Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Culturopoing.com
par Thomas Roland
Avec ses passages drôles et exhubérants auxquels répondent des scènes tendres et intimes, La Communauté prend surtout les allures d’une œuvre profondément mélancolique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un film social réussi, entre la comédie et le drame, une immersion douce-amère dans les années 1970 et leur utopie.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Inspiré par l’expérience personnelle du réalisateur, le film dit, de façon un peu lourde, le rêve de bonheur communautaire et les illusions de l’utopie perdue...
Le Parisien
par Catherine Balle
Réalisé par Thomas Vinterberg dix-huit ans après "Festen", réunion de famille qui tournait au vinaigre, "La Communauté" parle avec crudité de la difficulté de vivre ensemble. En parallèle, Vinterberg réalise un portrait particulièrement délicat d'une femme de 45 ans, soudain seule au milieu du groupe.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Vinterberg conte la subite désillusion d’un couple face à son inévitable séparation. Bercé de douceur malgré ce constat d’échec, “La Communauté” est illuminé par un rapport adulte au monde.
Positif
par Olivier de Bruyn
Un film qui slalome habilement entre les genres - comédie, drame, portrait d'une époque - pour ne ressembler finalement qu'à lui-même. Une des plus belles réussites de son auteur.
L'Obs
par Pascal Mérigeau
L’ensemble se suit sans désagrément ni ennui, grâce surtout à une distribution de qualité, dominée par l’excellente Trine Dyrholm, à qui le rôle d’Anna a valu un prix d’interprétation bien mérité à Berlin l’an passé.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Arnaud Schwartz
Enfant, le réalisateur a vécu plusieurs années en communauté avec ses parents. Le regard qu’il porte sur cette parenthèse « idéaliste » et « naïve » est à la fois tendre, amusé, parfois mélancolique… et d’une lucidité sans concession.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Thomas Vinterberg, le provocateur danois, ausculte encore une fois les rapports humains dans cette chronique un peu moins caustique et saignante que ses précédents films.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Les reflets sont ceux d’une femme qui change, dans la peau et le coeur : elle a passé 40 ans, veut croire son ouverture d’esprit immense, se découvre, à l’arrivée d’une jeune rivale, mesquine, ou peut-être seulement très humaine. Son parcours fait de loin la plus belle part d’un film qui se laisse trop faire par les tentations chorales pour ne pas perdre un peu de sa substantifique moelle.
Les Inrockuptibles
par Vincent Ostria
Vinterberg fait dissoner le mélo sur un mode quasi bergmanien mais par des biais détournés.
Voici
par La Rédaction
La belle utopie du vivre ensemble, et son dynamitage au contact de la trivialité du réel et des désirs humains.
CinemaTeaser
par Rose Piccini
Aussi passionnant qu'il peut être ennuyeux, le film se perd et erre au point de sembler dilué. Reste au réalisateur danois ce talent du casting...
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Express
par Christophe Carrière
Pas mal, mais inabouti. Comme si Vinterberg courait après "Festen", son chef d'oeuvre, sans jamais le rattraper.
Libération
par Gilles Renault
Jamais enclin à la demi-mesure (cf. sa "Chasse, qui avait laissé un goût détestable"), le Danois se prend parfois les pieds dans le tapis de la maisonnée, notamment quand il peine à canaliser les emportements de l’époux volage que joue Ulrich Thomsen.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par La Rédaction
Un peu trop calibrée, cette satire ne fait pas toujours mouche.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un sujet aussi anticonformiste (...) méritait une réalisation moins passe-partout et davantage d'enjeux pour amener à réfléchir sur la notion de communauté.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
(...) les fêlures apparaissent et avec elles, la réalisation s’alourdit. La chronique qui s’annonçait drôle devient d'une platitude déconcertante.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Axel Scoffier
Écartelé entre ses genres et entre ses sujets, "La Communauté" manque d’une réelle densité cinématographique pour tenir le tout de manière convaincante.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Figaro
par La Rédaction
Des histoires de fesse dans une grande maison mais sans grand intérêt.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Frédéric Strauss
Vinterberg passe à côté du féminisme, de la politique, et signe un film simpliste.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
Avec ses passages drôles et exhubérants auxquels répondent des scènes tendres et intimes, La Communauté prend surtout les allures d’une œuvre profondément mélancolique.
