Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
(...) très efficace polar (...).
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La Rédaction
La réalisation est soignée et fait la part belle à la reconstitution des années 1980, tandis que Cranston continue de convaincre dans un rôle reposant une fois de plus sur la duplicité.
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
"Infiltrator" compense les passages obligés par un vrai sens du storytelling et une direction d’acteurs impeccable.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par François Forestier
La mise en scène, classique, de Furman ("la Défense Lincoln", 2011) évite les scènes-à-faire (pas de massacre généralisé à la fin, Dieu merci) et repose sur un scénario malin, signé Ellen Brown Furman.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
LCI
par Romain Le Vern
Bryan Cranston est toujours aussi fort dans sa capacité à être intense avec un minimum d’effets.
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Tirée d’un livre autobiographique, un thriller bien mené et bien dialogué, qui répond au cahier des charges avec une efficacité qui ne manque pas de brio.
Le Figaro
par La Rédaction
Un excellent thriller qui dresse le portrait d'un incorruptible (Bryan Cranston, impeccable), où les liasses de billets se comptent par milliers et les balles de revolver partent comme des bouchons de champagne.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaroscope
par Etienne Sorin
"Infiltrator" confirme le talent de Brad Furman.
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Inspiré par une histoire vraie stupéfiante, ce film sans temps mort prend progressivement de l’ampleur jusqu’au dénouement, saisissant.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Au-delà du plaisir de voir une variation sur l'un des meilleurs personnages de fiction de ces dernières années, le film suprend (agréablement) par les chemins narratifs tortueux qu'il prend pour ne surtout pas être un énième "Pablo Escobar movie".
Studio Ciné Live
par Laurent Dijan
Il s'attache, impossible de faire autrement, et c'est toute cette ambivalence schizophrénique que saisit brillamment le film.
Télé 2 semaines
par Hervé Tropéa
Un film haletant sur les risques démesurés pris avec courage par cet agent dont la moindre erreur peut lui être fatale. La prestation de Bryan Cranston (Breaking Bad) dans la peau de cet infiltré fait des étincelles, grâce notamment à ses rapports explosifs avec John Leguizamo et sa présumée fiancée, Diane Kruger.
La critique complète est disponible sur le site Télé 2 semaines
Le Parisien
par Thierry Dague
Ce polar sans surprise mais efficace de Brad Furman, le réalisateur de "La Défense Lincoln", met l'accent sur la schizophrénie de ces agents doubles, obligés de nouer des liens affectifs avec leurs cibles.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Thomas Fouet
Porté par la performance de Bryan Cranston, le film de Brad Furman (“Le Stratégie Lincoln”) souffre hélas de sa mise en scène impersonnelle.
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Le sujet est aussi vaste que familier, aussi s'amusera-t-on à voir le film en survoler les motifs généraux et les scènes archétypales, se satisfaisant d'une sorte de balayage désinvolte de sa propre intrigue. (...) "Infiltrator" offre l'exemple type d'un genre atteignant sa vitesse de croisière et planant tranquillement au dessus de son cahier des charges.
Télérama
par Frédéric Strauss
En pleine conquête du grand écran, l'acteur (récemment vu dans "Dalton Trumbo") a tout pour en devenir une valeur sûre. Il supplée une réalisation parfois flottante, en tenant chaque scène avec une rigueur sans faille.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
S’il est trop classique dans son traitement et ne parvient jamais à se hisser au niveau d’exigence de ses références, Infiltrator en vient à se racheter par son efficacité. Et Bryan Cranston, lui, comme toujours, est excellent.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Nicolas Journet
Un film qui n’a d’autre prétention que de divertir en retranscrivant une série de faits certes fascinants. Dommage que jamais la mise en scène ne cherche à faire plus que platement les illustrer.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
L'originalité de cette histoire est de se situer dans les sphères bancaires, européennes pour la plupart. Pour le reste, qui constitue, hélas !, le principal, les affres inhérentes aux risques encourus par le policier infiltré ont un air de déjà-vu.
La Croix
par Louis Nadau
On peut finalement se demander si Bryan Cranston n’est pas une erreur de casting, tant sa présence sort le spectateur du film, le place dans un dispositif de comparaison permanente avec le rôle qui a assuré sa notoriété, au net désavantage du plus récent.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Gilles Renault
Si, après quatre films (son meilleur restant à ce jour la "Défense Lincoln" qui, en 2011, symbolisait la résurrection de Matthew McConaughey), Brad Furman était un équivalent crédible de Michael Mann, cela se saurait. Mais on ne demandait pas non plus la lune.
Positif
par Hubert Niogret
Platement mis en scène, sans jamais aucune idée d'expression, visuelle ou sonore ou musicale, le film n'est qu'un de ces petits films qui sortent au mois d'août, dont l'intérêt n'est que mineur, parce qu'il leur manque une forme qui les rendrait mémorables malgré un sujet intéressant.
Le Monde
par Isabelle Regnier
Ce polar paresseux ne propose pas grand-chose de plus que les éléments de son pitch opportuniste : la légende de Pablo Escobar, le folklore Scarface et le mythe contemporain de « Breaking Bad », que l’acteur Bryan Cranston réactive avec une déclinaison au rabais du personnage de Walter White.
