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Votre avis sur Infiltrator ?
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Un film qui sort de l'ordinaire et qui est très bien.
Un film qui contient énormément de dialogue et de scène a suspens et cela donne très envie de voir la fin de cette histoire.
Un film qui contient énormément de dialogue et de scène a suspens et cela donne très envie de voir la fin de cette histoire.
Freakin Geek
Ceux qui iraient voir Infiltrator en souvenir de la série Breaking Bad devraient trouver leur compte avec le film de Brad Furman. Même si l’histoire est moins finement écrite, Bryan Cranston livre ici une prestation tout aussi excellente que dans la série culte. Il s’impose vraiment comme un acteur incontournable a qui on aura mis trop de temps à faire confiance. Les autres comédiens du film auront bien du mal à faire le poids face à ce mastodonte. L’intrigue trop elliptique et le trop grand nombre de personnages font malheureusement qu’on ne ressortira pas aussi emballé que prévu par le long métrage de Brad Furman. [Lire la critique complète sur le site]
Il s'agît de l'infiltration de trois policiers dans le milieu des narco-trafiquants Colombiens, dont Bryan Cranston, jouant le rôle d'un chef d'entreprise chargé de blanchir l'argent d'un cartel. Le film est bien construit, mais il est un peu trop rapide, il aurait mérité de durer 30 minutes de plus : Sans vouloir dévoiler le déroulement du film, sa cooptation auprès de la tête du réseau est trop rapide.
Ce n'est pas le 1er film traitant de l'infiltration, mais celui-ci est un retour de ce qui se faisait dans les années 80 : tout d'abord le grain du film fait penser à des images de cette époque. Ensuite, les rapports entre les personnages gardent une certaine pudeur, à l'heure où les films actuels aiment habituellement démontrer ce milieu, par le biais de scènes de violences cruelles, et par l'accès à de magnifiques femmes objets. La retenue de ce film démontre la volonté de faire un film semi-réaliste et pas trop commercial.
Ce n'est pas le 1er film traitant de l'infiltration, mais celui-ci est un retour de ce qui se faisait dans les années 80 : tout d'abord le grain du film fait penser à des images de cette époque. Ensuite, les rapports entre les personnages gardent une certaine pudeur, à l'heure où les films actuels aiment habituellement démontrer ce milieu, par le biais de scènes de violences cruelles, et par l'accès à de magnifiques femmes objets. La retenue de ce film démontre la volonté de faire un film semi-réaliste et pas trop commercial.
L'AlsacienParisien
J'y suis allé sans connaitre le sujet du film et je pense que j'aurai mieux fait de me renseigner avant car je ne suis absolument pas rentré dedans. Je crois, sans exagérer, que j'ai pris une heure pour comprendre de quoi il s'agissait ; pour moi, le scénario m'a parut très complexe, n'offrant aucune porte d'entrée pour le spectateur. Je pense avoir gardé ce regard extérieur tout du long et je crois que l'un des gros point négatif du film, c'est qu'il n'invoque aucune implication émotionnelle, ne de la part des acteurs, ni chez le spectateur. Le début m'a paru incompréhensible, l'histoire sonne creux et les personnages sont d'une transparence affligeante. Seule la performance de Bryan Cranston permet de garder la tête hors de l'eau pour ne pas totalement se noyer. Au fur et à mesure, j'ai mis les éléments compréhensibles ensemble et j'ai compris que c'était un agent qui agissait sous une fausse identité en tant que blanchisseur d'argent... Mais rien n'est explicite dans le film, c'est tu comprend ou tu comprend pas... Heureusement, les scènes sur la vie privée de cet infiltré ont suscité mon intérêt (
spoiler:
à partir de la scène d'anniversaire de mariage avec sa femme, où il se voit obligé de la faire passer pour sa secrétaire après qu'un témoin le connaissant sous sa fausse couverture vient les interrompre. Très belle scène, super bien jouée !
) : c'est ici qu'on voit tout le talent de l'acteur qui joue à l'acteur ! Bryan Cranston est saisissant ! Apparaît alors, mais bien trop tard, Diane Krüger dans le rôle de sa complice devant jouer sa femme. Elle apporte une vague de fraîcheur qui lui est propre et suscite curiosité et fascination, faisant étrangement contraste à Bryan Cranston, formant à ses côtés un couple parfait. Le casting de ce film est génial en plus : John Leguizamo, Joseph Gilgun, Jason Isaacs, Elena Anaya,... Mais leur apparitions ponctuelles rendent le film irrégulier, passionnant par moment et incompréhensible à d'autres, perdant totalement l’attention du spectateur. Personnellement, ce début m'a ennuyé et même si on comprend en gros le sujet en sortant de la salle, c'est raconté d'une façon tellement codée et de façon implicite qu'on abandonne toute logique. J'ai arrêté de compter le nombre de fois où je me suis dit "mais comment ça se fait ?", "Je comprend rien à ce qui se passe"... Biopic très compliquée, et ce, même avec les mises en bouche du début et les explication de la fin... Le casting est parfait et sauve les meubles tandis que la réalisation, le montage et le scénario sont, selon moi, un échec.
