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    The Neon Demon
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    3,1
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    488 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 16 août 2016
    Je me considère sans prétention comme cinéphile pour me faire minimum une cinquantaine de films au ciné par an voir le double à la maison.
    Je suis client de plusieurs type de film plus ou moins réussi.
    Depuis que je vois des films très peu de réalisateur ont su me prendre au tripes.
    C'est le cas de Nicolas Winding Refn réalisateur / scénariste de The Neon Demon que j'ai découvert avec la Trilogie Pusher, et qui a été decouvert par le "grand public" par Bronson (meilleur rôle de Tom Hardy au cinéma).
    J'attends sagement la sortie de chacun de ses films pour prendre une claque dans la gueule.
    Cette fois ce n'est pas une claque que j'ai pris mais un veritable k.o.
    Je suis resté scotché pendant les 1h57 du film. J’étais parti dans une autre dimension.
    C'est assez difficile de parler du film, je vais en parler comme une expérience voir un voyage dans le psyché du réalisateur.
    En effet quand on voit un film N W R (c'est ainsi que le réalisateur se nomme à l’écran) on en sort changé. C'est unique à vivre.
    The Neon Demon nous emmène à Los Angeles (deuxième film de N W R dans cette ville après Drive) pour suivre une jeune femme fraîchement arrivée de sa campagne et qui souhaite évoluer dans le milieu du mannequinat.
    Pareil au personnage magnifiquement interprété par Elle Fanning on déambule dans l'envers du décor de ce milieu dicté par la beauté.
    C'est une vision corrosive du milieu teinté par un côté légèrement fantastique.
    Certaines scènes peuvent choquer comme dans chacun de ses films.
    Certains plans sont dignes d'une oeuvre d'art que l'on veut immortaliser.
    Les couleurs sont magnifiques et jouent un rôle important dans la représentation des événements.
    La musique rythme parfaitement le film et nous plonge dans une mélancolie qui accompagne parfaitement l'histoire.
    En un mot c'est un chef-d'œuvre !!!
    Attention je sais que ça ne va pas plaire à tout le monde et que le film peut choquer.
    Mais n’est ce pas là sa force principale, c'est à dire faire réagir le spectateur, lui transmettre des émotions.
    C'est le type de film qui me fait vibrer et me donne envie de me reconvertir et va me motiver à travailler très dur pour espérer un jour être la cheville du réalisateur...
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 juin 2016
    Nicolas Winding Refn signe un nouveau chef d'oeuvre visuel, dans la lignée directe d'Only God Forgives.
    Ce film est simplement parfait dans sa nature, des plans et une lumière incroyable, un OST qui vous embarque dans un rêve beau et malsain.

    The Neon Demon s'inscrit dans la lignée des films du genre où tout n'est qu'illusion... ou pas ?

    Une chose est certaine : si vous n'aimez pas Only God Forgives, vous n'aimerez pas The Neon Demon. Sinon.... Foncez !

    Pour moi un des meilleurs films de l'année.
    Angelina.J
    Angelina.J

    36 abonnés 265 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 juin 2016
    Une représentation exacerbée poussée à l 'extrême, voire psychiatrique de ce que représente dans notre société aujourd'hui , la beauté, l'individualisme, l'individualité, la recherche de la reconnaissance, la perfection physique, de la beauté chez les mannequins, qui dit qu'on peut absolument tout se permettre pour réussir même être au delà de toute morale et de toute éthique (et c'est un euphémisme), Le film est extrêmement beau techniquement et visuellement , les photos la lumière les cadrages les actrices, certaines scènes d'ailleurs,la première heure est pas mal, mais ensuite on sombre dans une horreur poussée au plus loin, pour montrer ce que l'on sait déjà, c 'est esthétiquement réussi, mais trop gore et trop extrême trop absolutisme, pour le sujet que l'on connait déjà, c'est dérangeant ( fait sciemment probablement), perturbant, on ressort avec la nausée!!!est-ce qu'il fallait aller jusque là?? je ne pense pas
    Sylwish
    Sylwish

