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Ykarpathakis157
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4,5
Publiée le 22 mars 2020
Fede Álvarez, après le fabuleux remake d'Evil Dead soutenu par Sam Raimi en 2013, revient et livre l'un des films d'horreur les plus étonnamment efficaces de 2016 (ce qui n'est pas une mince affaire). Ses collègues d'Evil Dead, le scénariste ainsi que le compositeur (Roque Baños) reviennent aussi tous les deux pour Don't Breathe et leurs talents sont constamment aiguisés. Un film avec des acteurs impressionnants qui ont pratiquement tous trouvé un moyen de produire les meilleures performances de leurs carrières respectives pour ce projet. Un "psychopathe" vétéran aveugle qui défend ses biens et sa vie. Don't Breathe est une bouffée d'air frais pour un genre périmé. C'est le meilleur film d'invasion de domicile que je n'ai jamais vu. J'adore ce film pour ses parties imprévisibles et son scénario intéressant et passionnant. En regardant le film, vous vous sentez pris au piège à l'intérieur de la maison autant que les personnages. Don't Breathe, est un excellent film d'horreur. Avec des sensations fortes et des jumpscares qui fonctionnent réellement (la scène ou le chien saute sur la voiture m'a fait bondir). Sans égaler Evil Dead, Don't Breathe est un film simplement incroyable...
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2,0
Publiée le 31 décembre 2016
Rèalisè et coècrit par Fede Alvarez (le remake de "Evil Dead", c'ètait lui), "Don’t Breathe" est l'un des gros succès commercial de l'ètè 2016 aux Etats-Unis! Un mèlange de suspense et d'horreur dans la première partie où les scènes silencieuses sont bien menèes, mais beaucoup plus violente, physique et tendue dans la seconde où la maison devient un personnage à part entière! spoiler: L'argument est simple : trois amis de Dètroit qui en n'ont rien à faire des idèaux actuels font des vols à domicile! Trois jeunes cambrioleurs qui planifient de rentrer chez un homme à la retraite pour lui voler son argent (500 000 $, rien que ça) qui leur permettra de dèmènager et de changer de ville! C'est le plan parfait car la victime est un aveugle! Un aveugle qui n'a pas dit son dernier mot en tant qu'ex-vètèran de la guerre en Irak! Une sorte de Rambo avec son super chien à qui l'on doit la meilleure scène à l'intèrieur d'une voiture... Stephen Lang, un nom, plutôt qu'une filmographie! Un nom que tous les aficionados de la sèrie B d'action connaissent! Lang joue ici (et comme souvent) le mèchant de service dans une histoire pleine de retournements de situation même si c'est souvent tirèe par les cheveux! Alvarez n'en a cure et prèfère nous montrer par exemple une jeunesse amèricaine en pleine catastrophe financière et culturelle! Pas très original sur le papier (on pense souvent au "Panic Room" de Fincher) et sans rèelle surprise, c'est du petit cinoche de terreur efficace sans grosse rèflexion derrière! Ni plus, ni moins...
Après avoir très bien revisité "Evil Dead", il y a trois ans, Fede Alvarez se lance enfin avec un film totalement son image puisqu'il a également écrit le scénario. Le réalisateur fait preuve d'une grande maîtrise tout au long de son film, il installe immédiatement une très grande tension qui ne faiblit jamais et joue vraiment bien avec le handicap du personnage que ça soit dans les scènes d'action ou celles un peu plus calmes notamment lorsque le silence règne cela donne une atmosphère vraiment oppressante. L'histoire est simple, mais réserve quelques bonnes surprises et des rebondissements qui plongent encore plus les personnages dans l'horreur. Il n'y a pas d'horreur pure, mais c'est un thriller horrifique d'une efficacité redoutable. Je n'ai rien à redire, le cadre est bien utilisé, l'histoire nous tient en haleine jusqu'au bout, les acteurs sont convaincants surtout Stephen Lang qui est excellent puis il y a tout ce que j'ai dit avant au niveau de l'ambiance et tension ce qui est toujours important pour moi. Bref, un excellent film et surement l'un des meilleurs du genre depuis pas mal de temps.
