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Kev T
39 abonnés
658 critiques
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3,0
Publiée le 2 septembre 2018
Une histoire que j'ai regardé avec plaisir même si on en ressort pas "grandit" comme on attends. Un peu comme ce héros modeste qui à des aspirations plus haute que sa volonté. Le concept du film est prometteur, il est compréhensible qu'on en attende davantage. Cependant, on ne peut pas reprocher à Alexander Payne (le réalisateur) d'avoir approcher le sujet avec démesure. Ainsi, sans en faire des caisses l'essentiel est intelligible : ce film/fable est une critique de l’american way of life, du consumérisme et une réflexion humaniste et écologique qui ne bascule pas dans le cinéma moralisateur.
Catastrophe sortie de route mur de plein fouet Tout va bien au début ... l’idée est bonne Tout va bien jusqu’à la fin du synopsis...après c’est une succession de nullité La fin finie en eau de boudin Passez votre chemin même pour une soirée détente je pose le cerveau
Incroyable qu'une idée aussi originale ait pu engendrer une bouse pareille. Une bande annonce qui laissait présager à "un des meilleurs film de l'année" et résultat, il s'agit bien de la plus grosse déception cinématographique de la décennie.
Le film manque un peu de rythme mais s'avère assez bon, plutôt intelligent. Attention cependant, comme beaucoup je croyais voir une comédie ce n'est pas vraiment le cas. Plutôt un film social et sur les choix de vie.
Une bonne déception. Autant le début du film est relativement intéressant, jusqu’à approximativement 10 minutes après qu’il est rapetissé, le film 100 sombre dans le néant ou presque à travers la mise en scène et certains jeux d’acteurs qui sont franchement faibles voire très faibles. C’est une véritable déception.
Pas convaincu par ce film, j'en attendais peut-être plus, je l'ai trouvé décevant et long... j'aurai aimé un autre scénario que celui ci et la fin... bof ! Matt Damon correct dans son rôle mais l'histoire a été survolée je trouve qu'il y avait moyen de faire beaucoup mieux. 2,5/5
Ce film est un demi échec. L'histoire de rapetisser une partie de la population pour éviter la perte inévitable de nos ressources du fait d'une population toujours plus nombreuses était pourtant une bonne idée. Ce thème est de plus en plus présent dans les films, on sent bien que l'avenir de l'humanité passera par la solution à ce problème. Ici, la solution de rapetisser des êtres humains fonctionnent à plein régime durant la 1ère moitié du film... et puis... d'une manière incompréhensible, le réalisateur perd complètement le contrôle du scénario qui devient ridicule et ennuyeux. La fin du film est assez classique et c'est dommage car celui-ci aurait pu devenir un chef d’œuvre. Bref : un film à voir pour son originalité, pour quelques passages vraiment bien trouvé... et puis un film ensuite à faire tout petit dans notre maison des souvenirs.
Matt Damon s'attire depuis plusieurs années les remontrances de ses choix de carrière : "Downsizing" est une nouvelle erreur de carrière pour lui. Déjà, de façon personnelle, tant son rôle dans ce film est prévisible, et dont son jeu d'acteur est aussi pâle qu'intéressant. Car Downsizing avait pourtant une idée de faire rétrécir les humains, un scénario typique des années 80-90. Depuis, l'aspect écologique a primé et ce film va plus loin. Plus loin : pas vraiment ! Car, si le début pouvait apparaître comme audacieux, la transformation du personnage en petit format apparaît comme le déclin brutal du film dans la prévisibilité, la banalité. Finalement, l'histoire d'une vie totalement banale, où les mêmes conflits, les mêmes soirées s'y font face. On a donc perdu l'idée de départ d'une meilleure vie pour une même vie mais en 12 centimètres. Même le génial Christoph Waltz dont la carrière continue de patiner ne trouve pas sa place dans ce film. L'histoire de la réfugiée asiatique arrive tout de même à ajouter un peu d'exclusivité dans ce film qui en manque mais ça ne suffit clairement pas, ou même parfois, cela vulgarise le film. Au bilan, ce film est lent, mou et en plus prévisible à fond
