Downsizing
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753 critiques spectateurs

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Patrice D.
Patrice D.

21 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 14 avril 2018
Je l'ai lu plus haut. Il faut se méfier de l'avis du plus grand nombre. N'est-ce pas en effet ce même plus grand nombre qui a élu Mr Macron ? Bref, ce film qui part d'un pitch un peu léger m'a d'abord attiré pour une vision familiale. D'ailleurs, sans la présence de Matt Damon, jamais je ne l'aurais sélectionné. Et ensuite, le prétexte "disneyen" est développé de façon inattendue. L'histoire évolue de façon surprenante et on est émerveillé par la lucidité et l'actualité du propos. C'est un film sur les relations humaines, les choix de société et le sens de la vie. C'est un film presque aussi intelligent qu'"American Beauty". Une petite remarque toutefois : Ce film ne s'adresse pas à un public de moins de 14-15 ans.
Excellente vision !!!
Cinephille
Cinephille

162 abonnés 628 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 20 janvier 2018
Sur le papier l’idée est excellente à mille lieux des éternels triangles amoureux et autres braquages qui tournent mal. Mais ce qui est fort c’est que c’est pleinement réussi, avec plein de détails qui rendent là situation si proche du réel. Il est impossible d'enregistrer le nombre et la subtilité des détails, ils mériteront d'être revus en DVD.
L'Américain moyen, son goût mortifère de l'argent et du confort, y est passé au scalpel. Les Européens sont vus comme fêtards et peu honnêtes mais vivants.
C’est évidemment une leçon de philosophie sur ce qui compte dans la vie et les vessies que nous prenons pour des lanternes. C’est une leçon amusante intrigante sans une seconde d’ennui et pleine de trouvailles. Alexander Payne a fait très fort servi par un casting nickel.
Estonius
Estonius

3 657 abonnés 5 463 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 4 octobre 2022
La première demi-heure est plutôt réussie avec des plans et des effets spéciaux très inventifs. On se dit que si ça continue de la sorte, on va se régaler ! Que nenni, une fois le Matt Damon rétréci, ça devient n'importe quoi, c'est incohérent, on ouvre des arcs narratifs qui sont abandonnés, ça jacasse, ça tourne en rond, ça veut lancer des messages dans l'air du temps (quelle prise de risque !) et surtout ça nous ennuie, ça ne nous mène nulle part et ça veut péter plus haut que son cul ! L'interprétation n'a rien d'exceptionnelle. 7/10 pour les 30 premières minutes, 1/10 pour les 90 suivantes ce qui nous fait une moyenne pondérée de 2/10.
1ou2mo
1ou2mo

9 abonnés 470 critiques Suivre son activité

5,0
Publiée le 23 janvier 2018
Comment se fait-il que tant de critiques viennent à dénoncer unanimement le mauvais procès fait au "DOWNSIZING" de A. Payne ? Je me rallie à cette cause.N'ayant pas vu la bande annonce, je pense que pour beaucoup de personnes manifestant leur déception, il y a eu certainement un gros malentendu quant à la perception du message délivré par le réalisateur. D'aucuns se targuent d'avoir été inspirés par "la comédie" qui leur était vendue. Question catégorie cinématographique, il ne s'agit pas de comédie ni de science fiction pure. Film d'anticipation bourré de réflexions renvoyées au spectateur, c’est ainsi que devrait être appréhendée cette histoire délivrant une solution aux problèmes de démographie, aux chocs économiques. Agrémentée de traits d'humour et d'un brin de romantisme, J'ai "kiffé".!!!
gloupbloup
gloupbloup

15 abonnés 85 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 21 janvier 2018
Alexander Payne n'a fait aucun mauvais film dans sa carrière, ce downsizing, en plus d'être un bon film et peut être sa meilleure réalisation. Décalé, drôle, touchant, aux antipodes des codes classiques des "blockbusters", ce film humaniste ferait du bien à toute l'humanité. Matt Damon est génial dans son rôle.
vinae
vinae

