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Yann
14 abonnés
125 critiques
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4,0
Publiée le 26 juin 2021
téléfilm agréable à suivre. Les acteurs jouent bien et articulent. Le scénario maintient le suspens jusqu'à la fin. L'épilogue est niais et les acteurs fument beaucoup trop. Il est complétment inutile de les voir fumer à moins que toute l'équipe du film fasse partie de la ligue POUR le cancer. L'histoire se passe à Brest mais on ne voit presque rien de la ville. Le réalisateur aurait pu filmer quelques scènes dans les rares endroits intéressants ou beaux, comme le Jardin du Conservatoire botanique national de Brest ... où un cadavre aurait bien trouvé sa place.
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2,5
Publiée le 15 janvier 2015
Ce petit tèlèfilm d'atmosphère se dèroule dans le Finistère (29), à Brest, avec Sandrine Bonnaire et Bernard Le Coq dans les rôles principaux! Le rècit s'ouvre sur ce promeneur qui dècouvre le pied d'une femme! Puis c'est le tronc sans tête d'un Sud-Amèricain que la police judiciaire sort de la vase! Avec l'aide d'un èminent mèdecin lègiste (Le Coq), Alma (Bonnaire), venue de Paris, va enquêter sur ces macabres dècouvertes! Un thriller d'assez bonne facture mais qui pèche par un final expèditif et quelque peu dècevant! Dommage car les comèdiens sont bons dans ce polar brestois et bien rèalisè! En particulier le jeune acteur qui se travestit et que l'on croirait sorti tout droit d'un film de R.W Fassbinder (ètrange ressemblance avec le personnage de Volker Spengler dans "In einem Jahr mit 13 Monden"). C'est loin d'être un mauvais tèlèfilm mais on attendait mieux d'une intrigue qui aurait gagnè à être plus prenante...
J'ai regardé ce téléfilm car je suis Brestois, j'y suis né il y a presque 51 ans ! Film plein d'invraisemblances. Les acteurs racontent n'importent quoi ! En fait, j'étais plié de rire avec certains de leurs dialogues. De plus, les policiers brestois sont pris pour des idiots ! Dejà un vrai Brestois avec un accent parisien, ça sonne faux ...
Celui qui regarde ce film peut se faire une idée sur Brest mais surtout qu'ils ne retiennent pas le nom des lieus (un gps les emmenera ailleurs s'ils y entrent les noms cités ...) et aussi qu'ils pensent qu'ils pourront passer sous le pont de Recouvrance (dans l'arsenal ...) pour aller rendre visite à quelqu'un, comme j'ai pu voir dans le film !
1/2 étoile car c'est Brest, mais sinon c'est nul, bien que l'intrigue soit relativement originale.
Un policier de plus, avec un scénario creux qui multiplie les complications pour meubler et Sandrine Bonnaire en femme flic pas du tout crédible qui va découvrir un pied : mais à 50 ans, les rôles d'actrices n'abondent pas, et il faut bien vivre ! Ajoutons un manque d'originalité (même le titre a déjà été utilisé) à un casting pas folichon et de nombreuses longueurs : soporifique. Heureusement, ce vieux baroudeur de Bernard Le Cocq sauve un peu cette histoire rocambolesque et semble être le seul à y croire. Il réussit même à rendre sympathique un médecin légiste : il faut le faire !. Ce film mou dans lequel on cherche un cadavre pour trouver de la drogue ne fait pas un tonnerre de Brest, et à le regarder, ce n'est pas le pied ! (sorti le 12.11.2014 sur France 2) willycopresto
Xavier Durringer réalisé là un bon téléfilm certes ça ne sort pas des sentiers battus et on aurait sans doute souhaité plus de mordant dans cette histoire qui montre par moment un politicien louche mais l'ensemble bénéficie d'une bonne atmosphère et de bons acteurs notamment le duo Bonnaire/ Le Coq qui fonctionne à merveille. Rouge Sang s'avère donc un bon polar avec peut-être une résolution d'enquête vite expédiée mais ça se laisse regarder sans déplaisir si Rouge Sang avait été un film pour le cinéma j'aurais mis une note moindre mais pour la télévision française ce polar est pas mal du tout.
Comment réaliser un téléfilm médiocre avec des comédiens aussi talentueux que Sandrine Bonnaire et Bernard le Coq ? La recette de cette contre-performance semble simple : un scénario bourré de poncifs et dénué de la moindre trace d'imagination, des dialogues convenus et une mise en scène ultra plate. Le seul élément qui aurait pu susciter un peu d'intérêt est le transexuel, sous-utilisé. On notera en plus des invraisemblances communes à beaucoup de polars à petit budget, comme l'absence d'un juge d'instruction, dont le scénariste semble s'être rappelé de l'existence par une brève évocation dans un dialogue. Sans compter le background artificiel des personnages qui sent à plein nez le cahier des charges imposé par les producteurs. Bref un petit produit standard, un peu moins mauvais que certains autres grâce à son casting de luxe.