Rocky, Alex & Money enchaînent les cambriolages, non pas pour tuer le temps mais pour amasser suffisamment d’argent pour quitter Detroit, une ville qui se meurt à petit feu et qui s’avère sans avenir pour ces trois jeunes. Alors qu’ils s’attelaient à leur ultime coup, ce qui ne devait être qu’un banal casse va en réalité leur réserver de sacrées surprises. Leur victime, un homme d’un certain âge, qui plus est aveugle et vétéran de la guerre en Irak, ne va pas se laisser dépouiller aussi facilement…
Agréable surprise de la part de ce petit film d’horreur (d’à peine 10M $), réalisé par un jeune cinéaste uruguayen Fede Alvarez et produit (entre-autre) par Sam Raimi. Ces deux-là s’étaient rencontrés sur le tournage du remake d’Evil Dead (2013), rien de très surprenant de les retrouver ici pour son second long-métrage. Ne vous fiez pas au titre français complètement crétin, Don't Breathe : La Maison des ténèbres (2016) s’avère être un surprenant et au combien jouissif home invasion, particulièrement jusqu'au-boutiste. Certes, pas exempt de défauts (des rebondissements à rallonge et un tournage en studio où la maison a été intégralement reconstituées. Résultat, à l’intérieur de la bâtisse on y voit comme en plein jour (avant même que les lumières soient allumées), alors que l’intrigue se déroule à 2h du matin dans un quartier totalement à l’abandon). Mais on chipote à vrai dire, car le film a le mérite de ne jamais relâcher la tension et fort heureusement, il nous évite aussi l’avalanche de jump scare auquel ce genre de film a tendance à abuser.
Une ambiance malaisante finie même par s’installer au fur et à mesure que la victime devient la proie. Un jeu du chat et de la souris où il faut tendre l’oreille à défaut de ne pouvoir voir. A noter aussi l’excellent travail au niveau de la mise en scène et de la gestion des espaces. Un huis clos qui ne cesse de nous surprendre, dévoilant au compte-goutte les sombres recoins de la bâtisse. Même la séquence dans la cave où le réalisateur filme ses comédiens dans le noir complet, là aussi le résultat s’avère saisissant et évite d’en faire des caisses comme l’aurait fait n’importe quel film d’épouvante à destination des ados.
Niveau distribution, si le trio de cambrioleurs fait le job mais ne retiendra pas nécessairement notre attention, c’est surtout parce que Stephen Lang les éclipse complètement ! Le colosse de 60 printemps en impose en interprétant ce vétéran quasi muet et aux sens décuplés (pour palier sa cécité, son odorat et son ouïe sont devenus hypers développés).
En faisant abstraction des quelques élucubrations scénaristiques (la victime s’échappe, parvient à se faire rattraper, pour mieux s’évader à moins qu’elle ne finisse encore par se faire capturer…), en dehors de ça, force est de constater que rares sont les fois où les prod’ Screen Gems valent le coup d’œil et retiennent autant notre attention. Reste à savoir maintenant ce que vaut la suite, sobrement intitulée Don't Breathe 2 (2021).
Une chose est sûre, après ce film, vous regarderez d’un autre œil les poires à lavement !
Après un remake efficace d'Evil Dead Fede Alvarez continue dans l'épouvante mais en délaissant le gore pour se concentrer sur le suspense. Pas réellement angoissant toutefois c'est efficace et intense du début à la fin par contre le côté invraisemblable de Don't Breathe pénalise par moment ce film dont l'intrigue tient tout juste sur sa durée (moins d'une 1h30 mais qui aurait pu tenir sur 1 heure) ; Stephen Lang est toujours convaincant dans la peau du "méchant" sinon on retrouve la jolie Jane Levy (personnellement je la préfère en rousse qu'en blonde) déjà vu dans Evil Dead. En tout cas on ne peut pas nier le côté prenant de Don't Breathe qui nous fait tenir jusqu'au final sans problème.