7 abonnés 146 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 13 février 2018
une fable-comédie SF qui m'a plus fait flipper que rigoler! bonne vision du consumérisme à l'américaine dans un monde où les écolos ressembleraient un peu à une secte... la dernière partie se traîne un peu mais l'échappée dans les fjords norvégiens permet une bouffée d'air(les minis-hommes rétrécis grâce à la méthode "downsizing "vivant dans leur monde"idéal" sous cloche!)
matt damon, il joue bien ce type mais il y a aussi christoph waltz!
Jorik V
Jorik V

1 294 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 11 janvier 2018
Alexander Payne surprend en revenant avec cette fable humaniste moderne qui traite de multiples sujets d’actualité de manière acerbe et objective par le biais d’un postulat science-fictionnel. Et quel postulat ! Celui du rétrécissement humain est en effet prompt à de nombreuses idées et variations et s’avère ici en tous points passionnant. Alors on est très loin de « Chérie j’ai rétréci les gosses » ou « Ant-Man » mais on verse plutôt dans une critique de l’American Way of Life assortie d’un constat éclairé des problèmes de surpopulation et environnementaux. Et tout cela est impeccablement emballé dans l’univers de la comédie. Payne traite habilement ses sujets écornant, non sans ironie, le mode de vie consumériste à l’américaine puis sonnant adroitement l’alarme dans une seconde partie plus amère en forme de cri d’alerte sur l’avenir de l’humanité.

Ce qui est surprenant c’est que « Downsizing » fonctionne en plusieurs strates, comme un mille-feuille dont on découvrirait les couches au fur et à mesure de l’avancement de l’intrigue. Des couches distinctes au niveau spatial qui découpent le film en simili chapitres selon l’évolution morale et psychologique du personnage principal interprété par Matt Damon. En cela, on est constamment surpris par les revirements de l’intrigue. D’abord, la mise en place est pertinente, démontrant parfaitement les problématiques actuelles rencontrées par note monde. Ensuite, on est émerveillé par le procédé de miniaturisation subi par les volontaires. On entre dans un univers merveilleux où le metteur en scène explore bien visuellement les possibilités de son pitch. Le monde de Leisureland où vivent les personnes qui ont été réduites est stimulant et tout à fait pertinent. Puis arrive le personnage de la réfugiée vietnamienne qui fait basculer le film dans une toute autre direction, judicieuse et jubilatoire. On découvre, toujours surpris, l’envers du décor et la répétition du schéma mondial actuel avec le fossé entre riches et pauvres. Enfin, la dernière partie versée dans l’écologie surprend de nouveau en filant vers la Norvège et flirtant avec l’aspect fin du monde. Le scénario est donc intelligent, maîtrisé et toujours étonnant.

Le film est peut-être un tantinet trop long et un moment en creux apparaît en milieu de bobine, mais cet incroyable personnage de jeune vietnamienne vient redynamiter « Downsizing » de la meilleure des manières, campé par une incroyable Hong Chau. C’est elle qui nous réserve les moments les plus émouvants mais aussi les plus drôles, aidé dans ce dernier domaine par l’impayable Christophe Waltz. Visuellement, Payne nous gratifie d’une mise en scène de niveau correct mais il surprend surtout par sa direction artistique. Le décorum et les gadgets mis en place tout comme la réussite des effets spéciaux en marge de la miniaturisation sont impressionnants et se fondent admirablement avec le sujet. Le rétrécissement est donc traité sous un jour nouveau et plus adulte ici, en proie avec l’actualité, de manière peut-être moins ludique qu’attendue mais tout aussi exaltante et il parcourt des pistes narratives passionnantes. Enfin, Matt Damon excelle comme jamais dans ce rôle de quidam, de parfait boy next door qui change de vie. Il trouve là peut-être son meilleur rôle entouré par une distribution de seconds couteaux drôles et bien campés. Une excellente surprise dans tous les sens du terme.

