Merci Netflix. Encore une fois heureusement que je ne m'arrête pas aux multiples commentaires négatifs de cette production. Un très bon nouveau film d'exorcisme qui sort du genre qu'on a l'habitude de voir. l'histoire est très bonne ainsi que les acteurs et les effets spéciaux. J'en ai même eu quelques frissons, ça fait plaisir...
Tout n’est pas parfait dans ce film . Mais il y a une réelle sincérité dans l’aspect drame familial . Le côté fantastique est presque artificiel au final . Un film certes inspiré de faits réels ( comme souvent dans le côté marketing ) mais qui au final se serait suffit amplement à lui même dans son contexte social .
on se demande tout le long du métrage ce qui relève de l'imagination de ce qui a été potentiellement vécu par la famille Ammons. Dans un environnement chaotique, on assiste d'abord à un long et laborieux drame domestique où une mère doit faire face à ses propres démons. l'aspect plus horrifique est ensuite mal amené et son traitement relativement nanardesque. Une énième variation de possession, sans frisson ni originalité, à moins que ce soit d'y retrouver G.Close...
Un exorciste-like dans une famille Afro-américaine. Lee Daniels n’est clairement pas william friedkin et il le prouve sur ce film qui n’a aucune réelle saveur. A part singer des films du genre déjà vus 1000 fois, il n’y a finalement rien à en tirer. En voyant sur internet des gens faisant soi-disant des pétitions pour faire retirer The Deliverance de la plateforme Netflix car, je cite « c’est trop effrayant », je me demande une fois de plus dans quel monde on vit. Certainement celui de l’inculture du cinéma. La scène finale est éblouissante de ridicule, j’ai ri, honnêtement j’ai ri tellement c’était navrant. Passez votre chemin.
Quel dommage que le nouveau film de Lee Daniels se termine par un dernier acte de la sorte... Pas qu’il soit véritablement raté (quoique...) mais il dénote totalement avec les partis pris choisis auparavant. Le réalisateur de la tragédie « Precious » ou de la biographie « Le Majordome » signe ici un drame fantastique et horrifique changeant un petit peu des contextes réalistes ou historiques qui ont fait son succès. Il a cependant beaucoup de mal à marier les genres avec ce premier long-métrage de plateforme, en l’occurrence pour Netflix, qui aime à s’accaparer des auteurs et des cinéastes indépendants dans le but de se donner une caution plus prestigieuse pour le meilleur (« Marriage Story » de Noah Baumbach) mais aussi le pire (l’horrible « Je veux juste en finir » de Charlie Kaufman). Avec « The Deliverance » on est plutôt dans le haut du panier de la firme au N rouge quand même mais il est clair que si le versant drame familial se baignant dans le surnaturel est parfaitement maîtrisé et augure du meilleur, dès lors que l’horreur pure pointe le bout de son nez, c’est la bérézina. Ce mélange de film indépendant certifié prestige et de film de genre n’est donc pas le meilleur film de son auteur même s’il s’en est fallu de peu pour que ce soit une belle petite réussite.
C’est donc sur la ligne finale que tout part à vau-l’eau. Ou que le film prend une tonalité qui ne lui va pas et annihile presque tout le bon qu’il nous a été donné de voir l’heure précédente. Daniels semble ne pas savoir quoi faire du cahier des charges horrifique de son sujet et part dans un grand-guignol certes impressionnant (maquillages et effets plutôt réussis) mais qui tourne presque au ridicule et au hors sujet pour dire de satisfaire vraisemblablement les afficionados de gore et de démons de la plateforme. En effet, la rupture de ton avec le reste du long-métrage est bien trop brusque et mal amenée et ce genre de séquence mêlant exorcisme et possession a déjà été bien trop vu sur les écrans, notamment récemment. Et souvent en mieux, même si les maquillages et les effets sont tout à fait honorables et procurent quelques frissons modérés. Alors certes, c’était un peu le sujet du film, censé être inspiré de faits réels, mais il y avait tellement de manière différente de boucler son film quand on le débute sur un mode sensible et minimaliste comme il l’a fait, au plus près des personnages. Comme, par exemple, celle de continuer sur des petites touches de fantastiques suggérées comme c’était le cas jusque-là. Quant à la morale religieuse finale (et un peu bigote) qui voit Dieu et la Foi sauver cette famille, elle ne plaira pas à tout le monde par son côté cul-bénie et prosélyte.
