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    Florence Foster Jenkins
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    Ufuk K
    Ufuk K

    518 abonnés 1 473 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 juillet 2016
    "Florence Foster jenkins" est la version américaine de Marguerite qui avait triomphé l'an dernier. C'est Meryl Streep qui reprend le rôle de la cantatrice ce que je peux dire c'est que cette actrice est formidable elle peut jouer tout et n'importe quoi à la perfection. on passe facilement du rire à la larme à l'oeil devant l'histoire authentique de Miss Foster.
    poet75
    poet75

    270 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 juillet 2016
    Comment ne pas comparer ce film avec celui de Xavier Giannoli ("Marguerite") dont le personnage était inspiré par la même chanteuse à la voix catastrophique? Or la comparaison, il faut le dire, se fait au détriment de ce nouveau film. Meryl Streep et Hugh Grant (surtout ce dernier d'ailleurs) jouent leur rôle à la merveille. Mais le film de Giannoli faisait intervenir toute une comédie humaine, tout un éventail de personnages, parmi lesquels un majordome plein d'ambiguïté, qui le rendait passionnant. Ici, dans ce film de Stephen Frears, rien de tel, rien d'aussi subtil. On risque même de s'ennuyer un peu car l'effet de surprise n'est plus de mise. 6/10
    Wylan
    Wylan

    20 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 22 juillet 2016
    Une comédie qui tourne peu à peu vers le drame, ce film est magnifiquement bien porté par Meryl Streep qui montre qu'elle est belle et bien la meilleure actrice de sa génération elle sait tout faire même chanter faux. Hugh Grant n'a jamais été aussi convainquant en marie dévoué de cette richissime "chanteuse", tellement son jeu est juste. Simon Helberg de The Big Bang Theory montre qu'il n'y a pas que Jim Parson "Sheldon" qui a du talent mais ce rôle de pianiste timide et drôle lui va tellement bien. Entre "Marguerite" et cette nouvelle adaptation cette première l'emporte haut la main.
    Hey Jude
    Hey Jude

    24 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    Même si la chanteuse lyrique sur le déclin, Florence, donne son titre au film, ce sont finalement les autres personnages qui crèvent l'écran: un pianiste aux mimiques inoubliables qui n'est pas sans rappeler Fernandel, et surtout Hugh Grant, plus charmant et élégant que jamais. En créant pour sa femme un monde où sa gloire passée perdure, il s'enfonce dans une farce de plus en plus dérangeante. Le film baigne dans une atmosphère d'une incroyable hypocrisie. La question de la morale dérange (et c'est le point fort du film) : faut il suivre le gentleman joué par Grant ou le condamner?
    Le New York des années 40, ainsi que la musique, sont assez envoutants. (et Meryl Streep a du s'éclater à chanter comme une casserole)
    svog
    svog

    1 abonné 4 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 juillet 2016
    Meryl Streep est bien sûr magnifique d'humanité dans son personnage fantasque et fragile. Mais les seconds rôles tenus par Simon Herlberg (le pianiste) et Nina Nirianda (la fille des « faubourgs sans aucune éducation » selon les codes de la haute ^^) font l'intérêt de ce film , à mon avis, plus que réussi.
    Simon Helberg est, in finé, le 1er rôle de ce film. Il est épatant.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 juillet 2016
    Très bon film avec un jeu d'acteurs magnifique (pourtant, je n'aime pas Hugh Grant). Ce film n'a rien à voir avec la caricature donnée par "Marguerite" de Xavier Giannoli. Bravo à Stefen Frears de nous permettre de comprendre la relation entre Foster et son mari, l'influence qu'a pu avoir Foster Jenkins, et la place du pianiste. Un peu d'humour, beaucoup d'humanité et beaucoup de profondeur.
    Peter Franckson
    Peter Franckson

