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Votre avis sur Annihilation ?
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Film assez bizarre, il faut le comprendre mais c’est Très incompréhensible et ca ne suit ps la route. La fin est décevante, je n’ai pas d´autres mots. Seul les moment d’action étaient intéressants.
Agréablement surpris ! Bon la BA ne me donnait pas plus envi que ça mais j'ai lu que les gens ont aimé dans les commentaires puis y avait un certain aspect avec la nature qui m'intéressait donc je me suis dit pourquoi pas et au final c'est le meilleur ou un des meilleurs films (car je ne les ai pas tous vu) que Netflix a produit, franchement j'ai vraiment accroché, un scénario intéressant et captivant, comme je l'ai vu dans d'autres commentaires et vu que c'est une bonne référence (je trouve) je le comparerais aussi avec "Premier contact". J'espère qu'il y aura une suite et je vous laisse découvrir ce film que je vous conseille à voir !
je m attendais à bien mieux que cela pr être honnête... nataly portman est excellente mais mon dieu que le film manque de cohérence, de détails de de de .. tout en fait ... à l image du film bright aussi vu sur netflix j ai l impression que l on a des films à gros potentiels mais qui se retrouvent bâclés ...
au final 2 heures d un ennuie mortel malgré quelques moments qui nous laisse espérer que le film et son scénario vont décoller ... puis non en fait ..
au final 2 heures d un ennuie mortel malgré quelques moments qui nous laisse espérer que le film et son scénario vont décoller ... puis non en fait ..
Plat, ennuyeux et sans âme ... passez votre chemin si vous voulez pas perdre votre temps. Visuellement ça tient la route mais c’est bien la seule chose à retenir. RIP Nathalie portman
La claque 😵 !
C’est vraiment une très grosse surprise tant sur le côté visuel que sur l’ambiance ! On est complètement plongé dedans et plus le film avance plus il s’intensifie ! Personnellement la fin m’a mise mal à l’aise, dans l’esprit de Mother où le film peut être interprété de différentes façons et fait beaucoup réfléchir
C’est vraiment une très grosse surprise tant sur le côté visuel que sur l’ambiance ! On est complètement plongé dedans et plus le film avance plus il s’intensifie ! Personnellement la fin m’a mise mal à l’aise, dans l’esprit de Mother où le film peut être interprété de différentes façons et fait beaucoup réfléchir
Un film qui épouse bien son contenu (multiplicité cellulaire) puisqu'il emprunte génétiquement et multiplie les ficelles et l'intrigue de The Ritual, Village, Outlander, Blair Witch,etc. Un même dénominateur commun donc, qui donne une impression de déjà-vu. Sauf que certains films du même tonneau sont plus originaux que d'autres. Celui-ci fait pâle figure avec sa poésie de kaléidoscope.
mon Dieu c'était pourtant bien parti mais le final élan et j'ai l'impression que même le scénariste n'a pas compris si vous voulez faire
Très beau film. Dérangeant. Surprenant. Qui fait se poser pas mal de questions sur les messages passés au travers du scénario... tout au long du film on cherche à comprendre ce qu'il se passe mais in fine ce n'est pas le plus important... car "on ne sait pas". J'aime les films de ce genre quand une fois terminé on se le repasse en boucle dans sa tête pour se dire mais oui tout s'explique:
spoiler:
le jardin d'Eden, le péché, l'enfer, Adam et Eve version mutation génétique... Et plus encore
un film de SF comme il se doit. Bien sur à ne pas regarder si vous attendez de ce film qu'il vous donne toutes les infos sans réfléchir. Tout y est pertinent même les flash backs pour ceux qui disent qu'ils ne servent à rien... Bah si ! creusez encore un peu :)
un film de SF comme il se doit. Bien sur à ne pas regarder si vous attendez de ce film qu'il vous donne toutes les infos sans réfléchir. Tout y est pertinent même les flash backs pour ceux qui disent qu'ils ne servent à rien... Bah si ! creusez encore un peu :)
Freakin Geek
On sentait déjà dans les difficultés de la Paramount à vendre le film que Annihilation ne serait pas un long métrage évident. Comme toutes véritables œuvres de science fiction, le nouveau film d’Alex Garland demandera une bonne dose de réflexion ne serait ce même pour savoir si on l’a aimé ou pas mais surtout pour tenter de comprendre cette histoire. Pas la peine cependant de complexer si vous n’y arrivez pas car c’est totalement fait pour ! Libre à chacun d’imaginer sa propre interprétation de ce qu’il a vu en attendant éventuellement que Netflix donne le feu vert pour adapter la suite de cette trilogie pour avoir de vraies explications. Visuellement souvent spectaculaire et incroyable dans son mixage sonore, Annihilation était vraiment taillé pour le cinéma. On ne peut que regretter d’être privé de cette possibilité qui aurait donné au film sa vraie valeur. [lire la critique complète sur FreakinGeek.com]
Quand on regarde la carrière d'Alex Garland, nous pouvons avoir de l'espoir pour l'avenir du cinéma. Auteur de plusieurs romans, notamment The Beach (adapté au cinéma par Danny Boyle en 2000), il a également écrit de nombreux scénarios dont six ont été faits en films (28 Days Later, Sunshine, Never Let Me Go, Dredd, Ex Machina, Annihilation). Il se met finalement à la réalisation en 2015 avec le très bon Ex Machina (bien qu'en fait il a officieusement réalisé une grande partie de Dredd en 2012) ; en 2018 sort son second film : Annihilation.
