Mon compte
    The Neon Demon
    Note moyenne
    3,1
    4846 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Neon Demon ?

    488 critiques spectateurs

    5
    70 critiques
    4
    112 critiques
    3
    99 critiques
    2
    78 critiques
    1
    68 critiques
    0
    61 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 juin 2016
    Pas possible de faire un film comme ça... Le premier film où je vois autant de monde partir pendant la séance, et où j'ai faillit partir aussi. Il n'y a aucun sens, le sujet aurait pu être intéressant ; mais pas si ça par en nécrophilie et cannibalisme. Bref, 2 heures de perdues...
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 juin 2016
    Le film est beau et intense mais quel dommage que Nicolas Winding Refn ne donne pas plus de sens à l'histoire.

    Il est un grand metteur en scène mais ses deux derniers films ont montré qu'il pouvait être limité dans l'écriture du scénario.

    Si le film éblouit souvent, le récit reste assez faible.
    Quand aux actrices du film, elles sont formidables. Elle Fanning est une belle découverte.
    Gabith_Whyborn
    Gabith_Whyborn

    39 abonnés 842 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 27 juin 2016
    J'en attendais beaucoup de ce film car il est l'oeuvre de Nicolas Winding Refn, réalisateur de Drive, Only God Forgives, etc... Bref ça avait intérêt a être génial!
    Je dois avouer que musicalement et visuellement, c'est la claque totale, à ce niveau la j'ai été plus que satisfait d'ailleurs rien qu'avec l'intro je me suis dis "ça va être un chef-d'oeuvre".
    C'est surtout pour l'esthétique du film que je met 3/5 sinon je me suis un peu ennuyé, il y a des choses intéressantes mais niveau scénario c'est presque le néant et ça c'est le gros défaut du film.
    Nitquen57
    Nitquen57

    27 abonnés 348 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 juin 2016
    Que dire, que dire ?

    Je suis très mitigé vis à vis du cinéma de Nicolas Winding Refn à la base. Il y a des choses que j'aime beaucoup, comme Drive, des choses que je n'aime pas, comme Only God Forgives, et des choses qui me laissent perplexe, comme Bronson, avec à chaque fois du bon et du pas bon dans chaque film.

    Puis voici, The Neon Demon, avec un thème qui change un peu de d'habitude, l'envie du réalisateur de partir sur quelque chose de plus horrifique, et avec pourtant un résultat que m'a fait énormément souffrir.

    Ce qui est dur à justifier, c'est que toutes les choses que je n'ai pas apprécié dans ce film, peuvent être justifiées par le film lui-même.

    Nicolas Winding Refn fait un film sur le mannequinat, la jalousie, la vengeance, l'envie, et nous délivre une oeuvre sensorielle sans aucun fond.
    Pas bien compliqué, les personnages sont des coquilles vides, Elle Fanning surjoue à mourir par rapport à d'habitude, le scénario est creux, il n'y a pas d'enjeu, il y a forcément une scène ou deux sanglants et viscérales qui ne servent à rien. Du cinéma de Nicolas Winding Refn dans toute sa splendeur.
    A côté de cela, le réalisateur a une gestion du cadre absolument dingues, les plans sont amples, magnifiques, les idées de mise en scène sont très bonnes, et la gestion des lumières est incroyable, même si je ne suis pas particulièrement fan du parti-pris "néon" par rapport a une lumière naturelle. On pourra cependant dire que pour cette oeuvre, le choix est justifié.

    Voilà ! Une oeuvre dont la forme ne parvient pas à compenser le manque de fond. Le manque de fond sus nommé peut certes être justifié par le fait de faire un film sur la mode, qui est sans doute le milieu superficiel par excellence.

    Je vais me contenter de dire que je n'adhère pas du tout à ce choix de réalisation. Le film aurait pu trouver une méthode pour désamorçer cet énorme cliché avec des personnages un peu plus fournis tout en évitant de mettre en place une histoire sans consistance avec des scènes d'un glauque et d'une inutilité totale.
    Au lieu de ça, le réalisateur danois décide de dénoncer le cliché en s'y enfonçant tête la première avec fougue et éclairage panoramique.

