Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
29 critiques presse
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
"The Neon Demon" n’est pas une énième fable de chair fraîche pervertie et dévorée par la société du spectacle, c’est la mise en scène d’une hantise réciproque jusque dans les moindres détails de l’image. La beauté captive autant qu’elle est capturée, la morale est simple mais elle n’avait jamais été portée à cette extrémité indémêlable.
Franceinfo Culture
par Boris Courret
Derrière l'œuvre expérimentale et visuellement époustouflante de Nicolas Wending Refn, se cache une critique acerbe de notre monde, où le culte de la beauté et de la perfection règne en maître.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
TF1 News
par Romain Le Vern
Le réalisateur Nicolas Winding Refn a bien raison de signer "The Neon Demon" de ses initiales (NWR comme un certain YSL): radical et filant telle une comète jusqu'au bout de sa logique paranoïaque, ce film l'impose définitivement comme un génie de la haute-couture trash, pour qui le bon goût est l’ennemi de la créativité.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Transfuge
par Damien Aubel
(...) un petit bijou de maniérisme irrévérencieux. Du trash sous des images léchées.
CNews
par La Rédaction
Malgré ces quelques reproches, cette variation autour du film d’horreur utilise avec humour les codes du genre pour épingler les injonctions du culte de la beauté et de la jeunesse. Reste la musique de Cliff Martinez. Collaborateur de longue date du cinéaste, le compositeur américain signe ici une bande-son électro ensorcelante.
Critikat.com
par Josué Morel
Rien, ou presque, ne nous avait préparé dans la carrière de Nicolas Winding Refn à un film aussi tortueux, inégal et passionnant que "The Neon Demon".
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Vénéneux, retors, et cruellement drôle, "The Neon Demon" est un uppercut esthétique inclassable, parfois déconcertant, toujours jubilatoire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Alexandre Jourdain
POUR : Performance remarquable dont l'ambiguïté érotique convoque en creux la griffe d'un David Cronenberg.
L'Express
par Eric Libiot
"The Neon Demon" est un film d’une beauté formelle époustouflante, comme un jeu de miroir avec le sujet, pervertie par des intrusions dans le gore (cannibalisme, sang...) en autant de métaphores.
L'Obs
par François Forestier
On aime ou pas, mais le film laisse une marque puissante.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Loris Hantzis
Nicolas Winding Refn s’entoure de femmes au scénario et à la photographie, pour pleinement embrasser son parcours angélique avec une tendresse rappelant les scènes les plus douces et cotonneuses de "Drive".
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Accordant son style au sujet, Nicolas Winding Refn construit un spectacle tout d’éclats électriques, de débauches visuelles et de sophistications formelles. Avec, derrière, le vide glacé de l’imagerie clip.
Mad Movies
par Fausto Fasulo
Capricieux, égocentrique, passionnant et terrassant.
Metro
par Jérôme Vermelin
Si "The Neon Demon" nous a séduits (...), c’est d’abord par son esthétique flamboyante, certains diront kitsch. Chez NWR, plus que jamais, chaque plan, chaque détail visuel et sonore (...) captive de la première à la dernière seconde avec une générosité rare (...).
La critique complète est disponible sur le site Metro
Première
par Frédéric Foubert
Fable morbide sur une jolie provinciale qui débarque à Los Angeles pour percer dans le milieu de la mode, "The Neon Demon" est à la croisée des chemins. Un pied dans l’intransigeance mutique, l’autre dans la séduction pure (couleurs qui pètent de partout, filles sublimes sur talons aiguilles…).
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Jacques Morice
Sophistiquée et crue, cette guerre des belles est d'une futilité perverse, sexy, sanglante, fun.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Jérôme Saunier
Le film est moins drôle qu'il ne le souhaite sur le terrain de la fable satirique mais terriblement adroit dans sa manière de détourner l'imagerie publicitaire des corps photoshopés pour la pousser dans des retranchements gores insoupçonnés.
aVoir-aLire.com
par Alexandre Jourdain
La performance esthétique de "The Neon Demon" farde une certaine inconsistance. Mais qu’importe, cette plongée Suspirienne fascine jusqu’à l’obsession.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
(Une) comédie féroce sur le milieu des mannequins.