20 Minutes
(...) très efficace polar (...).
CNews
La réalisation est soignée et fait la part belle à la reconstitution des années 1980, tandis que Cranston continue de convaincre dans un rôle reposant une fois de plus sur la duplicité.
CinemaTeaser
"Infiltrator" compense les passages obligés par un vrai sens du storytelling et une direction d’acteurs impeccable.
L'Obs
La mise en scène, classique, de Furman ("la Défense Lincoln", 2011) évite les scènes-à-faire (pas de massacre généralisé à la fin, Dieu merci) et repose sur un scénario malin, signé Ellen Brown Furman.
LCI
Bryan Cranston est toujours aussi fort dans sa capacité à être intense avec un minimum d’effets.
Le Dauphiné Libéré
Tirée d’un livre autobiographique, un thriller bien mené et bien dialogué, qui répond au cahier des charges avec une efficacité qui ne manque pas de brio.
Le Figaro
Un excellent thriller qui dresse le portrait d'un incorruptible (Bryan Cranston, impeccable), où les liasses de billets se comptent par milliers et les balles de revolver partent comme des bouchons de champagne.
Le Figaroscope
"Infiltrator" confirme le talent de Brad Furman.
Le Journal du Dimanche
Inspiré par une histoire vraie stupéfiante, ce film sans temps mort prend progressivement de l’ampleur jusqu’au dénouement, saisissant.
Première
Au-delà du plaisir de voir une variation sur l'un des meilleurs personnages de fiction de ces dernières années, le film suprend (agréablement) par les chemins narratifs tortueux qu'il prend pour ne surtout pas être un énième "Pablo Escobar movie".
Studio Ciné Live
Il s'attache, impossible de faire autrement, et c'est toute cette ambivalence schizophrénique que saisit brillamment le film.
Télé 2 semaines
Un film haletant sur les risques démesurés pris avec courage par cet agent dont la moindre erreur peut lui être fatale. La prestation de Bryan Cranston (Breaking Bad) dans la peau de cet infiltré fait des étincelles, grâce notamment à ses rapports explosifs avec John Leguizamo et sa présumée fiancée, Diane Kruger.
Le Parisien
Ce polar sans surprise mais efficace de Brad Furman, le réalisateur de "La Défense Lincoln", met l'accent sur la schizophrénie de ces agents doubles, obligés de nouer des liens affectifs avec leurs cibles.
Les Fiches du Cinéma
Porté par la performance de Bryan Cranston, le film de Brad Furman (“Le Stratégie Lincoln”) souffre hélas de sa mise en scène impersonnelle.
Les Inrockuptibles
Le sujet est aussi vaste que familier, aussi s'amusera-t-on à voir le film en survoler les motifs généraux et les scènes archétypales, se satisfaisant d'une sorte de balayage désinvolte de sa propre intrigue. (...) "Infiltrator" offre l'exemple type d'un genre atteignant sa vitesse de croisière et planant tranquillement au dessus de son cahier des charges.
Télérama
En pleine conquête du grand écran, l'acteur (récemment vu dans "Dalton Trumbo") a tout pour en devenir une valeur sûre. Il supplée une réalisation parfois flottante, en tenant chaque scène avec une rigueur sans faille.
aVoir-aLire.com
S’il est trop classique dans son traitement et ne parvient jamais à se hisser au niveau d’exigence de ses références, Infiltrator en vient à se racheter par son efficacité. Et Bryan Cranston, lui, comme toujours, est excellent.
Critikat.com
Un film qui n’a d’autre prétention que de divertir en retranscrivant une série de faits certes fascinants. Dommage que jamais la mise en scène ne cherche à faire plus que platement les illustrer.
L'Express
L'originalité de cette histoire est de se situer dans les sphères bancaires, européennes pour la plupart. Pour le reste, qui constitue, hélas !, le principal, les affres inhérentes aux risques encourus par le policier infiltré ont un air de déjà-vu.
La Croix
On peut finalement se demander si Bryan Cranston n’est pas une erreur de casting, tant sa présence sort le spectateur du film, le place dans un dispositif de comparaison permanente avec le rôle qui a assuré sa notoriété, au net désavantage du plus récent.
Libération
Si, après quatre films (son meilleur restant à ce jour la "Défense Lincoln" qui, en 2011, symbolisait la résurrection de Matthew McConaughey), Brad Furman était un équivalent crédible de Michael Mann, cela se saurait. Mais on ne demandait pas non plus la lune.
Positif
Platement mis en scène, sans jamais aucune idée d'expression, visuelle ou sonore ou musicale, le film n'est qu'un de ces petits films qui sortent au mois d'août, dont l'intérêt n'est que mineur, parce qu'il leur manque une forme qui les rendrait mémorables malgré un sujet intéressant.
Le Monde
Ce polar paresseux ne propose pas grand-chose de plus que les éléments de son pitch opportuniste : la légende de Pablo Escobar, le folklore Scarface et le mythe contemporain de « Breaking Bad », que l’acteur Bryan Cranston réactive avec une déclinaison au rabais du personnage de Walter White.