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    Hardcore Henry
    Note moyenne
    3,1
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    231 critiques spectateurs

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    Acidus
    Acidus

    720 abonnés 3 709 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 avril 2016
    "Hardcore Henry" part d'un concept original mais risqué à savoir tourné tout un film en caméra subjective. On ne parle pas ici du found-footage que l'on voit habituellement dans de nombreux films d'horreur ("REC", "Cloverfield", "Projet Blair Witch",...) mais bien d'une vue à la première personne permettant aux spectateurs de voir à travers les yeux du personnage principal. On peut voir ce brièvement ce procédé, pour la première fois, dans "La dame du lac" de Robert Montgomery. En user durant 1h30 est plutôt délicat car les mouvements de caméra peuvent vite rendre le film brouillon et indigeste. Toutefois, le cinéaste Ilya Naishuller s'en sort bien et, à quelques exceptions près, l'image reste lisible. Ce n'est pas un détail puisque le film est un concentré d'action qui va à cent à l'heure, appuyé en cela par une excellente bande son et un rythme soutenu. Pas le temps de s'ennuyer. Même si les deux films sont différents, on y retrouve l'esprit d'un "Hyper Tension" (2006). Si le film se compose presque uniquement d'action, celle-ci est assez varié pour ne pas nous donner une impression de redite. Cela nous rappelle fortement les FPS, un genre connu et prisé par les amateurs de jeux vidéos. L'adaptation (catastrophique) cinématographique "Doom" de 2005 utilisait déjà compendieusement cette vue FPS. Heureusement, "Hardcore Henry" ne se prend pas au sèrieux et une bonne d'humour et de second degré vient pimenter l'ensemble. Si on peut lui repprocher quelques longueurs vers la fin, ce long métrage atypique est un pur divertissement jouissif et efficace.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 14 avril 2016
    On pose le cerveau, on se met en mode jeu vidéo et c'est parti pour une séance d'action à la Counter Strike version réel. Très bien tourné dans ce sens il ravira les geek amateur de FPS. Par contre les non-joueur de jeu de tire risque de n'y trouver aucun intérêt car le scenario lui aussi colle aux jeu vidéo de ce type avec le fameux boss de fin et divers passage dur à passer.
    niveau gore et action y en a pour son argent.

    En tant que geek fps je me suis régalé.
    Jessica M
    Jessica M

    14 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 avril 2016
    Henry est effectivement hardcore! La bande son est assez folle, l'idée originale mais j'ai trouvé que l'on tournait parfois en rond... bon divertissement tout de même.
    Steven Merlier
    Steven Merlier

    37 abonnés 178 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 avril 2016
    film d action russe tourne en premiere personne integralement ! Tres deroutant au depart on s y habitue ! Me debut etant assez lent on se demande ce qui va se passer mais une fois pris dans ce film en ayant deconnecter le cerveau et ne pas avoir d exigence niveau scenario original ! On plonge dans un moscou futuriste avec les codes d ajjourd hui !
    Ressemblant a un jeux video mais c est aussi son defaut ca se jpuerai pkus que ca se regarde mais passer la premiere demie heure assez plan plan !
    Mais a la fin on est pris dans cet debauche de sang de triped et d action et on prend plaisir a voir ce massacre !
    Spe64
    Spe64

    26 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 14 avril 2016
    1h30 de film en quasi totalité en vue subjective... un pari osé... et réussi, Henry se réveille sans souvenirs..et très vite l'action démarre...
    De l'action presque non stop, quelques flashbacks, pour un film à rebondissement prenant avec une chouette BO rythmée, des personnages réussi, de l'humour et bien sur de la violence pour un grand délire cinématographique.
    Le scénario est plus que simpliste mais prenant, s'organisant à la façon d'un jeu vidéo, et ses différents niveaux.
    Un film à voir pour le "concept" qui sort de l'ordinaire et qui fonctionne très bien ici.
    RedArrow
    RedArrow

