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    Annihilation
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    Serge_la
    Serge_la

    7 abonnés 732 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 novembre 2018
    Nouvelle version d'envahissement par extra-terrestre. Ou non-envahissement. Bonne production. Beau. Un peu terrifiant. Fin ouverte.
    Marc L.
    Marc L.

    46 abonnés 1 607 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 novembre 2018
    ‘Annihilation’ est un cas à part, et pas seulement en raison de son mode de distribution dual, classique en Amérique du nord et en Chine, streamingisé par Netflix dans le reste du monde : voilà quelque chose qui ressemble à première vue à un pâle remake hollywood-washé d’un Grand Classique de Tarkovski et du cinéma mondial, mais qui n’en reste pas moins très supérieur au niveau moyen de la proposition actuelle en matière de science-fiction. Bon, allez, il ne s’agit pas VRAIMENT d’un remake puisque le film est basé sur le premier tome d’une trilogie écrite par un certain Jeff Vandermeer mais ça ne signifie en aucun cas que l’auteur n’ait pas lui-même plagié les bases de ‘Stalker’, vu le concept d’une zone contaminée par une force inconnue où le temps et les règles physiques et biologiques sont abolies et qui renferme en son centre une non moins mystérieuse “pièce�. D’ailleurs, quand on analyse le cheminement vers le centre de la zone contaminée, qui est aussi (un peu) un cheminement personnel pour les membres de l’escouade chargée de l’explorer, une expédition dans lequelle le poids du passé peut se révéler aussi dangereux que les menaces physiques, on n’est finalement pas très éloigné non plus de ‘Solaris’. Bref, Garland rôde autour de l’oeuvre de Tarkovski sans oser l’avouer. Toutefois, les différences de ton entre les deux films, et de vision entre les deux réalisateurs, se font assez rapidement sentir. Là où Stalker rechignait à livrer la moindre ébauche d’explication, ‘Annihilation’ passe par toutes les étapes attendues du Survival SF, avec la décimation progressive de l’équipe sous les effets conjugués de la tension interne et des menaces externes. Le scénario fait également attention à ce que le spectateur reste au même niveau de compréhension des choses que les personnages qui émettent des théories, puis se les voient confirmées ou infirmées par la tournure prise par les événements : il faut qu’au terme de l’histoire, on ait compris, si pas la nature de la zone, en tout cas toutes les interactions du soldat Lena avec cette dernière. Vision américaine explicite contre vision soviétique implicite qui, pour d’excellentes raisons politiques, se refusait à fournir trop de clés de compréhension : si les premiers ré-adaptaient le bortsch, ils trouveraient certainement le moyen d’y rajouter du sucre et du colorant rose ! Le paradoxe, c’est que même si tout au long d’‘Annihilation’, ça canarde des bestioles mutantes, même si on y trouve les clichés des interactions sociales entre militaires badass et même s’il y a un twist final pour qu’on comprenne bien qu’on a affaire à un film intelligent, le modèle d’origine, dont on ne peut s’empêcher de convoquer la mémoire, se situait suffisamment loin sur l’échelle de l’expérimentation auteurisante pour que ‘Annihilation’, malgré ses lourdes concessions à l’action et au spectacle, n’en reste pas moins plus contemplatif, lent et sophistiqué que le commun des films de science-fiction américains. Sans oublier qu’une fois n’est pas coutume, ‘Annihilation’ est esthétiquement convaincant et, dans son minimalisme sans excès, laissera plus de souvenirs et de traces que bien des productions hollywoodiennes plus médiatisées...mais on n’en attendait pas moins d’Alex Garland, dont le précédent film (‘Ex-machina’, que j’avais quand même trouvé assez moyen) faisait déjà preuve d’une forte personnalité artistique. En fait, il est sans doute préférable de ne pas chercher à tout prix à comparer ‘Annihilation’ et ‘Stalker’ au-delà de leur postulat de base, quoique cela se fasse de manière quasi automatique et inconsciente : l’un était une vertigineuse réflexion philosophique, religieuse et politique conditionnée par son environnement historique, l’autre est un film de science-fiction ayant pour vocation première de divertir. Et un bon.
    Greg A.
    Greg A.

