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    A Cure for Life
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    398 critiques spectateurs

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    AshleyBunstyl
    AshleyBunstyl

    2 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2017
    Paysages magnifiques, bon jeux d'acteurs je ne me suis pas ennuyée pendant ces 2 heures 30 de film. Je sais qu'il y a beaucoup de critiques et les avis des spectateurs sont assez différents. Mon compagnon a moyennement aimé ce film car pour lui trop de scènes illogiques et une fin trop bâclée. Mais je me pose la question si ces anomalies sont le fruit d'un manque de rigueur dans le travail du réalisateur et des scénaristes ou bien sont-elles là exprès pour nous donner des indices sur quelque chose de plus implicite? spoiler: par exemple: comment le jeune homme a pu mettre son pantalon normalement alors qu'il a un plâtre?la voiture a fait plusieurs tonneaux et il n'a rien? sa dent tombe entièrement et on lui arrache une dent mais dans la scène finale il a toute ses dents, l'histoire du comte est très fantastique, on fait avaler des anguilles avec un liquide qui est en quantité supérieure à ce qu'un corps humain puisse avaler et Lockhart n'en meurt pas, etc etc etc Nous voyons le héros principal qui va dans un de ces incubateurs puis plongé plus tard dans une bassine avec les autres etc etc puis plusieurs scènes de ce genre se répète comme parfois dans des cauchemars où des choses qui nous effraient se répète inlassablement. La fin: il sauve la jeune fille comme de son vilain père comme dans un conte et il repart avec elle mais sur le chemin il croise ses patrons qui lui font des réflexions un peu comme parfois dans de mauvais rêves nous croisons des gens dont nous craignons l'autorité, dont nous avons des comptes à rendre et qui nous angoisse. Il les envoies promener et il repart avec un sourire à la Joker sur la bicyclette avec son amie . Parfois dans nos cauchemars nous voyons des êtres fantastiques, horrifiques et où l'on rencontre aussi des visages connues de nôtre entourage dans un contexte très stressant.. Puis le film est lent puis tout à coup tout se précipite comme parfois il nous arrive quand on rêve et que quelque chose de désagréable arrive et qui est complètement improbable puis on se réveille en sursaut, sueur etc

    Alors je me pose la question Est ce qu'il est réellement fou et donc tout ce délire est vécu comme un véritable cauchemar donc quelque chose d'irréelle ou bien ce film est juste une histoire complètement à côté de la plaque? pourtant à plusieurs reprises on parle de la petite danseuse aux yeux fermés qui ne sait pas encore qu'elle rêve....
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 février 2017
    La bande annonce était plus alléchante que le film lui-même. On ne peut pas dire que l'on s'ennuie mais il faut aimer le film du genre. Un mélange de la piel que habito, de franckeistein, ....la tension est présente durant tout le film avec une intrigue qui tient en haleine même s'il y a des invraisemblances. Quant à la fin, elle nous laisse songeur. ...Bon il vaut mieux être détenteur de la carte pour aller voir ce film.
    Jonathan D
    Jonathan D

    6 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 février 2017
    Dans un film, qu'est-ce qui est le plus important? Le fond ou la forme? C'est, bien entendu, mieux quand on a les deux.. mais à choisir?
    Dans "A Cure of Life", l'accent est mis sur la forme plus que sur le fond. Mais est-ce que cela en fait un mauvais film pour autant?

    Nous suivons un jeune businessman, venu chercher son boss dans un institut de soins au coeur des Alpes suisses. Commence alors une enquête dans ce sanatorium trop propre pour être honnête (car oui, il y a anguilles sous roche, forcément), nous entraînant dans les profondeurs horrifiques de l'établissement. Mais notre jeune homme d'affaires, n'aurait il pas perdu la raison??

    Mais comme je le disais, le plus interessant du film n'est pas son scénario (non qu'il soit inintéressant, mais trop peu fouillé et un peu bâclé, il reste au second plan). L'intérêt premier de "A Cure of Life" c'est son esthétisme. Le film est BEAU. Beau dans ses décors, beau dans sa mise en scène, beau dans sa photographie, beau dans ses cadrages. Et il va pousser sa beauté jusqu'au mal(à l')aise de certaines scènes hyper réalistes et qui jouent avec nos phobies (phobiques du dentistes, attention à vous).