Tout comme Ex Machina, Annihilation est une très bonne surprise ; l'histoire est intéressante, tout comme les visuels.
Ce film peut faire penser à Stalker (Tarkovski, 1979), Alien (Scott, 1979) et Under The Skin (Glazer, 2013), ce qui ne l’empêche pas d'avoir une personnalité propre.
En ce qui concerne le récit, nous suivons une équipe de scientifiques qui va étudier une zone contaminée par une force extraterrestre mystérieuse ; je m’arrête là car c'est le genre de film où il est préférable de ne pas trop en savoir pour mieux l’apprécier.
spoiler: Thématiquement, cette œuvre est une représentation symbolique de l’expérience de la maladie (notamment le cancer) et la crise identitaire pouvant en découler (que ce soit en ayant été malade soi-même ou en ayant perdu un proche) ; d'ailleurs, un défaut que nous pouvons reprocher à ce film est son manque de subtilité par rapport à ses thèmes.
Pour terminer, ce film réussit à montrer des personnages féminins forts sans pour autant rentrer dans la caricature moralisatrice bien lourde ou le consumérisme pseudo-féministe superficiel (comme avec le Gostbusters de 2016).
De toute façon, de Falconetti dans La Passion de Jeanne d'Arc en 1928 à Leia (Carrie Fisher) dans les Star Wars (sans oublier les carrières de Judy Garland, Lauren Bacall, Elizabeth Taylor ou Audrey Hepburn, et des films comme Erin Brockovich, Alien, Terminator, Hunger Games, Harry Potter, Lord of the Rings, etc.), les personnages féminins forts ont toujours existé dans le cinéma sans avoir besoin d'une propagande idiote (qui ne résout d'ailleurs aucun problème réel ; de plus, nous n'avons pas de leçons à recevoir d'une industrie qui laissa des individus comme Harvey Weinstein et Roman Polsanski sévir pendant tant d'années).
Tout comme Ex Machina, Annihilation est une très bonne surprise ; l'histoire est intéressante, tout comme les visuels.
Ce film peut faire penser à Stalker (Tarkovski, 1979), Alien (Scott, 1979) et Under The Skin (Glazer, 2013), ce qui ne l’empêche pas d'avoir une personnalité propre.
En ce qui concerne le récit, nous suivons une équipe de scientifiques qui va étudier une zone contaminée par une force extraterrestre mystérieuse ; je m’arrête là car c'est le genre de film où il est préférable de ne pas trop en savoir pour mieux l’apprécier.
spoiler: Thématiquement, cette œuvre est une représentation symbolique de l’expérience de la maladie (notamment le cancer) et la crise identitaire pouvant en découler (que ce soit en ayant été malade soi-même ou en ayant perdu un proche) ; d'ailleurs, un défaut que nous pouvons reprocher à ce film est son manque de subtilité par rapport à ses thèmes.
Pour terminer, ce film réussit à montrer des personnages féminins forts sans pour autant rentrer dans la caricature moralisatrice bien lourde ou le consumérisme pseudo-féministe superficiel (comme avec le Gostbusters de 2016).