    Résultat ? C'est joli, malsain et ça ne sers pas à grand chose.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 juin 2016
    Ce film est réellement sublime, c'est une claque visuelle qui met en scène l'ambivalence de l'être humain...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 juin 2016
    Un film époustouflant de part sa mise en scène et d'autre part sa bande son remarquable. Les jeux de lumières nous laissent sans voix ainsi que la performance des actrices, notamment Elle Fanning dont le regard de biche nous envoûte du début à la fin.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 23 septembre 2016
    Obsession la plus ancienne qui soit, la beauté voit ici sa métaphysique livrée à l'indémêlable par des plans contenant autant de haine que d'admiration, de cruauté que de fascination.
    Jamon-de-Baiona
    Jamon-de-Baiona

    15 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 juin 2016
    Ce film est une réussite. On en prend plein les yeux et plein les oreilles. Sur le postulat de " dis -moi qui est la plus belle" Refn nous entraîne dans un feu d'artifice de beauté, de musique, de suspens et de violence. La prise de vue est maîtrisée et éclatante , les actrices sublimes, séquences chocs, servies par une bande son géniale.
    labadens
    labadens

    18 abonnés 249 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 juin 2016
    Que dire après avoir vu cette navrante pellicule ? Scènes au mieux longues, au pire inutiles et ennuyeuses . Cela n' en finissait pas d'en finir ! Je me questionnais : mais ou le réalisateur veut t'il en venir ? Deux de mes voisins de salles consultaient leurs smartphone afin que l' heure s'affiche. C'est dire l'ennui que distille ce film ! Il ne suffit pas de produire un aréopage de mannequins pour faire un bon casting comme il ne suffit pas plus d'aligner les clips pour créer une mise en scène digne de ce nom... Faites d' une pierre deux coups : n' allez pas le voir ; ainsi vous ne perdrez ni votre temps , ni votre argent...
    JimBo Lebowski
    JimBo Lebowski

    400 abonnés 1 080 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 juin 2016
    Plus de deux semaines après sa sortie officielle j’imagine que tout à été dit sur ce film, je vais tout de même rajouter ma modeste pierre à l’édifice, car malgré mon petit retard je l’attendais de pied ferme ce Neon Demon, sans forcément être un client vorace de Nicolas Winding Refn (surtout depuis Drive) les trailers électro-kaléidoscopiques avaient donné le ton d’une expérience atypique et donc rarissime en salles, tout ce qu’on demande (non ?). Le cinéaste danois mise sur le monde impitoyable de la mode, de ces jeunes femmes vampirisées par ce milieu rutilant, l’objectif était donc de nous ouvrir la porte du domaine pour y apposer un point de vue sur son cinéma, car force est de constater qu’on retrouve ici en quelque sorte l’apogée de sa démarche artistique.

    Belle et fraiche comme le jour Jesse (Elle Fanning) va donc être l’héroïne de ce tourbillon enivrant, jeune orpheline californienne catapultée sous les crépitements des flashs et laissant son corps à la science de l’instantané, s'attirant rapidement la jalousie de ses consœurs et provoquant la fascination des créateurs les plus intransigeants, le tapis est dressé, les paillettes sont lâchées, un avenir en or. Seulement la perfection se paye et la nature humaine reprend ses droits dans la jungle des apparences, sous la pression des néons aveuglants les masques tombent, un lancinant jeu de vices jusqu’à ce que mort s’en suive. Refn dépeint son univers de manière évidemment formelle où sa plasticité léchée apparait à chaque plan, cultivant toujours aussi bien son écrin et ce d’une façon pour le coup absolument cohérente par rapport au sujet et au contexte, utilisant l’espace pour à la fois épurer le cadre, nous laissant une place pour respirer et nous immerger, avant de l’enflammer pour cette fois laisser tous nos sens vibrer à l’unisson. Et c’est justement tout ce qui manquait par exemple à son précédent film Only God Forgives, qui au delà de sa beauté esthétique indiscutable cloisonnait quelque peu son spectateur, ici le format est je trouve plus généreux, avec également une part davantage confiée aux dialogues, le personnage de Elle Fanning reste loin de l’identité mutique interchangeable qu’avait construit Refn avec Ryan Gosling.

    L’ambiance est assurément la pièce maitresse de The Neon Demon, marquant une évolution et des ambivalences en matières de tons et de thématiques, passer de l’innocence immaculée liée à la dramaturgie d’un conte de fée moderne jusqu’à la perversité sordide et sanglante affiliée aux classiques (tendance série B) de l’horreur, il est nécessaire que le spectateur soit disposé à accepter ce genre de mutations pour ne pas se perdre en chemin et louper ce degré obsessionnel de Refn pour la beauté en son entité propre. Car ce qui est avant tout intéressant dans ce film c’est toute la grâce indicible du personnage de Jesse, comme si ce n’était qu’une sorte d’être surnaturel troublant son environnement, on le voit dans les regards, qu’ils soient admiratifs, dédaigneux ou gorgés de fantasmes, elle atterrit du jour au lendemain dans ce monde inflexible pour directement marquer son emprunte laissant sur le carreau les rodées du casting, impossible donc de laisser indifférent … À partir de là une menace va flotter autour de sa jolie tête blonde, affublée à l’écran d’une symbolique bestiale comme ce puma s’introduisant dans sa chambre de motel (que l’on reverra plus tard sous une autre forme pour y faire directement un lien), cette pleine lune éclairant la nuit et inévitablement associée au mythe du loup garou ou encore le vampirisme où le sang sert de ressource vitale pour mannequin rival, il y a souvent cette notion de chair fraiche, où Jessie pourrait être cette brebis égarée au milieu des louves.

