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Votre avis sur Free State Of Jones ?
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Cinéphiles 44
Il est désormais de paires de parler de l’esclavage et de la guerre de Sécession dans le cinéma américain. Pourtant Free State of Jones s’offre un scénario moins prévisible qu’il n’y parait. Matthew Mc Conaughey joue ici un soldat qui déserte le front pour en rejoindre d’autres au sud-est du Mississippi. C’est alors qu’il va prendre la tête d’un groupe d’esclaves qui se battront pour l’égalité des droits entre les citoyens, excluant toute discrimination raciale. Construit en deux parties, la première souffre d’un académisme trop convenable sur l’histoire de cette guerre. Mais la suite devient un peu plus intime, en exposant la difficulté de mener à bien un tel combat. Malheureusement le montage semble mal découpé et c’est plutôt la confusion que l’émotion qui traverse nos esprits. On se demande aussi pourquoi Gay Ross n’est pas allé plus loin dans la fable politique. Free State of Jones semble être en conclusion, un document très pédagogique mais dont la construction n’aide pas à le rendre poignant.
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Newton Knight est un personnage méconnue de l’histoire américaine, du moins en France (il suffit de voir sa fiche wikipédia assez mince d’ailleurs). Déserteur de l’armée sudiste, il a dirigé un groupe de rebelles composés d’esclaves en fuite, de fermiers et déserteurs luttant contre la spoliation de l’armée sudiste. Il créa l'Etat de Jones où les hommes sont libres et égaux quel que soit la couleur, non sans mal. C’est donc l’histoire de Newton Knight que nous conte le film « Free state of John », une histoire très intéressante sur ce personnage interprété par Matthew McConaughey (toujours excellent), un humaniste aux idées d’avant-garde pour l’époque, encore plus pour un sudiste. Ce film sur la paix et la lutte contre l’esclavage est très juste sur les raisons des guerres. En parallèle, on suit le procès de son descendant dans les années 50 accusé d’avoir violé la loi interdisant le mariage mixte, on lui reproche d’avoir du sang noir. D'une réalisation assez classique, ce film porté par Matthew McConaughey reste très intéressant et assez pédagogique sur la sombre histoire des USA.
4,8 - un film retraçant un siècle d'histoire sur la période de la guerre de sécession & l'esclavage aux États Unis. Matt Mc Conaughay une fois encore exceptionnel !.. Mise en scène subtile et photographie magnifique. L'histoire de grands Hommes comme l'on en manque cruellement de nos jours!...
Les 1eres minutes me firent un peu peut peur. Un enchaînement de scènes sanguinolentes (pas loin d'être gores pour certaines), m'ont laissé craindre que Free State of Jones face passer l'aspect guerrier et violent avant tout le reste, mais heureusement il n'en fût rien. Rapidement le rythme retombe et devient volontairement lent. Le contexte historique, discret au démarrage prend peu à peu le devant de la scène pour devenir l'élément principal du film. Et c'est là que Free State of Jones est fort, il nous sert un cours d'histoire américaine sans en avoir l'air. Le tout renforcé par des sauts dans les Etats-Unis des années 30's-40's, qui nous semblant peu utiles au début, prennent tout leur intérêt à mesure que le film avance. Avec ces parallèles réguliers (et toujours intelligemment fait) Free State of Jones incite le spectateur à réfléchir sur l'évolution de l'histoire et les combats nécessaires pour la faire progresser.
Combats menés d'une main de maître par un Matthew McConaughey débordant de charisme (l'interprétation des acteurs au global est d'un bon niveau de toute manière). Le spectateur s'attache très vite au groupe qu'il mène et s'investit émotionnellement dans les combats menés par cette milice, l'envie de les voir gagner est réelle et permanente. Combats qui viennent régulièrement rompre le rythme lent et ce toujours dans un bon timing.
