AlloCiné
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Votre avis sur Downsizing ?
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Moyen voir décevant. Il y avait clairement moyen de faire mieux avec ce film en rajoutant un peu d'humour. Finalement on voit assez peu à l'écran le changement d’échelle, seulement quelques plans. Et pour un film sérieux, j'imagine qu'un petit mammifère, une tempête ou un poisson qui saute, pourraient détruire la colonie ou le bateau d'un seul coup. Et les classes sociales dans un monde miniature, c'est mal exploité. La première 1/2 heure est potable mais le reste insuffisant. Quand je pense aux autres films du genre comme Toy story, Fourmiz ou les Minimoys, ils sont meilleurs
Un mot : gâche pourtant prouver être bien mais une déception totale après visionnage. Plus le film avance plus il devient mauvais c'est vraiment dommage car le début était vraiment bien.
iceman7582
Un film au sujet intéressant, pas de doute là dessus. Malheureusement, le propos est traité de façon trop lisse selon moi. On aurait préféré une critique plus acerbe pour que le film ai un impact plus marquant. Le casting est bon. Une petite déception.
Ce film a un gros défaut : le sujet est trop intéressant.
Là vous vous dîtes : "Quoi ? Mais l'auteur de cet avis s'est rétrécit et a fait une bataille de boules de cocaïne ou quoi ?"
Non, vraiment, c'est son principal défaut et ça explique pourquoi il a de si mauvaises notes : la plupart des gens restent sur leur faim. On a un sujet passionnant, on se pose plein de questions, on a toujours envie d'en voir plus, d'en savoir plus. Pourtant, le film aborde énormément d'angles de vue. Ente la comédie et le drame, il aborde la philosophie, la psychologie, la politique, le social, l'environnement, l'économie, la discrimination, les inégalités, la science et je suis certain qu'il y en a encore.
Honnêtement, je trouve que la réalisation est bien faite car beaucoup de réponses s'apportent de manière discrète : une phrase entendue à la télé, un mec bourré dans un bar, le speech d'un scientifique... On a une soif de réponses et aucun film sur ce sujet n'aurait pu l'étancher. Aucun. On en demande trop au cinéma.
Tel un épisode de Black Mirror, un récit est mis en place à travers un univers riche et inconnu et je trouve ça génial de faire comme si le rétrécissement n'était pas le sujet principal. Ça nous met bien dans la peau du personnage qui s'y habitue, c'est son nouveau quotidien. Est-ce qu'il s'étonne toujours de sa condition après 1 an ? Non, évidemment.
Bon d'accord, le chemin choisi n'est peut-être pas le meilleur à mes yeux. spoiler: C'est assez redondant, les films sur la Terre qui n'est plus habitable à cause des activités humaines et l'Homme qui cherche à survivre.
Le sujet du rétrécissement a énormément de potentiel et c'est assez dommage comme choix. Si le film n'était pas globalement sous-noté, je lui retirerais une demie-étoile pour cela. Mais bon, actuellement je peux me permettre de légèrement surnoter.
Mais ça n'empêche pas que le film relève du génie pour énormément de points, et soit très agréable à regarder, surtout au début !
Là vous vous dîtes : "Quoi ? Mais l'auteur de cet avis s'est rétrécit et a fait une bataille de boules de cocaïne ou quoi ?"
Non, vraiment, c'est son principal défaut et ça explique pourquoi il a de si mauvaises notes : la plupart des gens restent sur leur faim. On a un sujet passionnant, on se pose plein de questions, on a toujours envie d'en voir plus, d'en savoir plus. Pourtant, le film aborde énormément d'angles de vue. Ente la comédie et le drame, il aborde la philosophie, la psychologie, la politique, le social, l'environnement, l'économie, la discrimination, les inégalités, la science et je suis certain qu'il y en a encore.
Honnêtement, je trouve que la réalisation est bien faite car beaucoup de réponses s'apportent de manière discrète : une phrase entendue à la télé, un mec bourré dans un bar, le speech d'un scientifique... On a une soif de réponses et aucun film sur ce sujet n'aurait pu l'étancher. Aucun. On en demande trop au cinéma.
Tel un épisode de Black Mirror, un récit est mis en place à travers un univers riche et inconnu et je trouve ça génial de faire comme si le rétrécissement n'était pas le sujet principal. Ça nous met bien dans la peau du personnage qui s'y habitue, c'est son nouveau quotidien. Est-ce qu'il s'étonne toujours de sa condition après 1 an ? Non, évidemment.
