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    Downsizing
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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 373 abonnés 4 180 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 février 2018
    Nous nous attendions à un navet s’accrochant sur de beaux effets spéciaux pour séduire son public. Mais c’était sans avoir lu le scénario et tillté qu’Alexander Payne était le réalisateur du beau Nebraska sorti en 2014. Les ressources naturelles s’épuisent et pour lutter contre la surpopulation, des scientifiques ont mis au point un processus qui permet de miniaturiser les êtres vivants. C’est ainsi qu’un homme d’1m80 passera à 12cm. Si l’idée est loufoque, elle cache tout de même un sérieux fond sur l’humanité et c’est sûrement ce pessimisme face à l’ultra consommation qui résulte d’un échec commercial aux Etats-Unis, les plus gros consommateurs. En Europe, on aime davantage avoir la réalité en face. Alexander Payne sait nous mettre à l’aise devant cette originalité et nous facilite la tâche à tout moment pour comprendre les avis des uns et des autres. Downsizing est une véritable satire de la société outre-atlantique qui cherche le rêve américain et ne va volontairement pas assez loin dans la dénonciation pour que le tout reste un plaisir cinématographique.
    D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com
    Laurent T.
    Laurent T.

    16 abonnés 53 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 janvier 2018
    Vu les critiques je ne suis pas allé voir ce film en me disant qu'il était excellent. Bien m'en a pris, cela reste une bonne surprise. Pour moi c'est un conte philosophique qui pose les bonnes questions de la place de l'humanité et de son rôle. Il n'y a jamais de grandes envolées et Matt Damon est le véhicule qui nous fait voyager dans ce long-métrage.
    Jånathan P
    Jånathan P

    22 abonnés 134 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 janvier 2018
    En voyant les affiches dans le métro parisien, il y a quelques semaines, je me suis dit "eh merde... Matt Damon nous refait un nanar comique à la TED." Et finalement, suivant des conseils, je suis allé le voir et je me suis pris une claque. Ceci n'est pas une comédie, pas du tout!

    Ce film est d'une grande richesse, une grande reflexion autour de l'humanité. Ce film met des coups de canifs dans notre société : écologie, lutte des classes, discrimination, immigration... Tout y passe! Le tout est superbement réalisé et superbement joué (notamment par l'actrice asiatique, Waltz et Damon).

    Un film a ne vraiment pas raté! Un épisode de la quatrième dimension à la sauce Matheson. Touchant, réaliste, bouleversant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 avril 2018
    Je m'attendais à une comédie américaine un peu débile que l'on regarde un lendemain de cuite dans prise de tête et au final j'ai regardé un conte philosophique fort sympathique et émouvant. Un film qui a su me toucher par ses idées et son humanité. Bravo.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 12 janvier 2018
    Une idée de départ très astucieuse, une bande annonce très prometteuse, hélas les bonnes nouvelles s’arrêtent là. Le film oscille entre la fable sociale, une satire de « l’American Way of life », le conte philosophique et la dystopie, (le rêve qui tourne au cauchemar) sans jamais choisir et ça donne du grand n’importe quoi ! On dirait que le film a été écrit à plusieurs et que les auteurs n’ont pas pu se mettre d’accord ! Et que de ce fait, il y des petits bouts de tout : des scènes s’enchaînent sans vraiment de logique, certaines n’ont aucun sens ou n’apportent rien à l’histoire, à part de beaux paysages des fjords de Norvège. L’envers du décor est suggéré, mais pas assez exploité, spoiler: comme ce trou dans le mur (allusion aux projets de Mister Trump ???) qui même à un bidonville où les gens vivent dans des conditions misérables, alors que tout était censé bien se passer pour tout le monde.
    Et pourquoi le personnage féminin principal, qui est une femme courageuse et intelligente et le prouve tout au long du film, parle t’elle comme une débile (sa façon de parler l’anglais est ridicule) avec une voix d’asiatique totalement caricaturale ? Matt Damon, plutôt convaincant dans son rôle de type ordinaire qui vit des circonstances extraordinaires, fait ce qu’il peut, mais il ne peut sauver ce film a lui tout seul ! En plus c’est beaucoup trop long, 2h15 ! La même histoire aurait pu être racontée en 1h30 ou 1h40, cela aurait donné un peu de rythme au film, qui en fait s’essouffle totalement après les 30 ou 40 premières minutes. Et tout ça pour arriver à une fin qui n’en est pas une, qui n’a pas de sens, on ne sait pas quoi penser. Qu’ils n’avaient plus d’idée et qu’ils ont dit « Bon, on arrête là, les gens n’ont qu’à imaginer ce qu’ils veulent ? » Ou bien, qu’il va y avoir une suite ? Non merci ! Une vraie déception. Le seul bon point est que j’ai vu ce film en VO
    Chris58640
    Chris58640