    52 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 15 juin 2016
    Le titre fait référence à une chanteuse lyrique américaine (1868-1944) qui pensait avoir du talent alors qu’elle chantait faux et n’hésitait pas à s’attaquer à des monuments de l’opéra tels que « L’air des clochettes » (« Où va la jeune indoue, Filles des parias » dans l’acte II de « Lakmé » (1883) de Léo Delibes ou l’air fameux (2 octaves !) de la reine de la nuit (« Une vengeance infernale brûle dans mon cœur ») dans l’acte II de « La flute enchantée » (1791) de Wolfgang Amadeus Mozart. Elle fonda le Verdi Club où elle chantait devant un parterre féminin choisi et recevait le chef d’orchestre italien Arturo Toscanini (1867-1957). Son rêve absolu était de chanter au « Carnegie Hall » (dont l’auditorium principal peut accueillir 2 804 spectateurs) : il se réalisa le 25 octobre 1944, un mois avant sa mort. Sa vie a aussi inspiré Xavier Giannoli pour « Marguerite » (2015) avec Catherine Frot. Plus qu’une biographie objective qui aurait eu peu d’intérêt car le personnage est ridicule, Stephen Frears réalise, non seulement, une comédie, drôle, enlevée, brillante, à la façon de Woody Allen dans une mise en scène fluide et une superbe reconstitution de New-York à la fin de la seconde guerre mondiale mais aussi un mélodrame, grâce à la magnifique interprétation de Meryl Streep qui la rend attachante et très émouvante : c’est son amour de la musique et du chant qui lui ont permis de résister à une longue maladie invalidante. Sans oublier son mari anglais protecteur (joué par Hugh Grant), St Clair Bayfield. Elle était d’ailleurs consciente des critiques à son égard : « Les gens pourront toujours dire que je ne sais pas chanter mais personne ne pourra jamais dire que je n’ai pas chanté »..
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    632 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 juillet 2016
    Cette histoire vraie a déjà inspiré le film français "Marguerite" avec Catherine Frot en tête d'affiche. Biopic extravagante sur la pire chanteuse qui ait existé, "Florence Foster Jenkins" est la première collaboration entre Stephen Frears et Meryl Streep, qui se veut très efficace ! Outre l'incroyable talent de Meryl Streep, à la fois très touchante car très sincère dans ce rôle qui est convaincu de chanter juste et extrêmement drôle dès qu'elle se met à pousser la voix, le scénario est très bien ficelé et ne laisse aucune question en suspens. Ce personnage mondain croit en ses rêves et a la naïveté d'un enfant, considérant chaque jour comme le dernier à cause de sa maladie qu'elle porte depuis ses vingt ans. Quand elle chante, elle le fait avec passion, détermination et envie et qui d'autre que Meryl Streep peut interpréter cette personnalité si singulière avec autant d'honnêteté. A ses côtés, Hugh Grant, malgré son coup de vieux, assure tandis que le second rôle du pianiste, tenu par Simon Helberg (de la série "Big Bang Theory" pour ceux qui connaissent), est génialement interprété. Vous l'avez compris, le casting porte le film, et ce, malgré une mise en scène kitsch et plutôt dépassée qui a tendance à ralentir le rythme du film. Certes, l'histoire se passe dans les années 40, pendant la seconde guerre mondiale, mais ce n'est pas une raison pour utiliser des transitions ultra vieillottes datant des films en noir et blanc ? Non ? De plus, la musique très classique d'Alexandre Desplat est totalement fondue dans le film, ombragée par le talent de Meryl Streep. Heureusement, dès le premier cours de chant, on comprend toute la force et tout l’intérêt du film ! Quelle actrice ! Elle qui chante si bien dans "Mamma mia !" et dans "Into the woods" et qui se retrouve ici à faire des fausses notes. Chaque film qu'elle fait est une véritable leçon de jeu d'acteur ! Et quelle histoire touchante et étonnante à la fois que celle de Florence Foster Jenkins.
    Chris58640
    Chris58640

