Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
L’histoire vraie de la passion interdite d’un gardien de prison et d’une détenue est portée par deux comédiens brillants…
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Gala
par Camille Choteau
Un film dérangeant dans lequel Adèle Exarchopoulos se montre une nouvelle fois puissante et juste.
La critique complète est disponible sur le site Gala
L'Express
par Christophe Carrière
Le désastre prend des allures de thriller, et ce long-métrage, servi par un Guillaume Gallienne décidément crédible dans tous les rôles et une Adèle Exarchopoulos excellente à fleur de peau, suscite autant d'intérêt que de réflexions.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
Marier Adèle Exarchopoulos, cette inflammable petite sauvage, et Guillaume Gallienne, électron libre de la Comédie-Française relooké bobo barbu pour l'occasion, était un pari pour le moins intéressant. C'est précisément parce que ses deux interprètes principaux accordent leur différence que cette histoire devient captivante et nous touche au cœur.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Positif
par Olivier de Bruyn
La description de l'univers carcéral, dépourvue de toute surenchère, et l'ambivalence de l'analyse psychologique contribuent à la réussite de ce film sensible et exigeant.
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
"Éperdument" raconte donc avant tout la rencontre de deux fantasmes. Et Godeau évolue avec aisance dans ce mélange des genres, prenant soin à inscrire solidement son récit dans l'univers carcéral pour mieux laisser l'imagination de ses personnages vagabonder.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Le Monde
par Noémie Luciani
Au-delà d'une mise en scène assez forte dans son travail des corps dans l'espace, "Éperdument" est un film bavard, donc déconcertant si l'on s'attendait à un brasier des sens.
Ouest France
par Pierre Fornerod
Cheveux lissés, barbe mal taillée, costume étriqué, Guillaume Gallienne se confronte au jeu instinctif d'Adèle (...). Dommage que la mise en scène mine un peu ce face-à-face amoureux tragique.
Première
par Vanina Arrighi de Casanova
Il est ambitieux de titrer un drame amoureux "Éperdument". Adapté du roman de Florent Gonçalves Défense d’aimer, le film de Pierre Godeau n’a pas l’intensité de cet adverbe, même s’il tient une part de sa promesse : se perdre (dans l’amour).
La critique complète est disponible sur le site Première
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Le plan final, très sobre et persuasif, valide les deux théories, avec une absence de réponse claire qui demeure jusqu’au bout la vraie force de séduction de ce film.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Ursula Michel
"Éperdument" manque cruellement de chair, de folie et d’amour.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par La Rédaction
"Eperdument" se révèle à l’image de ce qu’est la production française moyenne, sans faille mais sans audace, où tout le monde joue sa partition sans prendre de risques. Alors, pour une histoire de mise en danger, cette assurance pantouflarde de produit calibré se satisfait de peu et manque de tout.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Sur le thème de l’amour fou, un film qui joue sur la situation sociale et sur le thème de l’amour impossible, sans lésiner vraiment sur la corde sensible.
Le Journal du Dimanche
par Baptiste Thion
Dommage que la mise en scène trop classique ne s’évade pas. Mais cette romance improbable méritait bien un film.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Les acteurs ne sont pas en question, ils sont bons. Mais le scenario, expédié, ne laisse pas grand-chose advenir. Ni en termes d'émotion, ni en terme de justesse.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
La passion en milieu carcéral d’une détenue et d’un directeur de prison. Un ratage embrassant.
Metro
par Mehdi Omaïs
L’alchimie - moteur supposé du projet - ne prenant jamais, difficile alors de vivre dans la chair des contractions et des remous de cet amour. Lequel s’avère finalement aussi palpitant qu’une ballade de Francis Lalanne.
La critique complète est disponible sur le site Metro
TF1 News
par Romain Le Vern
Adèle Exarchopoulos a quelque chose de Béatrice Dalle. Guillaume Gallienne surjoue une virilité à la Jean Gabin. Si l'on ajoute le parti-pris maladroit de faire abstraction du fait-divers originel, c'est quand même un peu embarrassant.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Télérama
par Frédéric Strauss
Il simplifie sans vergogne cette romance ambiguë, qu'il met en scène en endossant le regard de l'homme aveuglé par l'amour. Cédant tout à la facilité du coup de foudre et du choc produit par ce duo d'amants terribles, Pierre Godeau ne se préoccupe que d'une chose : créer un couple de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
L’histoire vraie de la passion interdite d’un gardien de prison et d’une détenue est portée par deux comédiens brillants…
Gala
Un film dérangeant dans lequel Adèle Exarchopoulos se montre une nouvelle fois puissante et juste.