D'abord il y a tromperie sur l'étiquetage, il ne s'agit nullement d'un film d'horreur mais d'un thriller d'angoisse violent. Le thème de l'aveugle agressé, est assez casse gueule, et ni Terence Young avec Audrey Hepburn en 1967, ni Richard Fleischer avec Mia Farrow en 1971 ne nous avaient convaincu. Ici Alvarez qui s'était déjà planté avec son soporifique Evil dead fait pire que ses prédécesseurs, accumulant les invraisemblances comme s'il en pleuvait et confondant suspense et retard à l'allumage, le tout teinté d'une idéologie populiste assez puante genre : il n'y a plus de justice alors faisons la nous-même. Le jeune freluquet en plus d'être increvable est agaçant au possible, le vieux débris est une abomination, reste Jane Levy pas trop mal. Peu de scènes intéressantes sauf éventuellement vers la fin (avec le chien) Lamentable et survendu
Rocky, Alex et Money ne voient pas leur avenir à Detroit. Pour pouvoir quitter cette ville qui dépérit, ils cambriolent des maisons mais ça ne leur permet pas de gagner assez d'argent. Et puis arrive un coup juteux : dans un quartier à l'abandon se trouve la maison d'un vétéran de l'armée aveugle qui planquerait chez lui une jolie somme d'argent. Ni une ni deux, les trois complices s'infiltrent dans la maison mais sont loin d'imaginer que leur victime est beaucoup plus dangereuse qu'elle n'en a l'air et qu'elle cache de lourds secrets... Effectuant une jolie lecture inversée du home invasion, Fede Alvarez offre avec "Don't Breathe" un vrai moment de tension, étouffant, violent et prenant rapidement à la gorge. Malgré le succès de son remake de "Evil Dead", le réalisateur a préféré bosser un budget plus faible que son premier film pour s'assurer une liberté maximale permettant les trouvailles scénaristiques les plus tordues pour mieux choquer le spectateur. Le résultat est impressionnant et il faut saluer la construction d'un scénario qui utilise toutes les possibilités de son décor et de ses personnages sans jamais nous frustrer. Si Stephen Lang campe un vétéran aveugle massif, inquiétant et implacable, les autres personnages se montrent débrouillards face à des situations de plus en plus cauchemardesques où les rapports de violence évoluent sans cesse. Sadique et ingénieux, "Don't Breathe" bénéficie d'une réalisation impeccable faite de jolis mouvements de caméra venant accentuer une tension très vite palpable. Dans son genre, c'est une vraie réussite.
Un thriller à concept que j’ai trouvé très bon. Justement parce que ce dernier est bien exploité et ne se contente pas de son pitch de base. Il y a en plus quelques bonnes idées de mises en scène comme pour la scène de la cave qui fonctionne très bien. Alors oui il y aurait des choses à redire comme son groupe de braqueurs franchement pas crédible en tant que groupe. Mais c’est largement compensé par le rôle de l’aveugle qui passe tour à tour de victime à bourreau et qui nous fait éprouver une multitude de réactions à son égard ce qui est peut être le plus grand intérêt de ce film que j’ai vu avec plaisir et qui m’a surpris dans le bon sens du terme.
Je n’en avais pas entendu parlé mais suite à deux ou trois excellents échos, je me suis décidé. Et puis j’avais bien aimé le premier film de Fede Alvarez, le réalisateur, remake de Evil Dead sorti en 2013. On n’est pas ici devant un film d’horreur à proprement parlé, mais plus devant un thriller étouffant et glaçant. Ça commence doucement mais très vite ça monte en puissance. La mise en scène est solide, et plutôt sobre pour ce genre de film, la technique impeccable et l’interprétation de qualité. Mais c’est surtout le scénario, vraiment très malin, qui met nos nerfs à rude épreuve jusqu’à la dernière minute. De rebondissements en surprises, on est pas au bout de nos peines. Don’t breathe est en résumé un triller horrifique très efficace, tendu et éprouvant, rondement mené et réussi sur tous les plans. Une excellente surprise donc.
