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    The Neon Demon
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    3,1
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    488 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 13 juin 2016
    Un seul mot: atroce. Seule la musique rehausse le ton. Des personnages insipides, une voix française insupportable, de la violence comme on en voit rarement et heureusement, des jeux de lumières à faire tourner de l'oeil, en sortant j'avais la nausée. A fuir de toute urgence.
    Requiemovies
    Requiemovies

    212 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juin 2016
    (...)
    Rentrer en salle pour voir un de ses films a été, est, et sera (on l’espère) toujours une expérience. Et ce n’est pas le succès (mérité) de « Drive » qui y changera quelque chose, ou tout juste à tromper habilement une partie de l’innocence d’un public qui n’aurait pas une vue l’ensemble de son œuvre, la réception d’« Only God Forgives » en témoignait très vite par la suite.
    Surprenant, « The Neon Demon » l’est assurément. Passé l’étonnement et la découverte, le film livre après coup, comme tout le temps chez Nicolas Winding Refn, une sacrée gifle quant à la représentation d’un cinéma qui ne sait parfois plus le sens de son origine. Dans son amour de filmer(...)
    En premier lieu, un exercice de style impressionnant, dans une beauté graphique et lumineuse qui n’a que peu d’égal ces dernières années, « The Neon Demon » s’habille d’une lumière et d’une mise en scène qui laisse le spectateur à genoux, (les mains jointes et levées en option pour certains, à débattre). Là où certains pourront évoquer un scénario post-it en guise d’exorcisme afin de ne pas être trop subjugués par l’œuvre, il convient de relever le sens même de cette réduction scénaristique. Elle est nécessaire au propos, tout simplement. Conte expérimental et moderne baigné d’un surréalisme pointilleux et onirique, le film se savoure à chaque séquence, chaque plan. Mais cette sensation de l’ensemble du film semble naître à la toute fin, quand le voyage se termine, avec différentes vagues, inégales, délivrées pendant près de deux heures. L’objectivité pousse à noter tout de même une lenteur (utile) au 2/3 du film, il faudra passer le cap pour certains. Pour le reste, c’est un open bar sur ce que peut-être l’esthétique au cinéma tout en décriant le propos que l’on sert, malin et intelligent donc. Critique de la superficialité esthétique dans le film (mannequins, stars, monde « strass et paillettes », donc cinéma inclus). Prise du risque du propos loin des intérêts populaires (qui se passionne réellement pour le off du mannequinat ? ), Nicolas Winding Refn tente tout, même le plus viscéral, le plus violent, le film d’horreur à l’élégance poussée. Révérence.
    Il livre un film fou, méticuleux, précis et qui touche à tout. « The Neon Demon » film pluriel, bien malin qui saurait lister toutes les tentatives abordées (philosophiques, anthropophagie, culture moderne, religion, métaphysiques…). Ici, tout est métaphore, proposée avec parfois un humour noir, cynisme et grandiloquence du propos. Sur un rythme électro du grand Cliff Martinez, « The Neon Demon » éclate et laisse KO le spectateur qui accepte cette proposition. Film masse, passionnant et percutant, l’ampleur qu’il impose au spectateur dans sa dernière demi-heure promet un plat savoureux mais à la digestion complexe et conceptuelle, comme à ses personnages (sic). Au-delà de sa forme, Nicolas Winding Refn a su emmener loin sa nouvelle œuvre, moins attrayante et facile que certaines passées mais tout aussi généreuses. Dans le surréalisme sensitif, on ne fait pas mieux pour le moment. Génie probablement, fou et unique, évidemment.
    Tchi Tcha
    Tchi Tcha

    12 abonnés 247 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juin 2016
    Nouveau voyage visuel et sonore entre le réalisateur Nicolas Winding Refn et le musicien Cliff Martinez. Obsédé par la beauté à l'écran, le cinéaste crée un mode superficiel de poupées en opposition avec un monde gore fantasmé. Un conte surréaliste, magnifique, clipesque et musicalement réussi. Malheureusement quelques lenteurs ternissent le spectacle et quelques effets surplombent l'ensemble... Cependant, la générosité et la créativité de ce metteur en scène, où chaque plan est une proposition artistique, font de ce film un élément d'étude incontournable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 juin 2016
    Quand David Lynch rencontre Alejandro Jodorowsky et Dario Argento, ça donne THE NEON DEMON. Véritable choc visuel et émotionnel, le film divise. Et, je trouve que c'est de bon augure car après tout, n'est-ce pas les grands films qui divisent? Une belle surprise pour ma part. Je pense y retourner prochainement.
    Top of the World
    Top of the World

