AlloCiné
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Bonne idée, mais mauvais film. Il n'y a que Ngoc Lan Tran jouée par Hong Chau qui met un peu de vie dans ce film fade, plat et ennuyeux. Ce sont juste des personnages qui évoluent de façon très hasardeuse. Quel est le sens de ce film ? Il n'y a pas l'ombre du début du commencement de quelque chose à suivre.
Stupéfaction totale.
Une crétinerie interplanétaire.
Histoire = 0
Scénario = 0
Humour = 0
intérêt = 0
Une crétinerie interplanétaire.
Histoire = 0
Scénario = 0
Humour = 0
intérêt = 0
1er film de 2018 et 1ère déception. Non pas que j'attendais beaucoup de ce film (en fait je ne savais pas à quoi m'attendre) mais je n'ai pas du tout accroché. J'ai eu l'impression d'être tenu à l'écart d'un sujet pourtant sympathique mais qui n'est que, malheureusement, effleuré. J'avais beaucoup aimé «The Descendants» où la misanthropie était très présente mais celui-là est un peu trop optimiste. Les personnages de Christoph Waltz et Hong Chau sont un poil trop comiques à mon goût. Ce qui est le mieux réussi, c'est la description de la société des downsizés : aussi utopique que réelle. Les effets spéciaux sont pour la plupart réussis, sauf en Norvège où il y a quelques soucis de taille notamment dans le fjord.
Bref, un autre traitement du sujet aurait peut-être été plus passionnant. Celui choisi est un peu ennuyeux. Dommage.
Bref, un autre traitement du sujet aurait peut-être été plus passionnant. Celui choisi est un peu ennuyeux. Dommage.
l'idée est bien, en plus c'est dans l'actualité (la surpopulation dans le monde, les ressources,...)
le début est bien mais on voulais voir dans ce film les avantages et inconvénients de cette méthode.
je suis très déçu.
le début est bien mais on voulais voir dans ce film les avantages et inconvénients de cette méthode.
je suis très déçu.
Jerem69tt
Le sujet est intéressant mais le but et la conclusion du film ne sont pas clair. On assiste donc à la vie d’un homme qui va décider de rapetissir pour améliorer ses conditions de vie et préserver la planète. Le film prend alors une autre tournure à ce moment mais reste vague dans ses intentions et c’est dommage ça il y avait mieux à faire. Ainsi, on ne sait pas trop si l’objectif était de critiquer l’espèce humaine sur l’environnement, sur les classes sociales ou sur les décisions d’un homme au cou d’une vie….
Quel gâchis ! Avec un sujet pareil, on aurait pu faire un super film sur la consommation excessive, une réflexion sur le droit à la différence, un thriller judiciaire, un film d'aventure fantastique, une comédie romantique hors-norme... Mais non ça commence sympa avec un côté frais et ça s'essouffle d'un coup pour devenir un navet romantico-cretin et lent tirant sur des ficelles scenaristique inintéressant. Un ratage quoi !
Cette comédie truffée de spectaculaires effets spéciaux est un conte de science-fiction où, un Américain de la classe moyenne réduit sa taille pour intégrer une cité miniaturisé que d'autres hommes choisirent afin de lutter contre la surpopulation mondiale. Matt Damon interprète un personnage tiraillé par une série de choix, l’obligeant à trancher entre la conformité à la norme et sa qualité d’être humain. Le message politique du film est perceptible, claire et la mise en scène d’Alexander Payne réussie à le rendre crédible par l'originalité de son scenario. Surprenant.
Ennuyeux ! Un début intéressant et original mais aucune intrigue... dans l'attente d'un événement durant tout le film.
Un film d'une fadeur sans pareille. Ni drôle, ni moral, ni romantique, ni fascinant, ni terrifiant, ni intéressant, ni angoissant... Ce film n'était rien. J'en suis perplexe. Dire que regarder ce film si vous avez du temps à perdre serait manquer de respect à tout ce que vous pourriez faire durant les 2h15 que durent cette absurde daube.
Le pitch à la base est bon, les problématiques sociales sont abordées mais mal traitées. Ensuite, ça part dans tous les sens... Bref, l'ennui.
Oui en effet ce genre de film existe pour qu’on puisse se demander : mais comment un film tel quel peut exister ?
On trouve pourtant un thème populaire et si attractif mais la pauvreté des scènes et du jeu et bien palpable.
On trouve pourtant un thème populaire et si attractif mais la pauvreté des scènes et du jeu et bien palpable.
Partant de la problématique réelle de la surpopulation humaine et de sa surconsommation, et devant l'incapacité réelle également à résoudre le problème, ou la volonté de refuser de le résoudre, des auteurs se mettent à imaginer les solutions les plus étonnantes, radicales, farfelues... ou ce que vous voudrez. Ici donc, l'idée c'est de réduire des êtres humains à priori volontaires, ce qui ne sera pas le cas sur toute la planète
Ainsi la réduction des êtres humains, qui plutôt que se modérer, préfèrent se réduire pour bénéficier d'un même taux de confort, et vivent dans des micro-villes sous bulle au milieu de complexes dont on se demande si ce ne sont pas des parcs d'attraction.