Car malheureusement Free State of Jones confond parfois lenteur (qui, en tant que fan inconditionnel de Sergio Leone est souvent gage de qualité pou moi) et longueur. Plusieurs moments du film traînent un peu trop et mis bout à bout on pourrait facilement s'économiser 30 minutes, ça fait beaucoup... Ce vilain défaut fait que la tension qui pourrait, à certains moments, être extrême (celle qui vous scotche littéralement sur votre siège) ne le devient jamais. Cetraines scènes potentiellement très puissantes perdent alors une partie de leur saveur.
Et c'est ce qui empêche Free State of Jones de se hisser au rang des très bons films.
Mais profondément humaniste, intelligent et instructif sur le fond, plutôt réussi sur la forme ce film mérite largement qu'on prenne le temps d'aller le voir.
Combats menés d'une main de maître par un Matthew McConaughey débordant de charisme (l'interprétation des acteurs au global est d'un bon niveau de toute manière). Le spectateur s'attache très vite au groupe qu'il mène et s'investit émotionnellement dans les combats menés par cette milice, l'envie de les voir gagner est réelle et permanente. Combats qui viennent régulièrement rompre le rythme lent et ce toujours dans un bon timing.
Car malheureusement Free State of Jones confond parfois lenteur (qui, en tant que fan inconditionnel de Sergio Leone est souvent gage de qualité pou moi) et longueur. Plusieurs moments du film traînent un peu trop et mis bout à bout on pourrait facilement s'économiser 30 minutes, ça fait beaucoup... Ce vilain défaut fait que la tension qui pourrait, à certains moments, être extrême (celle qui vous scotche littéralement sur votre siège) ne le devient jamais. Cetraines scènes potentiellement très puissantes perdent alors une partie de leur saveur.
Et c'est ce qui empêche Free State of Jones de se hisser au rang des très bons films.
Mais profondément humaniste, intelligent et instructif sur le fond, plutôt réussi sur la forme ce film mérite largement qu'on prenne le temps d'aller le voir.
A mi-chemin entre “12 ans d’esclavage” et “The patriot”, “Free states of Jones” est un joli film d’époque. Magistralement interprété par Matthew Mc Conaughey, le long métrage de Gary Ross manque de liberté et ne parvient pas à se hisser au dessus de la mêlée des films du genre.
Peut-être parce que le choix de la période filmée est un peu trop long. Peut-être parce que la double intrigue (se passant à 80 ans d’intervalle) saccade le rythme. Peut-être parce que le travail de post-production n’a pas été assez profond. Difficile d’identifier la cause mais ce qui est certain, c’est que s’il ne fait qu’une bonne heure quarante, la vision semble durer le double.
La première partie, très intéressante, suffisait à elle-même. Basée sur des faits réels, l’histoire a de quoi surprendre ; présentant un pan de la Guerre de Sécession oublié de tous, elle met en exergue les abus de pouvoir de l’armée, le pillage honteux des troupes auprès des villageois du coin, la traque des déserteurs et le racisme outrancier de l’époque. Dès lors, Newton Knight décide de cesser de se battre dans une guerre qui n’est pas la sienne (il ne possède pas de grandes terres et n’emploie pas d’esclaves) et de défendre les fermiers du coin, victimes de l’armée des confédérés. Pour mener à bien son combat, il gagne la sympathie d’anciens esclaves, de paysans ou d’autres déserteurs et ensemble, ils constitueront un groupe bien plus déterminé que ceux qui les avaient enrôlés. Le message est fort, le combat honorable. Le racisme, tantôt insidieux tantôt ouvertement proclamé (malheureusement toujours présent dans le pays de l’Oncle Sam), écoeure et montre qu’il a toujours fait partie de l’Histoire, aussi méprisable soit-il !