    213 abonnés 759 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 janvier 2018
    « Downsizing » est un film qui prend un peu le spectateur en traitre. Si l’on en croit le pitch, la bande annonce et l’affiche, on pense se retrouver devant un pur film « d’Entertainment », plein d’humour, d’effets spéciaux et tout le tralala… Sauf que c’est mal connaitre Alexander Payne. Il propose ici plus une fable post moderne qu’un blockbuster à la « Chérie j’ai rétrécis les gosses » ! Il offre un film assez long (plus de 2h15), plutôt bien tenu, avec une musique assez présente mais agréable, sans temps mort et sans (trop de) fioritures. Tout n’est évidemment pas parfait, son film connait un petit trou d’air dans son dernier tiers, avec la partie « norvégienne » de l’intrigue, qui tire un peu en longueur et qui flirte avec la mièvrerie et la leçon de morale écolo baba-cool. Mais dans l’ensemble, et même si son travail de réalisateur n’est pas flamboyant ou super créatif, il tient son film, la séance passe bien malgré la durée, on sourit beaucoup, il y a des scènes quasi parodiques (comme celle avec Laura Dern et Neil Patrick Harris), et des scènes plus dures, quand Paul découvre l’envers du décor de sa jolie petite ville aseptisée. Le scénario va décevoir les amateurs de grosses comédies US car il est moins question dans « Downsizing » d’adaptation à la vie minuscule (avec ce qu’elle peut comporte de spectaculaire, et aussi de périlleux) que de quête de sens et difficulté à faire des choix de vie. C’est sur, c’est moins spectaculaire, ce n’est pas non plus très original comme thème de fond, mais c’est un questionnement universel qui nous touchera tous un jour ou l’autre : cette vie que nous vivons (peu importe notre taille ou notre cadre de vie) est-ce vraiment la vie que nous voulions vivre ? Paul, qui envisageait une vie d’aisance et d’oisiveté avec la femme qui aime, se retrouve seul, dans un monde plein de richesses mais qui ne donne pas plus de sens à sa vie que le monde des difficultés économiques qu’il vient de quitter. Sur ce point le film est clair et assez pertinent : le monde minuscule est « vendu » par ses promoteurs uniquement sur des arguments économiques (et un vague prétexte écolo pour se donner bonne conscience) mais ça ne suffit pas à remplir une existence. spoiler: C’est en faisant la connaissance d’une jeune vietnamienne handicapée, qui vit dans uns sorte de bidonville bien caché, qu’il comprend que, grand ou petit, la société produit toujours des pauvres. Le monde minuscule reproduit le monde normal, c’est inévitable et c’est ainsi que les sociétés humaines fonctionnent de puis la nuit des temps. Il s’étonne de le découvrir mais en tant que spectateur, on est moins surpris que lui.
    Le parcours initiatique que Paul entreprend à partir de ce moment avec la jeune Ngoc Lan Tran n’est certes pas original et même un peu cousu de fil blanc, mais il a le mérite de contrebalancer le cynisme de la société qui l’entoure. spoiler: On a même à la clef le début d’une romance assez inattendue entre deux personnalités très différentes en apparence.
    Le scénario fonctionne assez bien selon moi, si l’on excepte la partie norvégienne de la fin qui fait un peu trop dans le baba-cool et la leçon de morale écolo à la mode scandinave. La toute fin est plus équilibrée, ni « happy-end » ni « fin du monde », douce-amère comme je les aime, peut-être juste un tout petit peu trop brutale. On peut quand même déplorer que « Downsizing » offre surtout l’histoire d’un parcours individuel alors que Payne aurait pu élargir le champ en évoquant plus qu’il ne le fait les problèmes politiques ou sociétaux que la cohabitation entre deux société posent. Il effleure le sujet, avec le type dans le bar au début ou les infos télévisées que Paul regarde, mais ça ne va pas plus loin et c’est un peu dommage. Un petit mot que le casting pour finir, où Christoph Waltz (que j’adore) cabotine un max en truand serbe magouilleur et jouisseur (une vraie caricature !) et où Matt Damon tient le rang qui est le sien sans en faire des tonnes, au contraire. Mais toutes stars qu’elles sont, elles sont quasiment éclipsées par Hong Chau. Ce petit bout d’actrice trouve ici le rôle d’une femme hors du commun au charisme inattendu, au dynamisme contagieux, dotée d’un bon sens en acier trempé, elle est à la fois l’atout humour, l’atout charme et donne du corps au message de fond de « Downsizing ». Evidemment d’un point de vue marketing, c’est Matt Damon qui se retrouve seul sur l’affiche mais c’est bien le couple Damon - Chau qui le porte sur ses épaules, un couple si peu assorti en apparence, et au final si attachant. En résumé, Si « Downsizing » est un film qui prend un peu le spectateur à contrepied, c’est pour mieux l’interroger, un peu maladroitement parfois, sur des choses essentielles. Sans être un chef d’œuvre, « Downsizing » est un bon film, une bonne séance de cinéma plus subtile et intelligente qu’on ne l’aurait supposé de prime abord.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 mars 2018
    On est obligé de mettre 5 étoiles à ce film, surtout car, enfin, Hollywood nous trouve un sujet neuf et surtout qu'il est bien rythmé. Certes, il ne gagnera pas de grand prix mais juste par le fait de nous faire réfléchir à notre futur entant qu'Homme c'est déjà un exploit en ça. En cela ce film est parfait.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 10 mai 2018
    Je ne comprends pas les mauvaises notes pour un film enfin innovant dans le domaine de l'anticipation. L'histoire, mais surtout la manière dont elle a été tournée, est surprenante. De l'humour, de l'émotion mais surtout une grande morale.
    J'invite tous les cinéphiles qui veulent passer un bon moment à voir ce film. Les acteurs jouent tous à la perfection, Matt Damon en tête.
    Marcel D
    Marcel D