    8 abonnés 79 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 juin 2016
    Bande-annonce alléchante, photographie sublime, actrices à la plastique impeccable, bande-son trippante : comment ne pas être émoustillé? C'est donc les yeux pleins d'étoiles que j'entre dans la salle obscure... et c'est avec grand soulagement que j'en ressors. "The Neon Demon" est un film bancal qui ne sait jamais sur quel pied danser. Thriller? Horreur? Comédie? Série B? Parodie? Un véritable fourre-tout. De trop nombreuses scènes font sourire en coin à défaut de convaincre - d'autres, clippesques à l'extrême, agacent et perdent le spectateur en route - d'autres encore se focalisent sur des personnages inutiles (le petit copain) tandis que d'autres n'exploitent pas le potentiel comique et flippant des seconds rôles (le photographe, le concierge). Le ton faussement acerbe, la symbolique bizarroïde, le style léché à outrance écœurent vite le spectateur. Un clip de deux heures, c'est long. J'ai pensé à "Jennifer's Body" (Karyn Kusama) et à "Passion" (Brian de Palma) à la projection de ce film. Des œuvres qui partagent le même (énorme) défaut : le manque de crédibilité. Quand le spectateur ne sait s'il doit rire ou pleurer devant les délires mystiques du réalisateur, le film est à mon sens raté. Film esthétique, certes, "The Neon Demon" n'en demeure pas moins très approximatif, prétentieux, creux et naïf dans le traitement de son sujet, le beau.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 13 juin 2016
    Beauty is the only thing. Voilà une phrase du film résumant bien l'oeuvre de Winding Refn.
    The Neon Demon transporte le spectateur dans les coulisses d'un monde trop parfait, superficiel où la quête de la beauté absolue vient posséder l'esprit des mannequins jusqu'à les transformer en prédateurs vicieux et dénués d'humanité.
    Ce film narratif très bien réalisé prend parfois des allures expérimentales qui raviront les amateurs d'art plastique ou de symbolisme mais troubleront les principaux lambdas.
    L'esthétisme du film est d'une grande splendeur. Les noirs sont profonds et les lumières jaillissent de partout comme un mannequin sous les projecteurs. Le travail autour des couleurs et des émotions émanant de celles-ci est également très captivant.
    D'un point de vue réalisation, tous les plans sont réfléchis et construit avec précision, rappelant la beauté symétrique et géométrique des films de Kubrick.
    Toutefois, à force de vouloir faire du beau pour du beau, The Neon Demon masque parfois le fond par la forme et divise les spectateurs. Mais c'est justement sur ce point que réside toute l'idée du film.
    Maintenant, libre à chacun d'interpréter tous ces symboles à sa manière.
    Finalement, The Neon Demon est film passionnant et captivant ne laissant personne indifférent. Le travail créatif et artistique est indéniablement magnifique et les propos sont traités avec brio.
    À voir !
    Alex A.
    Alex A.

    6 abonnés 34 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 15 décembre 2020
    En gros tout le monde s’accorde à dire que c’est beau, et donc c’est bien. En résumé : la forme surpasse tout, surtout le fond. Bien, bien, tout est dans les apparences alors, ça résume complètement la société actuelle… Ben désolé mais pas pour moi, si un film ne raconte pas un tant soit peu quelque chose autant voir une photo, ou mieux un tableau, mais pour ça faut de la culture, et là encore ça coince. On le compare beaucoup à un clip, mais là il y a 1h55 de trop donc erreur de casting de réalisateur.
    Au moins faut avouer que les producteurs se sont donné les moyens. En effet, pas d’histoire, un montage foireux, des dialogues insipides mais une jolie musique et des mannequins en actrice. Du coup ça joue mal mais c’est pas grave, ça fait plaisir de voir des squelettes et de « dénoncer » le méchant milieu de la mode qui mange littéralement les jeunes filles innocentes. Si on sort ça en 1950 c’est un four, mais désormais c’est un plébiscite, comme quoi les mentalités évoluent vite parfois, juste pas dans le bon sens.
    Erik M
    Erik M

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 juin 2016
    Un grand film avec juste deux options : l'adorer ou le detester.
    Photo sublime et actrices impressionantes.
    J.Dredd59
    J.Dredd59

    107 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 juin 2017
    Je retrouve souvent dans la presse ces mots pour décrire ce truc : thriller (alors que de suspens il n'y a pas, si vous n'avez pas vu venir la fin c'est grave), univers concurrentiel des mannequins (comme partout en somme maintenant, puis que ça en arrive là m'étonnerait beaucoup), propos vaporeux (ou sous ecstasy en gros), réalisateur surdoué parce qu'il a fait un film adulé par tous juste par la présence du bogoss de service, et enfin bijou visuel, c'est vrai que filmer de belles nanas suffit à en venir à ça.
    En gros préférez le défilé Victoria Secret, c'est plus beau, mieux fait, pareil, avec des meilleures images, et l'histoire n'est pas plus tarte, ah et c'est mieux joué.
    Jean-Patrick Lerendu
    Jean-Patrick Lerendu