    Ajouter à ça un rythme ddes plus lent, avec des longueurs assumées par le réalisateur (pour contempler la beauté du film, ou laisser toute sa place à l'angoisse) et vous vous retrouverez bien avec un film qui mise plus sur la forme que sur le fond.

    Au final, "A Cure for Life" ne vous laissera pas indifférent, loin de là, par son esthétisme et sa forme, mais vous laissera sur votre faim avec son histoire (pourtant intéressante) sous exploitée.
    Un beau film, plus qu'un bon film.
    PsychoHead
    PsychoHead

    52 abonnés 219 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2017
    Du très bon. La réalisation est vraiment excellente, certains plans sont d'une beauté... Plus le film avance, plus l'ambiance devient pesante et angoissante, la bande son aidant bien aussi. L'histoire m'a vraiment captivé de bout en bout et les révélations sont pour la pluparts vraiment étonnantes.
    Le film a ne pas manquer de la semaine.
    jeff21
    jeff21

    64 abonnés 296 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 février 2017
    Un bon suspence conduit une histoire originale à vous glacer les sangs dans une ambiance malsaine d'un sanatorium perdu dans les Alpes suisses. L'image joue beaucoup dans ce thriller dans cet hôpital où il ne fait pas bon être malade. Et puis toutes ces bestioles....
    Flaw 70
    Flaw 70

    259 abonnés 422 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 février 2017
    Après une décennie à avoir baigné dans les blockbusters de studio, Gore Verbinski tente de se ressourcer avec son dernier film, faisant même de cela la base de son A Cure for Life. On ne peut s'empêcher de voir des similitudes entre son jeune héros et le cinéaste, tout deux brisés par l'influence du conglomérat, chaque parties d'un système vicié voulant l'asservir (d'un côté les gros studios/entreprises et de l'autre les puristes) tandis que lui se voile dans l'illusion de ne vouloir être qu'un bon cadre d'entreprise. Sauf que comme le souligne A Cure for Life, le rêve est terminé pour le cinéaste et il est temps de se réveiller, faisant un film avant tout pour lui en ne s'imposant aucune limites dans la radicalité de sa vision. Il n'a ni peur du ridicule, ni de déborder de son sujet et il embrasse toute ses imperfections pour mieux souligner le propos de l'oeuvre et offre un long métrage jusqu'au-boutiste aussi admirable qu'exaltant, bien qu'imparfait.

    Avant de s'attaquer à ce projet, Gore Verbinski était très attaché à une adaptation cinématographique du célèbre jeu vidéo BioShock qui n'a malheureusement pas pu voir le jour en raison d'un studio trop frileux. Chose qui a très clairement contrarié le cinéaste, qui a apporté beaucoup de ses idées dans ce nouveau film, faisant de A Cure for Life, une adaptation indirecte de BioShock. Tout y est, l'environnement clinique et surannée où l'eau est omniprésente, la création d'un monde utopique par un mégalomane fou, la quête d'un personnage pour nous amener à la découverte d'un autre. Dans le jeu le joueur tente d'atteindre Ryan, le créateur de la ville sous-marine, le voyant comme l'achèvement de sa quête mais découvre la trahison d'Atlas, son guide, qui n'est autre que Fontaine en réalité, le méchant de l'histoire. Dans le film le héros part à la recherche de Pembroke, son supérieur hiérarchique, pour au final découvrir la folie de Volmer, qui se cache aussi sous une fausse identité. On y retrouve aussi la quête du père, la réflexion sur l'immortalité, un personnage qui évoque un Big Daddy, imposant garde du corps dans le jeu, ou un autre qui évoque la petite sœur, personnage corrompu par la folie du méchant que le héros doit libérer (ou tuer, le choix étant laissé au joueur). Mais ce que reprend surtout le film, c'est le concept de l'ADAM.