Fede Alvarez, après un remake de Evil Dead plutôt décevant, il nous offre là une jolie leçon de flippe dans le thriller. On est tenu en haleine jusqu'aux derniers instants, le scénario est original et la lutte contre l'adversaire cohérente avec des rebondissements nombreux et toujours justifiés. Une très belles oeuvre pour les fans du genre. J'attends du coup le prochain film du réalisateur avec impatience.
Fede Alvarez jeune réalisateur uruguayen s'est fait remarquer en réalisant pour son premier long métrage, un remake vitaminé d' "Evil Dead" produit par Sam Raimi et Bruce Campbell en personne. L'exercice de style passé avec succès quoique jugé un peu trop gore, il réalise "Don’t Breathe" dont il écrit lui-même le scénario afin d'affirmer sa personnalité. Alvarez reste fidèle au film de genre mais choisit d'opter cette fois-ci délibérément pour le suspense et l'angoisse à travers le huis clos étouffant de la maison d'un vétéran de la Guerre du Golfe (pour des raisons de crédibilité, le Vietnam laisse petit à petit sa place dans l'imaginaire des réalisateurs) visitée par trois jeunes en quête de butins vite gagnés destinés à leur faire quitter l'atmosphère de désolation d'un Détroit devenu le symbole de toutes les défaites du capitalisme. Le vétéran en question est revenu aveugle des champs pétrolifères du Moyen Orient ce qui contrairement à ce que l'on pourrait penser ne va pas faciliter la tâche des trois apprentis-casseurs. Quoique relativement invraisemblable sur bien des aspects, le film est suffisamment bien rythmé par Alvarez pour fournir sa dose d'adrénaline. Les trois jeunes n'auront pas la partie facile face au lointain cousin de Rambo joué par un Stephen Lang bodybuildé qui en sus de sa cécité a aussi perdu pas mal de sa santé mentale. On appréciera la performance de la jeune Jane Levy dont le charmant minois rappelle celui de Kristen Stewart. Sam Raimi qui a bien vite su apprécier les qualités du jeune réalisateur est encore à la production. Il peut se frotter les mains, le film ayant rapporté quinze fois sa mise. On peut être sûr que l'on entendra à nouveau parler de Fede Alvarez.
Un thriller horrifique parfaitement réussi, angoissant et effrayant à souhait, qui plus est débarrassé des scories habituelles du genre. En effet, sans abuser des jumpscares ou musiques qui font peur, le film fait vivre un véritable cauchemar à ses protagonistes et, par extension, au spectateur. Diabolique.
Waow ! Malgré des incohérences, un huit clos angoissant à la mise en scène efficace, avec un Stephen Lang dans le rôle d’un aveugle extrêmement flippant.
Trois adolescents tentent d’échapper à leurs misérables vies en procédant à des cambriolages. Mais la nuit où ils s’introduisent chez un aveugle fortuné, leur plan ne se déroulera pas comme prévu. C’est le scénario de ce film censé faire peur et vendu comme le meilleur film d’horreur américain des vingt dernières années. Pourtant, on attend encore ce frisson ou la petite goutte de sueur à notre front. Don’t Breathe – La maison des Ténèbres a plus l’allure d’un thriller juvénile où ces trois gamins se voient justifiés leurs mauvais actes à cause de parents qui les négligent. C’est alors que les victimes d’intrusions à domicile passent pour les méchants. Ce long-métrage n’est plutôt qu’une simple course contre le chat et la souris dans les moindres recoins d’une maison. Fede Alvarez propose un scénario peu convaincant du fait qu’un aveugle à normalement ses autres sens plus développés. Ici, il entend les bruits comme un voyant, ce qui facilite grandement l’intrigue. Malgré une petite surprise dans le sous-sol, cette maison des Ténèbres n’a rien d’effrayant. D'autres critiques sur ma page Facebook : Cinéphiles 44