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Plus luxueuse que Babysitting, cette comédie a été conçue à partir des mêmes ingrédients que son modèle dans des décors de rêves. Gags hénaurmes, jolies filles et Christian Clavier (dans le rôle du vieux de service) devraient faire le job pour les nombreux fans.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Le jeune public appréciera, les plus âgés passeront leur chemin. Seule certitude, en ces temps de fortes tensions, "Babysitting 2" redonne le sourire. Et c’est surement là l’essentiel.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Même high concept, mêmes qualités et défauts. Les scènes avec les témoins sont moins percutantes que celles avec les acteurs de cette aventure rocambolesque, filmée avec une énergie en DV et drôlement dialoguée.
Truffé de clins d'oeil (The Descent, 127 Heures, A la poursuite du diamant vert) et d'images spectaculaires (un saut en parachute en caméra subjective et sans montage, ça décoiffe), le film distille un humour écolo, bienveillant et rafraîchissant.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Ainsi Babysitting 2 nous contraint-il à assister à la rencontre forcément gênante de trentenaires parisiens à l’esprit de colons, porteurs des lumières occidentales de l’homo-festivus, et d’une tribu d’Amazonie outrageusement présentée comme composée d’homosexuels forcément queer, de guerriers sans jugeote, et de matriarches obèses sexuellement mises à disposition des visiteurs.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Cette fois, l’équipe part au Brésil en vacances. Et normal, tout se détraque. A l’instar du scénario et de la réalisation qui laissent voir leurs énormes ficelles.
La bande de Philippe Lacheau a beau être sympathique et pleine de bonne volonté, difficile de voir dans cette suite autre chose qu'une comédie, certes potache, mais manquant cruellement d'originalité, surfant sur des blagues d'une prévisibilité absolue.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
La mise en scène a fait son deuil du gag pour lui substituer des blagues tombant délibérément à plat, avec l'idée qu'en poussant les niveaux sonores au maximum cela devrait passer.
Le problème avec "Babysitting 2", c'est que ce principe, tellement codé, ne pouvait mener qu'à une impasse. (...) Une fois, ça va. Deux fois, ce n'est plus possible. Les gags sont lourds.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Recycler, sans même plus faire le moindre effort d’incarnation – on ne croit pas une seconde à ce groupe de copains ni à leurs chamailleries totalement empruntées. Ce n’est pas pour rien si le personnage de Clavier passe son temps à parler de recyclage. Mais il aurait fallu aussi penser à trier les déchets…
On prend les mêmes... et on se plante ! L'opus 1 était inventif, festif et souvent jubilatoire. C'est dire si l'ont déchante face à cette suite bâclée à l'humour navrant ascendant vulgaire. C'est rageant.
20 Minutes
Plus luxueuse que Babysitting, cette comédie a été conçue à partir des mêmes ingrédients que son modèle dans des décors de rêves. Gags hénaurmes, jolies filles et Christian Clavier (dans le rôle du vieux de service) devraient faire le job pour les nombreux fans.
Paris Match
Le jeune public appréciera, les plus âgés passeront leur chemin. Seule certitude, en ces temps de fortes tensions, "Babysitting 2" redonne le sourire. Et c’est surement là l’essentiel.
Franceinfo Culture
Mélanie Laurent et Cyril Dion font un tour des solutions pour un monde meilleur. Un voyage rafraîchissant et un brin esthétisant.
Le Dauphiné Libéré
Comme on ne change pas une équipe qui gagne, la joyeuse bande du premier épisode remet ça dans un second, aussi, sinon plus, déjanté et délirant.
Première
Même high concept, mêmes qualités et défauts. Les scènes avec les témoins sont moins percutantes que celles avec les acteurs de cette aventure rocambolesque, filmée avec une énergie en DV et drôlement dialoguée.
Télérama
Truffé de clins d'oeil (The Descent, 127 Heures, A la poursuite du diamant vert) et d'images spectaculaires (un saut en parachute en caméra subjective et sans montage, ça décoiffe), le film distille un humour écolo, bienveillant et rafraîchissant.
aVoir-aLire.com
Potache, chevaleresque et tendre, cette suite à Babysitting carbure dans l’humour déjanté et ne tombe jamais en rade.
Critikat.com
Ainsi Babysitting 2 nous contraint-il à assister à la rencontre forcément gênante de trentenaires parisiens à l’esprit de colons, porteurs des lumières occidentales de l’homo-festivus, et d’une tribu d’Amazonie outrageusement présentée comme composée d’homosexuels forcément queer, de guerriers sans jugeote, et de matriarches obèses sexuellement mises à disposition des visiteurs.
Ecran Large
Non content de nous imposer une ouverture et une conclusion franchement indigentes, le film nous ment un peu sur la marchandise.
Le Journal du Dimanche
Cette fois, l’équipe part au Brésil en vacances. Et normal, tout se détraque. A l’instar du scénario et de la réalisation qui laissent voir leurs énormes ficelles.
Studio Ciné Live
(...) il est grand temps que cette saga s'arrête !
TF1 News
La bande de Philippe Lacheau a beau être sympathique et pleine de bonne volonté, difficile de voir dans cette suite autre chose qu'une comédie, certes potache, mais manquant cruellement d'originalité, surfant sur des blagues d'une prévisibilité absolue.
Le Monde
La mise en scène a fait son deuil du gag pour lui substituer des blagues tombant délibérément à plat, avec l'idée qu'en poussant les niveaux sonores au maximum cela devrait passer.
Le Parisien
Le problème avec "Babysitting 2", c'est que ce principe, tellement codé, ne pouvait mener qu'à une impasse. (...) Une fois, ça va. Deux fois, ce n'est plus possible. Les gags sont lourds.
Les Inrockuptibles
Recycler, sans même plus faire le moindre effort d’incarnation – on ne croit pas une seconde à ce groupe de copains ni à leurs chamailleries totalement empruntées. Ce n’est pas pour rien si le personnage de Clavier passe son temps à parler de recyclage. Mais il aurait fallu aussi penser à trier les déchets…
Metro
Bilan ? Rires aux abonnés (quasi) absents et gags faisandés.
Télé 7 Jours
On prend les mêmes... et on se plante ! L'opus 1 était inventif, festif et souvent jubilatoire. C'est dire si l'ont déchante face à cette suite bâclée à l'humour navrant ascendant vulgaire. C'est rageant.