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    The Deliverance
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    52 critiques spectateurs

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    Théo
    Théo

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 septembre 2024
    J'ai trouvé le film excellent, je ne comprends pas toutes les critiques. L'histoire de la famille était super intéressante et l'horreur était bien présente ! J'ai adoré ! Un film ne m'a rarement fait aussi peur ! On ne rentre pas dans les clichés du film d'horreur. Ca change !
    2985
    2985

    238 abonnés 994 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 septembre 2024
    Un film qui a le cul entre deux chaises, principalement vendu comme un film d'horreur, ce qu'il n'es absolument pas. Commençant par une longue introduction sur les personnages tirant sur le drame sociale, qui en soit n'es pas spécialement mauvais, c'est le virage abordé par le surnaturelle qui lui, est très mauvais. A croire que les scénaristes de film de possession, sont obligés de s'inspirer de William Friedkin pour abordé le sujet, tout les clichés et poncifs du genres y passent, avec la subtilité d'un tractopelle, le manque d'inspirations est criant. Un film plus que moyen qui peine à convaincre.
    Loupihno
    Loupihno

    1 critique Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 8 septembre 2024
    Pendant une heure on y croit, puis plus rien , l atmosphère n est pas du tout au rendez-vous d un film qui se base sur la possession. Je rédige ce commentaire pendant le visionnage tellement je m ennuie.
    Seta-san
    Seta-san

    6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 septembre 2024
    C'est loooong, c'est chiaannt! On dirait 2 films en un. La premiere partie est simple et terre à terre facon telefilm du dimanche et au bout d'une heure ca devient un film de SF completement naz. Même la facon de filmer change.
    crisane vegeta
    crisane vegeta

    11 abonnés 344 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 septembre 2024
    Franchement c'est très compliqué de trouver des points positifs, mis en scène mauvaise, acteurs vraiment pas inspiré, l'histoire traîne en longueur, on s'ennuie fortement, bref.....passer votre chemin
    Fiers R.
    Fiers R.

    87 abonnés 364 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 7 septembre 2024
    Quel dommage que le nouveau film de Lee Daniels se termine par un dernier acte de la sorte... Pas qu’il soit véritablement raté (quoique...) mais il dénote totalement avec les partis pris choisis auparavant. Le réalisateur de la tragédie « Precious » ou de la biographie « Le Majordome » signe ici un drame fantastique et horrifique changeant un petit peu des contextes réalistes ou historiques qui ont fait son succès. Il a cependant beaucoup de mal à marier les genres avec ce premier long-métrage de plateforme, en l’occurrence pour Netflix, qui aime à s’accaparer des auteurs et des cinéastes indépendants dans le but de se donner une caution plus prestigieuse pour le meilleur (« Marriage Story » de Noah Baumbach) mais aussi le pire (l’horrible « Je veux juste en finir » de Charlie Kaufman). Avec « The Deliverance » on est plutôt dans le haut du panier de la firme au N rouge quand même mais il est clair que si le versant drame familial se baignant dans le surnaturel est parfaitement maîtrisé et augure du meilleur, dès lors que l’horreur pure pointe le bout de son nez, c’est la bérézina. Ce mélange de film indépendant certifié prestige et de film de genre n’est donc pas le meilleur film de son auteur même s’il s’en est fallu de peu pour que ce soit une belle petite réussite.

    C’est donc sur la ligne finale que tout part à vau-l’eau. Ou que le film prend une tonalité qui ne lui va pas et annihile presque tout le bon qu’il nous a été donné de voir l’heure précédente. Daniels semble ne pas savoir quoi faire du cahier des charges horrifique de son sujet et part dans un grand-guignol certes impressionnant (maquillages et effets plutôt réussis) mais qui tourne presque au ridicule et au hors sujet pour dire de satisfaire vraisemblablement les afficionados de gore et de démons de la plateforme. En effet, la rupture de ton avec le reste du long-métrage est bien trop brusque et mal amenée et ce genre de séquence mêlant exorcisme et possession a déjà été bien trop vu sur les écrans, notamment récemment. Et souvent en mieux, même si les maquillages et les effets sont tout à fait honorables et procurent quelques frissons modérés. Alors certes, c’était un peu le sujet du film, censé être inspiré de faits réels, mais il y avait tellement de manière différente de boucler son film quand on le débute sur un mode sensible et minimaliste comme il l’a fait, au plus près des personnages. Comme, par exemple, celle de continuer sur des petites touches de fantastiques suggérées comme c’était le cas jusque-là. Quant à la morale religieuse finale (et un peu bigote) qui voit Dieu et la Foi sauver cette famille, elle ne plaira pas à tout le monde par son côté cul-bénie et prosélyte.

