Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Bande à part
par Isabelle Danel
Comme dans L’Homme d’à côté et L’Artiste, le tandem de réalisateurs argentins questionne la création, sa source, sa réalité, ses compromis et ses mensonges. C’est juste, acerbe, et toujours drôle.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Critikat.com
par Nicola Brarda
"Citoyen d'honneur" n'est pas une comédie : son humour grinçant est plutôt celui d'un rictus qui révulse ou suscite un sourire gêné, comme l'image des « succulentes » têtes d'agneaux (souriantes, elles aussi) qu'Antonio, l'ancien meilleur ami de l'écrivain, veut lui servir à dîner.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Bénédicte Prot
L’entreprise tenait donc de la bravade, de la bravade rieuse, un peu insolente à tout bien réfléchir, parce que proche du stratagème, mais tellement bien executée qu’il faut lui rendre à notre tour les honneurs.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
Une nouvelle pépite argentine signée Mariano Cohn et Gastón Duprat à l’humour implacable et grinçant, sur les illusions de la nostalgie et le travail du temps.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
L'Humanité
par Dominique Widemann
Les réalisateurs ont su tramer le réalisme presque documentaire aux entrelacs de la fiction. Les situations cocasses savent ne pas blesser. Ils ne transforment pas Daniel en caricature de grand homme condescendant. L’égocentrisme indispensable à l’écrivain ne le dispense pas de mouvements de générosité.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Pascal Mérigeau
C’est toujours drôle, souvent irrésistible, parfois à la frontière du cauchemar éveillé. C’est aussi plus compliqué que ça, et le doute que le film instille fait le prix de "Citoyen d’honneur". Une révélation délectable, avec un art du contre-pied hautement réjouissant. A découvrir sans attendre.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Récompensé à la Mostra de Venise, en septembre dernier, par le prix d’interprétation, le jeu de Daniel Martinez est impeccable, aussi bien dans le rôle du prix Nobel prospère que dans celui de l’écrivain, enlisé dans la réalité, prisonnier de son malaise et de cette nasse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Commencé comme une comédie satirique, un film qui tourne inexorablement au drame, en dévidant avec brio le fil de la bêtise et de la cruauté.
Le Figaro
par Marie-Noëlle Tranchant
Où finit la caricature, où commence la vie ? "Citoyen d'honneur" se tient dans cette ambivalence qui rappelle la grande comédie italienne, féroce et burlesque, grinçante et indulgente. Avec, au sommet, l'excellent Oscar Ramirez, justement récompensé par le prix d'interprétation à la dernière Mostra de Venise.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Les Fiches du Cinéma
par Ghislaine Tabareau
Cette satire efficace se joue astucieusement de la frontière entre la fiction et le réel.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Commencé comme une comédie acide, "Citoyen d’honneur" vire à la fable kafkaïenne de plus en plus sombre, mettant le doigt sur une des plaies les plus vives de nos sociétés contemporaines et appuyant bien fort pour conjurer le mal, transformant le rire en rictus inquiet.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Gilles Renault
Depuis le début des années 90, bras dessus bras dessous, les réalisateurs Mariano Cohn et Gastón Duprat alternent docus et fictions au cinéma comme à la télévision. Jusqu’à présent confidentielle à l’export, leur collaboration bénéficie enfin d’un écho à la hauteur d’une inspiration singulière.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Marianne
par Danièle Heyman
(...) un précipité d'intelligence sarcastique, une réflexion aussi réjouissante que caustique sur la volatilité de la réalité et la réalité de la fiction.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Une réjouissante comédie satirique et sociale.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Le film de Mariano Cohn et Gaston Duprat suit une ligne impitoyable où chaque situation envenime la suivante sans qu’on ne sache jamais comment les choses vont tourner. Car tout se passe de façon rigoureuse et loufoque à la fois, sans effets mais avec une puissance de fable, tenant le miraculeux équilibre d’une comédie noire maîtrisée de bout en bout.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Jacques Morice
Sur fond de différences culturelles, de rancoeur sociale et sentimentale, la réussite de cette satire, cruelle mais tendre, tient au mélange de générosité et de lâcheté du héros.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
VSD
par Olivier Bousquet
Le retour au village d’un Nobel. Mordant.
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Constamment sur le fil, entre drame et comédie, ce long métrage très bien écrit brosse le portrait d’un homme (...) éminemment romanesque.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
"Citoyen d’honneur" est le huitième film de Mariano Cohn et Gastón Duprat qui, longtemps, ont œuvré dans le documentaire. (...) De leur boîte à malice, surgit tout un attirail de personnages et situations pittoresques trempés dans l’humour noir et le grotesque, la cruauté et le désenchantement.
Le Monde
par Thomas Sotinel
Le duo argentin Cohn et Duprat trace un portrait lucide et grinçant de l’artiste en bouc émissaire.
Cahiers du Cinéma
par Nicolas Azalbert
Avec beaucoup de cynisme, le film s’en prend à tout le monde. Au-dessus de la mêlée, les deux réalisateurs sont les seuls à s’en sortir indemnes...
