Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
36 critiques presse
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Un petit Damon pour un grand Payne. Une satire sociale réussie sous forme de SF.
20 Minutes
par Caroline Vié
Même miniaturisé, Matt Damon est un immense comédien.
Bande à part
par Isabelle Danel
Le nouveau film d’Alexander Payne (Sideways, The Descendants, Nebraska) part d’une idée loufoque digne d’un dessin animé, et la traite avec un brin de nostalgie des fables cinématographiques signées Frank Capra ou Preston Sturges, tout en gardant le cap d’une parabole moderne.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CNews
par La rédaction
Jamais cousu de fil blanc, le récit emprunte des chemins pittoresques et le spectateur va de surprise en surprise.
Closer
par La Rédaction
Derrière l'aspect science-fiction se cache une satire sociale traitée avec ironie, où le rêve américain en prend pour son grade.
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Surprenant, réjouissant, intelligent, ce film d'anticipation nous interpelle. Il est porté par Matt Damon, taillé pour le rôle !
Filmsactu
par Olivier Portnoi
"Downsizing" est un comédie SF grinçante, cynique et originale.
La critique complète est disponible sur le site Filmsactu
IGN France
par Sylvain Trinel
Dans un genre superficiel, Downsizing nous rafraîchit.
La critique complète est disponible sur le site IGN France
LCI
par Romain Le Vern
En ces temps de débats binaires, voilà une jolie fantaisie anxieuse qui n’a pas toutes les réponses à ses questions, qui propose de ne pas passer à côté des choses compliquées et qui fait un bien fou.
La critique complète est disponible sur le site LCI
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Avec "Downsizing", l’Américain Alexander Payne signe une fable SF plutôt adulte qui s’imprègne de candeur ironique pour nous emmener vers un idéalisme assez étonnant.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Thomas Sotinel
La mise en scène de Payne colle à ces ruptures de ton, avec cette faculté à installer une familiarité immédiate avec les personnages.
Le Parisien
par Renaud Baronian
Des acteurs au top. Grand amoureux des comédiens, qui le lui rendent bien, Payne s'est entouré d'acteurs épatants.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Marianne
par Olivier de Bruyn
Même si le film souffre de quelques longueurs, Downsizing, incarné par un Matt Damon tout petit, mais en grande forme, confirme l'inspiration d'un auteur format XXL.
Positif
par Olivier De Bruyn
Si le film, d'une durée de 2h15, souffre de quelques longueurs (...), "Downsizing" séduit grâce à sa singularité et confirme l'inspiration d'un auteur résolument hors norme dans le paysage du cinéma américain.
Première
par Christophe Narbonne
A travers ce personnage de crédule idéaliste de plus en plus volontaire, Payne dévoile un optimisme insoupçonné à la Capra et signe au passage son film le plus enchanteur.
Public
par Florence Roman
Sous des allures de divertissement, cette fable écolo pose de vraies questions sur l'avenir de la planète et sur la préservation des richesses naturelles.
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Une fable humaniste délicate, doublée d'une satire sociale féroce du mode de vie américain.
Voici
par Jérôme Saunier
La fable sociale affûtée s'abîme un peu dans le constat d'amertume, mais le concept reste fascinant, porté par une imagerie riquiqui irrésistible.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un pari tenu, même s’il n’est pas dénué de pesanteur.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Obs
par Nicolas Schaller
Matt Damon fait le job, ajoutant un titre à sa filmographie de démocrate exemplaire. Alexander Payne, lui, tourne volontairement le dos au vaste potentiel cinématographique de son sujet pour se concentrer sur ses enjeux humains et politiques. Mais le propos est édifiant et la fable, mollassonne.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Céline Rouden
À mi-chemin entre la comédie et la fable humaniste, le nouveau film d’Alexander Payne est une réflexion originale et réjouissante sur l’état du monde en dépit d’une fin un peu trop édifiante.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par La Rédaction
L'intrigue est parfois confuse, mais ses soubresauts ont un charme cahotant.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Sous ses dehors de comédie de science-fiction inoffensive et absurde se cache une fable cruelle et pertinente pour dénoncer une société régie par l’intolérance, la violence, le consumérisme, le fossé grandissant entre les riches et les pauvres, la perte de l’identité.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Chloé Rolland
Une solution au dérèglement climatique : réduire l’homme, gain de place et maîtrise du gaspillage garantis. Sur ce postulat, Alexander Payne tisse un récit gorgé de l’esprit 70’s hippie, mais pas assez électrisé par l’acidité de notre monde moderne déglingué.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Sous son emballage de fable sci-fi distrayante, "Downsizing" déploie une réflexion sur le concept de décroissance assortie d’une critique sérieuse de l’american way of life, de son consumérisme niais et de son séparatisme ethnique et social. Petit ou grand, le confort climatisé des classes moyennes est un anesthésiant qui rend difficile la prise de conscience du fonctionnement inégalitaire du monde. Le film rend compte de ce lent éveil, et cet effort n’est pas petit.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Transfuge
par Nathalie Dassa
Payne embarque Damon dans un voyage de découverte qui développe en vain de nombreux grands thèmes en même temps. C'est dommage.