) : c'est ici qu'on voit tout le talent de l'acteur qui joue à l'acteur ! Bryan Cranston est saisissant ! Apparaît alors, mais bien trop tard, Diane Krüger dans le rôle de sa complice devant jouer sa femme. Elle apporte une vague de fraîcheur qui lui est propre et suscite curiosité et fascination, faisant étrangement contraste à Bryan Cranston, formant à ses côtés un couple parfait. Le casting de ce film est génial en plus : John Leguizamo, Joseph Gilgun, Jason Isaacs, Elena Anaya,... Mais leur apparitions ponctuelles rendent le film irrégulier, passionnant par moment et incompréhensible à d'autres, perdant totalement l’attention du spectateur. Personnellement, ce début m'a ennuyé et même si on comprend en gros le sujet en sortant de la salle, c'est raconté d'une façon tellement codée et de façon implicite qu'on abandonne toute logique. J'ai arrêté de compter le nombre de fois où je me suis dit "mais comment ça se fait ?", "Je comprend rien à ce qui se passe"... Biopic très compliquée, et ce, même avec les mises en bouche du début et les explication de la fin... Le casting est parfait et sauve les meubles tandis que la réalisation, le montage et le scénario sont, selon moi, un échec.
lhomme-grenouille
On ne va pas se mentir, si je suis allé voir cet « Infiltrator », c’est clairement parce que sur l’affiche étaient associés les noms de Bryan Cranston et de Brad Furman. Après tout, en cet été 2016 bien morose, même voir un Walter White moyen dans une moyenne « Défense Lincoln », ça pouvait se prendre... Eh bah pourtant même pas. Et pour le coup, le responsable est tout trouvé. Difficile de reprocher quoi que ce soit à Bryan Cranston qui a essayé de faire ce qu’il a pu avec ce qu’on lui a donné. Non, le vrai problème, c’est le projet de ce film en lui-même. Parce que non, on ne me fera pas croire que quelqu’un ait pu écrire ça dans une logique créatrice. Pour avoir un résultat aussi fade et aussi impersonnel, il est certainement presque sûr qu’on a pensé l’histoire du film APRES avoir pensé l’existence du film lui-même. Brad Furman voulait faire un film avec Bryan Cranston. Bryan Cranston voulait enfin avoir un rôle marquant sur grand écran ; les producteurs voulaient sûrement surfer sur l’aura de Walter White, et on n’a donc réfléchi qu’après coup à ce qu’on pouvait bien raconter pour que tout cela tienne. Parce que là, franchement, trop c’est trop. J’ai été incapable de voir ce film autrement que comme un exercice de style, un enchaînement de scènes déjà vu partout ailleurs dans les grands classiques du genre. Ce film, on croirait un croisement raté entre « Donnie Brasco » et « Sicario » (le deuxième étant déjà pas vraiment un modèle d’originalité à mon goût.) Bref, le film passe par tous les passages obligés du genre, sans jamais surprendre. Il récite sa leçon, parfois lourdement. J’ai essayé d’y croire, mais franchement, j’ai vécu une vraie purge. Dommage donc. Ce ne sera pas pour cette fois-ci que je reverrais un bon film de Brad Furman. Ce ne sera pas cette fois-ci qu’on verra Bryan Cranston dans un bon rôle au cinéma. Et ce ne sera pas cette fois-ci que le manque d’originalité dans un film me conviendra…
On partage l'angoisse d'un infiltrateur honnête et banal qui n'a rien d'un James Bond. Les méchants ont le sens de l'honneur, de la famille, de la beauté et de l'amitié. On les trouverait presque attachants oubliant que leur grandeur d'âme s'est construite avec des balles dans la tête. Un thriller haut de gamme qui prend aux tripes!
Le sujet est intéressant bien joué et bien réalisé. Un film que j'ai trouvé un peu trop lisse et trop propre, compte tenu du sujet, et qui manque malgré tout de nerf, d'émotion, de suspense, ou de rythme, en gros tout ce qui fait que l'on reste accroché à son fauteuil de cinéma.
