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    Downsizing
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    2,2
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    751 critiques spectateurs

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    Christoblog
    Christoblog

    826 abonnés 1 674 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 janvier 2018
    Impression mitigée à la vue du dernier Alexander Payne, qui est un réalisateur (Nebraska, Sideways, The descendants) que j'aime beaucoup.

    Côté positif d'abord.

    On retrouve dans Downsizing cet art de l'understatement narratif, cette façon de ne pas y toucher qui fait souvent mouche et qui peut, sous ses aspects très policés, être particulièrement cruelle.

    Le film fourmille de petits détails qui émoustillent intellectuellement et qui font sourire à l'occasion (un exemple : l'explosion qui condamne de tunnel, sorte de manifeste anti-spectacle caractéristique du cinéma de Payne).

    A porter également au crédit du film : une dénonciation non voilée du mode de vie américain, un sens du merveilleux qui touche parfois (la découverte des différents milieux est jouissive), une interprétation hors pair (Christoph Waltz est une nouvelle fois impayable).

    Côté négatif ensuite.

    On voit assez bien ce qui sera reproché au film : une nonchalance qui peut parfois ennuyer, une incapacité à installer une vraie tension dramatique, une séquence finale qui pourra paraître un peu gnangnan et enfin une morale qui manque de subtilité. Et de cruauté.

    Au final, cette histoire d'hommes qui rapetissent pour le bien de la planète (ou pas) m'a plutôt séduit. L'art de la litote permanente au service d'histoires de ratés chroniques me touche toujours, à titre personnel.
    Flaw 70
    Flaw 70

    259 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 15 janvier 2018
    Alexander Payne et Jim Taylor (son compagnon presque systématique au scénario) ont développés tout au long de leur collaboration une fascination de la satire grinçante et la critique acerbe du "american way of life". Allant de son puritanisme acerbé, sa bien-pensance hypocrite et son nombrilisme prononcé, tout y est passé sous leur écriture piquante et souvent juste. Ils ont même dressés des portraits assez touchants de leurs personnages empli de défauts qui s'en vraiment le savoir échouaient à vivre leurs vies. Même si Payne ne s'est jamais imposé comme un brillant metteur en scène, son cinéma avait un charme bien à lui et qui visait avec justesse dans son portrait au vitriol de l'Amérique et des gens qui la peuplent.

    Dans ce contexte Downsizing se montre donc particulièrement intéressant, surtout qu'il dispose d'un postulat d'anticipation habile qui voit une partie de la population mondiale se fait rétrécir dans le but de contrer la surpopulation et les problèmes climatiques et environnementaux que cela entraîne. Mais là où on aurait espérer toute la fourberie du duo Payne-Taylor, on se rend compte que ceux-ci ont basculés de l'autre côté du miroir de leur cinéma et signe une fable écolo bien-pensante et dans les clous qui manque d'énergie et surtout d'idées. Car passé le postulat de base, le film n'a strictement plus rien à offrir et tombe dans la critique facile et mollassonne loin de l'écriture grinçante des débuts du duo. Pire, ils n'exploitent même pas jusqu'au bout leur pitch pour finalement tomber dans un banal récit autour des inégalités sociales et les perpétuelles erreurs engendrés par l'homme au point même d'oublier de jouer le contraste entre le monde "normal" et ceux des downsizés.

    On retrouve ce héros qui regarde tellement souvent au mauvais endroit qu'il en passe à côté de sa vie, et beaucoup des thématiques chères à Payne et Taylor mais ceux-ci, par paresse, tombent finalement dans une auto-caricature maladroite et insignifiante. Le récit est sur des rails et on le suit dans un tour de piste très sage et prévisible où les personnages passent par des questionnements attendus (lorsqu'ils sont correctement développés) et on nous ressert une romance qui sort de nulle part et est tristement sous-écrite. Le casting n'arrive jamais à faire briller le scénario, Matt Damon est totalement amorphe et le film sous exploite la malice de Christoph Waltz et l'énergie de Kristen Wiig alors qu'ils auraient vraiment pu changer la donne avec plus de place. Reste Hong Chau qui apporte un tantinet de fraîcheur même si elle n'a jamais vraiment l'opportunité de prendre les devants. Et on ne s'arrêtera même pas sur la réalisation totalement fade et le sens de la mise en scène quasi inexistant de Alexander Payne où les rares idées sur la mise en échelle se trouve dans la bande annonce et que le reste n'est qu'un spectacle d'une platitude embarrassante.

