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    Annihilation
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    490 critiques spectateurs

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    Last Action Zero
    Last Action Zero

    75 abonnés 271 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 mars 2018
    Du début jusqu'à la fin, on est comme dans un étrange mauvais rêve. Mais, sans être véritablement totalement cauchemardesque. Malgré une puissance de calcul très loin d'égaler celle des poids lourds que sont ILM ou Weta, la beauté des CGI dégagent une inventivité, qui n'a d'égale que sa profondeur poétique. Pareil pour le superbe travail de décoration de plateau, type mycélium, système radiculaire, ou floraison, qui, malheureusement, n'est pas assez mis en valeur dans ce film, à mon gout. Le rythme et le ton, comme l'histoire et son questionnement, ne plaira pas à pas tout le monde... Le film est loin d'être un parfait chef-d’œuvre, sur de nombreux points de forme, ou de fond... Mais pour moi, ça restera un "WTF" métaphysique de grande classe, dont, à la manière d'un 2001, les images, la bande-son, et les nombreux mystères irrésolu, vont m’obséder pendant longtemps, plus que l'histoire elle-même...
    gimliamideselfes
    gimliamideselfes

    3 096 abonnés 3 969 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 mars 2018
    Je crois que je n'aime vraiment pas le cinéma de Garland alors que les thèmes qu'il aborde me parlent d'habitude. Mais là clairement Annihilation ça ne passe pas, tout comme Ex Machina n'était pas passé.

    Sans dire que c'est tout pourri, j'ai surtout envie de dire que j'ai déjà vu ça, que je connais et que ça m'ennuie profondément. En fait on a une sorte de sous Stalker où une groupe de femmes pénètre la fameuse zone à la recherche de la chambre... euh pardon... du phare qui est au milieu de cette fameuse zone. Des trucs bizarres apparaissent... et puis c'est un peu tout je dois dire.

    Alors oui, il y a une certaine recherche visuelle surtout sur la fin, mais clairement les effets spéciaux ne sont pas terribles et vu que l'histoire ne m'intéresse pas vu que les personnages n'existent pas, que je ne crois pas une seule seconde que Portman soit une ancienne militaire, ça ne sauve absolument pas le film.
    Mais surtout ce qui me frappe c'est la vacuité du bidule, les rares bonnes scènes sont celles qui sont mystérieuses, je pense à la première scène dans la zone, Portman se réveille, elle semble paniquée, le spectateur comprend bien qu'il y a eu une ellipse, mais en réalité le personnage ne se souvient pas, tout comme le spectateur, comment il a atterri là... D'ailleurs aucun personnage ne s'en souvient... pire encore, plusieurs jours semblent être passés. Limite cette scène aurait eu sa place dans Blair Witch.

    Pour le coup ça c'est intrigant, mais sinon le reste et tout le charabia pseudo scientifique sur l'ADN c'est juste convenu.

    Je veux dire le film s'ouvre quasiment sur Portman qui « fait cours » à l'université en racontant que les cellules se divisent... Waouh... J'espère que les ricains sont contents de leur endettement pour accéder à ce niveau pointu de formation... Et tout le film est comme ça, on cache le vide derrière une sorte de charabia où on te balance le mot ADN pour faire semblant que ça a un sens... Alors que franchement, si c'est magique, dis-le, ne t'amuse pas à donner des explications bidons, ça dessert plus le film qu'autre chose.
    Et lorsqu'on ne te bassine pas avec des absurdités scientifiques, c'est surtout un banal survival avec des monstres moches qui tente de cacher sa banalité avec des artifices un peu péteux.

    Alors je comprends bien que Garland ne peut pas refaire Stalker, mais là clairement je ne comprends pas l'intérêt et l'engouement, c'est quand même foutrement convenu, ça n'explore jamais réellement ses thèmes, notamment la persistance ou l'altération du « moi »... alors que ça aurait pu être intéressant. La fin d'ailleurs, le dernier plan, il est juste là pour la branlette... Une façon de vendre encore une fois du vide au spectateur avant le générique, parce que ça n'offre pas un ultime vertige métaphysique, métafilmique ou que sais-je... La fin ne change rien... n'apporte pas grand chose...

    Et pourtant le film arrive à être un peu malsain par moments, je pense aux vidéos que l'équipe retrouve. Mais là encore ça n'est jamais assez long, ça n'est jamais assez poussé pour réellement mettre le spectateur mal à l'aise... On est loin de ce que peut proposer Cronenberg en terme de dégueulasserie et d'altération du corps humain.

