Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
Première
par Sylvestre Picard
Dans son mouvement et sa souffrance, dans sa liberté et sa contrainte, le corps humain est le noyau central du film, comme si Une prière avant l’aube relevait de l’art le plus primitif qui soit – celui qui vise à représenter les hommes. Aussi ancestral et évident qu’un bon coup de boule.
La critique complète est disponible sur le site Première
Voici
par La Rédaction
Une expérience de l'ultra-violence quasi mystique.
aVoir-aLire.com
par Romain Dubois
Un immense film de boxe mais aussi un film de prison claustro à souhait, peint avec une grâce implacable.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
Dès le début du film, le cinéaste plonge le public dans un maelström de sons et d’images lui permettant de tâter du cauchemar vécu par le héros.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Ultraviolent et élégant, le nouveau film de Jean-Stéphane Sauvaire, comme son précédent, tente de sublimer la lumière au bout des longs tunnels de douleur.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Culturopoing.com
par Vincent Nicolet et Jean-François Dickeli
Violent, cru, sans concessions, "Une prière avant l’aube" remue les tripes et les sens, frappe fort sur l’instant tout en gagnant en envergure à la nécessaire digestion qui suit son visionnage.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Eric Libiot
Il est rare que la forme épouse à ce point son sujet et qu'un cinéaste ne déroge pas à la règle qu'il s'est fixée.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un cri de rage et de désespoir qui imprègne durablement.
Le Parisien
par La Rédaction
Ponctué de magnifiques scènes de boxe, « Une prière avant l’aube » prend aux tripes.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michaël Ghennam
Inspirée d’une histoire vraie, cette chronique de la violence carcérale brille par son humanité et sa subtilité. Jean-Stéphane Sauvaire frappe un grand coup.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Violent mais extrêmement fort.
Positif
par Pierre Eisenreich
À scénario simple, vraie réussite de mise en scène !
Sud Ouest
par Sophie Avon
Un beau film de rédemption signé du Français Jean-Stéphane Sauvaire, où les sons, les ellipses, le traitement des corps, concourent à rendre omniprésent le chaos que traverse Billy (John Cole). C’est un chaos mental, un choc intérieur, mais c’est aussi, dans sa violence, une déferlante bien réelle où tout est brutal, anxiogène, physique.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Bande à part
par Olivier Bombarda
Présenté hors compétition au festival de Cannes 2017, "Une prière avant l'aube" de Jean-Stéphane Sauvaire est un uppercut cinglant basé sur l'histoire vraie de Billy Moore, jeune boxeur anglais.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
De ce matériau brut le cinéaste tire une belle efficacité (justesse de jeu, réalisme des situations, refus de la psychologie) et atteint par instants à la simplicité archaïque et fiévreuse d’un certain cinéma d’aventurier à l’ancienne.
L'Obs
par François Forestier
Le film est mordant (bien plus que "Midnight Express", auquel on le compare constamment) et tendu. La fin, moraliste, fait retomber la tension. Etait-elle nécessaire ?
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jean-François Rauger
Le cinéaste jette le spectateur dans une plongée au centre d’un lieu infernal, collant à un personnage soumis à un calvaire absurde et brutal. Le spectacle est âpre, le personnage principal une force brute, incontrôlable et obtuse.
Le Figaro
par La Rédaction
Mi-film de prison, mi-film de boxe, Une prière avant l'aube, du Français Jean-Stéphane Sauvaire, est à la fois mou du genou et bourrin.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Ce cinéma au-dessus duquel clignote l’enseigne “dolorisme” croit que c’est de la débauche d’horreur et de l’immersion sans concession que naît l’empathie.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Didier Péron
Rien de bien neuf sous le soleil de la fantasmagorie carcérale et l’espèce de complaisance que certains cinéastes mettent à saturer le moindre recoin de leur film d’une incessante agressivité, d’une succession de climax comme si la prison n’était pas aussi un lieu de temps morts.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Première
Dans son mouvement et sa souffrance, dans sa liberté et sa contrainte, le corps humain est le noyau central du film, comme si Une prière avant l’aube relevait de l’art le plus primitif qui soit – celui qui vise à représenter les hommes. Aussi ancestral et évident qu’un bon coup de boule.
Voici
Une expérience de l'ultra-violence quasi mystique.
aVoir-aLire.com
Un immense film de boxe mais aussi un film de prison claustro à souhait, peint avec une grâce implacable.
20 Minutes
Dès le début du film, le cinéaste plonge le public dans un maelström de sons et d’images lui permettant de tâter du cauchemar vécu par le héros.
CinemaTeaser
Ultraviolent et élégant, le nouveau film de Jean-Stéphane Sauvaire, comme son précédent, tente de sublimer la lumière au bout des longs tunnels de douleur.
Culturopoing.com
Violent, cru, sans concessions, "Une prière avant l’aube" remue les tripes et les sens, frappe fort sur l’instant tout en gagnant en envergure à la nécessaire digestion qui suit son visionnage.
L'Express
Il est rare que la forme épouse à ce point son sujet et qu'un cinéaste ne déroge pas à la règle qu'il s'est fixée.
Le Journal du Dimanche
Un cri de rage et de désespoir qui imprègne durablement.
Le Parisien
Ponctué de magnifiques scènes de boxe, « Une prière avant l’aube » prend aux tripes.
Les Fiches du Cinéma
Inspirée d’une histoire vraie, cette chronique de la violence carcérale brille par son humanité et sa subtilité. Jean-Stéphane Sauvaire frappe un grand coup.
Ouest France
Violent mais extrêmement fort.
Positif
À scénario simple, vraie réussite de mise en scène !
Sud Ouest
Un beau film de rédemption signé du Français Jean-Stéphane Sauvaire, où les sons, les ellipses, le traitement des corps, concourent à rendre omniprésent le chaos que traverse Billy (John Cole). C’est un chaos mental, un choc intérieur, mais c’est aussi, dans sa violence, une déferlante bien réelle où tout est brutal, anxiogène, physique.
Bande à part
Présenté hors compétition au festival de Cannes 2017, "Une prière avant l'aube" de Jean-Stéphane Sauvaire est un uppercut cinglant basé sur l'histoire vraie de Billy Moore, jeune boxeur anglais.
Cahiers du Cinéma
De ce matériau brut le cinéaste tire une belle efficacité (justesse de jeu, réalisme des situations, refus de la psychologie) et atteint par instants à la simplicité archaïque et fiévreuse d’un certain cinéma d’aventurier à l’ancienne.
L'Obs
Le film est mordant (bien plus que "Midnight Express", auquel on le compare constamment) et tendu. La fin, moraliste, fait retomber la tension. Etait-elle nécessaire ?
Le Monde
Le cinéaste jette le spectateur dans une plongée au centre d’un lieu infernal, collant à un personnage soumis à un calvaire absurde et brutal. Le spectacle est âpre, le personnage principal une force brute, incontrôlable et obtuse.
Le Figaro
Mi-film de prison, mi-film de boxe, Une prière avant l'aube, du Français Jean-Stéphane Sauvaire, est à la fois mou du genou et bourrin.
Les Inrockuptibles
Ce cinéma au-dessus duquel clignote l’enseigne “dolorisme” croit que c’est de la débauche d’horreur et de l’immersion sans concession que naît l’empathie.
Libération
Rien de bien neuf sous le soleil de la fantasmagorie carcérale et l’espèce de complaisance que certains cinéastes mettent à saturer le moindre recoin de leur film d’une incessante agressivité, d’une succession de climax comme si la prison n’était pas aussi un lieu de temps morts.