    On ne peut pas vraiment dire que Downsizing soit un mauvais film, il est juste insignifiant. Il suit un cahier des charges tellement bien rodé qu'il mène son spectateur du point A au point B sans la moindre encombre dans un récit terriblement balisé et prévisible. Le résultat est sans saveur et paresseux mais jamais indigeste car même si le casting fait le strict minimum, il reste convaincant tandis que le scénario arrive à se tenir. Mais Downsizing aurait tellement pu aller plus loin dans la critique, la satire et l'humour noir et on ne peut que regretter de le voir rester aussi sage avec un postulat aussi génial. Voir une telle opportunité ratée en est presque criminel car jamais Alexander Payne et Jim Taylor ne semble suffisamment inspirés pour exploiter ce qu'ils ont entre les mains. Il n'en reste donc plus qu'un spectacle fade qui sera très vite oublié.
    Jérémie
    Jérémie

    142 abonnés 749 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 mai 2018
    Si le film plait d’emblée grâce à ce futur possible, on se retrouve rapidement pris par un énorme mélange sans intérêt.
    Pas de fin, pas de réelle histoire, simplement des pseudos questions philosophiques pour des pseudos intellectuels.
    A éviter.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 janvier 2018
    J'ai vu que ce film se faisait descendre par la critique, je ne rédige pas souvent d'avis et je ne pourrais pas exprimer tout ce que j'ai ressenti pendant ce film que j'ai adoré. Je pense que c'est un film très beau et intelligent et que des films de SF avec de l'originalité et du message comme celui ci il en manque !
    Je me suis tout simplement laissé porter par le film, la beauté de la mise en scène et la qualité du scénario. J'ai aimé les dialogues et l'équilibre émotion, humour. Les décors et paysages sont magnifiques. On sent constamment que les personnages soient petits grâce à des petits détails dans les textures, des objets placés dans leur environnement...
    C'est de l'excellente science fiction comme je l'aime. Le réalisme est soigné et le symbolisme parle de notre époque. Il m'a fait beaucoup réfléchir sur les biens matériels, les réactions a adopter face à la crise écologique.
    Personnellement j'y ai vu principalement une métaphore des promesses de l'immigration économique qui font tomber les gens de haut. Il y a tout d'abord la violence de la miniaturisation, le désenchantement, les dérives du système (grandes inégalités sociales scandaleuses nécéssaire pour que les très riches oisifs puissent exister...) La scène du film lorsqu'il arrive dans sa grande maison miniature m'a mis une claque, m'a interrogé sur l'importance des biens matériels.
    Le film traite aussi de la crise écologique et des différentes façons d'y faire face : individuelles ou collectives, technologiques ou humanitaires... Les mentalités occidentales et asiatiques sont également confrontées avec une acceptation différente des choses, du changement, de la mort. Il m'a fait réfléchir sur l'humanitaire, l'aide aux autres désintéressé, sans jugement.
    La passivité et la soumission du personnage principale sont très intéressantes ; peut-être représente-t-il l'humain "moyen" qui subit, suit, renonce face à l'effort, et rate souvent !
    C'est le genre de film de SF au scénario original que je voudrais voir d'avantage au cinéma (j'avoue que j'en ai marre des remakes, des marvels et des films pour ados adaptés de best sellers...).
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 janvier 2018
    2h15 d'absurdité, d'humour qui tombe à plat, de message pseudo écologique survolé pour laisser place à une histoire d'amour niaise....bref 2h15 d'ennui....
    tyrionFL
    tyrionFL