Ecran Large
par Alexandre Janowiak
"Downsizing" offre une première demi-heure réjouissante et énergique avant de sombrer dans le romantisme niais. Reste alors l’impression d’un immense gâchis.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
Ambitieux, le film l'est donc certainement, mais à force d'élargir l'objectif pour aborder tous les problèmes soulevés par la thématique, il finit par perdre force et énergie, s'essouflant irrémédiablement à mi-parcours (...).
L'Express
par Eric Libiot
Payne prend tout de trop haut, comme si le fait de traiter le genre réduisait sa pensée.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Une fable à visée de satire sociale, agréable dans ses prémices lilliputiennes, mais qui se perd en route en ne sachant trop où aller. N’est pas Swift qui veut.
Libération
par Léo Soesanto
Une fois Damon expédié dans sa ville de poupées, le film s’émousse en critique convenue de l’american way of life (...).
La critique complète est disponible sur le site Libération
Rolling Stone
par Jessica Saval
Sur le papier, Downsizing a donc tout pour plaire… et pourtant. Si son scénario repose sur les fondements solides d’une inquiétante quasi-réalité, il pèche par un manque cruel d’ambition.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film démarre en flèche, vibrant de toutes ses promesses sur une si bonne base, puis il n’a plus rien à raconter. Et pour cause : l’idée force est la mutation, pas ce qui attend le héros, lequel se retrouve Lilliputien, rencontre des gens à sa taille et va vers une sorte d’accomplissement personnel qui n’a guère d’intérêt. Dommage.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jérémie Couston
La fable sarcastique prend, alors, une tournure à la fois plus politique et plus filandreuse, où l’écologie est assimilée à une secte. Pour finir dans un prêchi-prêcha potentiellement réactionnaire qui fait s’écrouler toute l’ironie de la première partie.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
La fable fonctionne un temps, le temps que l’exploration ludique de ce micro-monde de Lego humains laisse place à un humanitarisme Benetton d’une niaiserie et d’une hypocrisie sans nom.
Critikat.com
par Josué Morel
L’amusant postulat de "Downsizing", qui augure un film jouant sur un imaginaire lilliputien, débouche sur une fable atone, survolant son terrain de jeu pour mieux s’attacher à une allégorie quelque peu lourde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Studio Ciné Live
Un petit Damon pour un grand Payne. Une satire sociale réussie sous forme de SF.
20 Minutes
Même miniaturisé, Matt Damon est un immense comédien.
Bande à part
Le nouveau film d’Alexander Payne (Sideways, The Descendants, Nebraska) part d’une idée loufoque digne d’un dessin animé, et la traite avec un brin de nostalgie des fables cinématographiques signées Frank Capra ou Preston Sturges, tout en gardant le cap d’une parabole moderne.
CNews
Jamais cousu de fil blanc, le récit emprunte des chemins pittoresques et le spectateur va de surprise en surprise.
Closer
Derrière l'aspect science-fiction se cache une satire sociale traitée avec ironie, où le rêve américain en prend pour son grade.
Femme Actuelle
Surprenant, réjouissant, intelligent, ce film d'anticipation nous interpelle. Il est porté par Matt Damon, taillé pour le rôle !
Filmsactu
"Downsizing" est un comédie SF grinçante, cynique et originale.
IGN France
Dans un genre superficiel, Downsizing nous rafraîchit.
LCI
En ces temps de débats binaires, voilà une jolie fantaisie anxieuse qui n’a pas toutes les réponses à ses questions, qui propose de ne pas passer à côté des choses compliquées et qui fait un bien fou.
La Voix du Nord
Avec "Downsizing", l’Américain Alexander Payne signe une fable SF plutôt adulte qui s’imprègne de candeur ironique pour nous emmener vers un idéalisme assez étonnant.
Le Monde
La mise en scène de Payne colle à ces ruptures de ton, avec cette faculté à installer une familiarité immédiate avec les personnages.
Le Parisien
Des acteurs au top. Grand amoureux des comédiens, qui le lui rendent bien, Payne s'est entouré d'acteurs épatants.
Marianne
Même si le film souffre de quelques longueurs, Downsizing, incarné par un Matt Damon tout petit, mais en grande forme, confirme l'inspiration d'un auteur format XXL.
Positif
Si le film, d'une durée de 2h15, souffre de quelques longueurs (...), "Downsizing" séduit grâce à sa singularité et confirme l'inspiration d'un auteur résolument hors norme dans le paysage du cinéma américain.