    105 abonnés 212 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 janvier 2018
    Annoncé comme le petit bijou du début d'année, puis fort mal accueilli à sa sortie en salle, que penser du dernier film de Payne ? J'ai beaucoup aimé, de bout en bout. J'avais lu ces critiques qui disaient que le film partait dans tous les sens mais je ne partage pas cet avis. Selon moi, le propos est centré sur le sens de la vie, et non sur le rapetissement des gens. A partir de là, Matt Damon évolue dans ce monde miniature, au milieu de questions qui peuplent notre existence. L'écriture - originale et avec un second degré toujours présent - ne se repose pas sur ses lauriers. L'histoire se relance sans cesse et la dernière partie relance le cycle pour donner une nouvelle perspective à l'histoire, et lui donner une vraie fin cohérente.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 343 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 janvier 2018
    Je ne connaissais pas grand-chose sur ce film. Je savais juste que c’était un film d’Alexander Payne (« Ah cool ! »), qu’il y avait Matt Damon dedans (« Ola… Ah ça moins cool. ») et que dans ce film, ce bon vieux Matt finissait tout petit. (…………Hein ?) Bah ouais : personnellement moi je n’en savais pas plus, donc forcément, dit comme ça, ce « Downsizing » il me faisait davantage l’effet d’un remake de « Chéri j’ai rétréci les gosses » plutôt que celui d’un film vraiment attirant pour son originalité. Eh bah pour le coup je me suis quand même bien planté ! Parce que ouais, dès l’intro, ce film a su rapidement me mettre dans sa poche... (Hé ! Hé ! Dans sa poche ! Vous avez compris ? Non parce que le film il parle de… OK, j’arrête.) Franchement, en même pas cinq minutes, le film parvient à utiliser ce concept de rétrécissement d’humains pour faire ce que font les meilleurs films de science-fiction, c’est-à-dire nous obliger à penser un monde totalement nouveau en fonction du postulat original qui nous est présenté. Alors quand c’est aussi efficacement fait, et qu’en plus c’est amené par Rolf Laasgârd, d’« After The Wedding », c’est peu dire qu’on me brosse dans le sens du poil. Et à partir de cette introduction là pleine de promesses, le film m’a ensuite ouvert la voie à une sensation étrange mais finalement pas si désagréable que ça avec le recul. D’un côté j’avais l’excitation et le plaisir de découvrir une vraie richesse dans la manière de traiter le sujet, aussi bien dans le visuel que dans le propos. Mais de l’autre je ressentais aussi régulièrement un certain inconfort à ne pas vraiment comprendre et savoir ce qu’Alexander Payne entendait vraiment faire de tout ça. D’ailleurs – je vous l’avoue – si on m’avait demandé en plein pendant le film ce que j’était en train d’en penser, je pense que j’aurais été incapable de répondre. Pour être même véritablement honnête, c’est presque sur le dernier quart d’heure du film que j’ai vraiment commencé à me sentir à l’aise avec la démarche d’Alexander Payne et que j’ai commencé du coup à aussi prendre mon pied… Alors, je me doute bien qu’en vous disant cela, je dois en refroidir quelques-uns et – surtout – je dois susciter quelques questions. Mais pourquoi aller aussi haut dans la notation si le plaisir n’était pas au rendez-vous sur la quasi-totalité de la projection ? Eh bah parce que tout d’abord, l’absence de plaisir n’a pas été synonyme d’ennui ni de souffrance. A chaque fois, l’incroyable richesse visuelle du film et surtout sa créativité et son audace scénaristique faisaient qu’à défaut de plaisir, j’avais au moins l’intrigue et la curiosité. Et puis la deuxième raison c’est aussi et surtout que – maintenant que j’ai passé le cap de l’interrogation – je pense que je pourrais clairement revoir ce film et l’apprécier totalement différemment. Une fois qu’on saisit la dimension totalement dérisoire du film, et qu’on comprend que le sujet n’est finalement pas la mauvaise gestion des ressources ou bien encore notre incapacité à mettre en place une société de prospérité pour tous, alors forcément la démarche du film apparait tout de suite beaucoup plus clairement et le plaisir n’en est que meilleur. ( spoiler: Parce que oui, moi je ne peux m’empêcher de voir dans ce film un propos qui consiste à dire que ce qui mine notre civilisation c’est avant tout notre hallucinante tendance à nous laisser guider par des rêves et des projets totalement hurluberluesques – ce qui nous amène à chercher et adopter des solutions qui relèvent totalement du non-sens et de la stupidité – alors qu’il suffit simplement d’avoir un regard lucide sur les choses pour comprendre que les meilleures solutions sont souvent juste les plus simples, les plus logiques et les plus basiques
    .) Alors oui, il est déstabilisant ce film je trouve, mais pour moi, en tout cas, ce fut de la bonne déstabilisation. J’avoue qu’il y a des moments que j’ai trouvé longs (le moment chez Dusan par exemple). J’avoue aussi qu’il y a des moments où je ne voyais pas trop où le film voulait nous conduire (comme le moment… Bah comme chez Dusan quoi.) Mais d’un autre côté, c’était un peu le but, et il y avait suffisamment d’autres choses qui sont venues rattraper cette sensation pour qu’au final je n’en souffre pas. D’ailleurs, en fin de compte, si je devais trouver le principal défaut de ce film ce serait sûrement… Bah Matt Damon je pense. Je suis désolé mais ce mec je trouve vraiment qu’il ne correspond vraiment pas au rôle. Il ne correspond pas au niveau de l’âge, du physique, du jeu… Pour moi, il aurait tellement mieux valu trouver un gars plus dans la trentaine, sympa mais parfois à ses dépends. Un Alden Ehrenreich par exemple aurait pu très bien faire l’affaire. Ou bien quitte à vouloir prendre un quinqua bien installé mais qui colle davantage à la dimension absurde de l’œuvre, tu pouvais prendre alors un Will Ferrell. Là, Matt Damon, c’est trop lisse. C’est trop creux. Ce n’est pas assez subtil pour gérer les ambigüités du rôle… Bref, c’est dommage, parce qu’au final, c’est clairement ça qui fait que malgré toute l’inventivité et la pertinence de ce film, je ne pourrais jamais aller au-delà de « 4 étoiles ». Mais bon, après, « 4 étoiles », ce n’est pas non plus si mal. Non ? ...Bon alors après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Yetcha
    Yetcha

