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Prad12
91 abonnés
1 086 critiques
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0,5
Publiée le 23 août 2016
Juste un jeux vidéo sanglant dont vous n'avez pas les commandes..... filmer en gopro mais sans le joystick....wtf....frustrant, et de plus une histoire bien évidemment sans histoire, c'est lassant... hardcore Henry ? niet, spassiba......
A la vue de cet opéra acharné voyant se mélanger sans la moindre retenue robotique, vodka, cocaïne, violence et paranormal, on se dit que le seul résultat à en attendre, outre un gloubi-boulga chaotique et orgasmique n’est qu’une relecture sous acide de George Miller qu’on aurait fusionnée avec un Quentin Tarantino. Et au milieu de ce faux plan séquence, qui compilera adroit hommage aux différents jeux charnières de console et exutoire d’une violence trop souvent contenue, on ne peut que passer notre temps à rire malgré la frustration que de ne pouvoir tenir pendant toute la séance, la manette chargée d’exécuter ce joyeux bordel qu’est ce défouloir irrévérencieux et total.
« Hardcore Henry » est un film novateur et hyper original. En effet, tous les plans, sans exceptions, sont filmé façon caméra subjective. Nous voyons l’histoire littéralement se dérouler sous et par les yeux du personnage principal. A ma connaissance, aucun film n’a jamais proposé ce point de vue radical qui est totalement identique à un jeu vidéo type « first person shooter ». L’idée de départ et la réalisation sont bonnes, on se surprend à avoir le vertige quand le personnage escalade un immeuble. Malheureusement, le scénario est quasi inexistant et le film enchaine des scènes d’actions sans jamais laisser de temps mort pour se reposer. Au final, il est bon de voir le film pour sa proposition originale mais il ne faut pas s’attendre à autre chose qu’un grand divertissement décérébré sans aucune finesse avec tout de même de belles scènes d’actions que l’on vit intensément par les yeux du personnage.
Ce petit film tourné façon jeu vidéo FPS ("First Person Shooting") c'est à dire en caméra subjective, va à 100 à l'heure dans l'action et pourrait en essouffler plus d'un au bout d'une demi-heure, d'autant que son scénario est des plus basiques. Seulement voilà, Sharlto Copley apporte une bonne petite touche d'humour avec ses apparitions multiples hyper bien senties et vient un peu casser ce rythme effréné. Bon après le concept n’est pas si novateur puisqu'en 2013, "Hotel Inferno" utilisait le même procédé, mais bon, ça se laisse franchement bien regarder, alors laissez-vous tenter par l'expérience !
Ce film reprend les codes des FPS avec des mouvements de caméra à la limite du supportable, des scènes d'action inutiles par moment. Le scénario est INEXISTANT.
Bien évidemment, l’originalité du film (la seule et unique) réside dans le fait qu’il ait été intégralement tourné via une "GoPro Hero 3" en « POV / Point of view », entièrement en vue subjective, en l’occurrence celle du héros.
Imaginez un instant, voir un film de 90min sous la forme d’un « FPS », on se retrouve à la place du héros et l’immersion s’en ressent d’avantage. C’est donc bien là que réside l’attrait pour ce film qui n’est pas passé inaperçu en 2016.
Coprod russo-américano-chinoise, le film nous entraîne dans une course-poursuite haletante (et non-stop !) dans les environs de Moscou où un homme (transformé en cyborg) se retrouve pourchassé par des mercenaires.
A la manière d’un Hyper Tension (2006) pour le côté surexcité et sous LSD, sauf que la comparaison s’arrête là. Le héros ne parle pas et on ne le voit pas une seule fois. Et concernant le scénario, on ne va pas se mentir, je n’étais pas venu pour ça et je ne serais pas déçu à ce niveau-là. Cependant, s’il faut bien admettre que visuellement, Hardcore Henry (2016) nous bluffe avec sa mise en scène et son trop plein d’adrénaline (on imagine au combien le tournage a dû être compliqué et je ne parle même pas du montage !), le film devient rapidement illisible et à la limite de la nausée. Trop de « POV » et des ellipses à la pelle, le film fini par nous donner mal au crane, à défaut de nous filer la gerbe.
Cependant il faudra tout de même reconnaître que les scènes d’action sont pour le moins réussies (certes, le réalisateur en a fait des tonnes et certains passages puent le fond vert), néanmoins on retiendra tout particulièrement la séquence final sur le toit de l’immeuble et notamment la scène de fight avec le blond platine (sosie de Julian Assange) qui nous offre spoiler: une surprenante strangulation avec son nerf optique , du jamais vu !
Le film se veut immersif, car tourné en caméra subjective, mais il est surtout fatigant à en donner le tournis. S'il y a bien une certaine énergie, elle aurait gagné à être mieux canalisée, au service d'un scénario qui tient la route. Au lieu de cela, on enchaîne (avec un vrai problème de transition) des scènes d'action stupides...
Whaou quelle claque! C'est un pur délire cinématographique totale pour cette retranscription de l'univers du jeu vidéo sur grand écran. Le scénario est des plus simples et la réalisation intégrale en Gopro vous donnera la nausée mais sinon c'est un enchaînement quasi sans temps mort de courses-poursuite, de bastons et de carnages avec toutes les armes possibles et imaginables avec une BO qui déchire. Vous aviez rêvé de voir au cinéma votre FPS (First-Person Shooter) préféré, Ilya Naishuller l'a fait et c'est une extase jubilatoire pour tous les passionnés de jeux vidéo...