Le sujet est fort, le casting est bon, mais la réalisation est assez moyenne et ne permet pas de hisser le film vers autre chose qu'un autre film sur l'infiltration. On ne comprend pas toujours non plus comment pendant ses périodes d'infiltration, le personnage principal peut continuer à avoir une vie familiale, sans se faire démasquer. Pour le reste, la tension est présente et le film est prenant.
Années 80, alors que le trafic de drogue ronge l'Amérique, l'agent Robert Mazur est chargé d'infiltrer le monde des narcos-trafiquants afin de remonter la piste des banquiers, des truands et de tous ceux qui trempent dans cette affaire juteuse. Habitué au rôle d'infiltré, il aborde son rôle avec ferveur quitte à fondre entièrement avec le personnage. Et pour cause : le moindre faux pas lui serait fatal. Basé sur la véritable histoire de Mazur qui a d'ailleurs écrit un livre, "Infiltrator" n'est pas sans faire penser à "Donnie Brasco" même s'il dépeint des univers et des personnages différents. Mais on y retrouve la même problématique : à force de jouer au truand aux mauvaises manières, en devient-on un ? Dans une des meilleures scènes du film, Bob se voit contraint d'agir comme un salaud devant sa femme pour protéger sa couverture, paradoxe d'un homme qui aime se fondre dans la peau d'un autre et qui ne peut s'empêcher de se lier d'amitié avec certaines personnes du milieu pour mieux les trahir après parce que c'est son métier. Film constamment sous tension porté par un Bryan Cranston décidément exemplaire (il s'empare d'un personnage et de ses contradictions comme personne, livrant toujours le meilleur de lui-même), "Infiltrator" aurait gagné à un peu plus de subtilité mais la mise en scène de Brad Furman permet de ne jamais relâcher l'attention quitte à faire péter certains filtres un peu trop voyants dans la photographie. Bien écrit et permettant de mettre en exergue un travail aussi passionnant que troublant, le film permet également de retrouver un John Leguizamo en grande forme après de trop nombreux seconds rôles peu remarqués tandis que Diane Kruger apporte ce qu'il faut de glamour à ce film nerveux.
Dès la lecture du synopsis on peut constater l'envie du film de Brad Furman de naviguer sur le succès de la série Narcos. Chose que fait de plus en plus souvent le cinéma, alors que les séries continue à s'alimenter du cinéma pour parfois même le transcender, ce dernier lui se contente juste de prendre les effets de mode pour s'assurer un certain succès commercial. Emmené par Bryan Cranston, l'ancienne star de Breaking Bad, The Infiltrator joue la carte de la sécurité pour attirer son public et promet un film qui restera dans les clous et qui ne révolutionnera pas le genre, se focalisant avant tout sur la présence charismatique de la star.
C'est exactement ce qui va se passer ici, avec le scénario très limité du film. La narration est assez molle, les relations entre les personnages sont tout juste survolées et le tout n'échappe pas à une certaine lourd quant à l'accumulation des clichés des récits sur les infiltrés. Sauf qu'ici la sauce ne prend pas quand l'intrigue suggère que le personnage pourrait s'attacher à sa vie de criminelle faute à une histoire de famille très moralisatrice qui entoure le héros. Le long métrage devient même poussif lors de son dernier acte lorsque qu'il force beaucoup trop l'empathie envers les trafiquants de drogues, devenant involontairement drôle. L'histoire à beau être inspirée d'une histoire vraie, on sent qu'elle à été romancée à l'extrême pour correspondre à un cahier des charges et que celle-ci n'en dévira jamais. Après c'est fait avec une certaine maîtrise mais on reste face à un produit consensuelle que ce soit sur le script ou sur le visuel. La mise en scène de Brad Furman est tout ce qu'il y a de plus académique, le montage est linéaire offrant au film un rythme pépère pas désagréable mais assez plat. Le tout étant rythmé par une bande son issue des plus gros hit des années 80 et dispose d'une photographie saturée qui offre de beaux plans de nuit mais qui se montre trop contrastée durant les passages de jours offrant un rendu souvent bancal. Au final, c'est le casting qui fait le mieux le café. Bryan Cranston est comme à son habitude excellent dans ce rôle et sans trop se forcer, livre une prestation impeccable. John Leguizamo est un très bon sidekick, il apporte de l'humour mais aussi une dimension plus nuancée à son personnage avec justesse et Diane Kruger complète le trio de bonne manière malgré un rôle plus limitée.
The Infiltrator est un film académique et très classique dans le genre dans lequel il évolue. Le scénario est déjà vu et n'est qu'un prétexte pour surfer sur une série populaire. Pour ceux qui regarde la série Narcos, il n'y a aucune intérêt à voir ce film, qui malgré un excellent casting se montre moins audacieux dans sa mise en scène. Pour les autres, ils trouveront un point d'entrée pas inintéressant à cette univers et pourront ensuite sans problème enchaîner avec la série. On est au final face à un film tout juste moyen, qui n'a pas grand chose pour lui mais qui est suffisamment appliqué pour divertir pendant 2h.