    Bref, on est un peu interpellé, étonné et surtout déçu par une telle manière d’achever une œuvre qui partait si bien. Alors tentons de nous concentrer sur les trois quarts du film qui fonctionnent. Et même très bien. Daniels nous présente une famille dysfonctionnelle afro-américaine (père absent en Irak, mère alcoolique, grand-mère cancéreuse et ancienne toxicomane qui trouve le salut par la religion ainsi que trois enfants paumés). Le portrait est juste et les problématiques sociales inhérentes à leur milieu sont parfaitement traitées. Le script amène le sujet des violences sur les enfants de manière très intelligente. De plus, le casting est aux petits oignons et Glenn Close livre encore une prestation que certains trouveront peut-être un peu extrême mais qui n’est pas si éloignée d’une certaine réalité américaine. « The Deliverance » et ses petites touches de fantastique versées dans ce contexte familial et social difficile débute donc avec brio. On rêve donc d’une fin alternative dans la même lignée, plus réservée et sobre, loin des excès clichés des films d’horreur tendance langes anciennes, eau bénite et démon aux yeux noirs qui jure. Surtout qu’hormis une ou deux séquences (celle de l’hôpital ou celle de la voiture), on n’a pas vraiment peur... Dommage, encore une fois.

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    LE BARON Pierre
    LE BARON Pierre

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 septembre 2024
    Ce n’est ni un film d’horreur, ni un film d’épouvante! Soi-disant inspiré d’une histoire vraie, quand on lit la vraie histoire, on est loin du film! Bref, que des effets spéciaux bas de gamme! Histoire décousue et inintéressante! Je déconseille,..
    JAY DBZ
    JAY DBZ

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 septembre 2024
    Pour un film d' "horreur" on s'ennuient du début à la fin rien n'est intrigant , le film n'est pas la pour quelqu'un qui recherche le frisson mais plutôt l'ennui ou un moyen rapide de s'endormir
    Keysbricia
    Keysbricia

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 6 septembre 2024
    La vie ce film c'est une Tuerie !! L'histoire de Ebony vraiment c'est très fascinant..la manière dont elle a prier a la fin vraiment très puissant..je vous le conseille si vous l'avez pas encore vue c'est vraiment inspirant comme histoire !!
    Claire D
    Claire D

    5 abonnés 120 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 6 septembre 2024
    Un bon film d'épouvante qui se regarde fecilement. Il n'y en a ni trop ni trop peu. Sans véritable surprise et on se laisse prendre dans l'histoire.
    22sur20
    22sur20

    14 abonnés 99 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 septembre 2024
    THE DELIVERANCE : 8,5/20

    « The Deliverance », énième film inspiré d’une énième « histoire vraie » de démons, maison hantée et possession.

    Netflix aurait pu nous offrir quelque chose de plus original, franchement…
    Ils sont allés déterrer un fait divers de 2011 dont tout le monde s’en cogne, pour nous livrer un plagiat de L’Exorciste version Wish.

    En effet, bien que le film suive bêtement la trame principale de cette histoire vraie, il essaie de reprendre tous les codes de ce qui se fait « de mieux » en matière de films de démons, sans jamais y parvenir.

    On sent que le film a été fait à la va-vite, avec un faible budget qui a principalement servi à payer les deux acteurs principaux (Glenn Close et Ebony Jackson) et un peu Caleb McLaughlin de Stranger Things pour attirer les jeunes.
    Il ne restait plus beaucoup d’oseille pour éviter les faux raccords en post-production (#birthdaygirl à l’endroit et à l’envers dans la même scène) et pour rendre le tout vraiment attractif.

    Ce qui aurait été malin, c’est de reprendre cette histoire vraie pour la réadapter en thriller purement psychologique/horrifique, mettant en évidence les troubles de la mère (alcoolisme, agressivité, maltraitance), avec un plot twist final impactant qui aurait souligné sa culpabilité et sa responsabilité.
    Mais faut pas trop en demander non plus…

    Au final, on se retrouve avec un film médiocre qui se laisse quand même regarder, mais qui se perdra dans la masse de tous ces navets démoniaques.

    La seule délivrance de ce film se trouvera à l’apparition du générique de fin.

    Plus de note sur insta : 22sur20
    Aefkah
    Aefkah

    7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 septembre 2024
    Sans intérêt a part l actrice principale..

