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jerome d
15 abonnés
538 critiques
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1,0
Publiée le 2 février 2016
euh, que dire.. pas grand chose.... aucunes reponses, aucunes explications.... ce film laisse le spectateur frustré de rien savoir a la fin... hallucination, reve ou realité ????
Tout au long du film, un suspense certain nous tient en haleine, porté par un scénario progressif et des acteurs assez convaincants. Par contre, trop de questions restent sans réponse et une suite serait la bienvenue.
400 Days fait partie de ces films, à l'instar de The Open House, qui tente de créer un suspens à la fois intense et incompréhensible pour masquer son manque cruelle d'inspiration. Ce suspens qui dure du début à la fin finit non seulement par devenir lassant, mais débouche en plus sur une absence de fin frustrante qui confirme un scénario bâclé. Les acteurs crédibles et charismatiques me font mettre une étoile à ce navet qui ne mérite clairement pas qu'on lui consacre 1H30 de sa vie.
Attention : il y a du gros spoiler dans ce qui suit!!!
J'ai d'abord pensé à un "The Game" version SF à cause de l'oreillette, des différents acteurs déjà vu au début du film (en y regardant bien, il n'y en a pas tant que ça, mais au moins le type dans la cellule avec Théo et la journaliste blonde qui est dans le restaurant)...donc à une simulation comme convenu, mais à priori ce n'est pas le cas car ça a réellement mal tourné avec 2 morts et contrairement au film de David Fincher, il n'y a pas eu de twist final avec applaudissements et champagne pour sauver la mise. De plus, à la base, il s'agit d'un vaisseau spatial....donc des problèmes techniques (comme au décollage) ou autre pour tester l'équipage en conditions réelles je veux bien, mais tout ce qui se passe à l'extérieur n'a plus rien à voir avec ce qui pourrait se passer dans l'espace.
Je me suis alors rabattu sur la catastrophe planétaire (l'explosion de la lune) qui aurait mis fin à la simulation, mais comment expliquer alors la présence de cette même oreillette, de la caméra infrarouge à l'extérieur et de celle qui continue de bouger et de suivre l'équipage dans le vaisseau, de la lumière qui rentre par la trappe à la fin et du message de Walter (même si je conçois très bien qu'il puisse lui avoir été enregistré et diffusé automatiquement).
Puis, ne voulant pas lâcher l'affaire et pas vraiment convaincu par la dernière théorie des hallucinations (collectives ou pas) à grand coup de vaccins, j'ai rejeté à nouveau un œil au film et figurez vous que les bruits qu'on entend tout au long du film (quelqu'un qui frappe à la trappe (au milieu) ou qui l'ouvre (à la fin)) sont exactement les mêmes ....que ceux lorsque Théo se réveille en prison en présence......du boucher qu'il étrangle dans le bunker...qui porte ici un teeshirt avec ....une lune dessinée dessus (regardez bien l'expression de Théo lorsqu'il le regarde, d'un air de dire "ah bah oui, c'est ca!") et auquel il refile son paquet de cigarette en disant : "j'ai décidé d'arrêter", du style j'ai décidé d'arrêter les conneries (les clopes, l'alcool et pourquoi pas...les drogues)!!! Intéressant non?! Est ce que ce début (qui intervient avant le generique reprenant les discours des présidents et est donc clairement dissocié du début de la conférence de presse) ne serait pas tout simplement la fin du film, moment où se réveille Théo apres s’être fait un gros délire en décuvant, résultat d'une cuite stratosphérique liée à sa rupture avec Emily?!?! On peut alors supposer que les autres personnages sont aussi rencontrés pendant sa beuverie et qu'il les intègre dans son rêve (cauchemar), un peu à la façon du film "Stay" de Marc Forster, qui donnait lui dans son final les clés d'une trame tout aussi tordue qu'ici.
Alors Monsieur Osterman, j'ai bon ou bien?!
Voilà pour ma contribution à ce mystère qu'est "400 days", thriller de science fiction pour lequel je ne sais toujours pas quoi penser : navet ou chef d'œuvre? d'où ma note...moyenne. Les décors quant à eux sont vraiment minimalistes (reflétant un manque de budget évident) et les acteurs loin d'être charismatiques....ce qui n'aide pas à relever le niveau...
Tres bonne intrigue, un film qui nous tiens en haleine, cependant une fin qui nous laisse sur notre fin. Limite bâclé. C'est vraiment dommage on s'attendait a un retournement de situation mais non. Donc on attend, on attend... Mais rien.
Dans un cadre d’entrainement spatial, mais néanmoins hautement médiatisé, quatre astronautes sont enfermés dans un caisson souterrain devant simuler le confinement social et la maitrise d’un engin spatial durant 400 jours, temps prévu pour effectuer le voyage qu’ils devront bientôt accomplir jusqu’à Mars. Vers la fin de l’expérience, après plus de 13 mois d’absence de repères de temps, d’espace et de lien social et affectif digne de ce nom, les tensions et les hallucinations semblent se multiplier, jusqu’à ce que les quatre soient contraints de sortir de leur caisson, deux jours à peine avant la fin du temps imparti. Le spectacle du monde extérieur est alors devenu sinistre et méconnaissable. Bon sujet de science-fiction, laissant la liberté de nager dans plusieurs hypothèses de réalités, tout en observant les jeux sociaux et les évolutions, dans une continuité angoissante, mystérieuse et haletante. Hélas le cheminement du film est bien plus intense qu’une fin qui nous laisse carrément sur notre faim.