Bon d'accord, le chemin choisi n'est peut-être pas le meilleur à mes yeux. spoiler: C'est assez redondant, les films sur la Terre qui n'est plus habitable à cause des activités humaines et l'Homme qui cherche à survivre.
Le sujet du rétrécissement a énormément de potentiel et c'est assez dommage comme choix. Si le film n'était pas globalement sous-noté, je lui retirerais une demie-étoile pour cela. Mais bon, actuellement je peux me permettre de légèrement surnoter.
Mais ça n'empêche pas que le film relève du génie pour énormément de points, et soit très agréable à regarder, surtout au début !
Fêtons le cinéma
Les deux premiers mouvements de Downsizing, à savoir la découverte de la miniaturisation et l’arrivée de Paul à Leisureland suivie de son acclimatation périlleuse, réussissent à peindre une humanité à bout de souffle qui s’incarne dans le couple dysfonctionnel principal. L’Amérique dépeinte ici se définit par ses apparences, elle se compose d’un culte du bon vieux temps, d’un goût pour le luxe et d’une versatilité individualiste. L’intelligence de son propos est ainsi de déplacer ce constat initial depuis la vie normale vers cette vie en miniature au sein de laquelle resurgissent les mêmes maux ; c’est dire que l’humain, qu’il soit grand ou petit, à taille normale ou variable, ne saurait s’affranchir de ses névroses et d’une tendance certaine à l’autodestruction. Le personnage interprété par Matt Damon fait office de victime : il reçoit la méchanceté du monde avec un sourire bienveillant et une moue légère, il représente l’altruisme poussé jusqu’à son point ultime qu’est la mise entre parenthèses de soi. Or, ce que poursuit Downsizing n’est autre que la valorisation de ce qui, aux yeux du rêve américain, constitue une faiblesse : sa rencontre avec une Vietnamienne martyrisée en raison de son engagement politique, qui l’amène à reproduire une docilité cette fois valorisée, le change en héraut d’une cause plus grande, le gardien d’un savoir-vivre en voie de disparition. Pour autant, cette trajectoire identitaire à retombées collectives tombe peu à peu dans un dolorisme dégradant, qui fait de Paul un imbécile et de celles et ceux qui l’exploitent des bourreaux caricaturaux. Pensons à Audrey, détestable de bout en bout, et à Ngoc Lan Tran, cliché de la femme vietnamienne et son accent à couper au couteau, contrainte de faire des ménages malgré ses multiples prothèses. La gêne prend le pas sur le saugrenu, le ridicule ternit l’esprit ironique que manifestait de prime abord Alexander Payne, tel un Voltaire dans ses contes philosophiques, en cédant à un sentimentalisme impropre et hypocrite, justement dénoncé dans la première partie. Demi-réussite ou demi-ratage, c’est une question de perspective.
Comment l'excellent réalisateur de Sideways a-t-il pu commettre ce nanar épouvantable et interminable de surcroît ? De ses trois parties ( le monde miniature, le tiers monde miniature, l'arche de Noe miniature en Norvège) seule la première maintient l'intérêt avant le naufrage total des deux dernières. Matt Damon s'ennuie, seul Christopher Waltz joue bien. Ratage new age monumental.
Mais que s'est-il passé ? L'équipe en charge du scénario s'est endormie en cours de route ? Le producteur n'a pas relu le script ? L'équipe des effets spéciaux a confié la réalisation à des stagiaires ? Rien ne va ! Le sujet est pourtant bon mais manque de profondeur dans son traitement. Plusieurs situations sont inexplicables, par exemple pourquoi Paul se retrouve soudain en appartement alors qu'il avait une grande maison dans la scène d'avant ? On a l'impression d'un pot pourri de tous les sujets à la mode : le multiracial, les handicapés, l'aide aux personnes en difficulté, l'écologie, la fin du monde, la drogue, les divorces, l'avidité, etc. Et la fin qui tombe sans prévenir. Même les moments émouvants ne déclenchent aucune émotion. Bref, une perte de temps.
Un beau gâchis... Une première partie de film passionnante et originale suivie d une seconde prévisible banale et inintéressante... Dommage
Downsizing" est un film qui aurait pu être passionnant. La première partie pose la problématique de la surpopulation et de la solution proposée: réduire la taille des êtres humains pour pouvoir mieux occuper le territoire.
On y croit grâce à des effets spéciaux maîtrisés.
Et puis la deuxième partie tente en vain de nous expliquer que le plus important n'est pas la taille mais la richesse de la relation.