C'est exactement ce qui va se passer ici, avec le scénario très limité du film. La narration est assez molle, les relations entre les personnages sont tout juste survolées et le tout n'échappe pas à une certaine lourd quant à l'accumulation des clichés des récits sur les infiltrés. Sauf qu'ici la sauce ne prend pas quand l'intrigue suggère que le personnage pourrait s'attacher à sa vie de criminelle faute à une histoire de famille très moralisatrice qui entoure le héros. Le long métrage devient même poussif lors de son dernier acte lorsque qu'il force beaucoup trop l'empathie envers les trafiquants de drogues, devenant involontairement drôle. L'histoire à beau être inspirée d'une histoire vraie, on sent qu'elle à été romancée à l'extrême pour correspondre à un cahier des charges et que celle-ci n'en dévira jamais. Après c'est fait avec une certaine maîtrise mais on reste face à un produit consensuelle que ce soit sur le script ou sur le visuel. La mise en scène de Brad Furman est tout ce qu'il y a de plus académique, le montage est linéaire offrant au film un rythme pépère pas désagréable mais assez plat. Le tout étant rythmé par une bande son issue des plus gros hit des années 80 et dispose d'une photographie saturée qui offre de beaux plans de nuit mais qui se montre trop contrastée durant les passages de jours offrant un rendu souvent bancal. Au final, c'est le casting qui fait le mieux le café. Bryan Cranston est comme à son habitude excellent dans ce rôle et sans trop se forcer, livre une prestation impeccable. John Leguizamo est un très bon sidekick, il apporte de l'humour mais aussi une dimension plus nuancée à son personnage avec justesse et Diane Kruger complète le trio de bonne manière malgré un rôle plus limitée.
The Infiltrator est un film académique et très classique dans le genre dans lequel il évolue. Le scénario est déjà vu et n'est qu'un prétexte pour surfer sur une série populaire. Pour ceux qui regarde la série Narcos, il n'y a aucune intérêt à voir ce film, qui malgré un excellent casting se montre moins audacieux dans sa mise en scène. Pour les autres, ils trouveront un point d'entrée pas inintéressant à cette univers et pourront ensuite sans problème enchaîner avec la série. On est au final face à un film tout juste moyen, qui n'a pas grand chose pour lui mais qui est suffisamment appliqué pour divertir pendant 2h.
J'ai bien apprécié le film dans l'ensemble
Les :
-Bien stressant
-Le duo Bryan Cranston et Diane Kruger
-Tiré d'une histoire vraie
Les - :
-Problème de rythme
-Bande son assez transparente
Un film sympa à voir mais qui ne marquera pas.
Les :
-Bien stressant
-Le duo Bryan Cranston et Diane Kruger
-Tiré d'une histoire vraie
Les - :
-Problème de rythme
-Bande son assez transparente
Un film sympa à voir mais qui ne marquera pas.
Du classique très bien exécuté malgré quelques longueurs au démarrage. Cranston nous fait du "Breaking Bad" mais il le fait bien. La véracité des faits ajoute à l'intérêt et à la fascination. Le film joue par ailleurs sur les ressorts habituels de ce genre : peur de la trahison, de la boulette, conflit intérieur des infiltrés, ... Là encore rien de novateur mais une mise en œuvre crédible et efficace.
La bande annonce de ce film de Brad Furman annoncait un super cocktail : histoire immersive, scènes d'actions en enfin Bryan Cranston en tête d'affiche. Au vu de cette bande annonce, le film s'avère être decevant. Il reste cependant un bon film, ou Bryan Cranston et Diane Kruger brillent. Les nombreux personnages permettent de brouiller les pistes de façon habile. La deuxième partie du film est vraiment réussite.
dominique P.
Ce thriller parle d'un homme policier infiltré pour faire tomber Pablo Escobar, le baron de la drogue en Colombie, en 1985.
J'ai trouvé ce film vraiment prenant et efficace.
Par ailleurs, les années 80 sont très bien restituées.
J'ai trouvé ce film vraiment prenant et efficace.
Par ailleurs, les années 80 sont très bien restituées.
On retrouve l'acteur qui a joué "Donald Trumbo".
J'ai vraiment apprécié ce film relatant une histoire vraie.
C'est prenant, intéressant et bien divertissant.
J'ai vraiment apprécié ce film relatant une histoire vraie.
C'est prenant, intéressant et bien divertissant.
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