Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
12 critiques presse
La Croix
par Béatrice Bouniol
Le Géorgien Zaza Urushadze signe une fable lumineuse sur la guerre, et la vie qui résiste.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Point
par François-Guillaume Lorrain
L'idée est brillante et le dispositif d'une simplicité biblique pour traiter d'un sujet éternel : le besoin des hommes de se faire la guerre. Urushadze s'amuse à le déjouer en imposant une coexistence forcée.
La critique complète est disponible sur le site Le Point
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Une histoire émouvante qui combat la guerre, le rejet de l’autre et la haine sous toutes ses formes, à proposer d’urgence à tous les publics.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par La Rédaction
Nommé pour le dernier oscar du meilleur film étranger, "Mandarines", fable humaniste sur la bêtise des hommes dans des paysages d’une beauté biblique, s’épluche doucement, mais laisse un goût tenace.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Delphine Cazus
Un récit poétique et humaniste.
Paris Match
par Alain Spira
Croquez ces "Mandarines", vous verrez que, malgré leur acidité, elles finissent par libérer sentir ce sucre sacré que certains appellent le sel de la vie...
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Un huis clos qui dénonce avec force et intelligence la totale absurdité des conflits interethniques.
Le Journal du Dimanche
par Barbara Théate
Dans un décor dépouillé et quasi théâtral, la confrontation entre les adversaires, entre humour et gravité, fait penser à du Tchekhov, et rappelle qu’il est plus difficile de combattre un ennemi qui a un nom et un visage.
Positif
par Fabien Baumann
Message humaniste attendu, mais les scènes d'action, vides de tout héroïsme, surprennent davantage, brutales et lugubres.
Première
par Eric Vernay
Sans grande audace, mais attachant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télérama
par Mathilde Blottière
Sélectionnée pour l'Oscar du meilleur film étranger, cette leçon de tolérance pousse jusqu'au bout la symbolique des frères ennemis qui finiront par s'aimer sous le regard bienveillant du vieux sage... Le film est sauvé de la convention par ses interprètes et par son côté western caucasien.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Noémie Luciani
Son économie de moyens et le jeu trop juste des acteurs permettent à "Mandarines" d'éviter l'écueil du "trop beau pour être vrai".
La Croix
Le Géorgien Zaza Urushadze signe une fable lumineuse sur la guerre, et la vie qui résiste.
Le Point
L'idée est brillante et le dispositif d'une simplicité biblique pour traiter d'un sujet éternel : le besoin des hommes de se faire la guerre. Urushadze s'amuse à le déjouer en imposant une coexistence forcée.
aVoir-aLire.com
Une histoire émouvante qui combat la guerre, le rejet de l’autre et la haine sous toutes ses formes, à proposer d’urgence à tous les publics.
L'Obs
Nommé pour le dernier oscar du meilleur film étranger, "Mandarines", fable humaniste sur la bêtise des hommes dans des paysages d’une beauté biblique, s’épluche doucement, mais laisse un goût tenace.
Les Fiches du Cinéma
Un récit poétique et humaniste.
Paris Match
Croquez ces "Mandarines", vous verrez que, malgré leur acidité, elles finissent par libérer sentir ce sucre sacré que certains appellent le sel de la vie...
Studio Ciné Live
Un huis clos qui dénonce avec force et intelligence la totale absurdité des conflits interethniques.
Le Journal du Dimanche
Dans un décor dépouillé et quasi théâtral, la confrontation entre les adversaires, entre humour et gravité, fait penser à du Tchekhov, et rappelle qu’il est plus difficile de combattre un ennemi qui a un nom et un visage.
Positif
Message humaniste attendu, mais les scènes d'action, vides de tout héroïsme, surprennent davantage, brutales et lugubres.
Première
Sans grande audace, mais attachant.
Télérama
Sélectionnée pour l'Oscar du meilleur film étranger, cette leçon de tolérance pousse jusqu'au bout la symbolique des frères ennemis qui finiront par s'aimer sous le regard bienveillant du vieux sage... Le film est sauvé de la convention par ses interprètes et par son côté western caucasien.
Le Monde
Son économie de moyens et le jeu trop juste des acteurs permettent à "Mandarines" d'éviter l'écueil du "trop beau pour être vrai".