Don't Breathe - La maison des ténèbres : Critique presse
Don't Breathe - La maison des ténèbres
Note moyenne
3,6
16 titres de presse
CinemaTeaser
Ecran Large
L'Ecran Fantastique
LCI
Le Monde
Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
Mad Movies
Studio Ciné Live
Voici
aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
Le Journal du Dimanche
Mad Movies
Cahiers du Cinéma
Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
16 critiques presse
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Un scénario ludique et surprenant, où les rapports de violence ne cessent de s’inverser.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Ecran Large
par Simon Riaux
Série B parfaitement maîtrisée, "Don't Breathe "est un grand huit où le suspense est roi et ne faiblit jamais.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
C'est un spectacle intense, un cauchemar très sombre, parfois malsain, mais qui parvient à conserver une vraie légèreté, à ne pas tomber dans le gore gratuir, pour nous laisser au bout du compte haletants, mais heureux d'avoir survécu à cet enfer ténébreux.
LCI
par Mehdi Omaïs
Fede Alvarez se montre impérial dans sa gestion de l’espace –sa maison est vraiment celle des ténèbres– et de la lumière, élément-clé et moteur à frissons. Sa mise en scène généreuse ne s’encombre d’aucun tic hystérisant et contribue à la fluidité narrative du récit.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un film d’horreur dynamique et labyrinthique.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Parisien
par Michel Valentin
Très bonne surprise que ce thriller horrifique, qui a fait un carton aux Etats-Unis et réalisé par Fede Alvarez, jeune metteur en scène uruguayen choisi il y a trois ans par le grand Sam Raimi pour le remake de son mythique « Evil Dead ».
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Michael Ghennam
Fede Alvarez signe un huis clos âpre et étouffant, dont la mise en scène efface les incohérences scénaristiques.
Les Inrockuptibles
par Alexandre Büyükodabas
À partir de ce pitch proposant une relecture du canevas classique de l'arroseur arrosé, le second long métrage de Fede Alvarez est un exercice de style brillant dont la frontalité extrême et dénuée d'ironie se déploie sur trois niveaux, comme trois cauchemars qui se referment les uns sur les autres.
Mad Movies
par Alexandre Poncet
POUR : Une relecture virtuose du "Sous-sol de la peur", où la maison est elle-même un fantôme dans les ruines de Detroit.
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
On sort de ce "Don't Breathe" le souffle coupé.
Voici
par Lola Sciamma
Ce thriller vaut vraiment le coup d'oeil.
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Sorte de remake pugnace et intransigeant du Sous-sol de la peur de Wes Craven, In the Dark est une tuerie !
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un bon film d’horreur, qui joue sur la peur du noir, dans une maison à tiroirs maléfiques : pas spécialement original, mais frissons garantis.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce film d’horreur sans prétention pulvérise un par un les codes du genre du home invasion en orchestrant un jeu du chat et de la souris où le prédateur n’est pas celui qu’on croit.
Mad Movies
par Fausto Fasulo
CONTRE : Efficace, ouais. Mais sinon, c'est quand même un peu con...
Cahiers du Cinéma
par Stéphane du Mesnildot
Le typage grand-guignolesque annule hélas le beau point de départ : confondre la cécité avec l’idée même d’obscurité.
CinemaTeaser
Un scénario ludique et surprenant, où les rapports de violence ne cessent de s’inverser.
Ecran Large
Série B parfaitement maîtrisée, "Don't Breathe "est un grand huit où le suspense est roi et ne faiblit jamais.
L'Ecran Fantastique
C'est un spectacle intense, un cauchemar très sombre, parfois malsain, mais qui parvient à conserver une vraie légèreté, à ne pas tomber dans le gore gratuir, pour nous laisser au bout du compte haletants, mais heureux d'avoir survécu à cet enfer ténébreux.
LCI
Fede Alvarez se montre impérial dans sa gestion de l’espace –sa maison est vraiment celle des ténèbres– et de la lumière, élément-clé et moteur à frissons. Sa mise en scène généreuse ne s’encombre d’aucun tic hystérisant et contribue à la fluidité narrative du récit.
Le Monde
Un film d’horreur dynamique et labyrinthique.
Le Parisien
Très bonne surprise que ce thriller horrifique, qui a fait un carton aux Etats-Unis et réalisé par Fede Alvarez, jeune metteur en scène uruguayen choisi il y a trois ans par le grand Sam Raimi pour le remake de son mythique « Evil Dead ».
Les Fiches du Cinéma
Fede Alvarez signe un huis clos âpre et étouffant, dont la mise en scène efface les incohérences scénaristiques.
Les Inrockuptibles
À partir de ce pitch proposant une relecture du canevas classique de l'arroseur arrosé, le second long métrage de Fede Alvarez est un exercice de style brillant dont la frontalité extrême et dénuée d'ironie se déploie sur trois niveaux, comme trois cauchemars qui se referment les uns sur les autres.
Mad Movies
POUR : Une relecture virtuose du "Sous-sol de la peur", où la maison est elle-même un fantôme dans les ruines de Detroit.
Studio Ciné Live
On sort de ce "Don't Breathe" le souffle coupé.
Voici
Ce thriller vaut vraiment le coup d'oeil.
aVoir-aLire.com
Sorte de remake pugnace et intransigeant du Sous-sol de la peur de Wes Craven, In the Dark est une tuerie !
Le Dauphiné Libéré
Un bon film d’horreur, qui joue sur la peur du noir, dans une maison à tiroirs maléfiques : pas spécialement original, mais frissons garantis.
Le Journal du Dimanche
Ce film d’horreur sans prétention pulvérise un par un les codes du genre du home invasion en orchestrant un jeu du chat et de la souris où le prédateur n’est pas celui qu’on croit.
Mad Movies
CONTRE : Efficace, ouais. Mais sinon, c'est quand même un peu con...
Cahiers du Cinéma
Le typage grand-guignolesque annule hélas le beau point de départ : confondre la cécité avec l’idée même d’obscurité.