    1 665 abonnés 1 529 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 14 avril 2016
    Attention, les gens, un mégalo-albinos-dingo a décidé de créer une armée de super-soldats bioniques !!
    Bon, on ne comprendra jamais trop pourquoi vu que ce type surpuissant dispose déjà de pouvoirs télékinésiques qui feraient passer n'importe quel X-Men pour un petit chaton tout mignon et d'un nombre d'hommes de main équivalent à la moitié de la population mondiale. Heureusement, Henry, un homme ayant subit les mêmes modifications corporelles que ces soldats, va tenter de déjouer ce projet machiavélique...et accessoirement de sauver sa belle (ça rajoute un enjeu sentimental dans toute cette testostérone comme ça, c'est bien).
    Pour cela, Henry va tuer des gens. Tout le temps. Sans arrêt. Quitte à nous amener aux portes de la folie épileptique.
    Car tout ça, on va le vivre entièrement à travers le regard d'Henry, à la première personne.

    On va être franc : l'idée d'un long-métrage en mode FPS était marrante, le clip à l'origine du projet et la bande-annonce donnaient même envie d'y croire.
    Mais la pire idée possible était de faire ça avec une intrigue de mauvais jeu vidéo dont aucun éditeur ne voudrait !
    Ben ouais, les gars, c'était soit l'un soit l'autre ! Parce que les deux en même temps, passées les premières minutes amusantes de découverte du concept, on a l'impression de se retrouver dans la tête d'un type en pleine montée d'acide qui ferait intervenir un Sharlto Copley et ses dizaines d'avatars avec autant de personnalités différentes (c'est quoi, ce délire, sérieux ??), une fille avec un katana sortie de nulle part (c'est toujours cool), toutes les armes possibles et inimaginables (il y a même un tank, les gars), plein de scènes où-qu'on-comprend-rien-à-ce-qui-passe-à-l'écran-tellement-ça-va-vite, de la musique en totale décalage avec les séquences de bastons pour bien nous marteler que tout ceci est très fun et une flopée de twists finaux complètement improbables qui ne doivent faire marrer que ceux qui les ont écrit.

    On sauvera de cette catastrophe une poignée de références marrantes à des jeux vidéos contemporains qui feront plaisir aux gamers et quelques exécutions sanglantes amusantes (surtout dans la dernière partie) mais on sera surtout très pressé d'en finir car regarder "Hardcore Henry", c'est aussi épuisant que de se refaire l'intégrale des Transporteur-Taxi-Hitman en simultané sur plusieurs écrans. Ouais, rien que ça...
    dagrey1
    dagrey1

    97 abonnés 655 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 avril 2016
    Hardcore Henry est un film de Illya Naishuller tourné en 2015.

    Ce long métrage est vraiment une expérience visuelle originale. Le film apparaît, aux yeux du spectateur, comme un long plan séquence de 1h30 où un homme en phase de réveil se fait greffer un bras et une jambe par une infirmière qui se présente comme sa femme. Un dénommé Akan et ses hommes débarquent et le prennent en chasse semant les cadavres sur leur route....

    "Hardcore Henry" est très immersif. En fait, on a le sentiment de se trouver dans un jeu vidéo et d'être aux manettes du personnage central. L'action est au rdv, la violence aussi ainsi que les effets spéciaux sanguinolents mais pour autant, je n'ai pas ressenti grand chose, le propos et les personnages étant assez caricaturaux. D'une certaine façon, trop d'action tue l'action et trop de violence tue la violence....

