Le deuxième opus a été une purge pour moi, mais celui-ci remonte légèrement la donne. Mais cela reste décevant, la saga était bien parti avec ce premier film puis ils nous amené dans une étrange histoire sans trop de logique, je n'ai pas été absorbé malgré les scènes d'actions nombreuses....
Le Labyrinthe: Le remède mortel suit la route tracée par le moyen deuxième épisode. Si l'aura du premier Labyrinthe a bien disparu, tout comme son concept, cette conclusion reste un bon divertissement mais dénué d'innovations. Comme tout teenage movie, à la fin les héros prennent les armes et se retournent contre les oppresseurs. Après un premier épisode novateur, on aurait aimé que l'auteur apporte plus d'imagination à sa fin. Toutefois, ce film peut se voir sans connaître les origines tant on est face à un blockbuster de grande qualité aux images impressionnants notamment dans cette guerre civile finale et ses explosions de building. On apprécie également que la conclusion ne se fasse qu'en un seul film et que l'audace de se séparer de quelques forts personnages soit prise.
C'est le meilleur des 3 beaucoup plus d'actions et en même temps des scènes touchantesspoiler: Nwet n'aurais pas dû mourrir quand même ils avaient largement le temps de le sauver !!!!!!
Après avoir réussi à s'échapper du Labyrinthe, à avoir survécu à la Terre Brûlée, Thomas, Teresa, Mihno et les autres sont de retour pour une dernière aventure explosive… L'objectif ? S'infiltrer dans WICKED pour tuer Ava Paige, chef de l'organisation… Après le correct deuxième volet dont il manquait néanmoins le punch du premier, Wes Ball retrouve de sa superbe en terme de réalisation et nous offre 2h20 de courses-poursuites, d'explosions, de cascades, de révélations et de sentiments, le tout extrêmement bien équilibré et avec un casting en feu. Certes, ces 2h20 sont comme les deux précédents films, c'est-à-dire parfaitement calibrées, mais elles sont d'une redoutable efficacité : on retiendra notamment 15 minutes de guérilla urbaine avec voitures qui volent, bastons à gogos, bâtiments détruits à coups de lance-roquette ainsi que quelques moments renversants... La part sentimentale du film est enfin très travaillée, à travers la relation complexe entre Thomas et Teresa, dont l'alchimie est très bien rendue à l'écran grâce à la prestation de leurs interprètes et aux enjeux de l'intrigue. En définitive, une conclusion efficace pour une saga qui l'aura été tout autant.
Grâce à la magie du montage, pour vous la lecture se poursuit, mais pour moi c’est un troisième jour & la fin d’une trilogie. Alors, quid de ce film où les héros se rassemblent de nouveau (”on a commencé ensemble, on finira ensemble”) & qui fait une place au cri Wilhelm en l’an 2018 ?
Je lis que les films de Ball sont des charcutages de l’œuvre d’origine, de sorte qu’on aurait dû revoir le Labyrinthe dans Le Remède mortel. En fait de ça, on s’en éloigne plus encore, biffant de plus belle l’ambiance qui rendait le premier film unique. Pourtant Le Remède mortel se place un peu en standalone lui-même, quoique dans la continuité d’un deuxième opus qui fleurait déjà fort la continuation commerciale.
À se demander comment cette nouvelle suite peut friser les deux heures & demi, surtout quand c’est pour constater qu’une bonne moitié est remplie de la révolution qui fait rage. C’est une looooooooooooooooooooooooooongue scène finale. Tout le film est une scène finale, et ce n’est pas un esprit de togetherness & une photo qui prend à peine le temps de se gorger de paysages qui vont y changer quoi que ce soit. Au pire, le sport que les acteurs pratiquent, qui conduira à une blessure d’O’Brien & à un délai dans la sortie du film, est l’aspect un peu plus solide qui donne des formes à la guérilla.