    49 abonnés 455 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 novembre 2018
    Un film doté d’une très belle réalisation , qui propose quelque chose de nouveau dans cette univers « d’invasion extra-terrestre « . Un beau contraste entre la beauté du cadre et son hostilité . Dommage que le film se perde dans ses longueurs et son rythme assez lent , ce qui ne permet pas d’accrocher totalement au film par moment ... 13/20
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 15 novembre 2018
    Beaucoup de similitude avec le tres bon film "premier contact" : une esthetique réussie , une atmosphere epurée et une vraie reflextion. L'action n'est pas un atout dans le film mais on s'en passe aisément pourvu que l'on comprenne. Le film tient en haleine jusqu’au final sans allonger le scénario ou les dialogues.tout reste en apesanteur.
    C 'est un film intelligent, tout en subtilité qui mérite d’être vu et qui permet de penser par soi meme sans avoir une seule certitude.
    Un autre regard sur l'extra terrestre .....sans conquete , sans violence juste une evolution des natures
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 10 avril 2020
    Un vrai film de science fiction qui pour une fois va au delà des clichés hollywoodiens en termes d'extra terrestre. Intrigant, agréable à regarder, suffisamment dérangeant pour ne pas nous laisser indifférent. Les acteurs sont très bons.
    pierrot le flou
    pierrot le flou

    1 abonné 28 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 8 novembre 2018
    So phare away…Une exclusivité NETFLIX : la dernière fois que j’avais lu cette phrase, j’étais a 90 minutes d’amortir mon abonnement du mois de février avec l’excellent « The ritual ». Alors autant vous dire que cette nouvelle annonce, entichée de son casting relevé et par le réalisateur du surprenant « Ex machina », j’étais plutôt du genre émoustillé, pour ne pas dire excité comme un fauve !
    Et en général, c’est plutôt mauvais signe chez moi car soit je fini toujours par mordre mon dompteur (…tel un fauve) d’allégresse, ou par éclater ma télécommande de déception (…emoustillé). Autant dire qu’en clair, je ne fais pas la demi-mesure… Le générique final n’avait pas entamé ses premières notes que je n’avais plus de son, plus d’image, tout du moins plus rien pour interagir sur ma TV, émoustillé que je fus…