L'Express
Le désastre prend des allures de thriller, et ce long-métrage, servi par un Guillaume Gallienne décidément crédible dans tous les rôles et une Adèle Exarchopoulos excellente à fleur de peau, suscite autant d'intérêt que de réflexions.
Le Parisien
Marier Adèle Exarchopoulos, cette inflammable petite sauvage, et Guillaume Gallienne, électron libre de la Comédie-Française relooké bobo barbu pour l'occasion, était un pari pour le moins intéressant. C'est précisément parce que ses deux interprètes principaux accordent leur différence que cette histoire devient captivante et nous touche au cœur.
Positif
La description de l'univers carcéral, dépourvue de toute surenchère, et l'ambivalence de l'analyse psychologique contribuent à la réussite de ce film sensible et exigeant.
Studio Ciné Live
"Éperdument" raconte donc avant tout la rencontre de deux fantasmes. Et Godeau évolue avec aisance dans ce mélange des genres, prenant soin à inscrire solidement son récit dans l'univers carcéral pour mieux laisser l'imagination de ses personnages vagabonder.
Le Monde
Au-delà d'une mise en scène assez forte dans son travail des corps dans l'espace, "Éperdument" est un film bavard, donc déconcertant si l'on s'attendait à un brasier des sens.
Ouest France
Cheveux lissés, barbe mal taillée, costume étriqué, Guillaume Gallienne se confronte au jeu instinctif d'Adèle (...). Dommage que la mise en scène mine un peu ce face-à-face amoureux tragique.
Première
Il est ambitieux de titrer un drame amoureux "Éperdument". Adapté du roman de Florent Gonçalves Défense d’aimer, le film de Pierre Godeau n’a pas l’intensité de cet adverbe, même s’il tient une part de sa promesse : se perdre (dans l’amour).
aVoir-aLire.com
Le plan final, très sobre et persuasif, valide les deux théories, avec une absence de réponse claire qui demeure jusqu’au bout la vraie force de séduction de ce film.
Critikat.com
"Éperdument" manque cruellement de chair, de folie et d’amour.
L'Obs
"Eperdument" se révèle à l’image de ce qu’est la production française moyenne, sans faille mais sans audace, où tout le monde joue sa partition sans prendre de risques. Alors, pour une histoire de mise en danger, cette assurance pantouflarde de produit calibré se satisfait de peu et manque de tout.
Le Dauphiné Libéré
Sur le thème de l’amour fou, un film qui joue sur la situation sociale et sur le thème de l’amour impossible, sans lésiner vraiment sur la corde sensible.
Le Journal du Dimanche
Dommage que la mise en scène trop classique ne s’évade pas. Mais cette romance improbable méritait bien un film.
Sud Ouest
Les acteurs ne sont pas en question, ils sont bons. Mais le scenario, expédié, ne laisse pas grand-chose advenir. Ni en termes d'émotion, ni en terme de justesse.
Les Inrockuptibles
La passion en milieu carcéral d’une détenue et d’un directeur de prison. Un ratage embrassant.
Metro
L’alchimie - moteur supposé du projet - ne prenant jamais, difficile alors de vivre dans la chair des contractions et des remous de cet amour. Lequel s’avère finalement aussi palpitant qu’une ballade de Francis Lalanne.
TF1 News
Adèle Exarchopoulos a quelque chose de Béatrice Dalle. Guillaume Gallienne surjoue une virilité à la Jean Gabin. Si l'on ajoute le parti-pris maladroit de faire abstraction du fait-divers originel, c'est quand même un peu embarrassant.
Télérama
Il simplifie sans vergogne cette romance ambiguë, qu'il met en scène en endossant le regard de l'homme aveuglé par l'amour. Cédant tout à la facilité du coup de foudre et du choc produit par ce duo d'amants terribles, Pierre Godeau ne se préoccupe que d'une chose : créer un couple de cinéma.