Derniers Avis : Wonder - Page 23

Et le grand gagnant du petit film bien larmoyant annuel pour la soirée de Noël en famille est "WONDER" ! Heureusement que quelques jolies idées narratives, le sourire irrésistible de Julia Roberts et la délicate interprétation de Jacob Tremblay (déjà remarquable dans "Room") sauvent le film de la mièvrerie et le situent bien au dessus de la sinistre famille Bélier dont je ne me suis toujours pas remis !

Je me suis basé sur les avis euphoriques de ce site pour me décider à aller voir ce film. Au retour de la salle je me décide cette fois ci à créer un compte pour vous prévenir : attention ça dégouline de bonnes valeurs bien pensantes juste avant Noël, c’Est caricatural, j’en ai été mal à l’aise face à ce concentré de bonnes intentions sirupeuses. le type de film que je déteste, qui consiste à nous acheter une bonne conscience juste avant les fetes parce qu’il nous bascule du bon côté de la sensiblerie dans une bonne petite famille du rêve américain.... tous les stéréotypes y sont.

Franchement, passez votre chemin et faire vous prêter le DVD dans le pire des cas.

Très beau film sur la différence et dont la façon dont les gens jugent facilement sur les apparences. Film plein de tendresse, construit de manière originale. C'est émouvant er à ne pas louper!

C'est une mélodrame qui porte bien son nom car on est vraiment dans le mélo et le drame dans cette histoire.
C'est un film américain très bien foutu et émouvant.
Cela met en valeur des qualités humaines très importantes : la gentillesse, la compassion, l'empathie, l'altruisme, l'acceptation des différences.

Wonder arrive à nous mettre à fleur de peau pendant plus d'une heure et demie. Un merveilleux film, où tous les personnages arrivent à être mis en lumière au travers de l'intrigue principale du film. La magie opère même avec les moins adeptes des films familiaux.

Je suis abonné au Blockbuster au super héros des comics
mais dans la vie de tous les jours, il y a des super héros ou le simple fait de vivre sous le regard des autres est un véritable exploit.
Accepter ses différences se faire accepter des autres.
Un film qui n'est pas en tête du box office, mais qui fait beaucoup de bien et aère la tête
un film 'Happy' que les parents devraient montrer aux enfants à l’adolescence lorsqu'il son mal dan leur peau .
En plus un casting qui joue juste Julia Robertsd, Owen wilson, Jacob Tremlay, Izabela Vidovic .....
Juste parfait, un film à ne pas manquer

Un film qui fait du bien : de vraies montagnes russes émotionnelles... On rit et on pleure. C'est joli, c'est bon, c'est drôle, c'est touchant.

On a découvert Stephen Chbosky il y a quelques années avec le magnifique « La vérité sur Charlie », petite comédie dramatique bien plus puissante et sombre qu’elle n’y paraissait au premier abord. Ici, le metteur en scène ne se situe point dans la chronique entre comédie et drame psychologique et ne traite pas de l’adolescence de la même manière. En effet, pas de drames intimes sur une note douce-amère mais une plongée dans le genre du feel-good movie; et dans son expression cinématographique la plus pure ce qui signifie avec un beau message de tolérance prônant la beauté intérieure en prime. C’est attendu et pas forcément novateur mais c’est seriné avec assez de savoir-faire pour que l’on ne s’en offusque pas. Et dans ce genre de productions typiquement calibrées pour les Fêtes de fin d’année, on a déjà vu bien pire. La preuve, cela fonctionne car plusieurs fois notre machine à larmes fonctionne à plein régime.

Mais « Wonder » n’est pas dénué de défauts, loin s’en faut. On a du mal à saisir le principe du film découpé en chapitres selon les points de vue des différents personnages adolescents. En effet, chaque partie commence avec la voix-off de son personnage puis cela est à chaque fois abandonné au bout de quelques scènes pour revenir à une narration classique. Un drôle de choix de découpage qui semble avoir été laissé en l’état de brouillon dans le montage final. Cela présente l’intérêt de développer certains seconds rôles intéressants mais ne semblait pas forcément la manière la plus appropriée surtout quand le choix n’est pas assumé totalement. Ensuite, le film a du mal à sortir des ornières du film gentillet qui essaie d’être un peu méchant parfois mais pas trop non plus pour ne pas braquer une partie d’un public qu’on imagine très familial. Les personnages sont parfois un peu trop caricaturaux et tout le déroulement s’avère terriblement attendu avec quelques longueurs et redondances en prime.