Femme Actuelle
Un film social réussi, entre la comédie et le drame, une immersion douce-amère dans les années 1970 et leur utopie.
Le Dauphiné Libéré
Inspiré par l’expérience personnelle du réalisateur, le film dit, de façon un peu lourde, le rêve de bonheur communautaire et les illusions de l’utopie perdue...
Le Parisien
Réalisé par Thomas Vinterberg dix-huit ans après "Festen", réunion de famille qui tournait au vinaigre, "La Communauté" parle avec crudité de la difficulté de vivre ensemble. En parallèle, Vinterberg réalise un portrait particulièrement délicat d'une femme de 45 ans, soudain seule au milieu du groupe.
Les Fiches du Cinéma
Vinterberg conte la subite désillusion d’un couple face à son inévitable séparation. Bercé de douceur malgré ce constat d’échec, “La Communauté” est illuminé par un rapport adulte au monde.
Positif
Un film qui slalome habilement entre les genres - comédie, drame, portrait d'une époque - pour ne ressembler finalement qu'à lui-même. Une des plus belles réussites de son auteur.
L'Obs
L’ensemble se suit sans désagrément ni ennui, grâce surtout à une distribution de qualité, dominée par l’excellente Trine Dyrholm, à qui le rôle d’Anna a valu un prix d’interprétation bien mérité à Berlin l’an passé.
La Croix
Enfant, le réalisateur a vécu plusieurs années en communauté avec ses parents. Le regard qu’il porte sur cette parenthèse « idéaliste » et « naïve » est à la fois tendre, amusé, parfois mélancolique… et d’une lucidité sans concession.
Le Journal du Dimanche
Thomas Vinterberg, le provocateur danois, ausculte encore une fois les rapports humains dans cette chronique un peu moins caustique et saignante que ses précédents films.
Le Monde
Les reflets sont ceux d’une femme qui change, dans la peau et le coeur : elle a passé 40 ans, veut croire son ouverture d’esprit immense, se découvre, à l’arrivée d’une jeune rivale, mesquine, ou peut-être seulement très humaine. Son parcours fait de loin la plus belle part d’un film qui se laisse trop faire par les tentations chorales pour ne pas perdre un peu de sa substantifique moelle.
Les Inrockuptibles
Vinterberg fait dissoner le mélo sur un mode quasi bergmanien mais par des biais détournés.
Voici
La belle utopie du vivre ensemble, et son dynamitage au contact de la trivialité du réel et des désirs humains.
CinemaTeaser
Aussi passionnant qu'il peut être ennuyeux, le film se perd et erre au point de sembler dilué. Reste au réalisateur danois ce talent du casting...
L'Express
Pas mal, mais inabouti. Comme si Vinterberg courait après "Festen", son chef d'oeuvre, sans jamais le rattraper.
Libération
Jamais enclin à la demi-mesure (cf. sa "Chasse, qui avait laissé un goût détestable"), le Danois se prend parfois les pieds dans le tapis de la maisonnée, notamment quand il peine à canaliser les emportements de l’époux volage que joue Ulrich Thomsen.
Ouest France
Un peu trop calibrée, cette satire ne fait pas toujours mouche.
Studio Ciné Live
Un sujet aussi anticonformiste (...) méritait une réalisation moins passe-partout et davantage d'enjeux pour amener à réfléchir sur la notion de communauté.
aVoir-aLire.com
(...) les fêlures apparaissent et avec elles, la réalisation s’alourdit. La chronique qui s’annonçait drôle devient d'une platitude déconcertante.
Critikat.com
Écartelé entre ses genres et entre ses sujets, "La Communauté" manque d’une réelle densité cinématographique pour tenir le tout de manière convaincante.
Le Figaro
Des histoires de fesse dans une grande maison mais sans grand intérêt.
Télérama
Vinterberg passe à côté du féminisme, de la politique, et signe un film simpliste.