AlloCiné
Mon compte
Note moyenne
3,0
1317 notes
En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
Votre avis sur Éperdument ?
5
19 critiques
4
40 critiques
3
49 critiques
2
29 critiques
1
10 critiques
0
11 critiques
Trier par :
Filtrer par :
Toutes les notes
Une très belle histoire d'amour malgré le sens dramatique de l'histoire, ce film fait rêver même sorti du cinéma
L’enfer amoureux est pavé d’une belle manipulatrice. Exarchopoulos exerce une emprise, emprise directe avec la transgression, régression primitive qui emprisonne le maton, mateur amateur qui s’y brûlera, victime de l’appât de sa peau, "car ses râles" deviendront carcérales. Même charcuté dans son cœur, elle n’y sera jamais morte Adèle …
Histoire alléchante, qui laissait présager de la passion et des émotions fortes. Deux acteurs qui ne laissent pas froid non plus, pour les avoir vus dans La vie d'Adèle ou Saint Laurent ( films que j'ai adorés )..
Et pourtant, qu'elle déception ! Mise en scène froide et peu inspirée. Bande- son peu convaincante.Je n'ai pas été émue par cette histoire d'amour. Je me suis même ennuyée par moment! Pour moi, c'est la direction d'acteurs qui est la principale cause de cet échec. . Dommage..
Et pourtant, qu'elle déception ! Mise en scène froide et peu inspirée. Bande- son peu convaincante.Je n'ai pas été émue par cette histoire d'amour. Je me suis même ennuyée par moment! Pour moi, c'est la direction d'acteurs qui est la principale cause de cet échec. . Dommage..
tixou0
Un fait divers sordide, à l'intérieur d'un autre fait divers sordide : Florent Gonçalves, directeur de la maison d'arrêt pour femmes de Versailles, jusque-là très bien noté par la "pénitentiaire", "dérape" et se laisse séduire par l'"appât" du "gang des barbares" (de sinistre mémoire), "Emma". Cela avait fait l'objet d'un livre, écrit par l'intéressé (en collaboration). Pierre Godeau (fils de Philippe, qui, lui, s'inspirait en 2013 d'un autre fait divers célèbre, l'affaire Toni Musulin) adapte
spoiler:
(en simplifiant - la "directrice" ayant aussi accordé ses faveurs à un gardien, ce qui n'est pas repris),
et porte sur grand écran. En laissant prudemment l'affaire Ilan Halimi, en elle-même, de côté.... Après visionnage, il s'avère que le fils n'est pas plus doué que le père (surtout producteur), pour réaliser. La seule "passion" restera dans la promesse du titre : "Eperdument". On n'a à se mettre sous la dent qu'un adultère crapoteux et tiédasse (nonobstant quelques scènes "torrides" de copulation - spoiler: en salle d'informatique surtout
..) - la "variable" de ce très convenu "La Femme - une très jeune femme - et le Pantin", déclinant l'enfermement, à savoir l'enfermement de l'une (au sens propre) et celui de l'autre (au sens figuré - englué dans cette relation sans issue) est fort mal exploitée (et sur le plan dramaturgique, et sur le plan purement cinématographique). Côté interprétation, Guillaume Gallienne (qui s'est fait la tête de Gonçalves - un bon point) ne convainc jamais, et Adèle Exarchopoulos ("Anna"), elle, ne ressemble même pas à la vraie "Emma" (une Iranienne sulfureuse, dont le vrai nom est Yalda Arbabzadeh).....
et porte sur grand écran. En laissant prudemment l'affaire Ilan Halimi, en elle-même, de côté.... Après visionnage, il s'avère que le fils n'est pas plus doué que le père (surtout producteur), pour réaliser. La seule "passion" restera dans la promesse du titre : "Eperdument". On n'a à se mettre sous la dent qu'un adultère crapoteux et tiédasse (nonobstant quelques scènes "torrides" de copulation - spoiler: en salle d'informatique surtout
..) - la "variable" de ce très convenu "La Femme - une très jeune femme - et le Pantin", déclinant l'enfermement, à savoir l'enfermement de l'une (au sens propre) et celui de l'autre (au sens figuré - englué dans cette relation sans issue) est fort mal exploitée (et sur le plan dramaturgique, et sur le plan purement cinématographique). Côté interprétation, Guillaume Gallienne (qui s'est fait la tête de Gonçalves - un bon point) ne convainc jamais, et Adèle Exarchopoulos ("Anna"), elle, ne ressemble même pas à la vraie "Emma" (une Iranienne sulfureuse, dont le vrai nom est Yalda Arbabzadeh).....
Il faut faire abstraction du fait divers sordide à l'origine de ce film, faute de quoi il serait difficile d'adhérer à cette histoire dont la tonalité serait légitimement décalée. On se contentera donc, avec plaisir, de l'histoire telle qu'elle nous est racontée, sortie de son contexte. Le résultat est à la fois troublant et intéressant avec un film aux qualités artistiques et techniques incontestables. Le ton est juste, le rythme bien dosé et l'ambiance carcérale parfaitement restituée, sans concession mais aussi sans excès. Un très bon film, parfois un peu fleur bleu, mais c'est aussi ce qui en fait le charme.
Une seule scène qui passe la rampe ou de ce que pouvait être ce film : le dialogue vers les 3/4 du film entre une co détenue plus âgée et l'héroïne .