Bande à part
Comme dans L’Homme d’à côté et L’Artiste, le tandem de réalisateurs argentins questionne la création, sa source, sa réalité, ses compromis et ses mensonges. C’est juste, acerbe, et toujours drôle.
Critikat.com
"Citoyen d'honneur" n'est pas une comédie : son humour grinçant est plutôt celui d'un rictus qui révulse ou suscite un sourire gêné, comme l'image des « succulentes » têtes d'agneaux (souriantes, elles aussi) qu'Antonio, l'ancien meilleur ami de l'écrivain, veut lui servir à dîner.
Culturopoing.com
L’entreprise tenait donc de la bravade, de la bravade rieuse, un peu insolente à tout bien réfléchir, parce que proche du stratagème, mais tellement bien executée qu’il faut lui rendre à notre tour les honneurs.
Franceinfo Culture
Une nouvelle pépite argentine signée Mariano Cohn et Gastón Duprat à l’humour implacable et grinçant, sur les illusions de la nostalgie et le travail du temps.
L'Humanité
Les réalisateurs ont su tramer le réalisme presque documentaire aux entrelacs de la fiction. Les situations cocasses savent ne pas blesser. Ils ne transforment pas Daniel en caricature de grand homme condescendant. L’égocentrisme indispensable à l’écrivain ne le dispense pas de mouvements de générosité.
L'Obs
C’est toujours drôle, souvent irrésistible, parfois à la frontière du cauchemar éveillé. C’est aussi plus compliqué que ça, et le doute que le film instille fait le prix de "Citoyen d’honneur". Une révélation délectable, avec un art du contre-pied hautement réjouissant. A découvrir sans attendre.
La Croix
Récompensé à la Mostra de Venise, en septembre dernier, par le prix d’interprétation, le jeu de Daniel Martinez est impeccable, aussi bien dans le rôle du prix Nobel prospère que dans celui de l’écrivain, enlisé dans la réalité, prisonnier de son malaise et de cette nasse.
Le Dauphiné Libéré
Commencé comme une comédie satirique, un film qui tourne inexorablement au drame, en dévidant avec brio le fil de la bêtise et de la cruauté.
Le Figaro
Où finit la caricature, où commence la vie ? "Citoyen d'honneur" se tient dans cette ambivalence qui rappelle la grande comédie italienne, féroce et burlesque, grinçante et indulgente. Avec, au sommet, l'excellent Oscar Ramirez, justement récompensé par le prix d'interprétation à la dernière Mostra de Venise.
Les Fiches du Cinéma
Cette satire efficace se joue astucieusement de la frontière entre la fiction et le réel.
Les Inrockuptibles
Commencé comme une comédie acide, "Citoyen d’honneur" vire à la fable kafkaïenne de plus en plus sombre, mettant le doigt sur une des plaies les plus vives de nos sociétés contemporaines et appuyant bien fort pour conjurer le mal, transformant le rire en rictus inquiet.
Libération
Depuis le début des années 90, bras dessus bras dessous, les réalisateurs Mariano Cohn et Gastón Duprat alternent docus et fictions au cinéma comme à la télévision. Jusqu’à présent confidentielle à l’export, leur collaboration bénéficie enfin d’un écho à la hauteur d’une inspiration singulière.
Marianne
(...) un précipité d'intelligence sarcastique, une réflexion aussi réjouissante que caustique sur la volatilité de la réalité et la réalité de la fiction.
Studio Ciné Live
Une réjouissante comédie satirique et sociale.
Sud Ouest
Le film de Mariano Cohn et Gaston Duprat suit une ligne impitoyable où chaque situation envenime la suivante sans qu’on ne sache jamais comment les choses vont tourner. Car tout se passe de façon rigoureuse et loufoque à la fois, sans effets mais avec une puissance de fable, tenant le miraculeux équilibre d’une comédie noire maîtrisée de bout en bout.
Télérama
Sur fond de différences culturelles, de rancoeur sociale et sentimentale, la réussite de cette satire, cruelle mais tendre, tient au mélange de générosité et de lâcheté du héros.
VSD
Le retour au village d’un Nobel. Mordant.
aVoir-aLire.com
Constamment sur le fil, entre drame et comédie, ce long métrage très bien écrit brosse le portrait d’un homme (...) éminemment romanesque.
La Voix du Nord
"Citoyen d’honneur" est le huitième film de Mariano Cohn et Gastón Duprat qui, longtemps, ont œuvré dans le documentaire. (...) De leur boîte à malice, surgit tout un attirail de personnages et situations pittoresques trempés dans l’humour noir et le grotesque, la cruauté et le désenchantement.
Le Monde
Le duo argentin Cohn et Duprat trace un portrait lucide et grinçant de l’artiste en bouc émissaire.
Cahiers du Cinéma
Avec beaucoup de cynisme, le film s’en prend à tout le monde. Au-dessus de la mêlée, les deux réalisateurs sont les seuls à s’en sortir indemnes...