    L’intro bavarde, les premiers et rapides éreintant allers et retours passé/présent, une intrigue d'emblée assez nébuleuse…j’avais compris qu’à défaut de piger l’histoire je risquai fort de m’ennuyer comme un rat mort (je sais, je n’ai jamais compris cette expression, mais compte tenu du scénario, son emploi me parait approprié ).
    Sous couvert d’un phénomène plutôt étrange, un « miroitement », qui va prendre la forme d’un mur en mode « aurore boréale », une équipe de cinq filles part à l’aventure afin de percer son secret et rejoindre un phare sur lequel c’est écrasé une météorite, ce qui l’expliquerai peut-être. Car la chose agit « comme un prisme » (c’est la géomagnétiste qui le dit !) et déforme la réalité et le temps, brouille les signaux de communication. Comment ? « En déviant et décomposant la lumiére ». Et donc, toute forme d’organisme vivant dans le miroitement, appelé aussi Area X, voit son ADN modifié (c’est clair, non ??).
    C’est ainsi que nos cinq baroudeuses, équipées tel Big Arnold et ses potes au moment de pourchasser le Predator, s’enfoncent dans un pseudo néo-jungle fantastico-modifiée (on va faire simple !) et vont se retrouver confrontées aux pires monstruosités que le truc (je vais pas vous le répéter chaque fois !) a forcément provoqué , comme des pantins en herbe qui prennent forme humaines en poussant (imaginez des épouvantails !), des fleurs qui mutent en fleur (truc de ouf !) , un crocodile avec des dents de requin (c’est elle qui le dis, je ne suis pas paléontologue, ni prof es-squale ! ) , mais aussi un ours très ADhaineux. spoiler: Merci d’ailleurs à ce monstre de nous offrir à la 76e minute (ne me remerciez pas…) LA scène puissamment Gore et qui aurait pu faire, si elle avait duré autant (76 minutes), un excellent survivor en zone Monster movie .
    Mais rien de tout cela, les acteurs se contentant le plus souvent de réciter leurs textes dans d’interminables scènes de bavardages, après une petite balade sur de jolies barques dans un joli parc botanique avec plein de jolies fleurs colorées, des arbres vert, des Yuccas, et de l’eau (pour faire flotter les embarcations, note de l’auteur pour éviter que vous perdiez le fil).
    Une menace aquatique aurait pu magnifiquement ouvrir le bal, mais le beau squale CGIsé crèvera en 23 secondes…. !
    Bon je continue à vous expliquer mon émoustillement ou j’arrête ?? Ok, j’arrête !
    Alex Garland nous sert de la SF intellectualisée, une soupe opéra (…) aux ingrédients complexes, à la narration confuse, rendant le message de fond quasiment intraduisible.
    Okey on, il, nous, vous , ils, les gens, la presse, les grands amateurs de SF, les Bogdanov, Albert Einstein, diront qu’il y a plein de sous textes, de messages, de grandes allégories…stop ! Non , c’est très ennuyeux, point !
    Si je veux de la puissante métaphore je me retape « 2001, l’odyssé de l’espace » voire « Prometheus » ou « Interstellar » ! Même Natalie Portman erre comme une âme en peine, alors que Jennifer Jason Leigh n’a jamais paru aussi peu concernée (ou alors par son cachet…). Quand a Oscar Isaac, à moins d’avoir gardé la guitare de Llewyn Davis pour gratter lui-même ces improbables notes folk qui parsèment le soundtrack du film, son interprétation est du niveau de l’ensemble : soporifique et insipide.
    Ce n’est pas le décor très Giger de l’antre, au cœur du phare, qui rattrape le coté présomptueux et prétentieux de ce « Annihilation », sorti en salle aux USA et envoyé direct sur le satellite en France : merci les gars, mais la prochaine fois, envoyez-le sur TF1 svp !!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 novembre 2018
    C'est très très bien fait et mérite largement le détour, pour amateurs de films pensé différemment...
    Martin P.
    Martin P.

    51 abonnés 263 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 novembre 2018
    Très très poussif.
    Le scénario arrive à nous tenir à peu près en haleine, mais au final le film se perd un peu. C’est l’exemple de SF que je n’aime pas trop, où finalement il n’y a pas grand-chose à comprendre ni à retenir. Il se passe des événements paranormaux mais sans trop d’explications ni de logique, ça se veut poétique sur les bords mais ça ne vole quand même pas très haut. Le point positif qui m’a marqué est la bande sonore et certaines belles images.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 31 octobre 2018
    Franchement c'est un bon film de sf. Ils auraient juste dû plus appuyer sur le côté bestiaire qui était parfait. Ça vaut large un Alien Prometheus ou Covenant, ça renouvelle le genre mais sans le côté...on va dire morbide. Dommage car c'est un film sobre et honorable à mon humble avis
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 25 octobre 2018
    Je suis un peu déçu la fin est vite arrivée surtout au vu de la Bande Annonce je m'attendais à beaucoup plus d'actions, beaucoup plus d'enjeux et d'enigmes. Fin je pensais que les actrices une fois rentrées dans le miroitement allaient avoir beaucoup plus de difficultés. Au final elles sont rapidement éliminés presque consécutivement et la fin est dar mais pas assez développés! Jai bien aimé mais je m'attendais à plus de challenge et quelque chose de plus surprenant et prenant.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 23 octobre 2018
    Je ne regarderai plus jamais un seul film Netflix. C'est simple, ce film est un désastre et donne envie d'arrêter de regarder des films. Il ne propose rien de réellement concret ni de satisfaisant et n'est seulement qu'un casse tête diabolique, insoluble et inexplicable. Il nous englobe fermement pendant deux heures sans que l'on puisse vraiment s'y détacher, une vraie prison et torture psychologique à lui tout seul. Et que dire des incohérences... Il y en a partout et à tout va. Je me demande à quel moment quelqu'un peut se dire momentanément en le regardant : "Punaise mais je crois que je suis en train de savourer ce film!" Nan vraiment, passez votre chemin, ce film ne vous apportera rien si ce n'est qu'un mauvais moment qui ne demandera qu'à être oublié. À la manière du long métrage Cell Phone, le spectateur semble perdu, désorienté et ne demande que des réponses dont le film n'y répondra pas d'avance, car n'apparait aucune clef de lecture ni aucun fil directeur potentiellement exploitable. La fin est quant à elle, à la hauteur du film, dénué de sens : on revient au même problème qu'au début. Ce film réagit donc comme une boucle infernale et interminable. Je regrette de l'avoir regardé. La morale de l'histoire est plutôt simple pour ma part : arrêter Netflix.
    Henrico
    Henrico