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Alors oui, on se solidarise de ce cinéma de pure sensation, de cet auteur fétichiste qui cultive l’étrangeté, frise l’abstraction et compose des plans d’une sophistication inouïe, peuplés de filles que l’on croirait sorties des clips de Bryan Ferry et feu Robert Palmer. Mais l’on rechigne un peu à le suivre dans ses délires nécrophiles et voyeuristes.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Nicolas Winding refn revisite “Mulholland Drive” dans un film atmosphérique, fétichiste, fantasmagorique et sophistiqué jusqu'à l'écœurement.
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
Winding Refn télescope, avec une nuance d'humour, la violence des mondes de la mode et du cinéma de genre. Dans "The Neon Demon", tout est métaphore, et c'est ce qui fait à la fois l'intérêt (la littéralité qui élève le cliché au rang d'archétype, de mythe) et la limite du film (le grand-guignol).
GQ
par Toma Clarac
Etourdi par les nappes electro de l'ex Red Hot Cliff Martinez (déjà à l'oeuvre sur la BO de "Drive"), Refn recycle en outre une esthétique porno chic diablement datée. C'est dommage.
La critique complète est disponible sur le site GQ
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
CONTRE : Tombant sous l'ivresse de la virtuosité visuelle, "NWR" oublie qu'un long-métrage n'est pas qu'un exercice de style (...).
Le Monde
par Thomas Sotinel
Privilégiant l'esthétique, le cinéaste danois s'acharne avec un brio délirant et parfois répugnant sur l'univers du mannequinat.
Le Journal du Dimanche
par Danielle Attali
Le vide habite cet exercice de style vain et hypersophistiqué qui prétend dénoncer la dictature de la beauté et ce qu’on est capable de commettre pour conserver une éternelle jeunesse.
Le Point
par Philippe Guedj
On était venu voir un film d'horreur radical et prenant, on se retrouve avec un clip chichiteux et mortifère, un conte de fées techno, prétentieux et vaguement provoc'.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
Refn (...) se retrouve figé dans la position du cinglé moraliste en complet de laine, qui se contemple éructer son catéchisme depuis le fond d’un aquarium de miroirs.
La critique complète est disponible sur le site Libération
VSD
par Bernard Achour
Le film transforme le parcours a priori excitant d’une sublime innocente dans la jungle des top-models en un chemin de croix esthétique où le souci de la « belle image » vire à la pure psychose audiovisuelle, sans compter l’insondable crétinerie pseudo-transgressive des vingt dernières minutes.
Cahiers du Cinéma
"The Neon Demon" n’est pas une énième fable de chair fraîche pervertie et dévorée par la société du spectacle, c’est la mise en scène d’une hantise réciproque jusque dans les moindres détails de l’image. La beauté captive autant qu’elle est capturée, la morale est simple mais elle n’avait jamais été portée à cette extrémité indémêlable.
Franceinfo Culture
Derrière l'œuvre expérimentale et visuellement époustouflante de Nicolas Wending Refn, se cache une critique acerbe de notre monde, où le culte de la beauté et de la perfection règne en maître.
TF1 News
Le réalisateur Nicolas Winding Refn a bien raison de signer "The Neon Demon" de ses initiales (NWR comme un certain YSL): radical et filant telle une comète jusqu'au bout de sa logique paranoïaque, ce film l'impose définitivement comme un génie de la haute-couture trash, pour qui le bon goût est l’ennemi de la créativité.
Transfuge
(...) un petit bijou de maniérisme irrévérencieux. Du trash sous des images léchées.
CNews
Malgré ces quelques reproches, cette variation autour du film d’horreur utilise avec humour les codes du genre pour épingler les injonctions du culte de la beauté et de la jeunesse. Reste la musique de Cliff Martinez. Collaborateur de longue date du cinéaste, le compositeur américain signe ici une bande-son électro ensorcelante.
Critikat.com
Rien, ou presque, ne nous avait préparé dans la carrière de Nicolas Winding Refn à un film aussi tortueux, inégal et passionnant que "The Neon Demon".
Ecran Large
Vénéneux, retors, et cruellement drôle, "The Neon Demon" est un uppercut esthétique inclassable, parfois déconcertant, toujours jubilatoire.
L'Ecran Fantastique
POUR : Performance remarquable dont l'ambiguïté érotique convoque en creux la griffe d'un David Cronenberg.
L'Express
"The Neon Demon" est un film d’une beauté formelle époustouflante, comme un jeu de miroir avec le sujet, pervertie par des intrusions dans le gore (cannibalisme, sang...) en autant de métaphores.