    Dans le jeu, l'ADAM est une sorte d'élixir qui confère au joueur et à ceux qui l'utilisent des capacités spéciales. Un élixir qui est récolté et transformé par une sorte de limace de mer, mais pour pouvoir posséder de bonnes quantités de cet élixir, il faut l'intégrer à la paroi de l'estomac d'un hôte humain, qui devient presque un zombie, puis puiser l'ADAM grâce à des régurgitations. Dans le film, Verbinski remplace les limaces de mer par des anguilles tandis que l'élixir ne confère plus des pouvoirs mais un forme d'immortalité. Il se sert de tout cela pour retranscrire une vaste quête de pureté qui vire à l'obsession et se transforme en une monstruosité impure. On y retrouve les mêmes thématiques dans dans le jeu vidéo, le rêve qui se transforme en cauchemar, la lutte des classes, l'oppression du consumérisme et l'envie d'une existence d’opulence érigée au détriment des autres. On ne peut être fort si l'on n'a pas des faibles, quitte à les fabriquer. Le scénario devient habilement une critique acerbe du monde dans lequel on vit, et ce montre par moments bien plus intelligent qu'on pourrait le penser. Notamment dans cette séquence surréaliste qui voit le personnage principal accompagné d'Hannah s'échapper du centre pour aller dans un village voisin. Une scène qui marque l'éveil tourmenté d'une jeunesse troublée en quête de repaire. Chaque personne dans le bar où les deux protagonistes s'arrêtent sont dissociés de leur temps mais aussi des uns des autres, par leur look mais aussi leur attitude. Le scénario arrive avec finesse à souligner l'incommunicabilité d'une génération, qui ne sait s'exprimer que par la violence et la dégradation.

    La richesse thématique du scénario est absolument vertigineuse et force le respect, entre la vengeance que prend le cinéaste sur les gros studios, la critique du monde d'aujourd'hui mais aussi une adaptation fidèle des obsessions du jeu vidéo qui a clairement inspiré son projet. Mais malheureusement, ce qui marche d'un point de vue symbolique, ne fonctionne parfois pas sur le plan narratif. En ça, le film sera parfois bien trop attendue dans ses ficelles narratives tout comme il manque cruellement de subtilité dans sa façon d'alimenter ses rebondissements. Il appuie beaucoup trop certains éléments, notamment par la mise en scène, pour que l'on ne devine pas la direction que va prendre le récit. Il bascule aussi dans un dernier acte over the top, où ses inspirations gothiques sont moins crédibles que l'atmosphère clinique qu'il avait si bien alimentée jusque là. Son final frise par moments le ridicule mais n'y tombe jamais vraiment car il retranscrit bien l'effervescence de la folie qui est censée exploser. L'absence de contrôle qui émane de la fin devient donc justifiée même si très clairement perturbante. Pour autant, on parvient à y croire grâce aux acteurs, tous très bons. Dane DeHaan est ici très en forme et apparaît presque à contre-emploi. Loin des performances d'ados perturbés qu'on lui prêtait, il s'impose en jeune homme confiant et impétueux avec une aisance et une justesse qui qualifie les grands, car grand acteur il l'est assurément. Mia Goth s'impose par son étrangeté touchante qui n'est pas sans rappeler celle de Christina Ricci, les deux actrices dégagent quelque chose de similaire. Et par cela, Goth trouve facilement sa place au sein du film où elle se montre très convaincante. Jason Isaacs pourra peut-être décevoir par sa prestation un brin caricatural sur la fin, mais il arrive par petites touches à trouver les nuances de son personnage.

    A Cure for Life s'impose facilement comme une oeuvre solide malgré ses imperfections. Gore Verbinski y déploie une culture cinématographique impressionnante et soulignée par une mise en scène, certes trop appuyée par moments, mais plastiquement superbe. Les plans sont d'une inventivité rare, soutenue par la photographie hyper-stylisée du Bojan Bazelli, et créent une ambiance malsaine et fascinante qui marque la rétine. La mise en scène s'impose par son élégance et sa sophistication et fait plaisir à voir. Même la musique y est inspirée, flattant tout les sens du spectateur. Donc avec son scénario imparfait mais riche qui ne se refuse aucun excès, Verbinski signe une œuvre admirable par bien des aspects. A Cure for Life aura sans aucun doute ses détracteurs mais reste un film qui se doit d'avoir sa chance, car sous ses airs de série B de luxe, se cache un pamphlet fascinant sur notre façon de vivre. En plus d'être bien filmé et joué, il s'impose aussi comme une adaptation audacieuse du jeu BioShock, pas nécessairement celle demandée par les fans mais qui pourrait néanmoins les réjouir. Du très bon.
    Ninideslaux
    Ninideslaux