    En fait le film est assez générique... convenu, attendu... et surtout demain je l'aurais oublié comme je ne sais combien de séries B que j'ai pu voir sur Netflix...
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 mars 2018
    Le début est bien puis sa devient du grand n’importe quoi sans queue n’y tete .... si vous voulez perdre votre temps allez y 40 millions pour ca ??? Les images sont belle l’actrice est top mais la réalisation est nulle
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 17 mars 2018
    Quelle déception !Une idée très intéressante mais gâchée par une mise en scène se croyant tout permis. Des longueurs d'un ennuie à mourir, des scènes débiles, des personnages non crédibles. Et une histoire d'amour pathétique qui se télescope l'histoire de science fiction. la greffe de prend pas et les deux histoires sont ratées....
    Au bout d'heure du plus en plus de souffrance, on passe en accéléré pour voir la fin avec quelques haltes pour les paysages. 2/10
    XavierCaze
    XavierCaze

    8 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 mars 2018
    Très lent long poussif et obscur
    Un cocktail incohérent d’horreur d’effets spéciaux de musique atonale de Nathalie Portman qui se traîne tout comme son mari qui est en état de choc
    Bref un peu n’importe quoi car il est impossible d’en comprendre le sens et rien n’est vraiment intéressant ailleurs à part peu être à la fin la seule lueur du film dans les yeux de ceux qui s’aiment
    dmonnierfr
    dmonnierfr

    21 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 16 mars 2018
    Franchement pas captivant.
    Ca aurait pu être bien mais l'histoire n'a ni queue ni tête.
    L'univers graphique est plutôt sympathique et bien fait mais ne suffit pas à rendre le film intéressant.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 mars 2018
    Un scénario vide. Une Portman aussi froide qu'une Claire Chazal comme à son habitude. Effets spéciaux datant de la PsOne. spoiler: Perdu 2h de mon RTT
    .
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 16 mars 2018
    Deuxième réalisation de A.Garland après l'excellent et intriguant Ex Machina, j'ai fini de visionner ce film et je confesse avoir été assez déçu. Distribué sur la plateforme Netflix, je me réjoui de ne pas avoir perdu du temps à aller au cinéma.

    Je qualifierai ce film de masturbation intellectuelle improductive. Je pense que c'est ce qui se rapproche le plus du résultat final. Ou toute une réflexion sur la nature, la biologie et la vie extraterrestre fait plouf. Je crois me rappeler d'une phrase d'accroche sur l'un des posters, quelque chose comme "La nature reprend ses droits". Un pamphlet contre le désastre écologique ? Une tirade pour le respect de la nature ? Pas du tout.

    Plutôt une fresque représentant un monde sauvage libéré de l'homme où les organismes végétaux reprennent le pouvoir, le tout sous un dôme translucide (à peu près les mêmes textures que le monde d'aujourd'hui vu sous acide). C'est typiquement le film qui n'est rien sans ses acteurs. C'est un peu un Portman show. Le film est à la fois élégant et mystérieux tout en étant inintéressant au possible; intrépide et futile à la Oscar Isaac. Mais finalement, très creux.

    Entendons-nous, les deux heures passent très tranquillement et ce n'est pas l'ennui qui prédomine mais la perplexité. Typiquement, le réal s'est amusé à conclure de façon ouverte sans vraiment de réponse pour pouvoir se dire que son oeuvre est révolutionnaire, anti-conformiste et que les fans se haïront en n'étant pas d'accord sur la fin. Tellement original de ne pas avoir de fin claire et précise en laissant les spectateurs s'imaginer les causes et les conséquences.

    Long-métrage servi par des personnages impressionnants comme N.Portman qui non contente de retrouver un rôle de scientifique se paye le luxe d'être en plus un soldat vétéran (une soldate ?). La tête et le corps ! Elle se fait plaisir. Le tout dans une équipe féminine, qui coche elle toutes les cases des minorités et ethnies à représenter pour ne froisser les susceptibilités de personne. Bien entendu, elles sont toutes sacrifiables (oups, pardon, spoilers). Mais, le gouvernement est sympa, elles ne sont envoyées qu'une fois que toutes les autres équipes ont échouées (je ne dirai jamais que toutes les autres équipes étaient entièrement masculines et que les filles te résolvent le problème les doigts dans le nez; je ne peux en effet pas le dire puisque cela n'est jamais précisé mais bon, sait-on jamais

    Au niveau de la fin, j'ai eu un flash et me suis rappelé du très-justement décrié "Le jour où la terre s'arrêta". Une corrélation entre les fins m'a sauté aux yeux. Mais ce dernier est en plus de tous ces autres défauts, long et ennuyeux donc ça va pour Annihilation. Qui est sauvé du marasme par quelques scènes gores bienvenues et quelques bonnes scènes avec des animaux pas du tout flippants.