    Coté casting, on note la présence -démultipliée- de l'acteur sud-africain fétiche de Neil Blomkamp, Sharlto Topley, et une courte apparition de Tim Roth.
    La bande originale est assez réussie et franchement rock'n roll avec notamment les Stranglers (let me down easy) et Queen (Don't stop me now).
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 13 avril 2016
    Hardcore Henry est le premier FPS movie, FPS signifiant « first personal shooter » expression très connue des amateurs de jeux vidéo, dont il reprend entièrement les codes. Si on retrouve ce procédé dans le film « doom », aussi inspiré du jeu vidéo éponyme, mais seulement sur une scène, ici c’est la totalité du film. Cette réalisation apporte un côté immersif à l’œuvre puisqu'elle donne l’impression au spectateur d’être le héros du film (il faut alors avoir parfois le cœur bien accroché car la caméra bouge souvent surtout dans les scènes où le héro se la joue yamakasi), il manque toutefois la 3d. On ne va pas voir Hardcore Henry pour son scénario qui n’est pas du tout élaboré ; en effet, on suit un héro cyborg qui va délivrer sa femme des griffes d’un méchant doué de pouvoir télékinésique, une sorte de « boss » de fin de niveau, plus difficile à battre que les méchants sbires qui vont compliquer la tache d’Henry durant tout son périple. Hardcore Henry est avant tout un film de pure action assez original et très gore (âmes sensibles d’abstenir). Certaines scènes d’actions sont d’ailleurs plutôt réussies. Cependant, je m’interroge sur l’intérêt de faire un film des jeux vidéo dans la mesure où, à la différence des jeux vidéo, on ne contrôle pas le personnage principal. A voir plus comme une expérience.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 12 avril 2016
    Hardcore Henry (2015

    Après un grave accident, Henry se réveille amnésique dans un laboratoire où il se voit greffer un nouveau bras et une nouvelle jambe par sa femme Estelle. Cependant, un groupe conduit par Akan attaque. Essayant de s’enfuir, Estelle se fera capturer, tandis que Henry recevra de l’aide de la part de Jimmy.

    L’histoire est basée sur structure basique : un vilain kidnappe la bien-aimée d’Henry et il devra s’allier à un personnage atypique afin de délivrer son épouse.
    Et c’est sur cette ossature que se construit toute une série de lieux et de scène d’action qui se suivent et qui gagnent en intensité au fur et à mesure que l’on se rapproche du climax, spoiler: de la rencontre avec son but et avec l’antagoniste.


    L’élément original de ce film est dans sa mise en scène : le film est tourné entièrement à la première personne ! C’est-à-dire que nous suivons tout le film d’après le point de vue de Henry, comme si nous voyions tout à travers les yeux d’Henry !
    Alors que le cinéma nous a déjà habitués à ce genre de plan dans les films de thriller, nous montrant ce genre de point de vue pour p.ex. les actions du tueur sans pour autant nous révéler son identité, depuis le regard d’un robot avec un affichage tête haute ou bien encore à travers des lunettes futuristes (et un zoom numérique couplé à un bruit de moteur mécanique, le tout incorporé à une bête paire de jumelle bon marché…). Ici il s’agit de nous présenter des scènes d’action de combat et de tir. Alors que dans Doom, on avait l’impression d’être assis dans un wagon d’une attraction de fête foraine, ici l’action est tout autre et les rebondissements sont prenants.
    Alors que j’avais l’impression d’être constamment en face d’un mix entre un jeu de tir à la première personne et Mirror’s Edge, cette astuce avait l’avantage de faire plus que d’essayer de transposer simplement les moments d’action pour les spectateurs. Avec cette technique, ce film retranscrivait l’action telle qu’elle était perçu directement par son protagoniste et ce qui comptait pour lui, de ce fait, nous ressentions les émotions du héros et les dialogues de première main. Avec une tension soutenue, de l’action non-stop, ça déménage et décoiffe, dans tous les cas, je salue la prouesse technique.
    Attention, j’ai trouvé que le mouvement instable et tremblant de l’image était relativement fatiguant à la longue.

    Haley Bennett (Estelle) et Danila Kozlovsky (Akan) incarnait des personnages typés, l’une était spoiler: simplement l’objectif du héros, une genre de princesse en détresse ;
    l’autre était le puissant méchant, insensible et motivé par le pouvoir et l’argent ; mais heureusement, c’est surtout Sharlto Copley qui donnait une âme et de la personnalité à ce film, Henry ayant le syndrome du protagoniste silencieux (p.ex. Gordon Freeman dans Half-Life ou Link dans The Legend of Zelda). Copley incarnait donc Jimmy, un personnage qui viendra en aide à Henry, mais il lui confèrera beaucoup de personnalité, un côté décalé et amusant, sensible et amical.