    168 abonnés 1 333 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 21 octobre 2018
    Un scénario avec de nombreuses failles en matière de vraisemblance. De plus les explications pseudo scientifiques dispensées à mesure qu’avance l’intrigue sont confuses et confinent à l’esbroufe. Mais le plus rédhibitoire à l’adhésion reste encore cette longue rencontre chorégraphiée avec l’Autre vers la fin. Si annihilation il y a, c’est contre toutes les résistances du spectateur à l’endormissement qu’elle opère
    Scorcm83
    Scorcm83

    106 abonnés 508 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2018
    Une petite claque de la SF servie par le très talentueux Alex Garland. J'avais déjà été convaincu par Ex Machina qui était plus intimiste, et avec Annihilation le cinéaste renoue avec un cinéma de l'aventure, de l'inconnu et du mystère, qui nous interroge et nous tient en haleine durant sa totalité. Je ne comprends donc pas pourquoi le film a tant divisé (sans aucun doute à cause d'une fin trop mystique et brumeuse) parce qu'il nous propose une atmosphère lourde, pesante, anxiogène et surtout un univers original et passionnant. Quelques séquences sont par ailleurs magistrales (celle de l'Ours ou des Vers par exemple).

    Bref, une excellente surprise, du cinéma captivant, original et visionnaire. C'est dommage que ce genre de prise de risque ne soit pas plus saluée et reconnue.

    A voir !
    Spirit95
    Spirit95

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 7 octobre 2018
    Pour ma part, j'ai trouvé ce film excellent.
    L'histoire se déroule dans une ambiance mystique et la mise en scène générale est parfaitement adéquate à ce que le réalisateur souhaite faire vivre au spectateur, notamment l'approche lente de la mission de la découverte, de même que les décors et les fonds sonores ainsi que la manière dont la fin se déroule qui pousse le spectateur encore plus loin dans le mystère, l'incertitude, le questionnement... une fin digne des films SF tel que l'Odyssée de l'espace 2001, Avalon, Cube ou d'autres encore, dans laquelle nous n'avons pas toutes les réponses.

    Du coup, ça peut se comprendre qu'une partie du publique n'apprécie pas ce film si l'on est pas fan de ce genre de SF (d'où la note moyenne du film) mais cela fait plaisir de visionner un tel film quand on aime cette ambiance mystérieuse et étirée , trop rare ces dernières années malheureusement.

    Bon visionnage aux amateurs de ce genre de SF! Et faites-vous votre avis par vous-même!
    Casimirismylegend
    Casimirismylegend

    55 abonnés 317 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 octobre 2018
    Un film de SF onirique, et parfois brutal, qui peut dérouter par son originalité. Ce qui compte ici, c'est avant tout l'atmosphère angoissante, le lien paradoxal avec les fleurs et surtout: les couleurs. Bon choix pour Nathalie Portman qui ne fait pas dans la facilité.
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