouée, qui s’acharne à vouloir accrocher des prix, des trophées, sous l’emprise d’un père sévère et exigeant ! Sa psychologie de cette jeune fille, Molly Bloom devenue, belle femme, reine des pokers clandestins, est interessante à cerner : l’éducation imposée par son père l’a rendue insensible à toute souffrance, tout danger pouvant la mettre sa vie en péril, et tenace, refusant tout échec ! Au bout de 15-20 minutes du film, le film m’a déjà paru trop narratif car les voix-off de l’héroïne se succédaient depuis le début et elles n’étaient pas prêts à se retirer ! Du coup, le scénario ne fait plus de poids face à l’overdose des voix-off ! Assez médiocre et trop long à mon gout, malgré la prestation de Jessica Chastain dans la peau d’une femme à la fois séduisante, froide et impitoyable ! J’avoue avoir eu du mal à suivre et comprendre son ascension ! Mmhhh ! Ce qui m’a le plus intéressé dans ce film pourtant redondant, c’est sa relation professionnelle, sa grande distance face aux joueurs séducteurs ou malheureux ... les scènes de poker avec des cartes partout, m’ont foutu le tournis car je ne connais pas la règle du ce jeu ... Dommage, voilà en gros ! »
L'histoire vraie de Molly Bloom. Encore que beaucoup d'éléments aient été soustraits, notamment les noms de plusieurs stars amies du réalisateur. Mais le film est pas mal, on voit le personnage de Molly monter dans les échelons de la réussite financière. Un biopic bien monté mais peu intéressant sur le poker et les parties clandestines. Je lui reprocherai son manque de réalisme, son aspect réussite trop facile et son manque d'échecs et de stress dans le personnage interprété par Jessica Chastain. Elle a un jeu trop linéaire et sans émotion, on ne ressent aucune fatigue, aucune prise de drogue ou d'alcool, pas vraiment d'empathie ni de colère. Juste une belle femme présente à l'écran comme l'est la véritable Molly Bloom. Je me suis laissé aller à une certaine déception.
Un film assez bien fait, avec d'excellents acteurs. Le problème, c'est que tout est convenu depuis le début. On a du mal à se passionner pour le sort de cette organisatrice de parties de poker, malgré le talent et la présence de Jessica Chastaing. On peut supposer que l'excellente femme d'affaires dont le livre a été adapté est parvenue à imposer qu'on gomme les aspects les plus déplaisants de son personnage, conduite en état d'ivresse, arnaques. Toute sa vie sentimentale et sexuelle a aussi été zappée. On chercherait vainement une critique de l'idéologie du gagnant et un regard un peu subversif sur cette société de parasites qui jettent de l'argent par les fenêtres.
Scénariste devenu réalisateur, Aaron Sorkin garde ses tics agaçants : trop de voix off, de plot twists artificiels et de théâtralisation... Jessica Chastain est impeccable, dans la veine de Miss Sloane. Les deux morceaux de bravoure du film, on les doit à la plaidoirie enflammée d'Idris Elba et à l'analyse de 3 ans en 3 minutes de Kevin Costner, un revenant.
La réalisation est bavarde, avec une voix off qui plante le décor dès le départ et qui s’arroge l’espace en écrasant l’histoire. C’est vraiment soulant à la longue et de ce fait, l’émotion se fait rare. Les acteurs sont crédibles mais le film est lent et se fait démonstratif. Tous les ingrédients d’un bon scénario sont toutefois réunis mais le verbiage a plombé mon attention et a empêché toute adhésion. Dommage pour Jessisa Chastain qui assure pourtant bien.
Tout repose (et certainement un peu trop) sur la magnifique Jessica Chastain mise en valeur comme jamais. Peut-être que le réalisateur est tombé amoureux d'elle ? Ce ne serait pas étonnant. En tout cas, il a laissé de côté la vraie histoire de Molly Bloom pour la filmer, ce qui fait que Jessica Chastain est plus grande que le film. Par exemple, il n'est jamais expliqué dans le film le montant de ses revenus ? Le montant des droits d'entrée aux parties de poker ? Si c'est le cas, elle devait être plus que millionnaire en dollars. On sait juste qu'elle a perçu une commission sur les derniers mois. Pas d'aventures amoureuses non plus ? Trop de zones floues. Un poil long aussi.
Une histoire prenante qui se prend les pieds dans la tapis. Un vrai Rise and fall à l'américaine où une bonne à rien fini par arriver au sommet avant de chuter, mélangé à de l'enfance, du poker et du procès. Une véritable pelote compliquée et pas grand chose qui en ressort. J'admets me prendre au jeu des parties de poker, mais ici on a carrément une scène avec les cartes dessinées à l'écran et les différentes combinaisons possible, pendant 10 minutes.... qui s'intéresse à cela dans un film? Casino Royal l'avait déjà fait mais de manière plus subtile. La pseudo touche émotionnelle de la figure du père est bâclée et tellement appuyée pour tenter de justifier la personnalité de Molly. On ne s'attache pas à elle, on se fiche de son sort et pourtant on essaye de nous faire passer toute son histoire comme le drame injuste d'une femme forte et intègre. Le dénouement est ennuyeux au possible. Bref: l'histoire en elle même vaut le coup, le film beaucoup moins. On retiendra les jolies tenues de Molly qui nous font tenir cet interminable métrage.
Comme dit le personnage du père à la fin du film, on va se faire 3 années de psychanalyse en quelques minutes. C’est le sentiment global que m’a inspiré ce film de 2h20, qui ne devient vivant que sur le dernier quart d’heure. Malgré l’originale histoire de l’authentique Molly Bloom, et l’exhibition des terribles enjeux, ambiances et secrets du poker dans les salles de jeu privées réservées aux nantis et aux célébrités dangereusement addicts, j’ai l’impression d’avoir encore subi un cartoon décérébré hermétique à toute forme de profondeur et d’empathie. Mitraillages, cascades et chevauchements chroniques de scènes, caquetages continuels plus hystériques qu’une partie de ping-pong en accéléré, noyade permanente dans les détails sémantiques et les fatigants spots d’images en guise de plans, flopée de provocations post-pubères revanchardes, sexisme de base et continuels autres mauvais gouts comportementaux sans construction, apologie du fric et de la combativité, despotisme de la vanité, culte de la superficialité, étalage des addictions, retour évident à de bonnes valeurs attendues depuis le début, bon, combien de fois ai-je dû regarder ma montre en espérant que ça se termine…
De très bons acteurs au service d’un film lent et démonstratif ! J’avais hâte que se termine cette histoire alors qu’elle est potentiellement intéressante !
Et pourtant cela commençait bien. Du rythme, une mise en scène foisonnante et des dialogues ciselés laissaient augurer une film de qualité. Malheureusement, le dernier tiers du film vient tuer cette mécanique, comme si le réalisateur n'avait subitement plus aucun recul sur son sujet. Du thriller on passe au soap. Du Loup de Wall Street au féminin on passe au Loup de Wall Street au rabais. La fin n'a aucune vraisemblance et l'on sort de la salle avec le sentiment d'être tombé dans un petit traquenard commercial.
Tres inegal, certaines parties sont intéressantes, d'autres pas du tout. Globalement c'est surtout trop long, les dialogues avec l'avocat sont grandiloquents, surjoués. La scène du père "psychologue" qui mesure sa réussite à la profession de ses enfants est ridicule. Bref je n'ai globalement pas aimé, et surtout pas les faux seins enormes et ridicules de Jessica Chastain