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Lila L
6 critiques
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3,5
Publiée le 27 janvier 2019
Polar un film déjanté a la sin city avec de la violence à revendre en mode bande dessinée on ne s ennuie pas, c'est décalé, sanglant...point négatif Vanessa hudgens qui fait tâche dans le decor spoiler: mais on comprend mieux à la fin
Une très bonne surprise. Enfin, dans le sens où je ne savais pas que ce film allait voir le jour, car une fois vue la bande annonce, on sait à quoi s'attendre. Quoique, les bandes annonces sont parfois trompeuses... Pour Polar, les promesses qu'on pouvait y apercevoir ont été tenues : on assiste à un film d'action énergique et bien joué. On savait que cette production allait être violente, et elle l'est. Je pense qu'elle aurait été interdite aux moins de 16 ans en salle. Mais toute personne qui a vu la bande annonce était au courant que le personnage principal n'était pas un tendre. J'ai passé un bon moment à la regarder. Mon seul regret est que, finalement, "Black Kaiser" n'a personne à sa mesure.
Il paraît qu’un film c’est d’abord une histoire. Là le scénario est inexistant par conséquent il n’y a pas de film Il y a juste une juxtaposition de scènes aussi stupides les unes que les autres où seul l’effet et le mauvais goût prime. Perte de temps.
Pour être juste, le film n'est pas bon mais je m'en fou complètement. Quand j'ai vu le film je m'en fou de l'histoire du film, j'avais juste envie de regarder un alcoolique tuer des gens sur une musique pendant que d'autres personnages sont en train de faire l'amour. Voilà le film m'a suffit à ça. En principe je juge un film sur le fond mais alors là, le fait de voir un film d'action bourrin avec du sang partout et qui s'avère en passant drôle, je ne vais pas descendre la note car ce film est tout simplement divertissant.
Héro invincible, balles illimités, pions ennemis incompétent, méchant ridicule, porno continu. Bref film vraiment nul. Les couleurs sont pétantes, on retrouve des méchants jaunes canaris dans une ambiance sombre, sa aurait pu bien rendre, mais ici ce n'est pas le cas. On est dans du grotesque pendant les 3/4 du film. Seuls points positif de superbes scène d'action, le budget hémoglobine à du atteindre des sommet, et une bonne réalisation au niveaux caméra.
Il n'y a pas de doute, le catalogue Netflix propose toute une ribambelle de productions originales parmi lesquelles se cachent de multiples pépites comme de nombreuses purges; alors lorsque l'adaptation du comic "Polar" voit le jour sur la plateforme en question avec Mads Mikkelsen en rôle principal, la curiosité est de mise. Je ne vais pas tourner autour du pot, POLAR est une bizarrerie cinématographique assumée, un film hybride stylisé et ultra-violent alternant constamment entre un humour noir vulgairement efficace, des élans de brutalité et d'hémoglobines qui pourront plaire tout comme rebuter ainsi qu'une tension dramatique réussie sans être particulièrement transcendante. Cette chasse à l'homme opposant le charismatique et attachant Black Kaiser (merveilleusement interprété par Mads Mikkelsen) à une belle bande d'antagonistes déjantés spoiler: (à la mort malheureusement trop rapidement expédiée) réussit à remplir son cahier des charges et à divertir en conséquence. Direction artistique charmante, structure visuelle et narrative dans la droite lignée des comics, scènes d'actions intenses et jouissives, twist final bien amené ainsi que bande-son aussi entraînante que subtile signée Deadmau5 (une première) sont au programme de ce spectacle complètement loufoque, même si, à notre plus grand regret, un arrière goût d'inachevé, de manque de maîtrise et d'ingéniosité résonnent cruellement lors de certaines scènes. Il en reste de POLAR un film fun et barré qui n'exploite pas forcément bien toutes ses idées et qui aurait mérité plus de soin sur certains aspects. Néanmoins, ce dernier a le mérite de divertir tout en possédant sa propre identité artistique, caractéristique manquante de la plupart des films d'actions actuels. À réserver aux fans du genre!