    Résultat : très décevant !
    Zoumir
    Zoumir

    68 abonnés 1 042 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 mars 2018
    Avec Annihilation, son nouveau long-métrage injustement limité aux petits écrans (Netflix) en dehors de la Chine, des Etats-Unis et du Canada, Alex Garland s’offre un trip visuel majestueux et débridé pour une introspection sur la fragilité post-traumatique de l’esprit humain.

    Pour se faire, il embarque un casting féminin 5 étoiles avec Natalie « Lena Ferben » Portman, secondée de Jennifer Jason-Leight et Tessa Thompson.
    Suite à la chute d’une météorite sur un phare, tout un symbole, une barrière translucide qui s’apparente à une immense bulle de savon aux couleurs en perpétuelles mouvement sous les effets de la lumière apparaît sur notre vieille terre. Un problème et pas des moindres puisque celle-ci grossit quotidiennement (la bulle, pas la terre). Une expansion incontrôlable de mauvaise augure puisque toutes les équipes envoyées à l’intérieur n’en sont jamais revenues. Et lorsque le petit ami de Lena, faire valoir Oscar Isaac, disparu depuis 1 an, refait surface aussi déboussolé que malade, tout s’enchaîne très rapidement pour nous mettre sur les rails de cette histoire de science-fiction aux tenants et aux aboutissants à priori évidents.

    Il est parti. Il est revenu. Que lui est-il arrivé ? Je veux savoir. Tiens des nouvelles copines aussi paumée que moi à leur façon. Allons-y !

    Le casting d’Annihilation tient la route malgré des personnages assez lisses. Chacun aux prises avec ses démons intérieurs, seuls Natalie Portman et Oscar Isaac s’étoffent à mesure que l’on avance grâce principalement à des scènes de flash-back qui nous donnent le change quant aux problèmes auxquels ils font face. Chacun des autres personnages se verra juste effleuré par une discussion en barque emprunte d’une quiétude mal placée, surtout qu’elle survient après le premier moment de véritable tension face à l’inconnu.
    Mais par ce biais, et nous en revenons au phare, l’image de cette « zone » extraterrestre hors de contrôle met en exergue une quête interne pour certains membres de cette expédition à la recherche d’une solution pour surmonter la difficulté de leur vie actuelle. La recherche de réponses pour guérir des esprits affaiblis par les mutations, qu’elles soient physiques, ou sentimentales.
    Alex Garland lie étroitement les corps et les esprits avec plus de réussite pour le premier que pour le second. Est-ce la faute à ce rendu visuel sublime qui intrigue finalement bien plus que les doutes des personnages ?

    Car, il est indéniable que la réussite de l’adaptation du livre de Jeff Vandermeer se trouve dans ce qui s’offre à nos yeux. L’idée d’un prisme reflétant tout ce qu’il contient sans aucune distinction est en soit intéressante. Bien sûr, on en revient au cancer et à la mutation des cellules qui traversent cette randonnée scientifique mais, on tient dans ce monde naissant et évoluant sur les bases d’une « maladie » qui s’étendra sur l’ensemble du globe, un juste milieu entre effroi et magnificence.
    Quand la flore se fait grandiose, la faune devient redoutable. Les plantes et la nature donnent lieu à des paysages d’une beauté hypnotique. La fusion engendrée par le phénomène permet une mosaïque de couleurs où la nature se réapproprie l’espace avec flamboyance et, la symbolique y est évidente : avec l’homme hors du tableau, la terre, aidée par une puissance inconnue se transformerait en un monde magnifié, mais hostile à notre espèce, à l’image de cette fusion organique improbable au fond d’une piscine abandonnée , de ces plantes bipèdes, ou de ces affrontements horrifiques avec des animaux proches de créatures cauchemardesques.

    Alors pourquoi un petit 6 après tant d’éloges ?

    Parce que dans cet enchevêtrement d’idées, il manque quelque chose de véritablement prenant dans la trame du film pour lier tout ça, pour nous accrocher aux basques de ces aventurières. L’évidence des événements va, jusqu’au final, nous laisser un peu sur la touche. Simples contemplateurs, on aurait aimé être plus souvent captivé par la tension, par le danger que l’on devine omniprésent mais qui ne se ressent que face à ses manifestations physiques (bestiaires trop peu représenté et autres souvenirs abandonnés par les précédentes expéditions). Et, tout en tentant d’être original, le scénariste de Sunshine (qui m’avait à l’époque paru bien plus fin psychologue) va finir par se vautrer complètement dans une conclusion qui sent le réchauffé et que l'on devine à mi-parcours.