    22 abonnés 384 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 10 janvier 2018
    Downsizing est une deception.
    1ere critique avec un film que j'attendais et que je n'ai pas aimé.
    Le pitch est super mais sérieux quel ennui .
    Commençons par les points noirs principaux au nombre de quatre :
    Le plus mineur et c est un comble pour une comédie c'est l'humour!
    Le film n'est pas drôle certaines répliques ou blagues fonctionnent mais sont plates et banales voire vulgaire.
    Les 2 personnages assez "drôles" sont ceux de christophe waltz et celle de la vietnamienne mais restent vulgaires et plats.
    Ensuite 2 défauts liés sont le scénario et le rythme si vous l'avez vu ou si vous allez le voir pas besoin de long développement, le film est lent et chiant !!!
    Le pitch du down sizing est super mais dès que paul est retreci, le film s'arrête et c'est juste un simple tour du voisinage.
    La catastrophe tant attendue arrive au bout d'1h45 et est prévisible et ne sert à rien a part provoquer l un des deux seuls choix du film( se faire rétrécir ) .
    Enfin les personnages sont vides ou banals, paul est un looser classique si je puis dire le reste du casting n'est pas dvp, rien d'intéressant, au mieux ce sont des archétypes au pire des steréotypes.mauvais
    Le film a des points positifs tel un esthétisme intéressant, un christophe waltz sympathique, un super pitch, un fin tout de même pleine de messages et des enjeux sous-dvp mais existants.
    Pour conclure le film est une déception et plus que ça un mauvais film de par son scénario futile et son humour bête et maladroit.
    Je ne vous le recommande pas je vous conseille plus l'homme qui rétrécit un classique de 1957 bien meilleur ( ce sera ma deuxième critique)
    Merci de votre lecture ^^
    Prad12
    Prad12

    91 abonnés 1 086 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 mars 2018
    On part d'une idée originale, diminuer la population non pas en nombre mais en taille pour économiser la planète et ses ressources et on arrive à un truc humanitaire qui veut nous parler de politique migratoire, de pauvreté, de justice sociale et de philosophie à la hollywoodo-cocacolesque..... c'est extrêmement décevant car ce n'est pas le film vendu. Et la soupe hypocrite que les bobos milliardaires du cinéma veulent nous forcer à manger me ferait plutôt vomir..... A noter que Matt Damon a le charisme et le jeu d'une boite de conserve.....
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 15 janvier 2018
    Downsizing a exploité 1% du potentiel qu'il promettait.
    On espère des beaux visuels, des contrastes fort en démesure, si vous cherchez cela, autant vous prévenir que vous pouvez revoir FourmiZ à la place.
    Le talent des grandioses Matt Damon et Christoph Waltz n'est absolument exploité.
    Il n'y a ni l'humour que l'on attend ni une volonté politique.
    Il effleure la question de l'écologie, de l'environnement, de la santé, de notre société de consommation, on se dit "ah tiens un peu de substance", et finalement non, cette réflexion se résume en trois répliques.
    Et une dernière chose, pour ceux qui ne sont pas découragés de le voir, allez le voir en version originale, car le doublage français y est atroce, les accents sont clichés, surjoués tournant les interprètes en ridicule !!!
    Enfin, le rythme est très lent, la médiocrité de ce scénario pouvait tenir dans un format d'une heure.
    blacktide
    blacktide

    58 abonnés 795 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 janvier 2018
    La vie est naine...