    210 abonnés 757 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2016
    Stephen Frears, qui n’est pas le premier venu, connait son métier. Voilà un film tenu de bout en bout, sans une seule scène superflue, sans un seul dialogue tirant en longueur, qui tient la route du début à la fin sans jamais nous faire décrocher. C’est réalisé avec beaucoup de maîtrise et de professionnalisme (même si on peut trouver que ça manque peut-être un peu parfois de folie ou d’audace) et la musique, omniprésente, est utilisée avec intelligence. Il n’y a pas que du classique et de l’opéra mais aussi du jazz, mais jamais en présence de Florence Foster Jenkins. Comme si, symboliquement, toute amoureuse de la musique qu’elle est, elle reste dans le domaine exclusif du classique et ne semble pas concernée par l’émergence d’une musique nouvelle qui va prendre presque toute la place. D’une certaine manière, cette femme semble figée dans un monde qui va devoir perdre son monopole, un monde du passé, pour tout dire. Meryl Streep, dont personne ne peut douter du talent, compose une Florence Foster Jenkins à la fois drôle et tragique, affaiblie par une maladie qu’elle cache (et qui finira par l’emporter), amoureuse et passionnée, terriblement attendrissante et attachante. Elle chante tellement faux que cela sonne… faux parfois. On se demande dans quelle mesure le scénario n’a pas exagéré un tantinet tant tout cela est dissonant et désagréable à l’oreille ! Maisn du coup, l’effet comique est assuré. Le choix de Hugh Grant pour incarner son mari (ils vivent séparément et forment un couple amoureux mais platonique) m’a semblé déconcertant au premier abord, je l’imaginais… comment dire… trop jeune pour incarner le mari de Meryl Streep ! Mais c’est surtout parce que je garde à l’esprit le Hugh Grant « jeune premier » des années 90, dont il arrive malgré tout à se détacher peu à peu. Il compose un Bayfield sincère malgré les apparences (St Clair est aussi mauvais acteur que sa femme est mauvaise chanteuse, et il profite pleinement de sa fortune) et plus le film avance, plus on sent l’attachement fort qui lie ces deux artistes contrariés. Le second rôle le plus aboutit échoue à Simon Helberg, qui incarne un pianiste pétrifié par la voix de sa chanteuse, très réticent à l’idée de flinguer sa carrière en se montrant à ses côtés (on le comprend) mais qui va, lui aussi, succomber au charme de Madame Florence et de sa sincérité. C’est bien de sincérité qu’il s’agit ici, et le scénario ne le perd jamais de vue : Madame Florence parle et surtout chante avec son cœur, avec tout son cœur et c’est cela qui emporte l’adhésion au final. Le film, qui tire davantage vers la comédie que vers le drame (au point de flirter parfois avec le surjeu et le Boulevard), ne perd pas l’occasion de montrer dans quel bain de cynisme et d’hypocrisie ce petit monde new-yorkais évolue. St Clair sélectionne l’audience, interdit l’entrée aux vrais mélomanes et aux critiques incorruptibles (qui semblent bien peu nombreux !), soudoie prof de chants et directeurs de salle, protège tant qu’il le peu sa Florence (qui est aussi, il faut bien le dire, sa poule aux œufs d’or !). Mais un jour les choses lui échappent, la Carnegie Hall se profile et d’un coup, il ne maîtrise plus rien : Le vrai public, qui voit en Florence Foster Jenkins une occasion de rire (on est en 1944, on n’a pas beaucoup l’occasion de rire à l’époque !) prend au second degré un spectacle qu’elle donne avec tout son cœur. On croit que cela va passer en force, on fait semblant d’y croire mais c’est fugace et la vérité, cruelle, refait toujours surface quoi qu’on fasse. La toute fin du film, tragique, évite le piège du pathos en restant digne et juste émouvante. Du coté des petits défauts, on pourra reprocher parfois au film de Stephen Frears une certaine facilité, un petit manque de finesse (dans l’humour notamment), quelques scènes un peu surjouées et outrancières. Le film aurait pu faire la part plus belle à l’émotion et moins à la comédie, il aurait gagné en équilibre et en finesse. Mais cela ne gâche pas la bonne impression générale d’un long métrage qui tient ses promesses et nous emporte pendant presque 2h, sans faiblir, dans le sillage d’une femme qui aimait la musique d’un amour non réciproque…
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 20 juillet 2016
    Une comédie douce-amère, inspirée d'une histoire vraie. Une femme très riche, passionnée de bel canto, donnait de la voix - et accessoirement des concerts -, soutenue en ça par son mari, à ce détail près qu'elle chantait particulièrement faux !
    Compte tenu de sa fortune et des influences qu'elle avait, personne n'osait lui faire part de ce léger défaut.
    Ce film raconte les derniers mois de la vie de cette cantatrice d'un genre un peu particulier, qui démontrait qu'en fait l'amour de l'art peut être plus admirable que son exercice pointilleux.
    Meryl Streep y est, évidemment, merveilleuse. Mais y a-t-il seulement un rôle dans lequel Meryl Streep ne le soit pas ?
    Quant à Hugh Grant, je dois dire qu'il m'a surpris. Lui qui est habitué à des rôles quelque peu mièvres, il montre dans le rôle de ce mari attentionné et dévoué une nouvelle facette de son talent.
    Une mention particulière pour, qui interprète le rôle du pianiste personnel de l'héroïne et dont les étonnements et les crises de rire ne laissent pas le spectateur indifférent. M'étonnerait pas que cet acteur connaisse une brillante carrière cinématographique.
    En résumé, un bon divertissement, avec des scènes de rire franc, d'autres plus larmoyantes, mais un rythme soutenu et une histoire à laquelle on se prend volontiers.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 16 juillet 2016
    Excellent bio pic de cette fameuse Florence Foster Jenkins; le réalisateur a le soin de traiter cette chanteuse épouvantable avec une grande tendresse, le reste du cast est parfait spécialement le petit pianiste Cosme Mac Moon qui tire son épingle du jeu brillamment, tout comme Hugh Grant.
    Un conseil: écoutez sur YouTube quelques vidéos de Florence Foster Jenkins avant d'aller voir le film... ça vous mettra dans l'ambiance!!
    Stéphane J.
    Stéphane J.