    La séquence frénétique du défilé marque un tournant dans la logique narrative du film, sans doute son zénith esthétique rappelant au passage le travail d’Henri-Georges Clouzot sur Romy Schneider pour son Enfer inachevé, on y décèle les premières traces d’une transformation chez Jessie, semblant se dédoubler dans un triangle de verre par les reflets de visages et les couleurs disparates, libérant son côté sombre et possiblement narcissique. L’idée du miroir revient d’ailleurs très souvent comme indicatif de réfraction plaçant les figures d’opposition avec même parfois beaucoup d’habileté dans la mise en scène, évoquant jusqu’à la sorcellerie dans la dernière partie où Jena Malone, frustrée de désirs, trace un sigle emprisonnant Elle Fanning. Cette fameuse partie qui n’est pas sans rappeler le Suspiria de Argento est tout de même amenée quelque peu étrangement dans le sens où le personnage de Jesse se dévoile sous un tout autre jour sans vraiment prévenir, lâchant au bord de la piscine qu’elle est dangereuse, enfin indirectement dangereuse, comme si elle se jetait elle-même en pâture, mais pourquoi ? J’avoue que je sèche (est-elle possédée par le fameux démon du néon ?). Et la grandiloquence symbolique et sanglante qui suit ne manque pas de dérouter bien que les références soient plus ou moins ciblées (la trinité maléfique contre la figure christique ou le bain de sang de vierges de la comtesse Bàthory comme source de rajeunissement), on bascule à pleins pieds dans le fantastique morbide, où il faut dévorer l’autre pour exister, au sens propre comme au figuré, la loi de la jungle.

    The Neon Demon est plus qu’une satire du monde de la mode, plus qu’une prétendue coquille vide, plus qu’un film multi-facettes, c’est une œuvre d’art folle et épileptique où Refn trouve le juste milieu entre sur-esthétisme et construction scénaristique, épaulé d’une bande originale électro virevoltante et obsédante soulignant parfaitement l’ambiance et le mystère. Expérience visuelle unique en salles donc, mais également sensitive et immersive au possible, rarement un siège de cinéma n’aura été aussi accueillant et confortable pendant ces deux heures défilant à toute berzingue, objet précieux et audacieux, Nicolas ne serait-il finalement pas un as du 7ème art ? Adulé ou détesté il continuera très certainement à déchainer les passions avec un plaisir non dissimulé, toujours le poing levé.
    Angelina.J
    Angelina.J

    37 abonnés 265 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juin 2016
    Une représentation exacerbée poussée à l 'extrême, voire psychiatrique de ce que représente dans notre société aujourd'hui , la beauté, l'individualisme, l'individualité, la recherche de la reconnaissance, la perfection physique, de la beauté chez les mannequins, qui dit qu'on peut absolument tout se permettre pour réussir même être au delà de toute morale et de toute éthique (et c'est un euphémisme), Le film est extrêmement beau techniquement et visuellement , les photos la lumière les cadrages les actrices, certaines scènes d'ailleurs,la première heure est pas mal, mais ensuite on sombre dans une horreur poussée au plus loin, pour montrer ce que l'on sait déjà, c 'est esthétiquement réussi, mais trop gore et trop extrême trop absolutisme, pour le sujet que l'on connait déjà, c'est dérangeant ( fait sciemment probablement), perturbant, on ressort avec la nausée!!!est-ce qu'il fallait aller jusque là?? je ne pense pas
    tifdel13
    tifdel13

    90 abonnés 491 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2016
    Après le surestimé Drive et le mal-aimé Only God Forgives, Nicolas Winding Refn a une nouvelle fois divisé la critique avec son nouveau film qui suit la percée de la jeune Jesse dans le monde de la mode. Autant sifflé qu’applaudi au dernier festival de Cannes où il était en compétition, The Neon Demon est une oeuvre unique qui ne laissera personne indifférent. Cinéaste à tendance narcissique, Refn a tendance à se regarder filmer. Mais si son film peut parfois sembler quelque peu prétentieux, il n’en reste pas moins intelligent et captivant. Tant sur le fond que sur la forme. 5 raisons d’aller voir The Neon Demon.