    Il y a toujours eu dans le cinéma d’Alexander Payne cet humanisme de l’instant. Des fragments d’absolu baignant dans un ensemble d’inconnu, d’irrésolu. Car de la frustration émergeait souvent une douce mélancolie, où les minimes fulgurances emplissaient nos cœurs de partage et d’amour. Une émotion qui souvent dépassait son propre cadre, pour nous inviter à la chercher, la trouver ou s’ennuyer. Tout n’étant au final qu’une question de réceptivité et d’observation : savoir apprécier un moment, une émotion, une vérité cachée sous l’artificialité de son histoire. Mais le Cinéma de Payne peut avant tout se voir comme une illusoire « dérive des continents ». Des films sur les cassures, les ruptures, les fissures, qui répondent tous à un besoin de retrouver cet équilibre. Des films qui, sous l’ironie et le décalage, ne sont que des invitations à la reconstruction. Des œuvres optimistes en somme. Et Downsizing se voudrait incarner pleinement la démarche fabuliste de son auteur mais s’enlise dans l’inabouti et le changement de direction soudain de son concept.

    The Descendants souffrait parfois de sa parole, de son intimité, de son impuissance à élever la comédie humaine hors de son archipel de maladresses. Des lourdeurs qui au fond n’étaient là que pour renforcer cette distance, ce décalage, ce flottement habitant ce père de famille, perdu entre les choses brutes de la vie et le dépaysement apparent de la sienne. Car Payne a un certain don pour composer des portraits d’hommes brisés. George Clonney et Jack Nicholson y ont construit des rôles où l’émotion ne versait jamais dans l’excès, avec assez de justesse pour insuffler à leurs errements un souffle de renouveau. Des personnages qui se cherchent et se réparent. Toutes ces épreuves pour aboutir à une forme de réunion, qu’elle soit autour d’un verre, autour d’un père, autour d’une glace, dans un canapé ou sous une couverture.

    Downsizing ne déroge pas à ce caractère : le personnage de Paul Safranek est d’une parfaite cohérence dans la filmographie de Payne. Un de ces pommés magnifiques qui, sous l’artifice du rétrécissement, apprendra à devenir Grand. Une quête intérieure matérialisée par la mécanique du voyage. The Descendants faisait de son exotisme un lieu de perdition où le voyage ne serait que mental, comme des îles qui s’éloignent dans une larme d’agitation et de liaison : s’en dégageait alors une véritable chaleur, comme une Taverne de l’Irlandais où le désordre ne serait qu’intérieur et insaisissable. Dans Downsizing, le voyage est d’échelle : briser l’image idéalisée de la miniature par la trahison et l’abandon pour chercher dans sa nouvelle vie un idéalisme naissant. Comme une sorte de déclic provoqué par son voisin Dusan (un fantastique Christopher Waltz) qui lui confie voir de la tristesse sous son apparente bienveillance ; une confession renvoyant directement à celle de Monsieur Schmidt. Tout cela pour jouir de la vie et faire que celle-ci ait un sens.

    Le cinéma de Payne est au fond intensément de science-fiction : comprendre le réel en le confrontant à son contraire. Et en cela, Downsizing ne pouvait être totalement axé sur son concept (tout du moins du point de vue de Payne), n’étant qu’un prétexte pour parler l’Homme, ou plutôt de l’humain. Comme pour faire du paradis ou de l’utopie/ dystopie une façade pour révéler les fissures de l’être : miniaturiser la société pour montrer la reproduction des divisions humaines, de l’égoïsme à l’individualisme, de l’inégalité aux schémas de classe… Une société brisée. Mais au bout, l’amour, l’amitié, le bonheur. Une sorte de réflexion sur la place de l’Homme dans un monde qui meurt, aussi bien sur un plan écologique qu’humain. Un subterfuge permettant à Payne d’aborder la société contemporaine, des nouveaux modes de vie à la destruction environnementale, de l’Amérique consumériste (la façon de vendre la « miniaturisation » comme une publicité ou un talk-show en est assez représentative) à la Norvège consciente des enjeux, tout en portant un regard caustique sur la multitude de sujets explorés. Une abondance qui fait de Downsizing une œuvre généreuse, mais s’embourbant dans les pistes inexplorées, les promesses non tenues et l’émerveillement à perte.