On suit donc tout cela avec plaisir mais sans grande folie non plus. Quant au casting, si on est content de revoir Julia Roberts qui se fait de plus en plus rare, elle se contente de jouer la caution star du film en faisant ce qu’elle sait faire de mieux : un personnage doux, compatissant et généreux. Owen Wilson est quant à lui complètement transparent dans un rôle de père trop peu étoffé. Le jeune Jacob Tremblay fait le travail dans un rôle difficile mais on doit avouer qu’on le préférait dans le film qui l’a révélé : « Room ». Les surprises sont plutôt à aller chercher dans les seconds rôles adolescents notamment Izabela Vidovic en sœur compréhensive d’une incroyable justesse et surtout le jeune Noah Jupe déjà aperçu dans « Bienvenue à Suburbicon » ce mois-ci. Il a un charisme incroyable pour son jeune âge. En l’état « Wonder » demeure un agréable divertissement familial prompt à faire pleurer dans les chaumières avec son final tire-larmes mais n’exagère pas non plus dans le pathos avec quelques jolies scènes et une belle morale. A vous de voir !

film magnifique d humanisme et de lecon pour la tolerance et l acceptation. tres bon jeu des acteurs

Un véritable coup de cœur pour Wonder, ce film avec Julia Roberto est formidable et à voir obligatoirement ! c’est une véritable claque humaine, c’est touchant, et vraiment magnifique, l’histoire est émouvante et on s’ennuie jamais et les acteurs sont exceptionnels vraiment j’espère que le film sera nommé aux Oscars ce serait mérité amplement , un chef d’œuvre pour finir cette année !

Dès la première minute, on est dans l’histoire. Il n’y a pas de temps morts, pas de passages vides, tout est fait pour qu’on soit véritablement dedans. On découvre Julia Roberts dans un rôle dramatique et ça lui va très bien car elle réussit à faire monter les larmes à plusieurs reprises. On ne peut pas restés insensibles à une telle histoire. Film à voir !

Même pour un gros consommateur cinéphile, il y a des films qui nous touche au delà de leur valeur cinématographique. C'est ce que j'ai ressenti face à Wonder. Le film commence, je me dis immédiatement que je vais bien aimer mais que cela va manquer d'originalité et de surprise. Et puis la poésie opère, le système narratif - sans être révolutionnaire - vient apporter la touche qu'il fallait pour créer quelques rebondissements. Un film qui vise en plein coeur : comment des personnes pleins de bienveillance peuvent se faire du mal entre elles ?