En tête du groupe (et du casting), l’extraordinaire Matthew Mc Conaughey ! Si l’acteur n’a plus à prouver qu’il a tout des Grands, il nous offre à nouveau une prestation incroyable. Totalement impliqué, il devient un Newton Knight plus vrai que nature ! Il faut dire que le comédien n’a jamais hésité à se transformer pour les besoins de ses rôles. Ici encore, on le voit aminci, barbu, marqué par les épreuves endurées. Véritable caméléon, il réalise à nouveau un exercice de style impressionnant. Dans sa suite, on trouve une longue série de comédiens et de figurants (on a pu lire qu’ils avaient été près de 7000 à postuler pour le film) parmi lesquels Mahershala Ali (Boggs dans « Hunger Games » du même réalisateur, « L’étrange histoire de Benjamin Button ») et Gugu Mbatha-Raw (qui tenait le rôle principal dans le film « Belle »).
Les décors (installés en Louisiane), les costumes, l’atmosphère du film sont au service de ces prestations mémorables au contraire d’une approche scénaristique qui semble parfois bancale. Gary Ross n’en est pourtant pas à son premier coup d’essai puisqu’il signe ici sa quatrième réalisation (« Pleasantville», « Seabiscuit » et « Hunger Games » sont de lui) : ce genre lui réussit-il moins ? On se pose véritablement la question… Toujours est-il que si nous avons apprécié découvrir ces faits historiques méconnus et la qualité d’interprétation de ses acteurs, « Free States of Jones » risque de tomber dans l’oubli dans nos souvenirs cinématographiques bien plus vite qu’on ne le pensait…
Peut-être parce que le choix de la période filmée est un peu trop long. Peut-être parce que la double intrigue (se passant à 80 ans d’intervalle) saccade le rythme. Peut-être parce que le travail de post-production n’a pas été assez profond. Difficile d’identifier la cause mais ce qui est certain, c’est que s’il ne fait qu’une bonne heure quarante, la vision semble durer le double.
La première partie, très intéressante, suffisait à elle-même. Basée sur des faits réels, l’histoire a de quoi surprendre ; présentant un pan de la Guerre de Sécession oublié de tous, elle met en exergue les abus de pouvoir de l’armée, le pillage honteux des troupes auprès des villageois du coin, la traque des déserteurs et le racisme outrancier de l’époque. Dès lors, Newton Knight décide de cesser de se battre dans une guerre qui n’est pas la sienne (il ne possède pas de grandes terres et n’emploie pas d’esclaves) et de défendre les fermiers du coin, victimes de l’armée des confédérés. Pour mener à bien son combat, il gagne la sympathie d’anciens esclaves, de paysans ou d’autres déserteurs et ensemble, ils constitueront un groupe bien plus déterminé que ceux qui les avaient enrôlés. Le message est fort, le combat honorable. Le racisme, tantôt insidieux tantôt ouvertement proclamé (malheureusement toujours présent dans le pays de l’Oncle Sam), écoeure et montre qu’il a toujours fait partie de l’Histoire, aussi méprisable soit-il !
En tête du groupe (et du casting), l’extraordinaire Matthew Mc Conaughey ! Si l’acteur n’a plus à prouver qu’il a tout des Grands, il nous offre à nouveau une prestation incroyable. Totalement impliqué, il devient un Newton Knight plus vrai que nature ! Il faut dire que le comédien n’a jamais hésité à se transformer pour les besoins de ses rôles. Ici encore, on le voit aminci, barbu, marqué par les épreuves endurées. Véritable caméléon, il réalise à nouveau un exercice de style impressionnant. Dans sa suite, on trouve une longue série de comédiens et de figurants (on a pu lire qu’ils avaient été près de 7000 à postuler pour le film) parmi lesquels Mahershala Ali (Boggs dans « Hunger Games » du même réalisateur, « L’étrange histoire de Benjamin Button ») et Gugu Mbatha-Raw (qui tenait le rôle principal dans le film « Belle »).