Première
A travers ce personnage de crédule idéaliste de plus en plus volontaire, Payne dévoile un optimisme insoupçonné à la Capra et signe au passage son film le plus enchanteur.
Public
Sous des allures de divertissement, cette fable écolo pose de vraies questions sur l'avenir de la planète et sur la préservation des richesses naturelles.
Télé Loisirs
Une fable humaniste délicate, doublée d'une satire sociale féroce du mode de vie américain.
Voici
La fable sociale affûtée s'abîme un peu dans le constat d'amertume, mais le concept reste fascinant, porté par une imagerie riquiqui irrésistible.
Franceinfo Culture
Un pari tenu, même s’il n’est pas dénué de pesanteur.
L'Obs
Matt Damon fait le job, ajoutant un titre à sa filmographie de démocrate exemplaire. Alexander Payne, lui, tourne volontairement le dos au vaste potentiel cinématographique de son sujet pour se concentrer sur ses enjeux humains et politiques. Mais le propos est édifiant et la fable, mollassonne.
La Croix
À mi-chemin entre la comédie et la fable humaniste, le nouveau film d’Alexander Payne est une réflexion originale et réjouissante sur l’état du monde en dépit d’une fin un peu trop édifiante.
Le Figaro
L'intrigue est parfois confuse, mais ses soubresauts ont un charme cahotant.
Le Journal du Dimanche
Sous ses dehors de comédie de science-fiction inoffensive et absurde se cache une fable cruelle et pertinente pour dénoncer une société régie par l’intolérance, la violence, le consumérisme, le fossé grandissant entre les riches et les pauvres, la perte de l’identité.
Les Fiches du Cinéma
Une solution au dérèglement climatique : réduire l’homme, gain de place et maîtrise du gaspillage garantis. Sur ce postulat, Alexander Payne tisse un récit gorgé de l’esprit 70’s hippie, mais pas assez électrisé par l’acidité de notre monde moderne déglingué.
Les Inrockuptibles
Sous son emballage de fable sci-fi distrayante, "Downsizing" déploie une réflexion sur le concept de décroissance assortie d’une critique sérieuse de l’american way of life, de son consumérisme niais et de son séparatisme ethnique et social. Petit ou grand, le confort climatisé des classes moyennes est un anesthésiant qui rend difficile la prise de conscience du fonctionnement inégalitaire du monde. Le film rend compte de ce lent éveil, et cet effort n’est pas petit.
Transfuge
Payne embarque Damon dans un voyage de découverte qui développe en vain de nombreux grands thèmes en même temps. C'est dommage.
Ecran Large
"Downsizing" offre une première demi-heure réjouissante et énergique avant de sombrer dans le romantisme niais. Reste alors l’impression d’un immense gâchis.
L'Ecran Fantastique
Ambitieux, le film l'est donc certainement, mais à force d'élargir l'objectif pour aborder tous les problèmes soulevés par la thématique, il finit par perdre force et énergie, s'essouflant irrémédiablement à mi-parcours (...).
L'Express
Payne prend tout de trop haut, comme si le fait de traiter le genre réduisait sa pensée.
Le Dauphiné Libéré
Une fable à visée de satire sociale, agréable dans ses prémices lilliputiennes, mais qui se perd en route en ne sachant trop où aller. N’est pas Swift qui veut.
Libération
Une fois Damon expédié dans sa ville de poupées, le film s’émousse en critique convenue de l’american way of life (...).
Rolling Stone
Sur le papier, Downsizing a donc tout pour plaire… et pourtant. Si son scénario repose sur les fondements solides d’une inquiétante quasi-réalité, il pèche par un manque cruel d’ambition.
Sud Ouest
Le film démarre en flèche, vibrant de toutes ses promesses sur une si bonne base, puis il n’a plus rien à raconter. Et pour cause : l’idée force est la mutation, pas ce qui attend le héros, lequel se retrouve Lilliputien, rencontre des gens à sa taille et va vers une sorte d’accomplissement personnel qui n’a guère d’intérêt. Dommage.
Télérama
La fable sarcastique prend, alors, une tournure à la fois plus politique et plus filandreuse, où l’écologie est assimilée à une secte. Pour finir dans un prêchi-prêcha potentiellement réactionnaire qui fait s’écrouler toute l’ironie de la première partie.
Cahiers du Cinéma
La fable fonctionne un temps, le temps que l’exploration ludique de ce micro-monde de Lego humains laisse place à un humanitarisme Benetton d’une niaiserie et d’une hypocrisie sans nom.
Critikat.com
L’amusant postulat de "Downsizing", qui augure un film jouant sur un imaginaire lilliputien, débouche sur une fable atone, survolant son terrain de jeu pour mieux s’attacher à une allégorie quelque peu lourde.