Film à voir si l'on aime de l'action pure et du sang mais pas si l'on cherche des film long avec une écriture romanesque. Le seul deffault est là fin beaucoup trop bâclé à mon goût mais sa aurait fait un film trop long. Les acteurs sont bon, leur persos simple à cerner méchant peu charismatique à côté de Mads Mickelssen. Donc j'ai passer un très bon moment devant ce film je suis pas contre une suite et c'est pas parce que c'est un film Netflix qu'il est mauvais.
Partagé ! Scénario des plus classique, mise en scène soignées, interprétations au rendez-vous (dans leurs rôles respectifs). Irritants : une réalisation pour moi part trop comics (typé XIII) et des déjantés ... trop déjantés ! Un peu film d'action sur fond dramatique. 3/5 !!!
Dans le top 10 des pires films que j'ai jamais vu de ma vie. Tout est téléphoné, tout est gratuit et mal écrit. Les personnages n'ont aucune profondeur, c'est insupportable. Mads Mikkelsen a beau avoir tout le talent du monde, même lui n'arrive pas à rendre son personnage intéressant. Somme toute, c'est juste un vieux pervers chiant comme la mort.
Malgré cet aspect comics sympathique et quelques scènes d’action dantesques, Polar est un sous John Wick mélangé à un mauvais Punisher. La faute surtout à une intrigue passablement ennuyeuse, notamment dans sa romance usante. Reste une série B divertissante.
Souvent schizophrène, cette adaptation de la BD éponyme signée Victor Santos va vite se retrouver, comme le vilain de l'histoire, dépassée par son héros bien meilleur que le film dans lequel il se retrouve. L'ouverture de "Polar", esthétiquement affreuse avec ses couleurs criardes, ne ment pas sur la marchandise : le long-métrage de Jonas Åkerlund, sans doute conscient du classicisme de ce qu'il a à nous raconter, mise tout sur une jauge d'exagération dont il ne cesse de déplacer le curseur sur le fond et la forme sans jamais parvenir à trouver la position adéquate. Ce sera d'autant plus flagrant dans la première partie chargée de nous narrer la difficile retraite de ce tueur à gages contraint de reprendre du service lorsque ses anciens collègues se font décimer. Obligé de marquer la séparation entre ce monde excentrique d'assassins et la normalité à laquelle veut aspirer le Black Kaiser, "Polar" donne vraiment l'impression de naviguer entre deux univers mais aussi entre deux films qui peinent à nous faire croire qu'ils sont les deux faces d'une même pièce. D'un côté, il y a le pire avec tous ces assassins échappés de cases de comics que Jonas Åkerlund réduit aux pires poncifs hystériques du genre en les définissant uniquement par leurs looks improbables dans des situations humoristiques qui ne déclenchent qu'un ou deux sourires (seule Fei Ren en leader des sous-fifres marque les esprits). De l'autre, il y a le moins pire, la pré-retraite de Black Kaiser où le regard de Mads Mikkelsen fait des petits miracles entre intensité et humour dans le triste quotidien de son personnage incapable d'embrasser une existence vraiment tranquille. Les seuls traits d'union entre ces deux mondes relèvent des pires défauts rencontrés jusqu'ici : tout y est si affreusement prévisible que cela en devient dur à avaler (comment un type de la trempe du Black Kaiser a pu passer sa carrière à travailler pour un minable comme Mr. Blut et ne rien voir venir ?), l'image de la femme ferait exploser la cervelle de n'importe quelle féministe au bout de quelques secondes (victime, assumée ou forte, c'est un festival misogyne de grande ampleur) et l'exubérance des personnages ou des péripéties vers une forme de comique grotesque sonne surtout comme un moyen artificiel de détourner l'attention sur la pauvreté narrative de l'entreprise qui ne cesse de passer d'un lieu à un autre pour donner l'illusion d'un rythme trépidant. En ce sens, "Polar" ressemble fortement à une parodie d'adaptation de comics qui n'en aurait bizarrement pas du tout conscience. Mais le film va tout de même se réveiller pour proposer de bien meilleures choses dans sa deuxième partie.