Les décors (installés en Louisiane), les costumes, l’atmosphère du film sont au service de ces prestations mémorables au contraire d’une approche scénaristique qui semble parfois bancale. Gary Ross n’en est pourtant pas à son premier coup d’essai puisqu’il signe ici sa quatrième réalisation (« Pleasantville», « Seabiscuit » et « Hunger Games » sont de lui) : ce genre lui réussit-il moins ? On se pose véritablement la question… Toujours est-il que si nous avons apprécié découvrir ces faits historiques méconnus et la qualité d’interprétation de ses acteurs, « Free States of Jones » risque de tomber dans l’oubli dans nos souvenirs cinématographiques bien plus vite qu’on ne le pensait…
Un Matthew MrConaughey au sommet de son art pour un biopic plongeant dans une ambiance terrible, duquel un sentiment en sort très agréable, à voir.
trop trop bien très bon acteur très bon film à voir ..je meu suis régaler et sur tous très belle histoire. .. de plus une histoire vraie. ..
Benito G
Ce sera tout d'abord une oeuvre sans concession vis à vis de cette arme qu'utilise si bien les plus riches : la guerre. Boucherie impitoyable et sans concession (parfois inutilement). Puis ce sera l'histoire d'un déserteur qui, dans l'une des périodes les plus sombres... (la Guerre de Sécession et l'émancipation des noirs...). Il va en quelques sorte devenir le robin des bois des Noirs^^. Cette oeuvre est une déchirante ôde à la désertion face à l'injustice et tout ce qui en a découlé (les méthodes, les décisions...). Mais l'histoire ne s'arréte pas là, car le film est d'une incroyable densité : en créant ce film, le réalisateur peu connu nous montre un révolutionnaire qui a de l'idée dèrrière la tête. Et ce personnage, son histoire, sont toujours d'une grande actualité : y évoquant des sujets toujours plus ou moins d'actualité. Et ceci débouche sur une autre guerre, pour la liberté cette fois, et l'égalité. Une façon radicalement différente de regarder l'histoire américaine, cette période en particulier, mis en exergue par ces rares, allucinants mais très fins aller-retours dans le futur (années 50) pour nous rappeler que le combat pour l'égalité est extrêmemement long et le film nous offre un vrai hommage qui même si pour moi n'est pas spécialement mon genre de film ; m'a plutôt convaincu. LEs amateurs devraient apprécier.
L'Info Tout Court
Incarné par un Matthew McConaughey toujours au top (et accentué), Free States of Jones nous parle de liberté, d’égalité, de fraternité… mais au Sud des États-Unis en pleine Guerre de Sécession. Conflits de races, luttes sociales, le film de Gary Ross nous montre un aspect méconnu de l’Histoire américaine avec cette confrontation inévitable entre les principes utopistes et la dure réalité.
Dans les années 1860, un fermier du Mississippi (Mattew Mc Conaughey) prend la tête d'une bande de déserteurs et d'esclaves pour lutter contre son propre camp. Le cinéaste, Gary Ross, a voulu retracer l'histoire véritable de Newton Knight déjà adaptée au cinéma en 1948 dans "Le sang de la terre". Certes , le cinéaste nous éclaire sur une partie méconnue de la guerre de Sécession mais le rythme est lent, pas tant par la durée du film (2h19), mais plutôt par la mise en scène que l'on pourrait qualifier de "scolaire". C'est assez instructif mais aussi ennuyeux par moments même si Mattew Mc Conaughey est excellent, comme toujours. Un ensemble assez décevant pour ce film dont j'attendais plus.
FREE STATE OF JONES, par le réalisateur d'HUNGER GAMES, est un film d'histoire qui mérite d'être dans les programmes collèges et lycées. Tout en étant émouvant, le film nous plonge dans la guerre de sécession au travers d'une révolte. Tout de même, le film possède un rythme assez lent. Par conséquent, les 2H15 de film, ne passe pas inaperçu. 14/20.
Un bon drame historique maitrisé par d'excellents acteurs, l'environnement et l'immersion dans l'époque sont soignées et des scènes chocs. Dommage que le rythme est trop lent et les flashback ne sont pas des plus subtils. A découvrir ! 3.5/5 !
1862. Un homme ayant déserté l'armée pendant la guerre de Sécession va se retrouver à la tête d'une unité de rebelles composée d'esclaves en fuite, de paysans ainsi que d'autres réfractaires comme lui à cette bataille. C'est le début d'une lutte pour la liberté et l'égalité des hommes...
