Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Elle
par La Rédaction
Fans de blues, ne boudez pas votre plaisir et allez voir ce chef d'oeuvre signé Robert Budreau.
20 Minutes
par Caroline Vié
Dans "Born to be blue", le comédien livre une performance bluffante dans la peau du jazzman Chet Baker...
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
La Croix
par Arnaud Schwartz
Portant de bout en bout ce film sensible et intelligent, Ethan Hawke livre une prestation époustouflante, chantant lui-même certains morceaux dans des scènes aptes à susciter une émotion bien réelle, comme ce Funny Valentine du temps de la renaissance, donnant la chair de poule.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Figaro
par Etienne Sorin
En évoquant cette convalescence du jazzman, parenthèse douce dans une existence autodestructrice, Born to Be Blue évite ainsi les clichés du film de musicien junkie. Les scènes de Baker de retour en studio d'enregistrement sont très belles.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par François Forestier
Ethan Hawke trouve ici l'un de ses meilleurs rôles : il donne au film, littéralement, une âme.
Le Parisien
par Catherine Balle
Porté par un Ethan Hawke subtil et très juste, ce biopic raconte la lutte émouvante d'un homme pour revenir sur le devant de la scène malgré son addiction et sa blessure physique. Il met aussi en scène une histoire d'amour intense.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Hubert Niogret
Un film attachant et audacieux dans un cadre modeste qui restitue assez bien ce que l'on connaît de la vie de Chet Baker.
Transfuge
par Frédéric Mercier
Hawke interprète Chet Baker comme celui-ci interprétait les plus grands standards : avec un jeu toujours au bord de la rupture et sans aucune pompe ni artifice. Maladroit mais cool, incertain et coquet, "Born to be blue" est mieux qu'un film sur Chet Baker, c'est un film qui lui ressemble.
Télérama
par Pierre-Julien Marest
Ethan Hawke, qui tient le rôle, est fébrile, grandiose dans sa fragilité, porté par une mise en scène élégante, une photographie alternant couleur et noir et blanc.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Ethan Hawke incarne avec beaucoup de sensibilité le trompettiste de jazz Chet Baker.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Si la mise en scène manque un peu d’audace, "Born to Be Blue", loin du biopic classique, dresse un portrait touchant du trompettiste (...). Un bel hommage rendu à cet homme à la fois torturé et drôle, élégant et pathétique, qu’incarne avec conviction Ethan Hawke, très inspiré.
Le Monde
par Jean-François Rauger
En basant son récit sur quelques mois de la vie de Chet Baker, le film de Robert Budreau échappe un peu aux clichés obligatoires lorsque la fiction s’empare du jazz. Quelques moments intenses et une trivialité bienvenue sauvent largement ce récit d’une rédemption impossible.
Les Fiches du Cinéma
par Jef Costello
Un dispositif narratif élégant évite la simple chronologie, mais ne parvient pas à alléger un propos lourdement explicatif.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Un fragment de la vie de Chet Baker qui évite les écueils du biopic tradi.
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Si Robert Budreau n'évite, hélas, pas totalement les introspections et autres conflits artificiels sur le come back d'un artiste, il parvient cependant à ourler son film d'une mélancolie enveloppante. Avec un Ethan Hawke étonnamment habité par son personnage et une bande son extraordinaire.
VSD
par Bernard Achour
Biopic sensible sur le jazzaman de légende Chet Baker.
L'Express
par Eric Libiot
"Born to Be Blue" doit beaucoup à la performance du comédien, le cinéaste étant incapable d'imprimer une quelconque originalité dans la forme ni de choisir un point de vue.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un biopic d’un académisme pas toujours convaincant, à l’image de la performance d’Ethan Hawke, tendue, intériorisée, mais dont la sobriété, à l’instar de son modèle, n’est pas toujours la qualité dominante.
Libération
par Olivier Lamm
(...) à classer dans la même catégorie «film pour fan» que "Love and Mercy", le très chic biopic de Bill Pohlad sur Brian Wilson des Beach Boys, est plus présomptueux quant à sa capacité à faire cinéma, plus soigné et plus incarné (...).
