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    Une prière avant l'aube
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    59 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 juin 2018
    Aucun temps mort, on démarre fort et le film tient la route jusqu'à la fin .
    L'histoire est simple et efficace mais tous les acteurs et les décors sont incroyable de vérité
    On est dans et sur la peau de Billy
    un film unique, à voir
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 juin 2018
    Un film violant, touchant, sombre, issue d'une histoire vraie, l'acteur joue son rôle à la perfection
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 25 juin 2018
    Un chef-d'oeuvre, ce film est intense, violent et profond. On souffre avec le personnage jouer à merveille par Joe Cole. Bravo.
    Ufuk K
    Ufuk K

    518 abonnés 1 474 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 juin 2018
    " une prière avant l'aube " présente l'an dernier au festival de cannes tiré d'une une histoire vraie est un film coup de poing. En effet la force du film est sa proximité avec le spectateur nous montrant l'enfer des prisons thaïlandaise rien nous est épargne avec un Joe Cole monstrueux dans le role du boxeur billy moore, . Un peu répétitif tout de même.
    Requiemovies
    Requiemovies

    207 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2018
    Pour spectateurs avertis. Claque en prévision, choc de la mise en scène. Une prière avant l’aube est un peu tout ça. Nous n’avions pas été vraiment enchantés par le précédent film de Jean-Stéphane Sauvaire ; ici le sujet était par avance très engageant, sinon engagé. En adaptant le best-seller de Billy Moore où ce dernier narrait ces années de prison en Thaïlande. Filmé constamment, sinon principalement, en longue focale, Sauvaire instaure une atmosphère anxiogène pour coller au plus près de l’ambiance carcérale, cauchemar éveillé, des conditions de vie dans les prisons thaïlandaises. C’est vraiment glaçant, sombre et ce malgré le travail important du chef opérateur.
    Une prière avant l’aube est une vraie claque à tel point que, par raccourci, certains voudraient trop rapidement le comparer à Midnight Express, films qui ne doivent rien à l’autre et dont la comparaison s’arrête (presque) au milieu carcéral et la violence instaurer entre les murs.
    Choc des cultures, des comportements. On peut effectivement trouver un certain schéma narratif identique mais le propos général du film et le traitement psychologique du personnage principal est tout autre. Choc des corps, captation des combats au plus proche des coups et des âmes qui composent ces duels, Jean-Stéphane Sauvaire prend en mains son film et délivre au spectateur un voyage cauchemardesque de ce qu’a pu vivre Billy Moore. C’est vif, rugueux et l’espoir comme la lumière (au sens propre comme figuré) ne sont jamais vraiment au rendez-vous. Dans une atmosphère poisseuse et étouffante, la moiteur qui plane dans cet univers est parfaitement retranscrit là où la forme cinématographique se marrie parfaitement avec son sujet. On pourra toujours trouver le film un peu long, la première partie étant tout de même très anxiogène mais cela n’enlève en rien l’efficacité de la mise en scène comme du jeu de Joe Cole, déjà étonnant dans Green Room et l’excellente série (à voir) Peaky Blinders. Ainsi s’écoule devant nos yeux le calvaire qu’a dû subir Billy Moore durant 3 années durant lesquels il a dû s’adapter, se battre et trouver une force de caractère pour sortir de cet enfer. Tout semble documenté par la vision d’une caméra discrète, mais proche, dirigée par Sauvaire qui semble avoir compris la seule forme de réalisation pour un tel sujet, et ce, aussi afin de sortir des normes des films du genre.
    Enragé et violent Une prière avant l’aube finit par être un film coup de poing, où l’espoir et l’évasion devient possible, d’une certaine manière, par le choc et les pulsions que le sport libère et extériorise. Immersion et réalisme noirs d’un film à découvrir. requiemovies.over-blog.com
    WutheringHeights
    WutheringHeights

    108 abonnés 930 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2018
    chronique ultraviolente de la rédemption par la boxe dans une prison thaïlandaise. Une mise en scène au plus près de son héros et une immersion étouffante dans l'univers carceral.
    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    30 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 juin 2018
    Ce film est tout en chair et en son. Il ne noie pas le spectateur dans un scénario poussif et les événements surviennent avec naturel, presque légèreté, malgré la violence évidente. Il n'y a pratiquement pas de dialogues, d'ailleurs beaucoup de paroles en Thaï ne sont pas traduites. On est aussi déboussolé que Billy, on ne comprend pas forcément ce qu'il se passe, de plus, la caméra est tout en mouvement, elle est très proche des corps et les sonorités sont saisissantes. Les bruits de chahut, de foules et de coups transpercent littéralement nos oreilles dès les premiers instants. Il est plaisant de voir un film avec des parties pris aussi assumés. Malgré tout, on aurait peut être aimé mieux comprendre ce personnage de boxeur.
    Yves G.
    Yves G.