Sinon je n'ai pas vibre une seconde à cette histoire. Guillaume Galienne a du mal à être crédible dans ce registre , c'est moi c'est lolita , pas pour lui .
Sinon je n'ai pas vibre une seconde à cette histoire. Guillaume Galienne a du mal à être crédible dans ce registre , c'est moi c'est lolita , pas pour lui .
Un film qui fonctionne pendant 45 minutes et qui se rate totalement par la suite. Le réalisateur rate complètement son sujet, ce n’est ni dramatique, ni émotionnel.
Pourtant, le sujet était excellent, un homme prisonnier chez lui et qui s’évade en prison en retrouvant ce grain de folie perdu pendant des années. Mais cette liaison interdite arrive à bout de souffle rapidement de par des dialogues assez faibles, un huis clôt raté et pas assez intense et un Guillaume Gallienne à côté de ses pompes tout le film (malgré sa brillante prestation dans « Guillaume et les garçons à table »).
L’écriture de ce personnage ne tient pas la route, car sa vie de famille est peu et mal écrite, on n’a aucune empathie pour ce directeur (pas un regard, un plan, une scène où on peut voir ce qu’il risque de perdre avec cette relation).
Les deux points forts, Adèle exarchopoulos qui tient son rôle, douce, fragile et sensuelle, elle confirme après la vie d’Adèle et la population carcérale féminine est plutôt bien filmée et traitée.
Pourtant, le sujet était excellent, un homme prisonnier chez lui et qui s’évade en prison en retrouvant ce grain de folie perdu pendant des années. Mais cette liaison interdite arrive à bout de souffle rapidement de par des dialogues assez faibles, un huis clôt raté et pas assez intense et un Guillaume Gallienne à côté de ses pompes tout le film (malgré sa brillante prestation dans « Guillaume et les garçons à table »).
L’écriture de ce personnage ne tient pas la route, car sa vie de famille est peu et mal écrite, on n’a aucune empathie pour ce directeur (pas un regard, un plan, une scène où on peut voir ce qu’il risque de perdre avec cette relation).
Les deux points forts, Adèle exarchopoulos qui tient son rôle, douce, fragile et sensuelle, elle confirme après la vie d’Adèle et la population carcérale féminine est plutôt bien filmée et traitée.
Un très beau film, remarquablement interprété, qui touche le coeur mais ne tombe à aucun moment dans le pathos. Tout y est simplement exposé sans chercher à rester fidèle à l'histoire vraie qui a inspiré ce scénario...
Une passion dévorante et destructrice. Une belle interprétation et un Guillaume Galienne inattendu.
Dommage que quelques scènes soient peu crédibles en milieu carcéral.
Dommage que quelques scènes soient peu crédibles en milieu carcéral.
je n'aime pas la film d'amour , mais la je me suis laisser tenté ( en passant c'est un film dramatique ) .je dirai bravo a la comédie française d'ou sors M. galienne , un jeu parfait et pour les deux acteur principaux , belle histoire en rapport avec l'actualité . petit be mol la fin .. ou est le scénariste ? j'aimerai savoir la fin du film svp ! c'est un drame qui se dévoile et se met a nu ( sans jeu de mot ) .
Ouaip!! Trop beaux et trop glamour, les deux acteurs principaux, du coup ça nous donne "Ken et Barbie" au pays des matons, et à part les lectrices de la série Harlequin ou les grands sentimentaux, je ne vois pas qui va y croire une seconde! Pour Adèle, passe encore qu'elle soit mignonne, faut bien rendre crédible l'attirance du monsieur, mais Guillaume, sémillant acteur de théâtre aimablement facétieux et subtilement narcissique, n'était pas le casting idéal pour incarner un directeur de prison, encore moins un directeur de prison qui perd la boule pour une détenue aux allures de bébé boudeur. Je suis désolée, mais il aurait fallu un homme moins beau, moins sexy, plus "monsieur tout le monde", pour que ça fasse moins romance à 6 sous. Tiens, tu vas rire, mais j'aurais bien vu Kad Merad dans le rôle, là on aurait eu du lourd! Quant à Adèle, elle minaude, elle surjoue, elle m'agace. A part ça, un grand manque d'audace dans le traitement du film. A trop vouloir plaire à tout le monde...
Super film que je recommande vivement. Les prestations de Guillaume Gallienne et de la superbe Adèle sont formidable.
un film dont j'y ai mis 3.5 car on a ici une belle histoire d'amour interdit tiré d'un roman mais aussi d'une histoire vraie, un guillaume gallienne au top comme toujours, un rôle qui lui réussit et il devrait resté en barbu et cheveux mi-long, adèle exarchopoulos un rôle qui lui va bien aussi mais je voulais aussi dire que la ils ont fait un film sur un fait divers connue il existe aussi des cas avec d'autres professions tel qu'enseignants ou cela est déjà arrivé
Éperdument ....décevant! Pas d'émotion, pas de passion. Avec un sujet comme celui-ci on pouvait s'attendre à être bouleversé .
Malgré la bonne prestation (sans surprise) des deux acteurs, le film manque de folie, d'alchimie. Le scénario est bon, mais on a l'impression que tout ça est un peu bâclé au final, car il n'y a rien d'exceptionnel qui en ressort! Avec un tel casting, on aurait du pleurer ou au moins frissonner. Rien de tout ça, donc.
- Meilleurs films
- Meilleurs films selon la presse