La réunion au sommet de tous les personnages en vadrouille jusqu'alors tient en effet toutes ses promesses durant un affrontement enneigé franchement jouissif et où le personnage de Mads Mikkelsen révèle enfin tout le potentiel de ses capacités. En muselant l'hystérie du film qui s'éparpillait dans bien trop de ses aspects sur ses seules confrontations violentes, "Polar" va retrouver une seconde vie grâce à ses séquences d'action. Entre une séance de torture bien saignante, une baston géniale dans un couloir ou un concert de balles partant dans tous les sens, le film ne fait pas forcément fi de son déroulement archétypal (une sorte de condensé de passages obligés de ce genre d'histoire mis bout à bout) mais il prend enfin la forme du gros plaisir coupable que l'on pouvait espérer, où chacune de ces séquences jubilatoires permettent d'iconiser la présence impériale d'un Mads Mikkelsen donnant désormais clairement l'impression de se retrouver dans un cadre bien loin d'être à la hauteur de son investissement (aussi bien d'un point de vue physique que par son jeu). Même les défauts de la première partie paraissent quelque peu se gommer d'eux-mêmes devant un héros si impressionnant (le second degré diminue drastiquement et en devient meilleur, le visuel se met au service des exploits du Black Kaiser, le personnage vaseux de Vanessa Hudgens reste endormie la plupart du temps et même le ridicule méchant gagne un chouïa d'épaisseur grâce à son sadisme). Dommage qu'un twist final risible vienne à nouveau gâcher la fête pour nous ramener aux pires côtés de ce "Polar", un film qui, au final, aura très souvent choisi la superficialité comme unique solution afin de s'échapper de la mélasse de clichés néo-noirs dans laquelle il prenait sa source.
Il ne reste plus qu'à saluer l'audace de Mads Mikkelsen d'avoir rejoint un tel projet. L'acteur est quasiment la seule qualité constante du film de Jonas Åkerlund et il parvient même à le transcender pour l'amener dans des sphères auxquelles il ne pourrait jamais prétendre sans lui. Incontestablement, il est LE Black Kaiser que l'on voulait découvrir mais peut-être pas forcément dans un long-métrage comme ça.
Après six années d'absence, Jonas Åkerlund, qui est surtout connu pour tous les clips qu'il a réalisés pour les plus grandes stars, est de retour avec deux films qui sortent quasiment coup sur coup à savoir "Lords of Chaos" et ce "Polar" qui est adapté du roman graphique "Polar: Came from the cold" de Víctor Santos. Je ne connais pas cette oeuvre, mais le réalisateur a fait ce film dans l'optique de faire une série B totalement décomplexée qui est aussi brutale que décalée. "Polar" est un film très violent, sanglant, vulgaire et sulfureux avec également pas mal d'humour noir. Le tout dans des environnements assez variés avec des personnages hauts en couleur. L'histoire est simple avec un prétexte de départ un peu bidon qui pousse Blut a envoyé des tueurs aux trousses de Duncan Vizla alors qu'il prend sa retraite, mais elle réserve quand même quelques surprises dont un twist final assez surprenant. En fait, tout est fait pour qu'il y ait le plus d'affrontements et le plus de dégâts possibles dans le but de divertir un maximum et à ce niveau, c'est réussi. Les différentes scènes d'action sont réussies et efficaces, certaines sont même excellentes comme quand spoiler: Duncan parvient à se libérer de ses chaînes avant de trucider tout le monde ou encore la scène spoiler: dans le hangar vers la fin. Mads Mikkelsen, dans un rôle à la "John Wick" est excellent, crédible et charismatique dans la peau de ce tueur sans pitié, mais pas que comme on le découvre au fil des minutes. Le film est totalement gratuit à tous les niveaux, ce qui le rend jouissif à regarder. Bref, sans être un grand film, ce "Polar" est un bon divertissement très efficace.
Sanglant, violent, vulgaire mais toutefois légèrement original (a la danny boyle vite fait, sans lui arriver a la cheville) le film repose surtout sur le charisme de Mads mikelsen (hannibal) et de kateryn winnick ( largertha) En revanche, Ne vous y tromper pas, côté scenar, ce n'est pas un polar mais un film d'action comme stalone aurait pu tourner a l'epoque, bon film