Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Marianne
par Danièle Heymann
Superbement dialogué, le film est lucide et désenchanté, et ne cesse pas un instant de nous emporter entre vérités variables et faux-semblants, dans la douceur brumeuse des illusions perdues.
Transfuge
par Maud Antigna
Non seulement le réalisateur défend chaque personnage, mais il compose chaque image avec soin.
Chronic'art.com
par Yal Sadat
Ici, l’affaire Tarnac croise plusieurs autres chapitres sulfureux de l’histoire politique française. Mais Le Grand Jeu ne se contente pas d’éplucher les dossiers, et préfère remonter un fil littéraire louvoyant entre Borges, Debord et Antoine Bello
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Culturopoing.com
par Xanaé Bov
"Le grand Jeu" a la force d’un discours multiple : il nous captive par son suspense quasi hitchcockien et par sa dimension existentielle et universelle : que fait-on des ses ambitions et de ses idéaux artistiques et politiques ?
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Ce film sans effets, fonde sur le plan large et parfois long, ne vise pas l'effet coup de poing, ni le suspense, mais décrit avec subtilité des situations figées ou des manœuvres sinueuses, soulignées par un dialogue fourni.
L'Obs
par La Rédaction
Un film captivant et troublant, qui témoigne de l’ambition d’un cinéaste dont on attend la suite.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Un film sur la manipulation, à l’ambiance constamment tendue, mais où le mystère a parfois du mal à s’installer.
Le Monde
par Mathieu Macheret
A la vision du Grand Jeu, premier long-métrage de l’ex-journaliste Nicolas Pariser, on se demande pourquoi le cinéma français, qui ressasse tant les mêmes sujets, ne va pas plus souvent puiser ceux-ci dans les affres du monde politique, cette intarissable réserve d’histoires collectives et de passions individuelles.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
A travers cet entrelacs d'engagements de sentiments, d'élans et d'échecs, Pariser dépeint le tableau doux-amour d'une génération véléitaire, la sienne, qui se reproche de n'avoir pas su imprimer sa marque profonde dans l'histoire
Libération
par Clémentine Gallot
En se plaçant sous l’égide de ces glorieux modèles américains, Pariser redéploie à échelle française les cartes d’un habile jeu de dupes.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Vincent Thabourey
Ce pari d'un thriller vintage à la fois moderne et classique ne manquait ni d'audace ni de panache. Le voici relevé avec élégance.
Première
par Eric Vernay
Librement inspiré de l’affaire de Tarnac, ce "grand jeu" conspiratoire mené par un Dussollier inquiétant s’avère aussi excitant qu’indéchiffrable. Mi-polar, mi-mélo, ce film sur l’engagement avance masqué derrière un subtil paravent de paradoxes, de bons mots et de passions à contre-temps. Brillant.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Florence Roman
(...) le film est une réflexion passionnante sur la manipulation des masses et sur l'engagement politique.
Studio Ciné Live
par Laurent Djian
Un coup d'essai fort et prometteur.
Sud Ouest
par Sophie Avon
L'habileté du récit consiste à montrer l'époque dans ses manques les plus désespérants tout en observant les coulisses d'un système à bout de souffle. Il ne donne pas de leçons non plus, et parvient à occuper tous les terrains : romanesque, sentimental et cérébral.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télé 7 Jours
par Philippe Ross
Nicolas Pariser livre un premier film très réussi. Sur le thème de la machination et de la manipulation, il construit un jeu de dupes fascinant. Soit un thriller captivant, servi à la perfection par Melvil Poupaud et André Dussollier.
Télérama
par Aurélien Ferenczi
Chaque situation a ses enjeux cachés, que suggère une mise en scène ample et lyrique. Mais aussi une écriture d'une grande précision : on n'avait pas entendu depuis longtemps des dialogues aussi fouillés et littéraires (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Si à lui seul, "Le Grand Jeu" ne vient pas combler le vide politique du cinéma français (ce qui serait beaucoup lui demander), il a au moins le mérite d’interroger le politique comme un grand espace rempli de creux pervers et d’étranges résonances.
Critikat.com
par Raphaëlle Pireyre
On ne peut s’empêcher de trouver dommage que le personnage de Clémence Poésy, jeune activiste idéaliste ne polarise totalement le récit vers des enjeux de séduction, trahison, sauvetage qui éloignent le film de son ambition de constituer une réflexion sur la chose publique.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
La Croix
par Jean-Claude Raspiengeas
Thriller politico-rocambolesque, ce premier film de Nicolas Pariser, malgré des qualités évidentes, souffre de quelques faiblesses et manque de nerf.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
"Le Grand Jeu", qui fait irrésistiblement songer à l'affaire de Tarnac, est un pur polar politique dont le moteur démarre vraiment à mi-chemin après avoir un peu trop appuyé sur la touche mystère.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Roland Hélié
Thriller politique remarquablement mené, “Le Grand jeu”, premier long mérage de Nicolas Pariser, surprend par sa précision et son efficacité narrative.
VSD
par Olivier Bousquet
L’ambition est là, palpable. La réussite, moins.
Voici
par La rédaction
Sobre, opaque et élégant, ce premier film au casting impeccable est plus un récit d'espionnage sur fond de manipulation qu'un thriller à la façon des "Hommes du Président" ou même de "House of Cards".
