Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
L'Obs
par La Rédaction
Le regard est distant (heureusement), la composition des images, soignée, le message, puissant : plus qu’un film de fiction, c’est un cri d’alarme contre la toute-puissance d’une idéologie déshumanisante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Cahiers du Cinéma
par Florent Guézengar
La frontalité critique et réaliste n’empêche pourtant pas les chemins de traverse, associant drame social, chronique intimiste, film noir, avec des touches d’humour caustique et même des percées fantastiques, et, malgré quelques errements, un point de vue autant cohérent qu’insolite.
Positif
par Ariane Allard
Sobrement, à grand renfort de plans secs et patients, et en dépit de quelques maladresses (...), "Shadow Days" est animé d'une force tragique irrépressible.
Première
par Isabelle Danel
Le film est d’une beauté cruelle et dérangeante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Traitant de la politique de l’enfant unique, à laquelle la Chine a mis fin en octobre dernier, ce drame lent et pesant bénéfice d’une véritable atmosphère.
Les Fiches du Cinéma
par Marine Quinchon
Zhao Dayong livre une fiction aux accents documentaires, un témoignage terrible sur les pratiques qui accompagnent la politique de l'enfant unique.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Zhao Dayong dessine patiemment le visage hideux de la barbarie sociale, et croit assez fort à un langage plutôt apparenté au cinéma de genre pour éviter les écueils pontifiants du film à sujet.
Paris Match
par Yannick Vely
Venu du cinéma documentaire, Zhao Dayong ancre son récit dans le réel d'une ville située à flanc de montagne, à la frontière entre la Birmanie et la Chine. Et si la mise en scène manque parfois un peu de nerf, la beauté de certains plans sidère.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Parfois longuet, mais étonnant.
Télérama
par Frédéric Strauss
En mêlant réalisme et croyances ancestrales, le réalisateur rend son propos un rien flottant, comme pour en arrondir les angles politiques. Mais il crée une atmosphère forte, trouble et troublante.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
Le regard est distant (heureusement), la composition des images, soignée, le message, puissant : plus qu’un film de fiction, c’est un cri d’alarme contre la toute-puissance d’une idéologie déshumanisante.
Cahiers du Cinéma
La frontalité critique et réaliste n’empêche pourtant pas les chemins de traverse, associant drame social, chronique intimiste, film noir, avec des touches d’humour caustique et même des percées fantastiques, et, malgré quelques errements, un point de vue autant cohérent qu’insolite.
Positif
Sobrement, à grand renfort de plans secs et patients, et en dépit de quelques maladresses (...), "Shadow Days" est animé d'une force tragique irrépressible.
Première
Le film est d’une beauté cruelle et dérangeante.
Le Journal du Dimanche
Traitant de la politique de l’enfant unique, à laquelle la Chine a mis fin en octobre dernier, ce drame lent et pesant bénéfice d’une véritable atmosphère.
Les Fiches du Cinéma
Zhao Dayong livre une fiction aux accents documentaires, un témoignage terrible sur les pratiques qui accompagnent la politique de l'enfant unique.
Les Inrockuptibles
Zhao Dayong dessine patiemment le visage hideux de la barbarie sociale, et croit assez fort à un langage plutôt apparenté au cinéma de genre pour éviter les écueils pontifiants du film à sujet.
Paris Match
Venu du cinéma documentaire, Zhao Dayong ancre son récit dans le réel d'une ville située à flanc de montagne, à la frontière entre la Birmanie et la Chine. Et si la mise en scène manque parfois un peu de nerf, la beauté de certains plans sidère.
Studio Ciné Live
Parfois longuet, mais étonnant.
Télérama
En mêlant réalisme et croyances ancestrales, le réalisateur rend son propos un rien flottant, comme pour en arrondir les angles politiques. Mais il crée une atmosphère forte, trouble et troublante.