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Michaël L.
Michaël L.

11 abonnés 28 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 18 janvier 2018
Sur une idée assez originale, ce film est une comédie, somme toute sympathique, n'hésitant pas à dénoncer les travers aussi bien de la société américaine que de diverses groupes. Les personnes de petite taille peuvent aussi bien être vus soit comme des étrangers envers lesquels certains américains éprouvent de la méfiance et reprochent un certain communautarisme et pensent qu'ils s'approprient une partie de la richesse américaine soit comme des groupes d'influences déconnectées de la réalité mais soucieux d'un avenir propre. Quant aux personnes refusant de subir cette tranformation,ils sont présentés comme des personnes refusant le changement et le progrès mais libres de leurs choix . En gros, sous ses aspects de comédie, ce film n'épargne personne tout en réussisant à respecter tout le monde
RedArrow
RedArrow

1 697 abonnés 1 547 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 11 janvier 2018
Comment endiguer le problème de la surpopulation mondiale et de toutes ses conséquences néfastes ? En se faisant miniaturiser, pardi ! De la taille d'un Playmobil, vous ne rejeterez plus qu'une masse très minime de déchets, bénéficierez d'avantages économiques insoupçonnés (ben oui, tout coûte moins cher proportionnellement) et aurez en vue la promesse d'une vraie vie de rêve dans des structures immobilières que vous n'auriez même pas imaginé posséder dans votre existence de "géant".
La découverte de cette invention norvégienne miraculeuse est au coeur de l'excellente première heure du film d'Alexander Payne. En le plaçant tour à tour dans les yeux des scientifiques puis du personnage de Matt Damon tous fascinés par ce processus de miniaturisation, le spectateur éprouve lui aussi l'impact que pourrait avoir une telle invention dans notre monde. Du premier regard enfantin et ébloui par ces êtres minuscules devenus la solution ultime aux maux de notre planète (les effets spéciaux sont très réussis en ce sens) aux conséquences sociétales d'une telle idée (les miniaturisés ont-ils toujours le même statut que les "normaux" du fait qu'ils dérèglent le système en place par leur contribution désormais bien moindre ?), cette première partie explore tous les recoins de cette idée loufoque par un prisme on ne peut plus réaliste. À vrai dire, au vu de tous les avantages énoncés (la présentation orchestrée par Neil Patrick Harris et Laura Dern envoie vraiment du rêve), on en vient même sérieusement à espérer que cette solution de rétrécissement pointe vite le bout de son nez dans la réalité, on ne peut en effet que comprendre le choix du couple incarné par Matt Damon et Kristen Wiig d'y adhérer et le passage des formalités d'usage jusqu'à la fameuse opération sera un véritable régal à suivre...

Mais arrive un twist qui va complètement changer la donne et envoyer le film dans une direction aussi désarçonnante qu'inattendue. L'univers miniaturisé ne sera finalement que très vite survolé (ses excès nous seront dévoilés par l'intermédiaire d'un très amusant Christopher Waltz) pour privilégier les débuts d'une histoire d'amour naissante dans un contexte à la défaveur de l'humanité qui, finalement, est toujours amenée à répéter les mêmes inégalités sociales. En fait, avec cette bifurcation étonnante, on réalisera que le film est avant tout concentré sur le personnage de Matt Damon et son évolution dans le cadre de la miniaturisation et non l'inverse. En acceptant cet état de fait qui laissera néanmoins pas mal de spectateurs sur le carreau, cette deuxième partie plus sentimentale se révélera tout de même aussi agréable qu'attachante grâce au caractère bien trempé de la nouvelle venue Ngoc Lan Tran (Hong Chau, absolument géniale !!) emplie d'une humanité qui semble avoir rétréci chez les autres personnages en même temps que leur taille.