De toute façon, de Falconetti dans La Passion de Jeanne d'Arc en 1928 à Leia (Carrie Fisher) dans les Star Wars (sans oublier les carrières de Judy Garland, Lauren Bacall, Elizabeth Taylor ou Audrey Hepburn, et des films comme Erin Brockovich, Alien, Terminator, Hunger Games, Harry Potter, Lord of the Rings, etc.), les personnages féminins forts ont toujours existé dans le cinéma sans avoir besoin d'une propagande idiote (qui ne résout d'ailleurs aucun problème réel ; de plus, nous n'avons pas de leçons à recevoir d'une industrie qui laissa des individus comme Harvey Weinstein et Roman Polsanski sévir pendant tant d'années).
Sur un sujet énorme de SF, l'adaptation se vautre lamentablement dans le téléfilm. A part deux passages de 4 minutes en tout, le reste est d'un ennui mortel. Le niveau des acteurs est digne d'une troupe de théâtre de maternelle. Les caractères des personnages, tous des bras cassés, est aussi épais que les dimensions invisibles de la théorie des cordes. On navet (!) dans cette histoire sombre et grandiose de quoi faire un cinéma de qualité. Ben ce sera pas pour cette fois.
Quel dommage que ce film n'ai trouvé aucun distributeur en Europe pour le diffuser dans les salles de cinéma car voilà un long-métrage qui mériterait d'être vu dans des conditions optimales pour qu'il soit apprécier à sa juste valeur. Enfin, heureusement que Netflix a eu la bonne idée d'en récupérer les droits d'exploitation car cela m'a permis d'accéder facilement à ce superbe film de science-fiction qu'est "Annihilation". Alex Garland m'avait déjà convaincu avec "Ex machina" mais il a selon moi placé la barre encore plus haute avec ce second long-métrage qui pourrait potentiellement devenir culte d'ici quelques années. On retrouve la patte visuelle de Garland qui filme très froidement un environnement lumineux et lisse mais également étrangement inquiétant. En tant que spectateur, on est totalement fasciné par cette jungle luxuriante bien qu'elle dégage une hostilité de tous les instants. Ce film a une atmosphère vraiment prenante et les quelques faux pas esthétiques ternissent à peine l'énorme travail visuel effectué par Garland et ses équipes techniques. Au delà de ça, ce qui nous intéresse avec une oeuvre comme celle-ci c'est le propos qu'elle développe et là encore, je n'ai pas été déçu. Sans être un film main-fuck incompréhensible, "Annihilation" est englobé d'une aura de mystère qui persiste jusqu'au dernier plan du film. On sent les personnages torturés et le film se révèle assez fin sur le plan psychologique en se contentant principalement de lancer des pistes implicites que le spectateur doit suivre seul pour se faire son propre avis. Garland se montre assez pessimiste sur l'avenir de l'humanité, décrivant l’homme moderne comme incapable de communiquer et pousser par ses pulsions auto-destructrice. La superbe bande originale laisse planer une menace latente sur les protagonistes dont les motivations sont difficiles à percer tant ils semblent détruits et tiraillés par des sentiments contradictoires. "Annihilation" ne plaira pas à tout le monde et risque d'en laisser sur le carreau mais je pense que l'expérience mérite d'être tenté à condition que l'on regarde le film dans les meilleurs conditions pour en apprécier son ambiance visuelle et en saisir toute la richesse narrative.
Plein de bonnes idées, et plein de déception. Annihilation suscite au départ la curiosité, pour ne laisser qu'un final abscons. A trop vouloir être original, le film accumule les incohérences. On retiendra le concept d'origine et le mélange original de gore, de science fiction et d'aventure sauvage. On oubliera le reste.
L'idee de depart est bonne mais a partir du moment ou l'expedition debute on va d'incoherences en incoherences. Rien ne tiens debout et on nous balade en soulevant pleins de questions sans apporter vraiment de reponses. On ne comprend rien a la fin. En fait on nous prend vraiment pour des idiots abrutis devant un ecran sans chercher un minimum de logique. On envoie des militaires puis des scientifiques qui disparaissent un par un. Alors que deja sur une expedition comme ca on ferait un mix des 2 pour avoir une synergie et une coherence. On ne sait pas si l'air est contamine mais on le respire quand meme.
On fonce sans aucune logique en perdant les membres de l'equipe un a un mais cela ne pose pas de probleme. On pourrait faire une liste non exaustive de toute les incoherences de se film vraiment mauvais....
On fonce sans aucune logique en perdant les membres de l'equipe un a un mais cela ne pose pas de probleme. On pourrait faire une liste non exaustive de toute les incoherences de se film vraiment mauvais....
De bonnes idées mais pas assez.