    1 464 abonnés 3 489 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 21 juin 2018
    Billy Moore, un jeune Anglais, vit en Thaïlande. Il y livre des combats de Muay Thai, un sport violent et exigeant. Billy survit avec les gains de ses combats et des petits trafics de yaba (une méthamphétamine très répandue en Asie). La police l'arrête. Il est jeté en prison.

    Une prière avant l'aube est un titre déroutant. Car on ne prie pas souvent dans le film de Jean-Stéphane Sauvaire et que, si l'aube pointe, c'est au terme de nuits sans sommeil.

    À ceux qui croyaient que les prisons thaïlandaises sont accueillantes, "Une prière avant l'aube" apportera un démenti cinglant. On est plus proches de "Midnight Express" et de ses cellules rongées par la vermine que de l'ambiance confraternelle du Journal de "Bridget Jones 2".

    La promiscuité y est étouffante, le bruit étourdissant, la violence omniprésente. La caméra de Jean-Stéphane Sauvaire, qui filme les personnages au plus près, restitue cette atmosphère étouffante. En saturant la bande-son de cris et d'invectives, sans les sous-titrer, il nous fait partager le désarroi et l'isolement de ce jeune Anglais lâché dans un environnement hostile. L'expérience est traumatisante : on assiste à une succession quasi-ininterrompue de scènes de violence, de viol, de meurtre... La douceur que Billy trouve dans les bras de M, un lady boy, constitue une rare oasis.

    La boxe est tout à la fois l'expression et l'exutoire de cette violence omniprésente. Billy Moore va s'y adonner pour se sauver de l'addiction aux drogues. Là encore, ses combats sont filmés au plus près, sans aucune distance, nous en faisant partager l'adrénaline électrisante et la violence terrifiante.

    On apprend à la fin du film que Billy Moore a vraiment existé. Comme le héros du film, il était un petit voyou et un drogué, emprisonné en Thaïlande pour trafic. Un carton nous apprend qu'il a été extradé au Royaume-Uni, qu'il a fini d'y purger sa peine et qu'il consacre désormais sa vie à aider de jeunes drogués. Il a raconté son histoire dans un livre à succès, publié en 2014 et porté à l'écran trois ans plus tard. "Une prière avant l'aube" a été projeté à Cannes, à la séance de minuit, en 2017. L'histoire serait édifiante si l'on n'apprenait pas par ailleurs que Billy Moore ne put assister à l'avant-première de son film en Grande-Bretagne : il avait été incarcéré quelques jours plus tôt à Liverpool pour vol à main armée.
    Jorik V
    Jorik V

    1 273 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 juin 2018
    On n’avait pas entendu parler de Jean-Stéphane Sauvaire depuis son percutant « Johnny Mad Dog », plongée dans la triste réalité des enfants soldats en Afrique. Un sujet inédit et traité frontalement qui avait fait découvrir le cinéaste il y a bientôt dix ans. Le revoilà avec une immersion toute aussi viscérale et radicale dans l’enfer des prisons thaïlandaises. Cependant, « Une prière avant l’aube » n’a pas la chance de naviguer dans les eaux d’un postulat inédit. Bien au contraire, ce long-métrage présenté à Cannes hors compétition est à la croisée de deux sous-genres du septième art que sont le film de prison et le film de boxe. Et même s’il fait entendre sa propre voix par un traitement volontairement jusqu’au-boutiste, il ne parvient pas vraiment à les transcender. L’un comme l’autre sont tellement balisés et codifiés que « Une prière avant l’aube » se retrouve aussi emprisonné que l’est son personnage principal.

    On a donc droit à une immersion complète dans le cauchemar de l’univers carcéral asiatique type « Midnight Express », auquel il sera irrémédiablement comparé. Le fait que ce soit inspiré d’une histoire vraie ne change rien à cette persistante impression de déjà-vu. On a l’impression que la trame du film est déjà connue à l’avance et il coche effectivement tous les passages obligés, du viol au harcèlement en passant par les trafics en tous genres et la drogue. Il est vrai que le traitement ultra réaliste et une violence qui ne se cache pas donnent à « Une prière avant l’aube » un côté extrême mais qu’on a déjà pu voir ailleurs, que ce soit dans « Dogpound » de Kim Shapiron ou le suédois « R » pour ce qui est des œuvres plutôt récentes. Cette façon de filmer sans concession et ce choix de tout montrer est une gageure il faut l’avouer ; on ne peut pas dire non plus que les images soient exagérées ou se vautrent dans le glauque et le putride. Mais cette façon de procéder apparaît désormais comme obligatoire pour tout film de prison qui se veut réaliste. Quant à la partie boxe, plus en retrait, on a déjà vu bien mieux (le chef-d’œuvre « Warrior » pour n’en citer qu’un).