Mais la troisième phase de "Downsizing" va encore partir sur une nouvelle piste pour ouvrir une fois de plus les yeux de son héros sur sa place dans le monde en le confrontant à une utopie parfaite dans une utopie déviante, elle-même située dans un monde en perdition (oui, ça fait beaucoup). Et le résultat va se révéler très décevant voire même inintéressant par le sentiment que donne ce personnage de faire du surplace, allant invariablement à l'encontre de tous les avis raisonnés de son entourage pour mieux se rendre compte de ses propres erreurs. Cette dernière partie donnera l'impression d'une boucle inutile autour de ce héros sous couvert d'une évolution que l'on nous présente pourtant comme indispensable. Pas si sûr...

"Downsizing" est donc un drôle de film, bien trop bancal, démarrant sur les chapeaux de roue pour s'achever dans l'anecdotique. En fait, on assiste tout simplement à un potentiel géant cinématographique en train de passer par un processus de miniaturisation pour toucher à l'insignifiant. On n'était pas vraiment venu là pour ça, on en espérait même beaucoup plus...
anonyme
Un visiteur
4,0
Publiée le 10 janvier 2018
Spécialiste des portraits intimistes et tendres d'une Amérique en constante introspection, Alexander Payne, avec "Downsizing", réalise un projet qui lui tenait à coeur depuis presque une décennie. Le postulat de départ, beaucoup plus ambitieux que ce à quoi nous avait habitué sa filmographie, voit Matt Damon rétrécir en quête d'une existence meilleure et plus confortable.
Résumé les thématiques de "Downsizing" mériterait plusieurs paragraphes. Réponse scientifique aux problèmes écologiques, poursuite perpétuelle d'un certain rêve américain qui ne cesse de se renouveler ou encore capacité de l'être humain à reproduire constamment les erreurs du passé, le nouveau film de Payne est une fable d'anticipation fournie qui ne prend pas le temps de s'attarder sur chacun de ses sujets pour mieux se concentrer sur Paul, son personnage principal.
Interprété par Matt Damon dont c'est ici, sans doute, l'un des meilleurs rôles, Paul est l'archétype de l'américain moyen aux grandes aspirations et c'est là que le film rejoint les précédents du metteur en scène, comme un espèce de conclusion à cette longue quête initiatique en plusieurs volets. En nous montrant différentes sociétés n'ayant véritablement pour vecteur commun que l'égocentrisme et la recherche du confort matériel, "Downsizing" nous rappelle à nos devoirs les plus sains en suivant les différentes rencontres que fait Paul. On pourrait reprocher au film de ne pas aller plus loin dans la chronique sociale ou de ne pas réellement prendre parti lorsqu'il s'agit de confronter différentes parties de la société qui ne sont pas logées à la même enseigne mais ce serait perdre de vue que le film se concentre sur un homme perdu au milieu de dynamiques qui le dépasse. Et même si le cinéma de genre ne semble pas être la tasse de thé du metteur en scène de "The Descendants", on s'amuse tout de même devant un défilé d'idées visuelle privilégiant la sobriété et les couleurs douces au sensationnalisme graphique trop souvent inhérent à ce genre d'oeuvres.
nicolas t.
nicolas t.

59 abonnés 239 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 11 janvier 2018
Sur un scénario original, une critique acerbe et juste de la société consumériste américaine.
Effets spéciaux au service d'une vraie réflexion. Acteurs au top. Une vraie réussite.
Cinéphilion
Cinéphilion