La première partie du film (de 1862 à 1865) est vraiment prenante avec de l'action, du suspens et de l'émotion.
J'ai trouvé par contre toute la seconde moitié (l'après guerre) beaucoup moins convaincante avec des longueurs, un scénario bancal et peu efficace, on a vraiment l'impression que le réalisateur s'est un peu perdu à vouloir aborder trop de sujets à la fois après ce conflit fratricide.
C'est dommage car cela laisse un gros goût d'inachevé dans la bouche en sortant de la salle...
La première partie du film (de 1862 à 1865) est vraiment prenante avec de l'action, du suspens et de l'émotion.
J'ai trouvé par contre toute la seconde moitié (l'après guerre) beaucoup moins convaincante avec des longueurs, un scénario bancal et peu efficace, on a vraiment l'impression que le réalisateur s'est un peu perdu à vouloir aborder trop de sujets à la fois après ce conflit fratricide.
C'est dommage car cela laisse un gros goût d'inachevé dans la bouche en sortant de la salle...
Porté par l'interprétation saisissante de Matthew McConaughey, ce film retrace avec un réalisme convaincant cet épisode méconnu de la guerre de sécession. Le scénario et la réalisation sont en revanche trop scolaires pour donner au film ce souffle épique qui lui manque.
Vanessa L
Free State of Jones se passe sur plusieurs années, le film commence au moment de la Guerre de Sécession et continue après la fin de celle-ci et plusieurs années après. L’histoire de Newton Knight est racontée parce que son descendant est accusé d’avoir du sang noir et de s’être marié avec une blanche ce qui est interdit par la loi à cette époque. Son histoire n’est pas commune et on peut dire qu’il s’est battu pour combattre cette injustice sur les esclaves mais également les plus pauvres qui se faisait réquisitionner des biens et de la nourriture pour l’armée, les laissant parfois sans rien ! Newton est d’abord soldat, il récupère les blessés et les porte se faire soigner, après la mort d’un jeune, il pète un plomb et décider d’arrêter. Il abandonne l’armée et se bat pour défendre les plus pauvres de son voisinage qui se font piller. Finalement, recherché, il se réfugie dans les marais avec des esclaves en fuite et prend leur parti et décide de lutter pour eux et les autres ! C’est une belle leçon de vie et surtout cela montre à quel point la vie n’était pas facile à cette époque. D’ailleurs, c’est quand même une bonne blague les lois faites après la Guerre de Sécession, certes cela affranchis les esclaves mais finalement cela ne change rien pour eux … Il faudra attendre plusieurs années pour que ce soit le cas ! Matthew McConaughey montre à quel point il est un talentueux acteur grâce encore à un film fort !
En résumé, Free State of Jones est un film fort qui nous apprend la tolérance. Il nous montre les ravages de l’esclavage et la vie impossible de ces esclaves qui en ont baver pendant des années même après la guerre de sécession. Il faudra attendre plusieurs années pour que cela cesse et que les esclaves deviennent vraiment libres. C’est une belle leçon que ce film nous donne. Il nous montre comment des hommes ce sont battus pour le droit des esclaves et des droits qui ne sont pas équitables entre les blancs et les noirs. C’est un film vraiment à voir qui sort le 6 février en Blu-Ray et DVD chez Metropolitan Films !
En résumé, Free State of Jones est un film fort qui nous apprend la tolérance. Il nous montre les ravages de l’esclavage et la vie impossible de ces esclaves qui en ont baver pendant des années même après la guerre de sécession. Il faudra attendre plusieurs années pour que cela cesse et que les esclaves deviennent vraiment libres. C’est une belle leçon que ce film nous donne. Il nous montre comment des hommes ce sont battus pour le droit des esclaves et des droits qui ne sont pas équitables entre les blancs et les noirs. C’est un film vraiment à voir qui sort le 6 février en Blu-Ray et DVD chez Metropolitan Films !
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