Bref, on est un peu interpellé, étonné et surtout déçu par une telle manière d’achever une œuvre qui partait si bien. Alors tentons de nous concentrer sur les trois quarts du film qui fonctionnent. Et même très bien. Daniels nous présente une famille dysfonctionnelle afro-américaine (père absent en Irak, mère alcoolique, grand-mère cancéreuse et ancienne toxicomane qui trouve le salut par la religion ainsi que trois enfants paumés). Le portrait est juste et les problématiques sociales inhérentes à leur milieu sont parfaitement traitées. Le script amène le sujet des violences sur les enfants de manière très intelligente. De plus, le casting est aux petits oignons et Glenn Close livre encore une prestation que certains trouveront peut-être un peu extrême mais qui n’est pas si éloignée d’une certaine réalité américaine. « The Deliverance » et ses petites touches de fantastique versées dans ce contexte familial et social difficile débute donc avec brio. On rêve donc d’une fin alternative dans la même lignée, plus réservée et sobre, loin des excès clichés des films d’horreur tendance langes anciennes, eau bénite et démon aux yeux noirs qui jure. Surtout qu’hormis une ou deux séquences (celle de l’hôpital ou celle de la voiture), on n’a pas vraiment peur... Dommage, encore une fois.
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"The Délivrance laisse à désirer avec une intrigue qui manque de profondeur et des personnages peu développés. Malgré quelques moments intéressants, le film ne parvient pas à captiver et laisse un sentiment de déception. Un scénario plus travaillé et une meilleure direction auraient pu améliorer l'expérience."
Vraiment un bon film de la part de Netflix. Le scénario se met lentement en place mais on y voit dans la première partie du film une famille atypique très bien joué par les divers acteurs (dont la mère « violente »). La fin qui part en exorcisme est différente de ce que j’ai pu voir jusqu’à maintenant dans ce type de film. Il sort du lot et je vous le conseille.
Le film en lui même n'est pas brillant. Histoire mal ficelée, traine en longueur, effets spéciaux au rabais en bref, vite vu , vite oublié. Le seul point positif est la prestation de 2 grandes actrices GLEN CLOSE et MO'NIQUE et surtout la révélation de ANDRA DAY qui est magistrale. Elle mériterait un oscar pour son interprétation, quelle profondeur dans son personnage. J'aimerais la voir dans un autre registre plus adapté où elle pourra laissé exprimer tout son talent. Hâte de la voir dans d'autres rôle...
J'ai trouvé le film excellent, je ne comprends pas toutes les critiques. L'histoire de la famille était super intéressante et l'horreur était bien présente ! J'ai adoré ! Un film ne m'a rarement fait aussi peur ! On ne rentre pas dans les clichés du film d'horreur. Ca change !
« The Deliverance », énième film inspiré d’une énième « histoire vraie » de démons, maison hantée et possession.
Netflix aurait pu nous offrir quelque chose de plus original, franchement… Ils sont allés déterrer un fait divers de 2011 dont tout le monde s’en cogne, pour nous livrer un plagiat de L’Exorciste version Wish.
En effet, bien que le film suive bêtement la trame principale de cette histoire vraie, il essaie de reprendre tous les codes de ce qui se fait « de mieux » en matière de films de démons, sans jamais y parvenir.
On sent que le film a été fait à la va-vite, avec un faible budget qui a principalement servi à payer les deux acteurs principaux (Glenn Close et Ebony Jackson) et un peu Caleb McLaughlin de Stranger Things pour attirer les jeunes. Il ne restait plus beaucoup d’oseille pour éviter les faux raccords en post-production (#birthdaygirl à l’endroit et à l’envers dans la même scène) et pour rendre le tout vraiment attractif.
Ce qui aurait été malin, c’est de reprendre cette histoire vraie pour la réadapter en thriller purement psychologique/horrifique, mettant en évidence les troubles de la mère (alcoolisme, agressivité, maltraitance), avec un plot twist final impactant qui aurait souligné sa culpabilité et sa responsabilité. Mais faut pas trop en demander non plus…
Au final, on se retrouve avec un film médiocre qui se laisse quand même regarder, mais qui se perdra dans la masse de tous ces navets démoniaques.
La seule délivrance de ce film se trouvera à l’apparition du générique de fin.
La vie ce film c'est une Tuerie !! L'histoire de Ebony vraiment c'est très fascinant..la manière dont elle a prier a la fin vraiment très puissant..je vous le conseille si vous l'avez pas encore vue c'est vraiment inspirant comme histoire !!
Ça commence super bien. On s'accroche aux persos, ça joue plutôt bien, l'histoire donne envie de voir la suite.. mais ça part vraiment en cacahouète, spoiler: démon qui possede un enfant comme d'habitud , les effets spéciaux sont catastrophique.. vraiment dommage
malgré des longueurs, le film est bien fait avec des acteurs impliqués. Mention particulière pour Glenn Close et le jeunne acteur qui interprète André.