400 days propose dans sa première partie des idées classiques voire peu originales sur la claustration: paranoïa, hallucinations, montée en tension mais c'est fait avec une certaine sobriété et des acteurs corrects ce qui évite l'écueil du ridicule et on accepte le principe sans difficulté puisque de toute façon l'essentiel du film va se surtout se dévoiler dans sa deuxième partie, où le scénario se fait surprenant et inattendu, ce qui sauve le film.
Je n'ai peut-être pas compris grand chose à ce film, ou bien c'est une histoire de dérive psychologique jusqu'à la fin. On peut concevoir que les quatre astronautes sont bien enfermés 400 jours, et que leur délire ira jusqu'à s'entretuer. Deux personnages meurent dans le "vaisseau" et deux restent. Mais s'agit-il des mêmes ? Sont-ils sortis de nuit pour affronter leurs frayeurs, ont-ils croisé des gens, ou bien tout cela n'est-il pas qu'un délire. Le voyage dans l'espace n'est pas encore pour demain si l'on en croit ce film.
Ca partait d'une bonne idée....mais finalement non. Le film est lent, il n'y a pas d'histoire, les dialogues sont pauvres, la bande son mauvaise, ... Passez votre chemin !
Huis clos pas assez elaboré Ca manque d'effets spéciaux . C'est banal et pas assez travaillé , j aurai aimé voir plus d'actions et d indices tout le long du film
« 400 Days » est une œuvre intéressante dans les grandes lignes. L'histoire débute d'ailleurs bien en se présentant comme un huis-clos psychologique avant de s'emballer dans une sorte de survival post-apocalyptique. Ce mélange discrédite en partie le film. Le cinéaste, Matt Osterman, nourrit habilement (au début du moins) une atmosphère énigmatique qui tourne autour d'une seule et même question : L'évènement apocalyptique est-il réel ou est-il monté de toutes pièces ? C'est sur cette question, fil rouge et moteur de l'intrigue, que se saborde le film. Effectivement, au lieu d'un scénario cohérent et intelligent qui inclut subtilement des preuves étayant l'une ou l'autre des hypothèses, le réalisateur et scénariste ne tranche pas. Qu'il laisse le soin au spectateur de trancher lui-même est une chose, mais que l'on retrouve des éléments qui se contredisent et prouvent la validité des deux hypothèses en est une autre. « 400 Days » cache finalement sa pauvreté scénaristique sous de faux airs intelligents pour un résultat qui tombe un peu à plat.
Un film qui aurait pu être bien de part la trame de départ (malgré le jeu mort des acteurs), mais la fin n'a carrément aucun intérêt (spoiler: et je ne parle même pas du dernier combat dans l'abri, pitoyable ). J'ai perdu 1h50 de ma vie (ou quelque soit la durée).
Ce film est très attirant mais n'empêche, on peut le voir de deux côtés. Le premier, c'est un film très bien, effet spéciaux impeccablement bien réalisé. Le deuxième côté que l'on peut avoir de ce film, c'est un film trop long avec spéciaux raté... Pour ce qui l'on vu, c'est vrai que la fin est assez originale car c'est à nous de la deviner, d'ailleurs dans l'éducation nationale: collège au cinéma ou lycée au cinéma, certains films n'ont pas la fin pour permettre d'imaginer la nôtre.
Je n'ai pas aimé du tout. Le manque de budget se ressent dès le départ à la conférence de presse et s'en suit une série de clichés, comme le personnage de Bug... c'est bien de creuser la personnalités des personnages mais soit c'est pas assez soit pas du tout subtil, son labyrinthe sur les murs, son fils et la balançoire... J'ai senti l'inspiration de beaucoup de scènes de grands films et j'ai compris l'envie mais demeure très déçu par la finspoiler: "ce sera plus riche si vous imaginez" qui, quand elle n'est pas maîtrisée ne me semble être qu'une preuve de lâcheté. Quand on regarde le film dans l'ensemble, il ne s'est pas passé grand chose mais j'aurais limite préféré qu'il s'en passe moins et qu'on ressente d'avantage l'attente, l'isolement et le basculement vers le doute. Enfin si vous voulez mon point de vue sur la fin, spoiler: la catastrophe est réelle, le soleil est masqué par la poussière, la caméra verte extérieure et intérieure montre qu'une personne continue de surveiller, Vordak et Bug désiraient pour l'un revoir une femme et l'autre revoir son fils et donc en somme sortir du vaisseau quand les deux autres ne désiraient que se remettre ensemble malgré la rupture forcée. Je pense donc que la catastrophe était prévue et que cette expérience était vraiment faite pour déterminer qui pourrait rester dans ce vaisseau pour un éventuel voyage sur mars pour préparer un changement de planète. . Pour terminer, je ne sais pas si c'est le scénario ou le manque de budget qui a desservi se film mais d'autre on réussi sans budget et pour cette fin, n'est vraiment pas Cube qui veut.