    14 abonnés 152 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juin 2016
    Beau film sur papier glacé au cours duquel une très jeune fille va devenir très vite un mannequin très vite reconnue. Mais ses "nouvelles" collègues ne vont pas accepter cette célébrité trop brutale. Une isuperbe mage nous emporte dans un monde étrange et un peu fantastique ou le drame guette.
    BigDino
    BigDino

    8 abonnés 473 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 5 août 2016
    Un film étrange et très inégal, qui, de critique acerbe et glamour du milieu du mannequinat, glisse vers le thriller, voire presque le giallo. Il y a une certaine fascination à assister au décalage entre tout ce côté glamour et clinquant et la froideur et la cruauté du milieu, et une tension s'instaure, dont le but semble être de mettre mal à l'aise tout le long du film, ce qui malheureusement semble échouer à certains moments tant le décalage créé saute aux yeux. Les réactions des personnages entourant le personnage principal sont tellement exacerbées qu'on peine à croire à l'ensemble.
    cylon86
    cylon86

    2 513 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 juin 2016
    Après le déroutant "Only God Forgives", Nicolas Winding Refn revient à la réalisation pour "The Neon Demon". Et le cinéaste signe à nouveau un film complètement envoûtant, une merveille visuelle de chaque plan tout en évitant de brosser son spectateur dans le sens du poil. Il en résulte une étrange impression notamment celle que Refn aime tellement ce qu'il fait et ce qu'il filme qu'il fait durer le plaisir, quitte à nous asséner de manière répétitive des plans superbes mais tournant rapidement à vide. Certes, le film dénonce, par le biais de l'horreur glissante et subtile, le culte de la beauté qui règne sur notre société ("La beauté ne fait pas tout, elle est tout" dira un créateur couturier) mais pour ce faire, il utilise une certaine vanité et vacuité qui ne manque pas de nous plonger dans une certaine indifférence si ce n'est un certain ennui. Utiliser les outils du culte de la beauté pour la dénoncer ? Pourquoi pas mais impossible de ne pas sentir une certaine complaisance de la part du réalisateur dans tout ce procédé. Prenant des allures de conte nous montrant l'ascension d'une jeune mannequin innocente dans le milieu impitoyable de la mode où avoir 20 ans veut dire être out, "The Neon Demon" n'hésite pas à user de symbolique un peu lourdingue pour mieux illustrer son propos. Sans pour autant s'être départi de son talent, Nicolas Winding Refn se désintéresse de plus en plus du fond (le scénario tient sur finalement sur peu de lignes) au profit d'une forme de plus en plus aboutie et maîtrisée. Alors oui c'est beau mais ça semble tout de même un peu vain, comme cette poursuite de la beauté dans laquelle les personnages du film sont tous lancés. Mais ne crachons tout de même pas dans la soupe, déjà rien dans le choix du casting, Nicolas Winding Refn ne s'est pas trompé, offrant à ses comédiennes des rôles de choix. Outre Elle Fanning et sa beauté virginale qui s'imposent d'emblée à nous, le trio diabolique l'entourant ne manque pas de charme. Jena Malone surprend en maquilleuse trouble, Abbey Lee est presque touchante en mannequin mis de côté et Bella Heathcote amuse dans un personnage qui croit dur comme fer à la chirurgie esthétique. Notons aussi que Keanu Reeves se paye un second rôle assez savoureux en gérant de motel à l'humour sacrément malsain. De beaux rôles pour une œuvre fascinante qui méritera certainement de nouvelles visions pour qu'on en déniche tous les trésors et que l'on puisse voir au-delà de l'ennui qu'il peut susciter en nous. Une chose est sûre en tout cas, c'est que NWR ne laisse pas indifférent, c'est certainement tout ce qu'on peut lui souhaiter et tout ce qu'il désire.

    PS : on se mettra tout de même d'accord sur le générique de fin sur une chanson de Sia, c'est déjà ça.
    felix-cobb
    felix-cobb

    18 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    (Cette analyse peut contenir des spoilers en un certain sens

    Là où Nicolas Winding Refn maîtrise son sujet, comme c'était déjà le cas dans Only God Forgives, c'est dans cette plastique des mythes, grâce à une palette de couleurs et de mouvements qui expriment tantôt la crainte et l'impuissance, tantôt le désir et la jouissance. Ses personnages sont constamment pris dans ces processus, balancés d'un pôle à l'autre, à l'image de Jesse, à la fois maîtresse et victime de ses propres variations, ou encore Ruby et sa petite armée de mannequins affamées, consumées par un désir que Refn grossit matériellement jusqu'au bout de sa logique.

    Pas vraiment un film de genre, plutôt un genre de film riche en références aux films d'horreur, de zombies et surtout de vampires étant donné l'importance des jeux de miroirs, et de la filiation omniprésente entre la mort, l'incorporation (à certains égards la "digestion") et l'amour inconditionné de la chair.