64 abonnés 201 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 18 janvier 2018
C’est au travers d’une nouvelle comédie conviviale, Alexandre Payne trouve une solution imaginaire, à la frontière de l’anticipation, quant à l’avenir de l’humanité. « Chéri, j’ai rétréci les gosses » peut désormais se faire tout petit.
Les engagements socio-politiques étant divers, cette réalisation originale peut en décevoir certains tant le temps de la découverte est étendu et l’histoire qui s’en suit, disparate du sujet de départ. Grosse similitude avec le chef d’oeuvre « OKJA », « Downsinzing » instaure des mesures pour préserver l’avenir de l’humanité selon plusieurs constats alarmants et complètement d’actualité : Surpopulation, réchauffement climatique, pics de pollution et scandales sanitaires. Face à un auditorium d’experts, la révélation du rétrécissement de l’être humain surprend.
Un bond de quelques années en avant dans l’histoire puis le remède passe de solution prodige à un outil de commercialisation massif. Digne des techniques de marchandage à l’américaine, le rétrécissement de l’être promet par la même occasion la réduction des dépenses et une richesse grandissante. L’objectif étant d’en mettre plein la vue, un nouveau monde miniature est visitable, des présentations clichés style télé-achat sont faîtes et un entretien commercial conclu la tournée afin de savoir quels en seront les bénéfices personnels.
Telle une solution miracle pour se réduire soi-même et faire l’impasse sur ses problèmes financiers, le duo Safranek décrit ainsi le parfait couple moyen tentant de survivre en vain au cœur d’une société fiduciaire écrasante.
Exploration d’un nouveau monde, le départ à zéro de Paul Safranek donne lieu à de nouveaux personnages. Interprété par Christoph Waltz et Hong Chu, leur rôles relèvent d’une éblouissante qualité sur laquelle repose énormément la deuxième partie métrage. Ainsi, Dusan joue un voisin ravagé aussi risible que délictueux indirectement lié à Ngoc Lari Tran, sa femme de ménage, drôle et pleine de tendresse. En effet, la domination soigneuse et progressive de l’actrice thaïlandaise balaye les pulsions vénales au profit d’une réflexion humanitaire pleine d’entraide.
C’est au cœur d’une nouvelle colonie d’hommes rétrécis que s’entreprend la dernière partie du récit. Engagé, politique et écologique, l’invention originelle reprend ses droits comme un changement de cap vers l’horizon du monde. Plus d’artifices, ni de fantaisies, « Downsizing » sort des sentiers battus et conclut sur un final apocalyptique singulièrement heureux.
Bilan : « Downsizing » ou l’art de rétrécir les choses superficielles pour faire grandir le constat de l’ignorance humaine, le tout en étant intelligemment drôle !
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Alexandre Cacheux
Alexandre Cacheux

65 abonnés 551 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 13 janvier 2018
Mon dieu que ce film est mauvais !! Un navet de premier choix.
Dommage car l'idée est plutôt bonne. Mais le réalisateur hésite entre comédie et philosophie de vie. Malheureusement il finit par choisir la 2ième option, ce qui donne lieu à des poncifs lourds, vaseux et inintéressants. Quand à Matt Damon il n'a jamais été aussi mauvais et disgracieux.
ZeJL
ZeJL

2 abonnés 41 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 15 janvier 2018
Les critiques sont un peu dures avec ce film.
Il a déjà l'avantage d'avoir un scénario original ce n'est ni un remake ni une suite et ça change des films sf actuels.
Matt Damon et C Waltz sont parfaits dans leur role, on ne s'ennuie pas (en dehors de la fin), c'est même parfois drole (mais attention le film n'est pas une comédie).
Et cette fameuse fin (enfin dernière demi-heure) alors il est possible qu'à force de lire partout que la dernière demi heure était ratée je m'y sois préparé mais si au final elle n'est pas transcendante il n'y a pas non plus à crier au scandale, le film prend une direction plutot écologiquement pessimiste mais qui se tient.
Bref allez vous faire votre propre idée il y a des chances que vous passiez un bon moment.
Laurent E.
Laurent E.

3 abonnés 1 critique Suivre son activité

5,0
Publiée le 1 avril 2018
Comme quoi, mieux vaut se faire sa propre opinion des films, après les mauvaises notes du film, je n’avait pas trop envie de le voir, mais on a finit par le voir avec ma femme et verdict, très bonne surprise. Le sujet de trouver des moyen pour sauver l’espèce humaine est interessant, les acteurs sont top, bref, si vous hésiter, faut pas, foncer
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