    Effet spéciaux des années 2000 et une histoire basique sans rien de fou.
    1h30 de blabla pour rien..
    Fuyez
    Wiliana Roy
    Wiliana Roy

    1 critique Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 septembre 2024
    Hum j’ai déjà eu pire horreur que celui ci franchement il doivent faire mieux trop d’erreurs déjà on c’est pas comment ils ont fais pour atterrir dans cette maison
    Sebastien Maurice
    Sebastien Maurice

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 4 septembre 2024
    Rien a voir avec l'histoire qui est réellement arrivé à cette famille dommage. A force de tout vouloir modifier on en perd l'essence même de l'histoire
    RedArrow
    RedArrow

    1 615 abonnés 1 520 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 septembre 2024
    On y a cru! Avec son bagage bien installé dans le registre dramatique du cinéma américain, voir Lee Daniels s'aventurer pour la première fois vers l'horreur, et plus particulièrement le film d'exorcisme souvent bien trop figé dans ses stéréotypes éculés, pouvait signifier une approche plus profonde et sociale du genre. Et, en cela, le cinéaste se montre plutôt à la hauteur de cette espérance durant une bonne heure de "The Deliverance".

    En effet, bien loin de la sacro-sainte famille US blanche déménageant dans un joli pavillon synonyme de foire aux démons, le film nous installe d'emblée dans le quotidien d'un enfer bien humain. Celui d'Ebony, jeune matriarche alcoolique et ex-détenue, devant gérer malgré une situation financière précaire l'installation de ses trois enfants et de sa propre mère sous un nouveau toit plein de mauvaises surprises.
    Le mal se fait évidemment sentir par petits à-coups paranormaux mais, accroché aux fondations qui entourent cette famille en perdition, il se nourrit avant tout de la détresse de ses habitants sur laquelle Lee Daniels préfère d'abord se focaliser. Entre le trou noir de l'alcoolisme et les éclats de violence qui y sont consécutifs d'Ebony, la terrible maladie que sa mère tente d'étouffer en s'accrochant aux artifices de sa jeunesse et, surtout les non-dits pourrissant inextricablement l'amour que l'on sent pourtant bien présent entre ses trois générations, les maux de chacun sont en effet vus ici comme une source intarissable de "nourriture" à celui bien plus obscur et ancestral qui grandit dans l'ombre de leur vie commune, où le désespoir ne cesse de l'emporter face à leurs difficultés matérielles et émotionnelles.

    Si, dans cette routine grandissante de la tragédie familiale, Lee Daniels ne révolutionne pas le cinéma où il a fait ses preuves, il faut bien avouer que sa maîtrise de ce contexte de famille métissée, en plein quartier à dominante afro-américaine laissée à son sort, permet à "The Deliverance" de délivrer les prémices d'un film de possession à la tonalité quelque peu différente, concentré sur des personnages défaillants forts et pour lesquels le duo Andra Day/Glenn Close livre des prestations remarquables (la deuxième délaissant de plus en plus la couverture de son apparence face à sa prise de conscience de la situation y est saisissante).

    Malheureusement, lorsqu'à mi-parcours, "The Deliverance" va laisser passer le surnaturel au premier plan (avec pour prétexte de confronter Ebony à sa part d'ombre et ses causalités), Lee Daniels va complètement lâcher les ballons dans le grandguignolesque le plus éculé du film d'exorcisme.
    Craquages d'os dans tous les sens, eau bénite qui coule à flots, visages démoniaques garnis de dents pointues et d'yeux noirs, lévitations en position christique, éructations de remarques perfides, gamin collé au plafond, séance d'exorcisme qui tourne bien entendu très mal... Lee Daniels passe en revue toute la panoplie du registre en pensant sans doute faire d'une qualité sa générosité d'effets en la matière mais, n'ayant rien de plus à délivrer en termes d'originalité visuelle ou de discours dramatique qui y serait soudainement transcendé, "The Deliverance" se mue en chemin de croix interminable pour qui est un tant soit peu familier du genre et réduit même une bonne partie de ses développements précédents à un prétexte pour ce déballage imaginé comme spectaculaire mais à la portée en réalité terriblement vaine. L'enfer d'assister un énième film d'exorcisme devient ici le nôtre et frôle même le sentiment de damnation éternelle tant cette dernière partie semble s'étirer au-delà du raisonnable. On finit par remercier d'en être à notre tour délivré à l'apparition du générique du fin. Vraiment dommage car la partie la plus tristement réaliste de "The Deliverance" méritait mieux que ça.
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