    886 abonnés 4 401 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 février 2018
    Une vision passionnante de la résolution des problèmes de pollution sur Terre grâce à la miniaturisation d'humains volontaires. Le grand intérêt dans cette oeuvre est, qu'au-delà de l'aspect SF de la miniaturisation, elle aborde des questions de société de base avec néanmoins un manque d'approfondissement et ça c'est dommage. Mais l'ensemble passe tout seul et est passionnant.
    colombe P.
    colombe P.

    131 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 janvier 2018
    Incompréhensible pour moi les critiques négatives alors qu'on a là un film magnifique.
    Certes il n'est pas du tout "glamour" ni drôle et je pense que c'est ce qui a dû gêner les gens.
    Il s'agit plus d'un drame que d'une comédie et le réalisateur met le doigt sur là où ça fait mal tout simplement : le consumérisme, les apparences, la surpopulation, le gaspillage, la surconsommation, le manque de solidarité, les injustice criantes etc...
    Si on a pas envie de voir les problèmes de la planète, vaut mieux s'abstenir de voir ce film.
    Mais si on est curieux, humain, sensible, il ne faut pas le louper.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 19 avril 2018
    Fantastique, j'ai adoré ce film. On est sans cesse dérouté, c'est une belle aventure plein de poésie.
    Samuel L.
    Samuel L.

    5 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 avril 2018
    Je ne comprends pas les mauvaises notes, il est super ce film ! Une belle intrigue, des acteurs au top, de l’émotion, de la réflexion, de l’humour, de l’amour, tout ça dans un seul film :)
    L'Info Tout Court
    L'Info Tout Court

    413 abonnés 1 025 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 janvier 2018
    Le film est une belle réussite par sa critique acerbe de notre société, mais aussi par ses touches d’humour (Christoph Waltz qui fait du Christoph Waltz pour notre plus grand plaisir) et sa mise en scène intelligente et fine. Bien entendu, on aimerait que le concept soit développé encore plus en détails, mais ce qui peut paraître un défaut est également une qualité : Alexander Payne évite de se perdre à trop en mettre et reste concentrer sur l’essence même de son film.
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