Tout d’abord, si vous n’avez guère un sérieux penchant pour les sentiments humains, évitez d’y aller : ça vous évitera de partir en cours de séance et d’imposer votre silhouette en plein milieu de l’écran à ceux que ça intéresse. Quoique vous pourriez apprendre bien des choses. Pour les autres, si vous avez aimé "Mary", alors vous devriez apprécier le bien nommé "Wonder". Parce qu’il traite lui aussi de la différence, à un degré différent toutefois. A croire que ça devient une mode depuis quelques temps… Mais c’est aussi une façon de délier les langues peu à peu, ce qui ne serait pas un mal, surtout si on considère le temps depuis lequel ça dure. Et heureusement qu’il y a le septième art pour tenter de déclencher une réelle prise de conscience. Alors voici mon avis, influencé il est vrai par ma connaissance du sujet puisque j’ai dans mon entourage une famille qui a un enfant… différent. Et pour la fréquenter de près, je me suis rendu compte du combat quotidien pour ne pas tenir compte du regard des gens, de la lutte contre le jugement qui sort de ces regards tout en essayant de ne pas y prêter cas. Mais quand sa jeune progéniture est en prise avec la méchanceté des jeunes de son âge, le combat est d’autant plus difficile, à plus forte raison quand les parents n’admettent pas la différence au point de catégoriser telle ou telle personne au rang de monstre ou de débile profond. Nous retrouvons tout cela dans ce film éminemment authentique. Un père infiniment prévenant, une mère entièrement dévouée à la protection de son petit, une grande sœur en quête d’existence aux yeux de sa maman mais profondément attachée à son petit frère, tel est le portrait brossé du giron familial du jeune Auguste, ce jeune garçon qui n’a rien demandé à personne mais qui doit porter le lourd fardeau de la différence au grand jour en endossant en prime le statut peu enviable de bleu. Nul n’ignore qu’il n’y a pas plus méchant que les enfants entre eux, et c’est parfaitement retranscrit ici. Mais ils sont capables aussi du meilleur. Outre Julia Roberts et Owen Wilson qui sont absolument parfaits dans le rôle des parents que nous aimerions tous avoir, notre attachement ira envers les enfants, à commencer vers Jacob Tremblay, époustouflant dans le rôle d’Auggie. Mais le cadre de cette famille soudée quoi qu’il arrive est aussi scellé par l’excellente performance d’Izabela Vidovic dans les traits de la grande sœur attentionnée. En somme, ils forment une famille inscrite dans les parfaits idéaux, par ailleurs douée d’une gentillesse innée. Point de vue gentillesse, on la verra d’entrée de jeu sur le visage de Noah Jupe dans le costume de Jack Will. Et aussi chez d’autres enfants, tels que Summer (interprétée par Millie Davis) et Charlotte (Elle McKinnon). Il faut dire qu’ils sont dans un établissement scolaire qui prône les idéaux et la bonne conduite qui va avec, dirigé avec beaucoup de bienveillance par Monsieur Tushman (Mandy Patinkin, plus habitué à des rôles de série), il est vrai aidé par des enseignants qui ont la passion de leur métier, une passion très visible chez Mr Browne (Daveed Diggs). Autant dire que le casting réalisé a été d’une grande qualité dans ses choix. En dehors de ça, on s’interrogera peut-être sur la romance entre deux adolescents, pas très utile pour enrichir le propos, mais c’est aussi par cette accumulation de petits faits anodins que de grandes choses finissent par se produire. On pourra peut-être aussi reprocher cette facilité scénaristique qui semble donner un revirement assez facile d’un certain nombre d’élèves par rapport à leur petit camarade. Certes, les spectateurs croyant encore profondément au genre humain, en la croyance des sentiments et attachés aux vraies valeurs verront la tournure des événements d’un bon œil et se satisferont de la diffusion du message à un large public. Il manque cependant ce petit truc qui aurait pu donner à la dimension émotionnelle une ampleur qui aurait emporté l’adhésion de tous. Oui, il manque ce petit quelque chose d’indéfinissable. Mais quoi ? Si je le savais… Oh je ne dis pas que l’émotion est absente. Non, elle est bien présente, et même fort. Assez fort en tout cas pour faire rouler quelques petites perles salées sur vos joues. Et puis surtout, je suis sorti du film en me demandant que tout compte fait, elle est où la différence ? Après tout, nous sommes tous différents. En effet, nous n’avons pas tous les mêmes capacités… pas plus que les mêmes aspects physiques. Ne dit-on pas qu’il faut de tout pour faire un monde ? Ne dit-on pas que tous les goûts sont dans la nature ? Eh bien, c’est pareil pour LA différence telle que l’être humain l’entend. Quant à "Wonder", on se souviendra du message distillé, de l’authenticité de l’œuvre, du jeu juste de l’ensemble des acteurs, et de la musique qui accompagne merveilleusement bien le film.

Un très beau film sur un sujet pas si facile, le regard des autres face à la malformation du visage d'August Pullman. Comment arriver à vivre normalement, à s'intégrer et à se faire accepter par les autres ? L'histoire est traitée de façon positive, avec beaucoup d'espoir et de légèreté malgré les difficultés que rencontrent les personnages. Le thème du harcèlement scolaire est également abordé et sensibilise fortement. Ce qui est aussi assez intéressant, c'est que le film ne tourne pas non plus complètement autour d'August, on nous présente aussi d'autres personnages avec leurs peines et leurs joies (comme sa sœur, ou son ami Jack).
Le seul reproche que je pourrais faire au film, c'est peut être ce côté un peu trop mielleux à l'américaine, mais on fera assez vite l'impasse face aux bons sentiments de cette histoire et surtout de ces acteurs.

cinephile-critique.over-blog.com

assez déçu du film au vu du nombre d étoiles. je m attendais à un film frais, qui apporte le sourire mais j en suis sortie avec le sentiment d avoir eu affaire à un film degoulinant de bons sentiments sans surprise et mièvre. dommage car les acteurs sont bons. ca ferait un bon téléfilm d avant Noël. en revanche ça peut être sympa de le voir en famille pour les différents messages qu il apporte. un film pour enfant et ado ;)