    Puisque de cette envie de construire plein de choses en une seule œuvre, ne restent que des idées mises de côté. Là où le magistral L’homme qui rétrécit de Jack Arnold abordait de manière totale son sujet et son interaction vis-à-vis de son environnement, Downsizing concentre sa ligne directrice sur l’interaction humaine avec autrui, limitant son large univers à une insuffisante parcelle de préoccupations sociales et humanitaires. Une sorte de Ken Loach à la sauce Capra, sans la virtuosité des deux dans leur domaine. Et l’enchantement ne dure qu’un instant, dans une première partie drôle, décalée et surprenante, avant que n’apparaissent les longueurs, la confusion et l’inexploité.

    Qu’en est-il de ces brillants acteurs n’apparaissant que l’espace d’une seconde ? Qu’en est-il de ce monde miniature, de ses agrandissements, de ses plurielles conséquences sur l’Homme ? Car Payne fait rapidement de l’extraordinaire un concept où les habitudes deviennent tout aussi rapidement ordinaires. Un désintérêt car pour lui, l’essentiel n’est pas là. Car le paradis n’est pas dans l’excès, le grandiose ou le démesuré mais dans ces choses simples, ces moments de réunion, ces instants de partage où les cris et les pleurs intérieurs se muent en une gaieté et simplicité somme toute « humaine ».

    Comme en passant du microcosme familial au macrocosme de la Vie, Payne voit les choses en Grand sans changer la focale, faisant de ses belles et humanistes promesses un flou sentimentaliste sans grande cohésion ni admiration. Le reproche en définitive de nous avoir vendu un monumental concept pour se retrouver avec une œuvre, sympathique certes, mais différant de son postulat initial, plus concentré sur l’humain que sur le groupe. Et de ce film à faux-concept, rien ne pourra vous sauver de la frustration/ déception, pas même la dérision, pas même la sincérité de ses émotions, pas même le charme de ses acteurs. Sous son maladroit mélange des genres, Downsizing n’en demeure pas moins un film thématiquement cohérent dans la filmographie de Payne, cherchant dans la crise masculine les failles de chacun pour les transformer progressivement en des morceaux humanistes. Des Hommes craignant que le monde ne les voie qu’à travers leur « petitesse », pour au final s’accepter en tant que tel, dans la simplicité, le sourire et l’affection. Ce que Nebraska parvenait à évoquer avec sobriété, sagesse et émotion. Avec Downsizing, Payne élargit ses horizons mais n’en réduit que plus sa bienveillante déclaration.

    Same As It Ever Was…
    Thomas D
    Thomas D

    86 abonnés 179 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 3 février 2018
    Ce film n'est pas exceptionnel.... le problème c'est qu'on a un potentiel monstre qui n'est pas exploité.... ca ne m'a pas empêché de passer un bon moment , ce film pourrait être pire et meilleur ... les acteurs sauvent la donne ......
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 janvier 2018
    plat... ininteressant.... ne correspond pas à la bande-annonce. les personnages pourraient être grand ca ne changerait rien
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 11 janvier 2018
    Quelques blagues vraiment juste quelques une.... un Matt Damon fatigué, un Christopher Waltz qui sauve les meubles par ça prestation mais globalement c’est un mauvais film
    circusstar
    circusstar

    135 abonnés 718 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 février 2018
    Le début est plutôt pas mal et puis un ennui sans nom s’empare de ce sujet. Je ne dors jamais au cinéma mais là c’était insurmontable.
    Jerome B.
    Jerome B.

    71 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 mars 2018
    Fuyez!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 8 mars 2018
    Je m'attendais à un film ou l'on traite plus des problèmes liés à la petite taille sur un ton léger..
    Et bien non, mais quelle agréable surprise.
    La musique, la réalisation, l'image, le jeu, tout est au niveau pour nous faire passer un bon moment.
    Je comprends que certains n'aiment pas ce film, c'est subtile, fin, frais, nouveau.
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