Franceinfo Culture
par Pierre-Yves Grenu
Malgré les efforts d'André Dussolier, excellent en grand manipulateur de l'ombre, le film ne décolle pas, faute de crédibilité.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
aVoir-aLire.com
par Marc Quaglieri
Un thriller socio-politique mou qui s’égare dans ses propos abscons.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Marianne
Superbement dialogué, le film est lucide et désenchanté, et ne cesse pas un instant de nous emporter entre vérités variables et faux-semblants, dans la douceur brumeuse des illusions perdues.
Transfuge
Non seulement le réalisateur défend chaque personnage, mais il compose chaque image avec soin.
Chronic'art.com
Ici, l’affaire Tarnac croise plusieurs autres chapitres sulfureux de l’histoire politique française. Mais Le Grand Jeu ne se contente pas d’éplucher les dossiers, et préfère remonter un fil littéraire louvoyant entre Borges, Debord et Antoine Bello
Culturopoing.com
"Le grand Jeu" a la force d’un discours multiple : il nous captive par son suspense quasi hitchcockien et par sa dimension existentielle et universelle : que fait-on des ses ambitions et de ses idéaux artistiques et politiques ?
L'Humanité
Ce film sans effets, fonde sur le plan large et parfois long, ne vise pas l'effet coup de poing, ni le suspense, mais décrit avec subtilité des situations figées ou des manœuvres sinueuses, soulignées par un dialogue fourni.
L'Obs
Un film captivant et troublant, qui témoigne de l’ambition d’un cinéaste dont on attend la suite.
Le Dauphiné Libéré
Un film sur la manipulation, à l’ambiance constamment tendue, mais où le mystère a parfois du mal à s’installer.
Le Monde
A la vision du Grand Jeu, premier long-métrage de l’ex-journaliste Nicolas Pariser, on se demande pourquoi le cinéma français, qui ressasse tant les mêmes sujets, ne va pas plus souvent puiser ceux-ci dans les affres du monde politique, cette intarissable réserve d’histoires collectives et de passions individuelles.
Les Inrockuptibles
A travers cet entrelacs d'engagements de sentiments, d'élans et d'échecs, Pariser dépeint le tableau doux-amour d'une génération véléitaire, la sienne, qui se reproche de n'avoir pas su imprimer sa marque profonde dans l'histoire
Libération
En se plaçant sous l’égide de ces glorieux modèles américains, Pariser redéploie à échelle française les cartes d’un habile jeu de dupes.
Positif
Ce pari d'un thriller vintage à la fois moderne et classique ne manquait ni d'audace ni de panache. Le voici relevé avec élégance.
Première
Librement inspiré de l’affaire de Tarnac, ce "grand jeu" conspiratoire mené par un Dussollier inquiétant s’avère aussi excitant qu’indéchiffrable. Mi-polar, mi-mélo, ce film sur l’engagement avance masqué derrière un subtil paravent de paradoxes, de bons mots et de passions à contre-temps. Brillant.
Public
(...) le film est une réflexion passionnante sur la manipulation des masses et sur l'engagement politique.
Studio Ciné Live
Un coup d'essai fort et prometteur.
Sud Ouest
L'habileté du récit consiste à montrer l'époque dans ses manques les plus désespérants tout en observant les coulisses d'un système à bout de souffle. Il ne donne pas de leçons non plus, et parvient à occuper tous les terrains : romanesque, sentimental et cérébral.
Télé 7 Jours
Nicolas Pariser livre un premier film très réussi. Sur le thème de la machination et de la manipulation, il construit un jeu de dupes fascinant. Soit un thriller captivant, servi à la perfection par Melvil Poupaud et André Dussollier.
Télérama
Chaque situation a ses enjeux cachés, que suggère une mise en scène ample et lyrique. Mais aussi une écriture d'une grande précision : on n'avait pas entendu depuis longtemps des dialogues aussi fouillés et littéraires (...).
Cahiers du Cinéma
Si à lui seul, "Le Grand Jeu" ne vient pas combler le vide politique du cinéma français (ce qui serait beaucoup lui demander), il a au moins le mérite d’interroger le politique comme un grand espace rempli de creux pervers et d’étranges résonances.
Critikat.com
On ne peut s’empêcher de trouver dommage que le personnage de Clémence Poésy, jeune activiste idéaliste ne polarise totalement le récit vers des enjeux de séduction, trahison, sauvetage qui éloignent le film de son ambition de constituer une réflexion sur la chose publique.
La Croix
Thriller politico-rocambolesque, ce premier film de Nicolas Pariser, malgré des qualités évidentes, souffre de quelques faiblesses et manque de nerf.
Le Parisien
"Le Grand Jeu", qui fait irrésistiblement songer à l'affaire de Tarnac, est un pur polar politique dont le moteur démarre vraiment à mi-chemin après avoir un peu trop appuyé sur la touche mystère.
Les Fiches du Cinéma
Thriller politique remarquablement mené, “Le Grand jeu”, premier long mérage de Nicolas Pariser, surprend par sa précision et son efficacité narrative.
VSD
L’ambition est là, palpable. La réussite, moins.
Voici
Sobre, opaque et élégant, ce premier film au casting impeccable est plus un récit d'espionnage sur fond de manipulation qu'un thriller à la façon des "Hommes du Président" ou même de "House of Cards".
Franceinfo Culture
Malgré les efforts d'André Dussolier, excellent en grand manipulateur de l'ombre, le film ne décolle pas, faute de crédibilité.
aVoir-aLire.com
Un thriller socio-politique mou qui s’égare dans ses propos abscons.