    71 abonnés 153 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 juin 2016
    C'est un Los Angeles très différent de celui de Drive que filme Nicolas Winding Refn dans The Neon Demon, récit d'une jeune fille nommée Jesse qui débarque dans la Cité des Anges pour y devenir mannequin. Sa beauté pure et virginale s'y trouve confrontée au désir, à la jalousie et à la voracité de jeunes femmes aux intentions pas forcément bienveillantes. Sur le plan de l'écriture, NWR s'en tient à quelque chose d'assez élémentaire : minimalisme de l'intrigue, personnages peu complexes et dialogues-punchlines ("Je ne veux pas être elles. Elles veulent être moi.") fortement incarnés de manière visuelle et auditive. Un peu comme au temps du muet, le Danois se sert avant tout de la forme pure pour penser son cinéma et, à ce titre, le film est d'une puissance plastique époustouflante. La stylisation des couleurs, la sophistication des mouvements de caméra et l'abstraction de certaines compositions d'image, associées à la musique électrisante de Cliff Martinez, donnent lieu à un objet formaliste hypnotique qui touche parfois au sublime. Cette beauté n'est pas vaine, tout comme les envolées publicitaires ou clippesques qui traduisent la distance ironique du cinéaste vis-à-vis du monde qu'il filme sont totalement cohérentes : il s'agit de réféchir sur la beauté en tant que fin en soi, comme le souligne le personnage interprété par Alessandro Nivola : "La beauté ne fait pas tout, elle est tout." Jesse, qui admet ne pas avoir d'autres qualités, est donc opposée à l'impureté physique de ses rivales. Seulement, qu'est-ce qu'être pure dans le milieu de la mode ? Les mannequins, sans exception, y sont maquillées, transformées par les créateurs qui les modèlent et donnent ainsi libre cours à leurs fantasmes. Et quand ceux-ci ne peuvent pas être assouvis directement, ils le sont par procuration( spoiler: la scène de nécrophilie
    ). Vous l'aurez compris, si The Neon Demon a peut-être des allures de belle coquille vide, c'est en réalité une oeuvre riche et jusqu'au-boutiste, hallucinée et hyperbolique, au maniérisme stupéfiant de bout en bout. Saisissant !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 12 juin 2016
    fable esthetique impitoyable sur le milieu de la mode et de la photographie publicitaire qui
    donne a reflechir sur les trafics des jolies "chairs" humaines et inhumaines, ou la lamentable
    compétitions des belles pour être toujours en haut de la pyramide.

    film extremement esthetique excellement bien photographié ( la moindre des choses ), bande musicale d'un tres bon prestidigitateur aussi qui vous vampirise et vous hypnose par moment. ( j'ai failli m'endormir

    par contre ( point négatif ! ) j'ai trop retrouvé l'aspect visuel du film Mulholland Drive de David Lynch de 2001 dans ce film de Winding Refn. On a compris ses sources d'inspirations....
    Laurent C.
    Laurent C.