    21 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 juillet 2016
    Quel plus beau trio pouvait-on réunir pour ce film à la mémoire de cette chanteuse si touchante ? Meryl Streep et Hugh Grant sont au sommet de leur art ; quant à Simon Helberg (qui a des petits airs de Stéphane Bern), il est formidable de justesse dans la peau de ce prof de piano timoré mais tellement talentueux et humain. On se régale à chaque seconde, à chaque plan ! On passe du rire aux larmes, mais sans pathos ni condescendance. Cette femme, qui me rappelle beaucoup Bianca Castafiore dans Tintin, avait cette candeur et cette générosité, que l'actrice sait retranscrire à travers son jeu d'exception. Un excellent Stephen Frears dont on ressort un peu changé.
    Cinéphilion
    Cinéphilion

    57 abonnés 201 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 14 juillet 2016
    Voilà tout bonnement la version anglophone de « Marguerite » avec Catherine Frot ! Certains craignent le cinéma français mais il donne de belles idées à nos producteurs étrangers… Issue de l’histoire vraie de cette Castafiore qui chantait faux, le film est par conséquent une jolie comédie naïve et dramatique. Les instants d’amusements sont excellemment dosés et restent candidement sain. Nous rions beaucoup, entre autre de situations cocasses mais dans l’évolution du film, la moquerie vis-à-vis de la voix de Florence Foster Jenkins en devient presque désolante. Le personnage interprété par Meryl Streep englobe un tel registre que notre empathie succombe sans exagération de pitié et nous accroche à son histoire et son goût de la vie malgré une situation triste jusqu’à en être injuste. Une sorte de magie plane face à tant d’illusions musicales, un tout finalement basé sur le mensonge quand on saisi toute la protection mise en scène par ses proches afin de la préserver. Le casting est une belle recette mais le biopic est honnêtement moyen. Le temps d’adaptation du départ se fait rapidement désirer car notre compréhension à saisir le contexte persiste sur la longueur. La révélation de l’acteur Simon Helberg, star de « The Big Bang Theory » est sensiblement splendide. Aussi, un grand passage du film priorise l’imposition des personnages autour de la vie de Florence à défaut de sa présence. Le pianiste, le mari et sa maîtresse dominent alors l’espace jusqu’à en devenir des personnages principaux laissant ensuite un libre jugement de départ quant à ceux néfastes pour notre Castafiore qui revient très vite sur scène nous offrant un régal continu jusqu’au final !

    Bilan : Quelques fausses notes mais une juste chronique plaisante et américanisement sympathique.
    TchoSensei97
    TchoSensei97

    41 abonnés 167 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 juillet 2016
    Le ton burlesque et caricaturale de ce film est surprenant et très plaisant. Les acteurs sont tous au top, car ils incarnent avec une excentricité mesurée, et un ton satirique, tous ces personnages très caractériels, dont les mimiques et la gestuelle nous font énormément sourire. Hugh Grant est parfait en gentleman coincé et maniéré, qui tient à se donner des airs distingués. La société bourgeoise du New-York des années 40 est donc le principal sujet de moquerie du film, et c'est très efficace. le côté rétro visible dans ce cadre new-yorkais, et également dans la réalisation, apporte également beaucoup de charme. Mais l'intrigue n'est pas la plus grande force du film, car elle est divertissante, mais pas bouleversante. Vu le ton principalement comique employé, l'émotion qui cherche à s'installer dans certaines scènes a vraiment beaucoup de mal à atteindre le spectateur. Mais le film reste enjoué et décalé, à l'image de la scène où de jeunes soldats bourrés font régner une ambiance de match de foot dans une salle d'opéra.
    domit64
    domit64

    50 abonnés 257 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 août 2016
    C'est d'abord et avant tout une très jolie histoire d'amour entre cette femme excentrique mais tellement attachante et son second mari.
    Meryl Streep incarne avec justesse, comme à son accoutumée, cette femme blessée et éprise de musique et de chant. Sa naïveté ou refus de voir son manque de talent est touchant, émouvant et amusant. Le jeu de Hugh Grant en époux dévoué et amoureux est tout aussi subtil.
    Le pianiste recruté est lui aussi plein de finesse et d'humour.
    On passe un très bon moment entre rires et émotion.
    A voir pour le plaisir.
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