Et là nous sommes perdus.
Matt Damon tente comme il peut d'incarner ce personnage réduit par la taille mais grand par l'esprit... il tente mais ne réussit jamais.
Le scénario se perd dans la facilité et la mièvrerie.
Autant de moyens pour un résultat aussi médiocre...un grand gâchis.
On y croit grâce à des effets spéciaux maîtrisés.
Et puis la deuxième partie tente en vain de nous expliquer que le plus important n'est pas la taille mais la richesse de la relation.
Et là nous sommes perdus.
Matt Damon tente comme il peut d'incarner ce personnage réduit par la taille mais grand par l'esprit... il tente mais ne réussit jamais.
Le scénario se perd dans la facilité et la mièvrerie.
Autant de moyens pour un résultat aussi médiocre...un grand gâchis.
Après une entame alléchante, le film s'effondre, la faute a un scénario qui cherche a savoir quoi faire de sa bonne idée initiale.
On s'y perd un peu dans ce film. Certes, la bande annonce ne dévoile pas grand chose. Mais on se perd dans cet univers intéressant mais pas assez bien exploité.
Super film. Un peu sceptique quand la bande annonce est sorti. Mais le scénario et l'histoire sont bien ficelées, avec une note légère malgré la gravité de fond de l'histoire. Les acteurs ont tous leurs places et jouent à la perfection.
J’ Adore ce film. Matt Damon est surprenant et joue toujours très bien !
Le film soulève des questions quand à nos modes de vie et nos envies .....
Le film soulève des questions quand à nos modes de vie et nos envies .....
Histoire plutôt amusante. Réduire la grandeur des gens et animaux pour faire de la place sur la planète était une idée folle que beaucoup de gens ont adopté. Les blagues possibles sont innombrables mais ici le traitement est sérieux et les blagues viennent des choix et agissements des gens. On ne guérira pas l'humain de l'humain, qui est une sorte d'animal aux habitudes tenaces.
Pourquoi ce film a t il tant déçu ? La meilleur façon de ne pas l'être est de ne pas avoir d'attentes spéciales. Évidemment avec cette idée de base de scénario il aurait pu y avoir bien mieux et bien pire. Une guerre entre les deux civilisations, des trafics, des dérives de toutes sortes, un problème scientifique... Il aurait pu se passer une infinité de possibilités et le film s'est voulu assez réaliste en nous faisant simplement suivre la vie d'un humain lambda se faisant rapetisser.
La première partie est quand même excellente, le tout parfaitement exécuté, la présentation du projet ainsi que toute la curiosité entraînée. L'épisode de changement de taille sous une bonne musique est splendidement filmé.
Le choc pour Matt est le même que pour nous, une fois à l'intérieur à part la taille, rien ne change, et la taille ne change rien elle même car tous sont petit.
La seconde partie du film qui est une vie banale d'un homme célibataire peu décevoir, spoiler: malgré un superbe épisode de soirée avec un peu de drogue.
mais la troisième partie relève le défi tout en mêlant amour, humour et pensées sur la fin du monde.
Le film nous fait rêver, poser quelques questions, nous montre la folie sectaire des extrémistes écolo qui sont prêt à tout pour leur cause, en affrontant et pensant à la mort c'est la qu'on sait que l'on est en vie et qu'on le voit et faisons attention à ce qui nous entoure (morale essentiel pour vivre).
Mention spéciale à Christopher Waltz qui est épatant et comique dans son petit rôle.
La première partie est quand même excellente, le tout parfaitement exécuté, la présentation du projet ainsi que toute la curiosité entraînée. L'épisode de changement de taille sous une bonne musique est splendidement filmé.
Le choc pour Matt est le même que pour nous, une fois à l'intérieur à part la taille, rien ne change, et la taille ne change rien elle même car tous sont petit.
La seconde partie du film qui est une vie banale d'un homme célibataire peu décevoir, spoiler: malgré un superbe épisode de soirée avec un peu de drogue.
mais la troisième partie relève le défi tout en mêlant amour, humour et pensées sur la fin du monde.
Le film nous fait rêver, poser quelques questions, nous montre la folie sectaire des extrémistes écolo qui sont prêt à tout pour leur cause, en affrontant et pensant à la mort c'est la qu'on sait que l'on est en vie et qu'on le voit et faisons attention à ce qui nous entoure (morale essentiel pour vivre).
Mention spéciale à Christopher Waltz qui est épatant et comique dans son petit rôle.
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