Par le réalisateur de Only god forgives d’abord, Drive ensuite, le guerrier silencieux Valhalla Rising re-en-suite, et donc un style de haute volée sur la violence en ce bas monde, du pessimisme, sinistre, le cynisme à son paroxysme étouffant, synonyme irrespirable.
Que veut dire au final tous les sujets vagues abordés avec virulence, l’approche de l’apparence, non ce n’est pas le pays des merveilles certainement, encore pour son dernier film, Alice alias Sainte Jesse jouée par Elle Fanning, dans l’univers sacré du mannequinat.
Les strass et paillettes sur fond de musique radio FM night-club habituel, la mode est chic et choc après avoir posé délicatement ses clichés graphiques, objectifs synthèses, Photoshop, une mise en scène immobile statuette mannequin tellement l’habitude de voir ce côté glauque révèle au fond obscur glamour.
C’est magnifiquement mélancolique magistral, par tous les émotions passées enfouis sur ce monde impitoyable de la beauté fatale extrême, le diktat de ses conventions telle la pub égérie Lancôme, les nanas habillées en YSL Dior adoratrices, de ce scénario sont justes.
Des meufs jalouses de la nouvelle concurrence qui monte vers l’échelon ascension sociale, les voleuses de la poésie sombre dominante, le perfectionniste comme le cinéma propre au réalisateur, prétentieux en tant que tel décrit bizarrement.
Audacieux oh que oui, le clair message est le reflet dans cette scène narcissique, influencé par l’Allemagne voisine, c’est bien plus que génial, l’innovation d’une grande puissance crescendo intense incroyable, l’innocence pureté chez cette fille-fille réalisée son rêve à Los Angeles.
Rencontre professionnelle avec la tordue ténébreuse scientifique scalpel décortique intimité, attention déconseillés aux moins de 12 ans, c’est peu et mérite l'avertissement pour public destiné à comprendre intelligemment, l’élitisme de la mode.
La société va mal tellement malade, où voit sous un visage triste spectacle de folie désordonnée, une réalisation ensanglantée, l’inégalité déséquilibrée dont le but n’est pas de dénoncer, une œuvre d’art avant toute tablette au compteur or argenté, est de montrer tout simplement et divinement.
Une belle claque pour la maladie mentale, rêve ou cauchemar au motel miteux ? Tu nous le diras pas assez Nicolas du Danemark, les violences faites aux femmes top-modèles show-business célébrités, des scandales éclaboussent ce milieu sélectif.
Mystère mystérieux secret test préliminaire dénudé jeux de lumière éteinte colorée, sentiments et jugements partiaux sans équivoques, ni ambiguïtés, aucune gêne et limite permissive, un délire sordide sans suspense mais excellent, pour comprendre ce cinéma danois enfin.
Il est venu se faire un lifting chirurgicale esthéticienne Botox addictif obsession perverse obscène chair fraîcheur, très choquée les filles, un crêpage de chignon sanglant mixture maquillage crème sauvageonne, produits simultanément par la France et les États-Unis.
The Jokers est un signe entreprise de la vision 2016 internationale employée, c’était manquée comme séance zapping, rattrapons ce temps jamais contre-perdu devenu gagnant, va en faveur du chef-d’œuvre confirmé, merci cordialement monsieur le cinéaste irrévérencieux.
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Clairvoyant égocentrisme élevé repli sur soi paranoïaque fixation lourde pesante tension psychose imagination instinctive animalière, aucun n’a été utilisée en fourrure à des fins vicieuses dans ce film, le soulagement satisfaisant sublime harmonisation synchronisée antenne captivante séquence finale.
Clôturant le bal d’hémoglobine de la jeune promotion Carrie référent épouvante horreur thriller, arrêtons l'hémorragie critique élancée sereinement sublimée, le stop imposé au feu de signalisation citadine code de la route concède le passage au premier servi.