    On peut noter que le choix de ne pas traduire les paroles en thaïlandais pour nous mettre dans la peau de Billy est intéressante. Cela renforce la perte de repères du spectateur, même si parfois on est tout de même un peu perdu dans l’expression des volontés et motivations des autres prisonniers. En revanche, de nous plonger presque instantanément dans le monde carcéral sans connaître le personnage principal, que ce soit son passé ou sa psychologie, est dommageable car l’empathie que l’on devrait ressentir pour lui s’en trouve considérablement réduite. Certaines scènes choc ont la force d’uppercuts en plein visage, on est dans le réalisme le plus poussé et on s’imprègne de l’enfer de ces prisons devenues des coupe-gorges. Néanmoins, sur deux heures, il n’y a rien de bien neuf dans le propos que ce soit à l’image ou dans ce qui est dit. Et la rédemption finale et moralisatrice n’arrange rien. C’est dur, c’est parfois insoutenable, c’est maîtrisé mais c’est surtout beaucoup trop prévisible.

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    traversay1
    traversay1

    3 579 abonnés 4 864 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 juin 2018
    Vous avez été impressionné par Midnight Express à sa sortie et ne l'avez jamais revu par crainte d'être déçu. Vous n'avez rien contre les films de boxe à condition qu'il y ait un regard original comme chez Robert Wise, Martin Scorsese ou Clint Eastwood. Au demeurant, donc, pas de raison d'avoir un quelconque a priori sur Une prière avant l'aube, bien que sa réputation de film violent ainsi que son appellation "tiré d'une histoire vraie" ne soient pas des plus engageants. Et effectivement, le long-métrage semble surtout conçu pour les aficionados d'adrénaline aux prises avec une histoire de survie en milieu très hostile soit une prison thaïlandaise. Un enfer sur terre où rien ne nous épargné : humiliations et sévices en tous genres pour un héros qui ne s'en sortira qu'avec un orgueil ravalé et à grands coups de poings. Joe Cole joue tout le film avec deux expressions : l'accablement du type qui subit toutes les vilenies du monde sans guère d'espoir de s'en sortir et la rage devant tant d'injustice. Un film nu et extrême pour les amateurs du genre qui lassera rapidement ceux qui le sont moins, accablés par tant de haine et de méchanceté.
    Benito G
    Benito G

    667 abonnés 3 161 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 juin 2018
    Quelle claque! Il m'a fait penser à Midnight express… le coté brutal, extrème violence. Alliant la vie en prison ou la boxe et à ne pas négliger si on veut survivre plutôt que de mourir. Rester vivant et un point clé! Même si parfois les méthodes pourront paraître "primitif". Représentant l'homme comme quelqu'un qui avec sa force, va avancer et se protéger. Mais malgré la violence extrème, l'ensemble reste propre coté réalisation et mis en scène. L'acteur principal y mets toute sa rage dans un environnement ou l'on ne peut lacher prise si on veut rester en vie. La fin étrangement, pour ma part ; fait retomber la tension (selon mon avis). Ou tout le long et ce dés le début montre ce à quoi on a affaire. LA fin et peut être là pour nous remettre de tout ce que l'on a pu voir psychologiquement et physiquement (du bourrin à souhait). On trouverez même une certaine empathie, ce qui rend la chose fasse au action plus dur. Bref un film dans un univers carcéral mélangeant la boxe et la violence à son maximum. Après pour l'univers carcéral, certains trouveront qu'ils auraient pu montrer des plans, séquences… Que l'on ne voit pas dans les film traitant ou abordant la prison. Mais pour une seconde réalisation, le film est aboutit et remplit son cahier des charges facilement. A ne pas mettre devant tout le monde… Une dés surprise pour ma part, n'ayant pas vu de promo ou de BA auparavant. Brutal et anxiogène par moment. Un film dur mais efficace.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 6 juin 2018
    Une performance puissante et sincère de Joe Cole, un film qui prend au ventre et nous fait vivre et souffrir avec son personnage principal. Mention spéciale pour tous les acteurs non-professionnels (soit 99% du casting) : une vraie bonne idée.
    Très beau travail sur le son, les bruitages et la musique, qui est toujours juste. L'image est travaillée (ombres et lumières) mais préserve l'authenticité du propos.
    Film brutal mais pas gratuit, chaque scène violente a son intérêt dans l'immersion nécessaire du spectateur dans cette tranche de vie de Billy Moore. Etant assez peu amatrice de film à caractère "violent", je peux dire après l'avoir vu (avec l'équipe du film, ce qui ajoute un petit plus) que "A prayer before dawn" est un très beau film.
    Maureen C
    Maureen C

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    les scènes de combat sont très mal filmées, ça m'a gâché le film.... histoire pas très intéressante non plus.... bref vraiment pas top
    Arnaud R
    Arnaud R

    89 abonnés 826 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2017
    Un bon film de genre dont le scénario manque d'originalité et a du mal à transcender ses éléments de base. Une belle direction de l'image, des acteurs souvent non professionnels et une musique prenante permettent au film d'être de qualité.
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