Un film tourné sous forme de jeux video FPS totalement à la 1ère personne et bourré d'action. Il y'a de bons effets spéciaux, des plans pas trop mal. Beaucoup d'action ! (Parfois un peu trop) Au détriment d'un scénario assez simpliste je trouve classique des jeux vidéos actuels encore une fois. Voila sa change de ce qu'ont à l'habitude de voir en tout cas et ont passé un bon moment. Pensez à débrancher votre cerveau des l'introduction.
Comment noter cet OVNI? Un pur concentré d'action en vue subjective, un délire totalement décalé, un défouloir sans queue ni tête, parfois dégoûtant, parfois jouissif? J'y vais tout de même avec 4 étoiles, car j'ai pris une sacrée claque, au final. Ca fait longtemps que j'ai as été scotché pendant une heure et demi , ne sachant pas ce qui arrivera, car ce film est tout sauf prévisible! Chapeau à toute l'équipe pour avoir osé et réussi ce pari!
C’est finalement assez difficile de noter ce film tant l’expérience qu’il procure est contrastée. Filmé entièrement en caméra subjective il tente de faire un pont entre cinéma et jeu vidéo et surtout le FPS pour un rendu assez curieux. S’il faut reconnaître que par moment c’est trop et ça fout la gerbe, il ne faut pas nier une véritable ambition et de vraies bonnes idées de mise en scène dans l’action avec une totale démesure (même si le film a part moment un côté répétitif). Malheureusement il oublie de se doter d’un scénario solide et on se rend rapidement compte de la vacuité de la chose. Si cela peut passer dans un jeu video parce que l’on agit sur le déroulé au cinéma cela devient rapidement handicapant. Au final j’ai quand même envie de lui pardonner ses gros défauts, parce qu’il y a une volonté de faire quelque chose de nouveau, de proposer une expérience inédite et si c’est parfois loupé, lui au moins a essayé.
Un film à la première personne, c'est osé et ça fonctionne, même si on à vite tendance à avoir la gerbe, le film pause vite fait les conditions en arborant son côté violent et bourrer d'action. De toute manière on sait à quoi s'attendre lorsque l'on visionne ce genre de film, ici on est pas déçu. Même si ce n'est clairement pas le film de l'année, on notera qu'un effort est fait pour maintenant un scénario correct et sans trop de longueur.
Il faut reconnaître ça d’astucieux au réalisateur russe de ce long-métrage, d’avoir, avec ce parti-pris de caméra subjective, réussi à transformer ce qui aurait été un nanar d’action de série Z indigeste en film assez divertissant ; et du reste rentable puisqu’il a été tout simplement le plus grand succès russe depuis 1991. Parce qu’il faut le dire si cette astuce de réalisation rend le film singulier, elle peine quand même à faire oublier la pauvreté effarante du scénario et le talent discutable (hormis Sharlto Copley) des différents acteurs, l’ensemble l’aurait, dans un format normal, précipité directement dans le trou noir des films direct-to-VOD. Le film est donc très surprenant dans les premières minutes avec cette caméra qui figure point de vue du héros et qui, par ce point de vue suggestif, nous immerge totalement dans l’action. On est tout à fait dans une utilisation au cinéma d’un procédé commun à de nombreux jeux vidéo ; ce qui explique probablement une partie de son succès. Mais, le principal problème quand même c’est le côté épileptique de l’image, la caméra sautant en permanence, ce qui rend l’ensemble assez pénible à regarder sur la longueur. Et rapidement, la surprise s’évanouit et on commence à regarder ce qu’il se passe et on réalise assez vite le côté franchement risible du spectacle qui nous est offert et qui donne un film d’action pas franchement à la hauteur. En plus, le réalisateur nous gratifie durant les scènes d’action (c’est-à-dire 90% du film) d’une bande-son tonitruante qui devient rapidement très irritante et fatigante. Le film n’est donc intéressant que par la façon dont il a été filmé, pour le reste c’est un film d’action vraiment très pauvre qui ne vaudrait, hormis sa mise en scène, absolument pas le coup d’œil. Pour ceux qui veulent vraiment voie un film en caméra subjective au cinéma, pour les autres honnêtement passez votre chemin.
J'ai vu un film... basé sur un concept incroyable que j'avais découvert sur Internet et qui m'avait bluffé totalement à l'époque sur la base d'un court-métrage... Ici, il s'agit d'un long-métrage qui réussit l'exploit de tenir la distance et de multiplier les situations ultra-violentes. Tout est tourné en caméra subjective à la manière d'un jeu video en FPS, et c'est littéralement bluffant... Tous les codes y sont, et on s'attend à voir les indicateurs de santé, de munitions en bas à droite de l'écran...Il y a un partie-pris immense et c'est cela qu'il faut souligner... C'est immense, assumé, sanglant, violent, gore, mais c'est un registre innovant.. .Et toute chose égale par ailleurs, on retrouve beaucoup d'ambition. La prochaine étape serait de creuser un peu le scénario... Mais bon, on ne peut pas tout avoir...
Une expérience intéressante que ce Hardcore Henry, qui rebutera probablement la plupart des personnes ne cotoyant pas l'ultra-violence propre aux jeux-vidéo à la 1ere personne (les "FPS"). Car il s'agit ni plus ni moins qu'une succession de scènes d'action bourrines et gratinées, parfois incroyablement bien faites, composée dans un exercice de style unique: l'intégralité du film est en effet réalisé en caméra subjective. Un véritable stand de tir grandeur nature dans lequel le "héros" massacre une ribambelle de "méchants" (je m'abstiens de tout spoiler) avec des armes de différents calibres, du simple bout de ferraille au lance-missile. Concernant le scénario lui-meme, il contient quelques éléments intéressants (notamment l'allié, fort sympathique), mais ne sert au final que de pretexte pour le spectacle visuel. Je vous laisse juger !