    Elle Fanning
    Avec le rôle de Jesse, Elle Fanning entre définitivement dans la cour des grands. Parfaite dans chacun de ses films, elle trouve auprès de Refn son personnage le plus complexe. À l’instar de Jesse, elle devient femme sous nos yeux au détour d’un scène centrale. Lors de son premier défilé, le jeune mannequin opère une mue irréversible. La débutante innocente se transforme en...

    Venez découvrir ma critique dans toute son intégralité sur mon site ScreenReview !
    ninilechat
    ninilechat

    74 abonnés 564 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 juin 2016
    Il pleut. Bon, et sur les écrans, il pleut du navet.

    J'ai énormément aimé Drive. Mais considéré Only God forgives comme un pénible nanar.

    Il était temps que je me fasse une opinion définitive sur Nicolas Winding Refn.....

    Elle est faite...

    En l'occurrence, il s'agissait de dénoncer la tyrannie de la beauté /maigreur dans le milieu des mannequins californiens. Et de le faire sous une forme gore, ce qui peut paraître original mais logique: le milieu saigne, dévore les malheureuses qui sont tombées sous ses dents jamais assouvies. Rassurez vous, pour le ridicule, les dernières scènes ne craignent personne!

    Et dès le début, une étonnante erreur de casting: la très jeune (et vierge) héroïne, Jesse doit avoir une beauté absolue, évidente, écrasante, telle que lorsqu'elle arrive, plus personne n'existe à côté d'elle. Pour les talent scouts, c'est Elle, incontournable. les autres filles en la voyant se ratatinent, rentrent sous terre. Qui, pour assumer cette lourde responsabilité? On pense -c'est le premier nom qui me vient à l'esprit- à quelqu'un comme Uma Thurman jeune qui irradiait une personnalité teintée de bizarrerie. Hélas! ici, l'insignifiante Elle Fanning est le prototype du gentil boudin. Une trop petite tête sur un grand corps sans charme, une petite tête qu'elle porte tirée en avant comme une tortue, des yeux globuleux, un gros petit nez qui lui prête un minois de goret.... Mignonnette certes, mais comme tout le monde quand on a quinze ans et qu'on est bien maquillée...

    Donc, après cette erreur initiale de casting, le film enfile comme des perles tous les poncifs du cinéma prétentieux. Insupportables ralentis et arrêts sur images, fonds trop blancs (censés je suppose incarner la vacuité du milieu), musique tonitruante, rigoles de sang, motel miteux, voire puma: eh oui! on est à L.A! et vous ne saviez pas qu'à L.A c'est très dangereux de laisser sa fenêtre ouverte, c'est pas une grosse araignée qui va rentrer (brrrr...) mais un puma, carrément. les babines ensanglantées. Miaw!! Le patron du motel miteux (pourquoi Jesse y reste t-elle?), tiens, c'est Keanu Reeves qui a renoncé à jouer les jeunes premiers, est un violeur et la première, et unique bonne copine que Jesse se fait, Ruby (Jena Malone), maquilleuse mais aussi thanatopractrice spoiler: (amatrice de jolies macchabées...
    ) n'en veut qu'à sa vertu.... Pauvre bichette! elle est mal partie. mais, voyez vous, elle a goûté au bonheur d'être tête d'affiche, elle est devenue accro...

    C'est grotesque, irrémédiablement grotesque d'un bout à l'autre, et autant le dire aux messieurs, toutes les jeunes mannequins qui tournent autour de Jesse, squelettes titubants sur des talons de quinze ont peu de chance de leur inspirer des idées coquines...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 juin 2016
    Tout se joue sur la première scène. Soit on adore, soit on déteste. J'ai adoré !
    La musique de Cliff Martinez vole la vedette à Elle Fanning.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 22 juin 2016
    Etant un grand fan d'Elle Fanning, je ne pouvais pas ne pas aller voir ce film... Finalement, j'aurais bien fait de ne pas aller le voir.... je suis sortis très deçu...
    La seule chose qui sauve ce film, ce sont les actrices (d'où mon 2/5, sinon j'aurais été beaucoup plus sévère), elles collent parfaitement à leur personnage ( surtout Elle qui fait évoluer merveilleusement son personnage, de la petite timide qui n'arrive pas à aligner 2 mots à la fille hautaine qui méprise totalement les autres... ), bref acteurs/actrices au top.
    Inversement, certaines scènes sont incompréhensibles ou totalement inutiles...
    Et le final est complétement.... inattendu et gore... Je veux bien que dans la mode il y ait des animosités entre modèles, mais là ce n'est plus de l'exagération, c'est carrément de la folie...

    J'avais des lycéennes assises dans le même rang, j'ai cru qu'elles allaient toutes s’évanouir dans la dernière scène ;)
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top