Dans les faits film effleure un nombre de conjectures sans en solutionner aucune
Ce film est un monticule d'idioties sous couvert d'humanisme. la seule idée dégagée étant d'en avoir bien davantage parce qu'on réduit les dimensions, logique qui laisse franchement dubitatif si l'on creuse un peu le sujet.
La facture pour l'accès à cette possibilité, la technologie, la logistique et les services que cela incombe ne sont jamais évoqués. Tout comme le fait de mettre ces "micro" sociétés en contact direct avec les éléments de la nature comme semble le suggérer la partie en Scandinavie. Comment imaginer des humains de telle taille vivre tout à fait comme avant, dans un fjord. A titre d'exemple, comme si, rapportés à leur échelle, une même vague agitait de manière identique une barque de quelques mètres ou un canoë qu'un porte-container de plusieurs dizaine ou centaines de milliers de tonne. Risible, mais genre de détail totalement éludé dans le film comme des dizaines d'autres.
On remarquera également qu'aucun politicien n'ait envisagé de se réduire, car l'incarnation du pouvoir doit préserver sa stature incompatible avec la taille d'une souris. tout ce qui est militaire reste également à taille humaine, bref comme pour toute forme de rationnement, c'est le quidam lambda qui subit les conséquences.
Franchement l'idée de réduire de force les gens pour s'en débarrasser n'a pas lieu d'être,
un état autocratique n'a aucun mal à se débarrasser de ses opposants même de taille normale. Et comme le film n'arrive pas à avancer dans son développement du sujet. Tout est évincé au profit d’une bluette totalement improbable et d'une morale sous-entendant que changer le logiciel de nos société est une vaste erreur et que ceux qui se terrent (même miniaturisés) se voilent la face.
Ainsi la réduction des êtres humains, qui plutôt que se modérer, préfèrent se réduire pour bénéficier d'un même taux de confort, et vivent dans des micro-villes sous bulle au milieu de complexes dont on se demande si ce ne sont pas des parcs d'attraction.
Dans les faits film effleure un nombre de conjectures sans en solutionner aucune
Ce film est un monticule d'idioties sous couvert d'humanisme. la seule idée dégagée étant d'en avoir bien davantage parce qu'on réduit les dimensions, logique qui laisse franchement dubitatif si l'on creuse un peu le sujet.
La facture pour l'accès à cette possibilité, la technologie, la logistique et les services que cela incombe ne sont jamais évoqués. Tout comme le fait de mettre ces "micro" sociétés en contact direct avec les éléments de la nature comme semble le suggérer la partie en Scandinavie. Comment imaginer des humains de telle taille vivre tout à fait comme avant, dans un fjord. A titre d'exemple, comme si, rapportés à leur échelle, une même vague agitait de manière identique une barque de quelques mètres ou un canoë qu'un porte-container de plusieurs dizaine ou centaines de milliers de tonne. Risible, mais genre de détail totalement éludé dans le film comme des dizaines d'autres.
On remarquera également qu'aucun politicien n'ait envisagé de se réduire, car l'incarnation du pouvoir doit préserver sa stature incompatible avec la taille d'une souris. tout ce qui est militaire reste également à taille humaine, bref comme pour toute forme de rationnement, c'est le quidam lambda qui subit les conséquences.
Franchement l'idée de réduire de force les gens pour s'en débarrasser n'a pas lieu d'être,
un état autocratique n'a aucun mal à se débarrasser de ses opposants même de taille normale. Et comme le film n'arrive pas à avancer dans son développement du sujet. Tout est évincé au profit d’une bluette totalement improbable et d'une morale sous-entendant que changer le logiciel de nos société est une vaste erreur et que ceux qui se terrent (même miniaturisés) se voilent la face.
Quelle déception....un très bon démarrage, agréable film de SF légèrement futuriste...et puis, à partir du moment où Matt Damon est miniaturisé, quel ennui...cette comédie dramatique, à l'eau de rose écolo nous ennuie au plus haut point...un ratage complet, rien ne marche...il y avait tellement mieux à faire....Vraiment dommage...
Une histoire que j'ai regardé avec plaisir même si on en ressort pas "grandit" comme on attends. Un peu comme ce héros modeste qui à des aspirations plus haute que sa volonté. Le concept du film est prometteur, il est compréhensible qu'on en attende davantage. Cependant, on ne peut pas reprocher à Alexander Payne (le réalisateur) d'avoir approcher le sujet avec démesure. Ainsi, sans en faire des caisses l'essentiel est intelligible : ce film/fable est une critique de l’american way of life, du consumérisme et une réflexion humaniste et écologique qui ne bascule pas dans le cinéma moralisateur.
Catastrophe sortie de route mur de plein fouet
Tout va bien au début ... l’idée est bonne
Tout va bien jusqu’à la fin du synopsis...après c’est une succession de nullité
La fin finie en eau de boudin
Passez votre chemin même pour une soirée détente je pose le cerveau
Tout va bien au début ... l’idée est bonne
Tout va bien jusqu’à la fin du synopsis...après c’est une succession de nullité
La fin finie en eau de boudin
Passez votre chemin même pour une soirée détente je pose le cerveau
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