Downsizing n'était pas loin de vraiment valoir le coup, ou du moins il l'est presque jusqu’à la fin sa première moitié. En effet, le concept de ne mesurer plus que 12 cm donne lieu a des passages intéressant ou drôle avec des petits humains qui se retrouvent dans d'immense décors et inversement. Ce n'est en plus pas que visuellement que mon intérêt s'est porter puisque le message écologiste et la réaction des personnages face au délire du scénario sont également quelque chose qui apporte du fond et de la matière à cette oeuvre. Malheureusement tout part en sucette après la première moitié, les scénaristes partent dans un délire qui n'a presque plus rien a voir. Exit même le sujet principal du film puisque "Downsizing" ne devient plus qu'une toile de fond. A partie du moment ou Matt Damon rencontre un personnage asiatique ultra caricatural (peut être du a son doublage français qui est limite honteux), plus rien ne me donnait envie d'y porter de l'attention, et voila comment on gâche un film qui partait très bien. Resultat : La moyenne car une petite moitié vaut le coup et Christoph Waltz dans la deuxième aussi. Le reste est pour moi indéchiffrable, trop éloigné du sens qu'avait le début de ce long métrage. Vraiment dommage que messieurs les scénaristes n'ait pas su éviter de mêler alcool et boulot.
Sans queue, ni tête. Sans scénario, ni sans accent vietnamien complètement cliché, et enfin sans relief. Bref c’était long, et nul. Dommage, il y avait du potentiel...
Je pensais voir une fantaisie sci fi et c'est finalelent une fable sociale ! Le film commence en trombes avec un postulat jouissif puis l'effet s'émousse au fil du récit qui tombe dans une satire de la société consumériste avec des accents écolo-hippies. Décevant, et trop long (mais le démocrate Matt Damon est parfait).
Alexander Payne, j'aime beaucoup. Le voir s'attaquer à un film de « science-fiction » avait à la fois quelque chose d'excitant et risqué tant il s'éloigne ici de ce qu'il peut proposer habituellement. Et c'est un peu ce qui arrive... Ou plus précisément : Payne essaie de faire du Payne dans un univers qui ne le permettait pas vraiment. Pourtant, la première partie avait su me séduite : c'est clair, cohérent, placé dans un vrai contexte logique voire sociale, certains rebondissements (merci la bande-annonce pour le spoiler spoiler: concernant sa femme qui renonce juste avant d'être rétrécie ) et situations étant vraiment bien pensées. Mais bon, j'ai presque eu l'impression que « Downsizing » durait une heure. À partir du moment où tous les éléments essentiels sont mis en place (que l'on peut situer au moment de l'interminable soirée chez Dusan), c'était presque terminé, le réalisateur revenant à ses petites habitudes : les discussions entre personnages, les prises de tête, les interrogations... Autant d'habitude cela fonctionne à merveille, autant là cela m'a vite ennuyé voire un peu gonflé. Maintenant, j'étais fatigué le jour où je l'ai vu, peut-être une vision plus « réveillée » m'amènerait à une analyse légèrement différente. En attendant, si le film peut valoir le coup d'œil ne serait-ce que pour son excellent sujet, j'avoue être vraiment mitigé quant au résultat final, tout en restant finalement très confiant sur la suite de la carrière d'Alexander Payne : on se rassure comme on peut.
Voilà clairement un bon exemple d'un fllm qui avait un gros potentiel mais qui s'avère être au final très moyen et oubliable. J'ai plutôt apprécié la première moitié qui met en place un univers crédible où l'on peut même y trouver quelques bonnes idées par rapport à cette deuxième possibilité de vivre en étant "petit" comme ils le disent dans le film. Mais la deuxième partie de "Downsizing" est à mon sens trop longue et ennuyante. On a l'impression qu'il ne se passe pas grand chose au final. Côté personnage, j'ai trouvé la vietnamienne insupportable. Sa relation avec Matt Damon ne marche pas. Et Christoph Waltz me semble sous exploité. Enfin, le film manque cruellement d'identité et se cherche dans le genre de la comédie ou du dramatique... Dommage!