Le scénario ressemble à un amas d'idées sans trop de lien entre elles et dont les trous sont à combler par le spectateur. OK, on peut réfléchir pour imaginer ce qui manque mais les incohérences et l'absence de choix quant à la fin c'est plus de la paresse d'écriture que du talent.
C'est dommage car il y avait un bon casting, une photographie intéressante, des effets spéciaux corrects et un début de quelque chose.
L'équipe 100% féminine ? On ne se pose pas la question quand c'est l'inverse. Pourquoi pas ?
Mais ça devient ridicule : la plus "forte" est forcément lesbienne, on retombe direct dans les clichés.
Porter une combinaison pour ne pas être infecté ? Pourquoi ? Personne n'est revenu, je vois pas le danger ?!
Attacher les membres de l'équipe par un câble jute pour explorer le bord ? Pas la peine.
Lancer un drone roulant restant attaché ? Non plus.
Survoler la zone dont le ciel est clairement accessible ? Pfff.
Et ça, ce n'est que le début ! Dès les 30 premières minutes, le film se fout de nous en nous donnant des infos intelligentes sur les équipes précédentes, les tentatives d'exploration en drone, la possible infection, etc. pour envoyer ensuite une équipe sans protection (scaphandre dont sont équipés ceux de la base), sans sécurité pour le retour (on ne sait rien de ce qui se passe derrière le miroitement), sans communication filaire (les ondes ne passent pas).
On se focalise plus sur ce qui devait être suggéré (et qui a fuité partout dans la presse) à savoir l'introspection, l'évocation de la dépression. OK, mais sinon l'histoire ?
Le S de SF c'est science ! Revoyez vos classiques. Sans le côté science/logique/cartésien, ce genre d'histoire ne tient pas. Les incohérences sont accumulées tellement vite qu'on décroche et on s'ennuie ferme pendant l'heure et demie qu'il reste.
spoiler: Un bruit dehors de nuit alors qu'on a été attaquées par un crocodile/requin albinos géant ? OK, on court partout sans raison, au pire la blonde se fera bouffer...
Un gâchis qui aurait pu être vraiment pas mal. Peut-être que les projections-tests ont pointé ces défauts et que ne voulant rien changer, le réal a préféré une sortie Netflix...
Le scénario ressemble à un amas d'idées sans trop de lien entre elles et dont les trous sont à combler par le spectateur. OK, on peut réfléchir pour imaginer ce qui manque mais les incohérences et l'absence de choix quant à la fin c'est plus de la paresse d'écriture que du talent.
C'est dommage car il y avait un bon casting, une photographie intéressante, des effets spéciaux corrects et un début de quelque chose.
L'équipe 100% féminine ? On ne se pose pas la question quand c'est l'inverse. Pourquoi pas ?
Mais ça devient ridicule : la plus "forte" est forcément lesbienne, on retombe direct dans les clichés.
Porter une combinaison pour ne pas être infecté ? Pourquoi ? Personne n'est revenu, je vois pas le danger ?!
Attacher les membres de l'équipe par un câble jute pour explorer le bord ? Pas la peine.
Lancer un drone roulant restant attaché ? Non plus.
Survoler la zone dont le ciel est clairement accessible ? Pfff.
Et ça, ce n'est que le début ! Dès les 30 premières minutes, le film se fout de nous en nous donnant des infos intelligentes sur les équipes précédentes, les tentatives d'exploration en drone, la possible infection, etc. pour envoyer ensuite une équipe sans protection (scaphandre dont sont équipés ceux de la base), sans sécurité pour le retour (on ne sait rien de ce qui se passe derrière le miroitement), sans communication filaire (les ondes ne passent pas).
On se focalise plus sur ce qui devait être suggéré (et qui a fuité partout dans la presse) à savoir l'introspection, l'évocation de la dépression. OK, mais sinon l'histoire ?
Le S de SF c'est science ! Revoyez vos classiques. Sans le côté science/logique/cartésien, ce genre d'histoire ne tient pas. Les incohérences sont accumulées tellement vite qu'on décroche et on s'ennuie ferme pendant l'heure et demie qu'il reste.
spoiler: Un bruit dehors de nuit alors qu'on a été attaquées par un crocodile/requin albinos géant ? OK, on court partout sans raison, au pire la blonde se fera bouffer...
Un gâchis qui aurait pu être vraiment pas mal. Peut-être que les projections-tests ont pointé ces défauts et que ne voulant rien changer, le réal a préféré une sortie Netflix...
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