    Cependant, on pourrait presque regretter que Refn n'ait pas offert à ses personnages un traitement plus humain, plus profond : ici, le message est clair, le spectateur voit se pavaner des fantômes, des "morts-vivants" qui se nourrissent de beauté ("beauty isn't everything, it's the only thing"). Par conséquent, The Neon Demon offre quelque chose de dérangeant, proche du sublime mais sans jamais l'atteindre, car en ayant voulu faire transparaître une forme de vérité à travers son film, Refn a oublié de nous tromper, de provoquer l'empathie, de donner à ses personnages une fausse profondeur, ce qui aurait certainement pu être, une fois venu le temps de faire tomber le masque des apparences, le vecteur d'une émotion cinématographique plus authentique.
    traversay1
    traversay1

    3 572 abonnés 4 861 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 10 juin 2016
    Nicolas Winding Refn signe désormais NWR. Un sigle ou un label. Humour ou pure prétention ? A l'instar de son compatriote Lars Von Trier, Refn est un styliste qui manie la provocation dans des postures plus proches du sordide que du torride. The Neon Demon, sous prétexte de "dénoncer" le culte de la beauté et de la jeunesse, semble fasciné par le vide avec ses femmes cyborg et ses hommes si stéréotypés. Le film a la tentation du vide et de la vanité où la splendeur de la façade (d'accord, certains passages sont plastiquement superbes) cache des perversités peu ragoûtantes (des pratiques qui se terminent en "philie"). Mais aussi dérangeante soit la forme, elle est appuyée par bien trop peu de fond. On s'épuiserait à compter le nombre de scènes gratuites sans compter quelques personnages tout aussi inutiles (celui de Keanu Reeves, par exemple). The Neon Demon sonne creux et se croit malin en se transformant en mauvais giallo. On espérait l'être et le néon. On est bien plus proche du néant.
    Jorik V
    Jorik V

    1 271 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 juin 2016
    Nicolas Winding Refn serait-il en réelle dégringolade depuis sa pluie d’éloges mérités pour « Drive ». Son film suivant, « Only god forgives », était déjà beaucoup moins percutant mais ici c’est ce que l’on serait tenté de croire à la vue de cet objet cinématographique étrange, poseur et vain. En effet, comment ne pas rester dubitatif devant « The Neon Demon ». A se demander si le metteur en scène sait vraiment ce qu’il a voulu nous dire tant tout cela est abscons et semble sans fond. Cette plongée dans le monde du mannequinat au symbolisme opaque n’est ni plus ni moins qu’un coup d’épée dans l’eau. Le long-métrage se veut troublant, peut-être à la manière du « Mulholland Drive » de Lynch, il n’est qu’hermétique voire parfois ridicule.

    Ni vraiment une satire du monde de la mode, ni un thriller et encore moins un film d’horreur, ce nouveau long-métrage de l’esthète danois n’a pour lui que sa beauté froide et guindée. Un tableau criard se pensant à la mode mais qui ne sert aucun propos. Il est vrai que les images sont belles, mais elles ne sont au service de rien. On a la très désagréable impression de regarder une longue publicité pour des cosmétiques ou des parfums. Le cinéaste recycle à n’en plus finir son imagerie pseudo-chic au service d’un semblant de scénario écrit par ses propres mains et approchant le néant. Du cinéma égoïste et auto-centré sur lui-même qui ne ravira que les cinéphiles pseudo-intellos pensant dénicher quelque chose dans ce salmigondis sans queue ni tête.

    Heureusement, le dernier quart relève un peu le niveau convoquant une esthétique baroque que Dario Argento n’aurait pas renié et quelques scènes qui marqueront l’année cinéma par leur côté extrême. Mais à quoi bon ? A part choquer les ménagères, c’est encore une fois un déballage esthétique certes jouissif pour la rétine mais totalement dénué de sens. Le réalisateur danois, peut-être conscient de sa propre supercherie, n’explique rien, préférant laisser le spectateur se démener avec ce qu’il voit. C’est lent, long, parfois hypnotique mais ça ne tient pas le temps d’un long-métrage de presque deux heures. Las, on quitte la salle en ayant le sentiment de s’être fait avoir après une belle promesse non tenue. Un film arty déjà démodé ayant plus sa place dans une galerie d’art moderne (éphémère) que dans une salle de cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 15 juin 2016
    Ce film est magique, l'ambiance, les plans, les actrices, la musique, la réalisation de Nicolas Winding Refn.... tout est parfait
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