    On saluera donc l’envie d’Alex Garland de sortir des conventions même si la réussite n’est que partielle et on regrette que le grand écran n’ait pas été possible pour un film qui a tant à offrir sur le plan visuel. La frustration du réalisateur est compréhensible et on regrette le choix des producteurs qui pointaient du doigt une œuvre trop « compliquée ». Sommes-nous si dénué d'interprétation ?
    J’y ai pour ma part vu quelque chose d’ouvert, sous-traitant avec plus ou moins de brio des multiples aspects de notre condition face à l’inconnu, face à nous-mêmes, nos choix et notre mort.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 16 mars 2018
    Parties pour explorer une anomalie régionale, une zone "scintillante" ayant déjà englouti une précédente expédition formée de militaires endurcis, un petit groupe de femmes scientifiques, aussi incongrues sur un terrain qu'on soupçonne dangereux dès le départ que des baigneuses en haute montagne, s'enfonce dans une sorte de bayou peuplé de bêtes mutées. Et au fur et à mesure que le récit avance, on en perd la cohérence. La nature qui reprend ses droits ? Une invasion alien ? Un peu des 2 ? Une dénonciation de l'homme saccageant la Nature, ou modifiant sa génétique ? L'auteur semble avoir perdu le fil de sa propre pensée, et n'arrive nul part. Bien que beau visuellement, le film n'arrive absolument pas à intéresser ou accrocher le spectateur, faute d'une logique narrative. D'une lenteur parfois grotesque, car n'amenant rien à la construction du récit ni à une éventuelle velléité poétique, il ennuie et on ne peut s'empêcher de sentir ses paupières s'alourdir. Une grosse déception. L'écoute de la bande son éponyme qui clôt le film donne une bonne idée de ce dernier et résume parfaitement en 5 mn ce qu'il met 1h55 à raconter.
    In Ciné Veritas
    In Ciné Veritas

    94 abonnés 922 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 mars 2018
    Budget de réalisation confortable, beau casting au demeurant principalement féminin, le film de science-fiction Annihilation était destiné à être exploité en salles. Il n’en sera rien à quelques exceptions près. Depuis le 12 mars, en France comme dans de nombreux autres pays, le deuxième long-métrage d’Alex Garland n’est visible que des seuls abonnés au réseau Netflix. Sans vouloir noircir le tableau, ce choix de distribution en dit peut-être beaucoup sur les films qui seront « autorisés » à être projetés sur grand écran à l’avenir. Sinon, sans trop nous avancer, Annihilation trônera en fin d’année en bonne place parmi les propositions cinématographiques que le millésime 2018 nous aura mis devant les yeux… au cinéma ou ailleurs. Critique complète sur incineveritasblog.wordpress.com
    tomdu47
    tomdu47

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 16 mars 2018
    Vide, lent et sans queue ni tête. J’ai failli m’endormir 4 fois et je ne m’endors jamais devant les films que je vois pour la première fois. J’ai perdu 2 h, voilà tout. La musique, le rythme, l’action, tout est fait pour s’endormir. Un bon film pour insomniaque.
    Isuldof U.
    Isuldof U.

    7 abonnés 97 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mars 2018
    Un bon film dans l'ensemble malgré quelques vides scénaristiques.
    Le problème majeure, c'est la fin qui est plus sue lamentable. Il devait y en avoir une autre à la base. Je suis curieux de la connaître.
    Medouch .
    Medouch .

    1 abonné 2 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 mars 2018
    Déstabilisant, envoûtant,tout simplement génial. Impossible de le sortir de ma tête, j'y réfléchis encore. On a envie de comprendre, de tout décortiquer.
    rv_
    rv_

    4 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 mai 2021
    Ce film est un pur chef d’oeuvre. Il démontre combien il est encore possible d’inventer après des décennies d’innovation cinématographique. L’histoire ne sombre jamais dans la violence gratuite. La musique, qui oscille entre l’univers de Crosby, Stills & Nash et les phrasés futuristes et minimalistes de Geoff Barrow et Ben Salisbury, ajoute encore à l’étrange dans lequel Alex Garland nous plonge en permanence. Les silences sont assourdissants. Le final est une vraie révélation... et une délivrance. Et bravo à Natalie Portman. Je me suis fait transporter de bout en bout.
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