Elle
Fans de blues, ne boudez pas votre plaisir et allez voir ce chef d'oeuvre signé Robert Budreau.
20 Minutes
Dans "Born to be blue", le comédien livre une performance bluffante dans la peau du jazzman Chet Baker...
La Croix
Portant de bout en bout ce film sensible et intelligent, Ethan Hawke livre une prestation époustouflante, chantant lui-même certains morceaux dans des scènes aptes à susciter une émotion bien réelle, comme ce Funny Valentine du temps de la renaissance, donnant la chair de poule.
Le Figaro
En évoquant cette convalescence du jazzman, parenthèse douce dans une existence autodestructrice, Born to Be Blue évite ainsi les clichés du film de musicien junkie. Les scènes de Baker de retour en studio d'enregistrement sont très belles.
Le Monde
Ethan Hawke trouve ici l'un de ses meilleurs rôles : il donne au film, littéralement, une âme.
Le Parisien
Porté par un Ethan Hawke subtil et très juste, ce biopic raconte la lutte émouvante d'un homme pour revenir sur le devant de la scène malgré son addiction et sa blessure physique. Il met aussi en scène une histoire d'amour intense.
Positif
Un film attachant et audacieux dans un cadre modeste qui restitue assez bien ce que l'on connaît de la vie de Chet Baker.
Transfuge
Hawke interprète Chet Baker comme celui-ci interprétait les plus grands standards : avec un jeu toujours au bord de la rupture et sans aucune pompe ni artifice. Maladroit mais cool, incertain et coquet, "Born to be blue" est mieux qu'un film sur Chet Baker, c'est un film qui lui ressemble.
Télérama
Ethan Hawke, qui tient le rôle, est fébrile, grandiose dans sa fragilité, porté par une mise en scène élégante, une photographie alternant couleur et noir et blanc.
Voici
Ethan Hawke incarne avec beaucoup de sensibilité le trompettiste de jazz Chet Baker.
Le Journal du Dimanche
Si la mise en scène manque un peu d’audace, "Born to Be Blue", loin du biopic classique, dresse un portrait touchant du trompettiste (...). Un bel hommage rendu à cet homme à la fois torturé et drôle, élégant et pathétique, qu’incarne avec conviction Ethan Hawke, très inspiré.
Le Monde
En basant son récit sur quelques mois de la vie de Chet Baker, le film de Robert Budreau échappe un peu aux clichés obligatoires lorsque la fiction s’empare du jazz. Quelques moments intenses et une trivialité bienvenue sauvent largement ce récit d’une rédemption impossible.
Les Fiches du Cinéma
Un dispositif narratif élégant évite la simple chronologie, mais ne parvient pas à alléger un propos lourdement explicatif.
Les Inrockuptibles
Un fragment de la vie de Chet Baker qui évite les écueils du biopic tradi.
Studio Ciné Live
Si Robert Budreau n'évite, hélas, pas totalement les introspections et autres conflits artificiels sur le come back d'un artiste, il parvient cependant à ourler son film d'une mélancolie enveloppante. Avec un Ethan Hawke étonnamment habité par son personnage et une bande son extraordinaire.
VSD
Biopic sensible sur le jazzaman de légende Chet Baker.
L'Express
"Born to Be Blue" doit beaucoup à la performance du comédien, le cinéaste étant incapable d'imprimer une quelconque originalité dans la forme ni de choisir un point de vue.
Le Dauphiné Libéré
Un biopic d’un académisme pas toujours convaincant, à l’image de la performance d’Ethan Hawke, tendue, intériorisée, mais dont la sobriété, à l’instar de son modèle, n’est pas toujours la qualité dominante.
Libération
(...) à classer dans la même catégorie «film pour fan» que "Love and Mercy", le très chic biopic de Bill Pohlad sur Brian Wilson des Beach Boys, est plus présomptueux quant à sa capacité à faire cinéma, plus soigné et plus incarné (...).