    Les bruitages sont de qualité, jouant avec les explosions de tous bords, accompagnant les castagnes et grosses bagarres, mais ce qui m’avait marqué était l’utilisation de « Don't Stop Me Now » de Queen.

    Une expérience originale, particulière au service d’un film d’action déjanté, renversant et exaltant.

    7,5/10
    Lucas L (LeBigKalu sur SensCritique)
    Lucas L (LeBigKalu sur SensCritique)

    87 abonnés 386 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 16 juillet 2016
    Faire un film en vue subjective, c'était casse-gueule, mais Hardcore Henry c'est un jeu vidéo en film et c'est vraiment ça, il y un boss, une femme à sauver et des amis qui sont quand même plus compétant que dans les jeux-vidéos et il y a beaucoup de références comme vers la fin ou Henry s'injecte de l'adrénaline on retrouve ça dans Far Cry par exemple, il y a aussi beaucoup de similitude avec Assassin's Creed et Mirror's Edge quand Henry s’amuse à grimper et courir partout sur les toits, ensuite c'est vraiment innovant et j'avais peur que ce soit vite ennuyeux et vomitif, alors que pas du tout c'est très bien rythmé et l'action se voit parfaitement bien.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    66 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 mars 2016
    A la vue de cet opéra acharné voyant se mélanger sans la moindre retenue robotique, vodka, cocaïne, violence et paranormal, on se dit que le seul résultat à en attendre, outre un gloubi-boulga chaotique et orgasmique n’est qu’une relecture sous acide de George Miller qu’on aurait fusionnée avec un Quentin Tarantino. Et au milieu de ce faux plan séquence, qui compilera adroit hommage aux différents jeux charnières de console et exutoire d’une violence trop souvent contenue, on ne peut que passer notre temps à rire malgré la frustration que de ne pouvoir tenir pendant toute la séance, la manette chargée d’exécuter ce joyeux bordel qu’est ce défouloir irrévérencieux et total.
    1008cent99
    1008cent99

    45 abonnés 180 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 avril 2016
    Un film tourné sous forme de jeux video FPS totalement à la 1ère personne et bourré d'action. Il y'a de bons effets spéciaux, des plans pas trop mal. Beaucoup d'action ! (Parfois un peu trop) Au détriment d'un scénario assez simpliste je trouve classique des jeux vidéos actuels encore une fois. Voila sa change de ce qu'ont à l'habitude de voir en tout cas et ont passé un bon moment. Pensez à débrancher votre cerveau des l'introduction.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 24 mars 2016
    Vu hier en avant-première pour l'ouverture du festival Hallucinations Collectives à Lyon, certains de notre groupe avait des doutes, nous avons tous passé un super moment.
    L'impression de suivre un jeu vidéo de part le mode de vue en FPS, les dialogues et les situations farfelues, beaucoup de bons moments de rire, quelques tâches de sang.
    Une très bonne surprise
    Jeff V
    Jeff V

    13 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 janvier 2017
    Film très intéressant puisque filme à la première personne. C est particulier et on prend une belle claque ! Donne parfois le mal de mer ...
    côté scénario rien d extraordinaire mais le rythme du film fait oublier ce détails et on est tenue en haleine du début à la fin.
    Gregor L.
    Gregor L.

    18 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 21 avril 2016
    De base j'aime beaucoup les "expériences cinématographique", j'étais déjà a moitié conquis.
    L'histoire est assez simpliste, mais ce n'est pas là que réside la puissance du film, mais plutôt dans son concept : Entièrement tourné a la première personne, ET QUELLE JOUISSANCE !

    Perso j'ai adoré, ça fait bizarre au début mais une fois la température pris on s'y fait très rapidement, visuellement aussi. Ça donne une puissance incroyable aux scènes d'actions, l'effet est tout de suite très "réel" ! La contre partie est que le film est très violent, d'où son interdiction -16.

    A ne pas voir si vous êtes épileptique et si vous ne supportez pas la violence, puisqu'il faut l'avouer elle peut paraître malsaine a certains moments. Mais pour les fan d'actions pur et dur, de baston ou comme en vrai un coup de poing casse des dents (contrairement aux films américains), Foncez c'est vraiment jouissif comme expérience
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