Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
17 critiques presse
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Ce petit polar est un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Paris Match
par Yannick Vely
Voilà le film coup de poing qui peut vous sortir de votre torpeur post-électorale. Une claque, un uppercut, un coup de massue, bref quelque chose qui fait mal et qui prend aux tripes que l'on conseille fébrilement à ses amis cinéphiles, en espérant qu'ils ressentent le même choc que vous.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Un thriller westernien hors du commun, et d’une maîtrise de la mise en scène étonnante, sans esbroufe, mais efficace, qui emporte l’adhésion.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Figaroscope
par Nathalie Simon
On a souvent vu des films sur le thème de la vengeance. Parfois outranciers. Celui-ci n’a rien d’un western eastwoodien ou tarentinesque. Le moindre détail y a son importance et est porté par une mise en scène sobre et minutieuse au service d’une obsession.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaroscope
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
On est tout de suite en empathie avec le héros, qui souffre et menace de flancher en permanence. La violence, viscérale, surgit sans pré- venir dans ce récit bouleversant d’humanité.
Le Parisien
par Catherine Balle
Le spectateur se laisse surprendre à chaque tournant du film, comme on est saisi par une colère froide. Et le grain épais de l'image, filmée sur une pellicule de 16 mm, accentue l'aspect brut et fiévreux de cette histoire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Gaelle Bédier Lerays
Pour son premier film, Raúl Arévalo joue des contrastes et choisit le film de genre pour raconter la vengeance d’un “homme sans qualités” qu’un deuil impossible transforme en prédateur. À la fois aride et glaçant !
Les Inrockuptibles
par Emily Barnett
Le film ordonne ainsi une ahurissante escalade de séquences punitives. Dévoyées de leurs enjeux habituels, d’une fureur dilatée, atroce et bizarre, elles rappellent la violence surréaliste accolée à certains grands noms (les Coen, Peckinpah), mais contenue (et c’est aussi à cela que tient son charme) dans un thriller brut et sans prétention.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par Vanina Arrighi de Casanova
Tendu, efficace et très incarné.
Télérama
par Pierre Murat
La violence omniprésente n'a rien à voir avec celle, survenant par bouffées, d'un Sam Peckinpah. Elle est plus insidieuse, plus dangereuse aussi, comme infiltrée dans les gènes des personnages. Cette brutalité à la fois extravagante et épurée évoquerait plutôt Robert Aldrich dans "En quatrième vitesse".
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Jérôme Saunier
Un polar espagnol néo-noir et crépusculaire au goût de western.
Critikat.com
par Nicolas Journet
Un bon polar espagnol, tendu à souhait, mais qui s'étiole quelque peu dans son dernier tiers.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Derrière la caméra, Raúl Arévalo, jeune acteur espagnol dont c’est le premier film, trouve le ton exact, le rythme adapté, la texture d’un récit d’enfer. Murs écaillés, rues poussiéreuses, gueules de racailles, flingues qui aboient, tout y est. Ça swingue. Prometteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Huit ans après un casse criminel, un homme décide qu’il est temps pour lui de se venger. Direction les bas-fonds. Que va-t-il faire ? Comment va-t-il s’y prendre ? Là sont les enjeux de cette impitoyable série noire. Jusqu’au twist imprévisible et la chute qui l’est tout autant.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Avec un certain style et des choix forts de mise en scène - le film est tourné en 16mm, format qui donne un aspect granuleux cradingue à l’image -, le cinéaste débutant signe un thriller épuré qui interroge les ravages de la souffrance chez un homme ordinaire.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur le thème du vengeur qui se fait justice lui-même, un thriller à la structure attendue, où le plat qui se mange froid finit par sentir un peu le réchauffé.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Un récit de vengeance empêtré dans les poncifs de certaines productions américaines des années 1970-1980.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Figaro
Ce petit polar est un grand film.
Paris Match
Voilà le film coup de poing qui peut vous sortir de votre torpeur post-électorale. Une claque, un uppercut, un coup de massue, bref quelque chose qui fait mal et qui prend aux tripes que l'on conseille fébrilement à ses amis cinéphiles, en espérant qu'ils ressentent le même choc que vous.
Franceinfo Culture
Un thriller westernien hors du commun, et d’une maîtrise de la mise en scène étonnante, sans esbroufe, mais efficace, qui emporte l’adhésion.
Le Figaroscope
On a souvent vu des films sur le thème de la vengeance. Parfois outranciers. Celui-ci n’a rien d’un western eastwoodien ou tarentinesque. Le moindre détail y a son importance et est porté par une mise en scène sobre et minutieuse au service d’une obsession.
Le Journal du Dimanche
On est tout de suite en empathie avec le héros, qui souffre et menace de flancher en permanence. La violence, viscérale, surgit sans pré- venir dans ce récit bouleversant d’humanité.
Le Parisien
Le spectateur se laisse surprendre à chaque tournant du film, comme on est saisi par une colère froide. Et le grain épais de l'image, filmée sur une pellicule de 16 mm, accentue l'aspect brut et fiévreux de cette histoire.
Les Fiches du Cinéma
Pour son premier film, Raúl Arévalo joue des contrastes et choisit le film de genre pour raconter la vengeance d’un “homme sans qualités” qu’un deuil impossible transforme en prédateur. À la fois aride et glaçant !
Les Inrockuptibles
Le film ordonne ainsi une ahurissante escalade de séquences punitives. Dévoyées de leurs enjeux habituels, d’une fureur dilatée, atroce et bizarre, elles rappellent la violence surréaliste accolée à certains grands noms (les Coen, Peckinpah), mais contenue (et c’est aussi à cela que tient son charme) dans un thriller brut et sans prétention.
Ouest France
Tendu, efficace et très incarné.
Télérama
La violence omniprésente n'a rien à voir avec celle, survenant par bouffées, d'un Sam Peckinpah. Elle est plus insidieuse, plus dangereuse aussi, comme infiltrée dans les gènes des personnages. Cette brutalité à la fois extravagante et épurée évoquerait plutôt Robert Aldrich dans "En quatrième vitesse".
Voici
Un polar espagnol néo-noir et crépusculaire au goût de western.
Critikat.com
Un bon polar espagnol, tendu à souhait, mais qui s'étiole quelque peu dans son dernier tiers.
L'Obs
Derrière la caméra, Raúl Arévalo, jeune acteur espagnol dont c’est le premier film, trouve le ton exact, le rythme adapté, la texture d’un récit d’enfer. Murs écaillés, rues poussiéreuses, gueules de racailles, flingues qui aboient, tout y est. Ça swingue. Prometteur.
La Voix du Nord
Huit ans après un casse criminel, un homme décide qu’il est temps pour lui de se venger. Direction les bas-fonds. Que va-t-il faire ? Comment va-t-il s’y prendre ? Là sont les enjeux de cette impitoyable série noire. Jusqu’au twist imprévisible et la chute qui l’est tout autant.
Première
Avec un certain style et des choix forts de mise en scène - le film est tourné en 16mm, format qui donne un aspect granuleux cradingue à l’image -, le cinéaste débutant signe un thriller épuré qui interroge les ravages de la souffrance chez un homme ordinaire.
Le Dauphiné Libéré
Sur le thème du vengeur qui se fait justice lui-même, un thriller à la structure attendue, où le plat qui se mange froid finit par sentir un peu le réchauffé.
Le Monde
Un récit de vengeance empêtré dans les poncifs de certaines productions américaines des années 1970-1980.