    262 abonnés 1 133 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 juin 2016
    La caméra rentre dans une pièce où un seul canapé est installé, à l'intérieur duquel est couché le corps en cire, immobile, d'une jeune-femme magnifique qui vient d'intenter à ses jours. Les yeux du photographe fixe avec gravité, et sans doute désir, ce corps éteint et froid. Soudain, ce corps disparaît. Il ne s'agit pas d'un effet de style de fantastique, car, au lieu d'un corps de cire, cette jeune-femme n'est autre que Jesse, que l'on retrouve plus tard, occupée à se faire maquiller. Jesse a 16 ans et elle ment sur son âge. Elle vient de débarquer à Los Angeles, dans un Motel sinistre, et espère faire carrière dans la mode. La beauté de cette jeune-femme est magnétique. Tous les regards, toutes les focales photographiques, ne peuvent résister à la beauté de cet être, mi-réel, mi-démon, en tous les cas insaisissable. Elle génère autour d'elle autant le désir, la répulsion haineuse que le crime. Le nouveau film de Nicolas Winding Refn est proprement magnifique. Jouant avec les couleurs, les sons, et les lumières, le réalisateur s'attache à offrir une photographie impeccable, quasi onirique, qui constitue une sorte de symphonie d'émotions visuelles et sonores indicibles. L'œuvre dont il ne faut surtout pas attendre une cohérence narrative, disons récitative, adopte un point de vue proprement poétique, où l'on reconnaît la Beauté injurieuse de Rimbaud, ou celle vénéneuse et hypnotique de Baudelaire. L'actrice principale, Elle Fannnig, porte ce film avec charisme et magie, mettant le spectateur dans la même fascination que les protagonistes du film ressentent à l'endroit de sa beauté. "The Neon Demon" constitue une expérience hallucinatoire et fantasmagorique de cinéma, qu'il faut savourer comme un bonbon acide et nébuleux.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 juin 2016
    Le navet de l'année pas de scénario c'est vide à part l'esthétisme des images je cherche tjrs le thriller ou film d'horreur là la fille qui se masturbe sur 1 morte ou la scène finale où l'une des filles prend 1 bain de sang (Pasolini l'avait déjà fait il y a plus de 40 ans )et 1 autre qui gobe 1 oeil j'ai trouvé ça écoeurant et absurde encore 1 film de Cannes à ranger dans les films de cinglés
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 juin 2016
    Vraiment nul. Le film se perd dans un pseudo délire esthétique lent et sans intérêt.
    Le résultat est ridicule, on passe la moitié du film à regarder des scènes ou ils ne se passent absolument rien et il y a très peu de dialogue.
    Ne gaspillez pas votre argent.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 février 2017
    Superficiel, comme la beauté.
    Difficile de juger un film de cette envergure seulement après 1 visionnage.
    Tant de métaphore pour chacun des plans, de signification et de symbolique que l'intrigue se déroule dans celles ci. C'est carrément difficile de suivre la naration dans un état pareil.
    n'ayant malheureusement pas compris l'infime partie des métaphores, et n'ayant pas su remarquer si cela en était, il m'est impossible de donner une note. est-ce que le réalisateur c'est pris pour Stanley Kubrick et David Lynch sans y mettre de sens ? Ou toutes ses scènes sont doués d'intérêts ?
    Le simple fait de la superficialité permet de mettre la chose en doute.
    Est-ce que Yves Saint Laurent signe une métaphore dans ses créations ?
    En tout cas, Nicolas Winding Refn signe son oeuvre par un "NWR".
    À ne pas oublier aussi que notre ami Refn aime tourner ses scènes sous le moment de l'action, de la pression et de la peur, il n'a aucun story board, c'est de la pur inspiration.
    J'attend la sortie de "The neon demon" en blu ray pour avoir un avis plus tranché sur la question, ma note n'est que pour le moment temporaire.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 juin 2016
    INCOMPRÉHENSIBLE !!!! Sans queue ni tête !
    EXTRÊMEMENT nul ! Je me demande comment on peut faire des films comme ca...
    Jonathan M
    Jonathan M

    136 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 juin 2016
    Nicolas Winding Refn persiste dans sa proposition franche de cinéma lubrique. L'idée ici est le charme, la satire de la beauté et l'aigreur de la loi du plus fort, ou plutôt de la plus forte. La première heure est réussite. Elle assume totalement son côté électrisante sous morphine. Malgré un scénario poreux, la mise en scène vient en appui solide. La seconde heure est très franchement discutable. Le danois est persuadé de faire un chef d'œuvre, et oubli totalement son intention initiale. Une fois la juvénile, canon, sublime Elle Fanning sortie de course, on assiste à un accident et une fin lourde, trop appuyée et ratée à mon sens. La bande son, mais quelle bande son. A elle toute seule c'est un personnage du film. Et peut être le meilleur.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 12 juin 2016
    Musique des années 70, gore,traumatique, pour dormir c'est super....le réalisateur doit être bourré de fric, il a fait se qu'il voulait faire et c'est payé un grand acteur du film MATRIX.
    Mais que faisait Keanu Reeves dans ce navé, avec un rôle minable( besoin d'argent... pour une bonne action aux associations humanitaire... j’espère...)
    Je me suis laissé tenté, l'UGC des halles la projeté dans la plus grande salle la Number 1, SHAME ON YOU.
    Si vous êtres d'accord avec moi Liker moi;-).
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 juin 2016
    Film déroutant!
    Les images sont belles ... Mais le scénario est inexistant ... Le film est lent et sordide,.
    L'un des pires films que j'ai pu voir ...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 12 juin 2016
    horrible , des scène de psychopathe , et histoire bidon !! ni queue ni tête , pour un film horreur épouvante , j'en ferai pas des cauchemar la nuit
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