Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
14 critiques presse
Libération
par Marc Semo
"Sur la ligne" parle avec finesse de la course à pied et du dopage mais plus encore de la révolte et du refus de la compromission dans cette Tchécoslovaquie des années 80 écrasée par la chape de plomb de la «normalisation» qui suivit l’écrasement du printemps de Prague, en août 1968, par les chars soviétiques.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Express
par Eric Libiot
La condamnation du dopage s'inscrit de fait dans le scénario, mais la complexité des comportements rend passionnant un film qui prend son temps pour faire le portrait d'une jeune femme qui tente de gagner sa propre liberté.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
La mise à nu, sensible et sans concession, d’un système à la fois sportif et politique.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Sobre et très bien interprété, “Sur la ligne” dépeint une époque effrayante et pourtant pas si lointaine.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une démonstration implaccable de la machine à fabriquer des champions.
Positif
par Philippe Rouyer
Le charme et l'énergie des deux comédiennes principales ajoutent à l'intérêt du sujet servi par une réalisation efficace qui ne s'embarrasse pas de fioritures.
Première
par Isabelle Danel
Délation, omniprésence du parti, dans cette reconstitution efficace et jamais pesante de ces années de plomb, tout est là. (...) Grâce à sa caméra amoureuse et précise, la réalisatrice rend un hommage documenté à toute une génération sacrifiée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Xavier Leherpeur
Paranoïa, culte du pouvoir, surveillance et dénonciations : le film reconstitue l'ambiance si particulièrement étouffante de cette époque confinant à l'absurde de l'individu sacrifié sur l'autel du collectivisme triomphant.
Télérama
par Pierre Murrat
C'est la rigueur de la jeune réalisatrice qui séduit (...). Son regard demeure volontairement sec, précis. Les paroles, rares, les sentiments, troubles, et les décors, mortifères suscitent une anxiété qui colle constamment à la peau des personnages.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
La Croix
par Arnaud Schwartz
S’il ne brille pas par la qualité de sa mise en scène, "Sur la ligne" n’en demeure pas moins un long-métrage captivant, qui revient sur la « grande époque » du dopage sportif sur fond de guerre froide et luttes idéologiques.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Andréa Sedlackova ne manque pas de chien quand il s’agit de reconstituer le climat autoritariste et paranoïaque de l’époque, d’en imprégner ses acteurs affûtés. Elle se montre moins convaincante lorsqu’elle pilonne son récit de conventions sentimentales de roman de gare.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Monde
par Noémie Luciani
Évitant aussi aisément les poncifs formels du film de sport que l’aigreur du tableau d’histoire proche, la cinéaste tchèque et son talentueux directeur de la photographie, Baset Jean Stritezsky, trouvent à travers un langage visuel éloquent l’expression juste, forte et poignante de la détresse silencieuse d’une génération.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Critikat.com
par Clément Graminiès
Un résultat excessivement sage et beaucoup trop appliqué dans le déroulé de son programme, à contre-courant du potentiel que renfermait pourtant un tel sujet.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Jean-Nicolas Schoeser
S’il ne manque jamais de rythme, le film s’endort tout de même assez vite sur un schéma d’un classicisme rebattu : du choix du scope à la narration (...) on reste dans les rails clairs d’un cinéma qui se voudrait hollywoodien, assez amusant retournement dans un pays où règne l’ostalgie.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Libération
"Sur la ligne" parle avec finesse de la course à pied et du dopage mais plus encore de la révolte et du refus de la compromission dans cette Tchécoslovaquie des années 80 écrasée par la chape de plomb de la «normalisation» qui suivit l’écrasement du printemps de Prague, en août 1968, par les chars soviétiques.
L'Express
La condamnation du dopage s'inscrit de fait dans le scénario, mais la complexité des comportements rend passionnant un film qui prend son temps pour faire le portrait d'une jeune femme qui tente de gagner sa propre liberté.
Le Dauphiné Libéré
La mise à nu, sensible et sans concession, d’un système à la fois sportif et politique.
Les Fiches du Cinéma
Sobre et très bien interprété, “Sur la ligne” dépeint une époque effrayante et pourtant pas si lointaine.
Ouest France
Une démonstration implaccable de la machine à fabriquer des champions.
Positif
Le charme et l'énergie des deux comédiennes principales ajoutent à l'intérêt du sujet servi par une réalisation efficace qui ne s'embarrasse pas de fioritures.
Première
Délation, omniprésence du parti, dans cette reconstitution efficace et jamais pesante de ces années de plomb, tout est là. (...) Grâce à sa caméra amoureuse et précise, la réalisatrice rend un hommage documenté à toute une génération sacrifiée.
Studio Ciné Live
Paranoïa, culte du pouvoir, surveillance et dénonciations : le film reconstitue l'ambiance si particulièrement étouffante de cette époque confinant à l'absurde de l'individu sacrifié sur l'autel du collectivisme triomphant.
Télérama
C'est la rigueur de la jeune réalisatrice qui séduit (...). Son regard demeure volontairement sec, précis. Les paroles, rares, les sentiments, troubles, et les décors, mortifères suscitent une anxiété qui colle constamment à la peau des personnages.
La Croix
S’il ne brille pas par la qualité de sa mise en scène, "Sur la ligne" n’en demeure pas moins un long-métrage captivant, qui revient sur la « grande époque » du dopage sportif sur fond de guerre froide et luttes idéologiques.
La Voix du Nord
Andréa Sedlackova ne manque pas de chien quand il s’agit de reconstituer le climat autoritariste et paranoïaque de l’époque, d’en imprégner ses acteurs affûtés. Elle se montre moins convaincante lorsqu’elle pilonne son récit de conventions sentimentales de roman de gare.
Le Monde
Évitant aussi aisément les poncifs formels du film de sport que l’aigreur du tableau d’histoire proche, la cinéaste tchèque et son talentueux directeur de la photographie, Baset Jean Stritezsky, trouvent à travers un langage visuel éloquent l’expression juste, forte et poignante de la détresse silencieuse d’une génération.
Critikat.com
Un résultat excessivement sage et beaucoup trop appliqué dans le déroulé de son programme, à contre-courant du potentiel que renfermait pourtant un tel sujet.
Culturopoing.com
S’il ne manque jamais de rythme, le film s’endort tout de même assez vite sur un schéma d’un classicisme rebattu : du choix du scope à la narration (...) on reste dans les rails clairs d’un cinéma qui se voudrait hollywoodien, assez amusant retournement dans un pays où règne l’ostalgie.