Il y a un point fort à la série Le Labyrinthe que ce troisième film confirme en revanche, & qui me marquera : à ma grande surprise, l’absence de manichéisme que je notais dans les deux premiers films se poursuit ici. Trois films de suite sans les gros clichés sur les bons & les méchants, c’est assez remarquable, d’autant que les circonstances ne manquaient pour pour faire trébucher l’intention. Il y a bien deux camps mais les deux côtés sont bons, sans compromis ni tricherie. Ils sont juste formés de décisions, d’erreurs, de vocations, de regrets, d’orgueil : bref, d’humains. Il y a bien Janson, sous-fifre militaire, qui finit par péter un boulon ou deux, mais on peut mettre ça sur le compte du virus.
Le virus : il est encore au goût du jour, mais il faudra oublier la trinité gagnante qu’il formait avec l’Apocalypse & le Labyrinthe : tout est extrapolation des désirs spectatoriaux, sans substance derrière. Les qualités qu’on peut trouver bénéficient largement de ce que j’appellerais le ”syndrome des couches” propre aux plurilogies : on critique un film sur l’autre & ce sont les avantages de l’un sur le précédent qui priment, pourtant Le Remède mortel n’a rien d’une conclusion éclatante, & il est, plus que les précédents films, une débauche de spectaculaire sans rêve, où les balles choisissent leurs cibles & où aucune symbiose ne se produit entre les différents évènements de l’intrigue.
Monodimensionnel sous un maquillage épais (qui peut séduire pendant le temps qu’il dure), le film perd ses atouts & les étincelles que La Terre brûlée faisait miroiter ne prennent pas racine. Le casting s’endort (même Rosa Salazar, j’y croyais pourtant) & il ne nous reste plus qu’à constater que c’est un film qui remue beaucoup d’air pour pas grand chose, où la solution poppe sous le nez de tout le monde comme pour abréger les souffrances qu’un quatrième opus auraient assénées de manière fatale. À ne pas espérer.
ce 3 ieme opus qui est le dernier est grandement a la hauteur des 2 premier. remplie de suspense et d'intrigue 2h20 de plaisire a écouté ,pour seux qui critique en mal cette saga je ne lai comprend pas vraiment mais moi jai addoré chaque passage de cette saga une pure oeuvre
Une série B qui fait trop appel au vocabulaire du genre. Les gentils, les méchants, les séquences émotions barbantes, les héros sauvés in extremis par des artifices scénaristique de bas étages (d'où le "série B"), des effets spéciaux et des scènes d'actions à la pelle pour masquer que le film n'a rien à offrir, C'est divertissant mais il y a trop d'abus.
Génial !!! Plein de suspense avec des moments dont on ne se prépare pas notamment la mort de newt et celle de Térésa franchement fantastique les trois films étaient géniaux
Épisode final d'une trilogie qui confirme malheureusement la piètre qualité du second opus. L'intrigue est prévisible, inutilement longue. Les personnages fadasses, embourbés dans des sous-intrigues de cœur et d'amitié n'ont rien d'intéressants. Idem pour les "méchants", caricaturaux. Niveau anticipation, la production ne prend pas de risques et on est plus du côté d'une série 90s que de "Blade Runner". Ne parlons même pas de la mollesse de l'action, ou des invraisemblances. Il était temps de finir ce "Labyrinthe" décidément bien décevant.
Tellement éloigné du livre, ce film n'a pas plus d'intérêt que le deuxième, spoiler: ils sont obligés de faire revivre des personnages tellement les autres sont mal exploités
Cet ultime opus, qui renoue d'une certaine manière avec l'esprit du premier, est mené tambours battants et bénéficie de scènes d'action spectaculaires. Le travail sur les personnages est à souligner.
Un épilogue qui plaira sans aucun doute à tous les fans de la saga. Effets spéciaux, décors, évolution des personnages... Tout reste au top et fidèle à la franchise. Ceux qui n'ont pas accroché aux 2 premiers volets trouveront cet opus longuet et un poil fainéant niveau nouveautés et scénario.
Ce film a des longueurs pénibles. Bourré d'effets visuels et doté d'un rythme assez percutant, on peut quand même prendre plaisir à suivre cette histoire aux enjeux classiques mais forts. Les personnages sont intéressants, l' ensemble tient la route difficilement. Le reste est anecdotique. vraiment trop long!