L'Obs
On aime ou pas, mais le film laisse une marque puissante.
La Septième Obsession
Nicolas Winding Refn s’entoure de femmes au scénario et à la photographie, pour pleinement embrasser son parcours angélique avec une tendresse rappelant les scènes les plus douces et cotonneuses de "Drive".
Le Dauphiné Libéré
Accordant son style au sujet, Nicolas Winding Refn construit un spectacle tout d’éclats électriques, de débauches visuelles et de sophistications formelles. Avec, derrière, le vide glacé de l’imagerie clip.
Mad Movies
Capricieux, égocentrique, passionnant et terrassant.
Metro
Si "The Neon Demon" nous a séduits (...), c’est d’abord par son esthétique flamboyante, certains diront kitsch. Chez NWR, plus que jamais, chaque plan, chaque détail visuel et sonore (...) captive de la première à la dernière seconde avec une générosité rare (...).
Première
Fable morbide sur une jolie provinciale qui débarque à Los Angeles pour percer dans le milieu de la mode, "The Neon Demon" est à la croisée des chemins. Un pied dans l’intransigeance mutique, l’autre dans la séduction pure (couleurs qui pètent de partout, filles sublimes sur talons aiguilles…).
Télérama
Sophistiquée et crue, cette guerre des belles est d'une futilité perverse, sexy, sanglante, fun.
Voici
Le film est moins drôle qu'il ne le souhaite sur le terrain de la fable satirique mais terriblement adroit dans sa manière de détourner l'imagerie publicitaire des corps photoshopés pour la pousser dans des retranchements gores insoupçonnés.
aVoir-aLire.com
La performance esthétique de "The Neon Demon" farde une certaine inconsistance. Mais qu’importe, cette plongée Suspirienne fascine jusqu’à l’obsession.
20 Minutes
(Une) comédie féroce sur le milieu des mannequins.
La Voix du Nord
Alors oui, on se solidarise de ce cinéma de pure sensation, de cet auteur fétichiste qui cultive l’étrangeté, frise l’abstraction et compose des plans d’une sophistication inouïe, peuplés de filles que l’on croirait sorties des clips de Bryan Ferry et feu Robert Palmer. Mais l’on rechigne un peu à le suivre dans ses délires nécrophiles et voyeuristes.
Les Fiches du Cinéma
Nicolas Winding refn revisite “Mulholland Drive” dans un film atmosphérique, fétichiste, fantasmagorique et sophistiqué jusqu'à l'écœurement.
Les Inrockuptibles
Winding Refn télescope, avec une nuance d'humour, la violence des mondes de la mode et du cinéma de genre. Dans "The Neon Demon", tout est métaphore, et c'est ce qui fait à la fois l'intérêt (la littéralité qui élève le cliché au rang d'archétype, de mythe) et la limite du film (le grand-guignol).
GQ
Etourdi par les nappes electro de l'ex Red Hot Cliff Martinez (déjà à l'oeuvre sur la BO de "Drive"), Refn recycle en outre une esthétique porno chic diablement datée. C'est dommage.
L'Ecran Fantastique
CONTRE : Tombant sous l'ivresse de la virtuosité visuelle, "NWR" oublie qu'un long-métrage n'est pas qu'un exercice de style (...).
Le Monde
Privilégiant l'esthétique, le cinéaste danois s'acharne avec un brio délirant et parfois répugnant sur l'univers du mannequinat.
Le Journal du Dimanche
Le vide habite cet exercice de style vain et hypersophistiqué qui prétend dénoncer la dictature de la beauté et ce qu’on est capable de commettre pour conserver une éternelle jeunesse.
Le Point
On était venu voir un film d'horreur radical et prenant, on se retrouve avec un clip chichiteux et mortifère, un conte de fées techno, prétentieux et vaguement provoc'.
Libération
Refn (...) se retrouve figé dans la position du cinglé moraliste en complet de laine, qui se contemple éructer son catéchisme depuis le fond d’un aquarium de miroirs.
VSD
Le film transforme le parcours a priori excitant d’une sublime innocente dans la jungle des top-models en un chemin de croix esthétique où le souci de la « belle image » vire à la pure psychose audiovisuelle, sans compter l’insondable crétinerie pseudo-transgressive des vingt dernières minutes.