    80 abonnés 245 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2017
    Quand vous n'avez pas le moral, rien de mieux qu'un bon film d'épouvante. Par exemple dans une clinique avec un inquiétant médecin. Une clinique en Forêt Noire? La Suisse peut faire l'affaire.....

    Même si la fin, il faut bien le dire, patine un peu, ce qui est le cas dans ces films de genre qui veulent se donner, in fine, un semblant de logique, A Cure for life de Gore Verbinski est absolument délectable!

    Premières images de buildings new-yorkais, à qui la prise de vue donne déjà un côté inquiétant. Nous voila dans un holding financier à la veille de faire une belle opération boursière, mais il y a des détails qui pourraient alerter la Commission de Contrôle. Il importe donc de faire revenir un certain Pembroke parti faire une cure en Suisse. On envoie le jeunot de la bande, Lockhart (Dane DeHaan), en le menaçant de le mouiller s'il ne remplit pas bien sa mission. Notre jeunot, aussi content de lui qu'ambitieux, prend donc la route. Pas de faille apparemment chez Lockhart, et pourtant on apprendra que son père, trader également, s'est suicidé devant ses yeux en se jetant d'un pont...

    Avion, train, puis taxi avec des images extraordinaires! Ce ne sont que tunnels, vallées encaissées où la route trouve à peine sa place, avant d'arriver dans le décor majestueux d'un château bâti sur une colline, cerné de neiges éternelles... (C'est le château des Hohenzolem en Allemagne qui a été en partie utilisé). L'édifice a été rebâti après l'incendie du château médiéval préexistant; le jeune seigneur, incestueux, ne pouvant avoir d'enfant avec sa jeune soeur, aurait fait d'étranges expériences et, bon, les villageois ont foutu le feu! Sous le château, il y a tout un labyrinthe de salles de soin, allant du hammam et de la balnéothérapie des plus ordinaires jusqu'à des installations des plus bizarroïdes. Et tout un réseau de couloirs souterrains qui aboutissent à une vaste réserve d'eau, peuplée d'énormes anguilles.... Franchement, le décor vaut le voyage et fout la trouille.

    Les villageois actuels ne semblent pas plus bienveillants vis à vis des visiteurs du château puisque le taxi reçoit une pierre. Et le chauffeur dit à Lockhart que, jusqu'à présent, il n'a jamais convoyé de curiste sur le chemin du retour.... Le directeur de l'établissement, le Dr Volmer (Jason Isaacs) est un bel homme bourgeois et élégant (on croirait voir Don Draper!). Les patients ont tous l'air illuminés, heureux, vêtus de blanc, ils jouent aux cartes ou au croquet entre deux soins, tout en buvant des litres et des litres de l'eau miraculeuse, et n'envisagent pas de partir: ils sont malades! Ils partiront le jour où Volmer mettra fin au traitement. Il y a enfin une toute jeune fille (Mia Goth) qui a, elle aussi, l'air d'être à côté de ses baskets, c'est la pupille du docteur, et elle le confirme à Lockhart: non, personne ne s'en va jamais...

    Lockart a le plus grand mal à joindre Pembroke qui n'a pas envie de partir. Et lorsqu'il tente de descendre au village pour aller téléphoner, le taxi est violemment heurté par un grand cerf (super scène!), fait plusieurs tonneaux, la voiture est en miettes, le chauffeur blessé, et Lockhart a une jambe cassée. Le voilà plâtré; plus question de partir...

    A partir de cette situation, le film va se dérouler cauteleusement au fil des découvertes de Lockhart et des questions qu'il finit pas se poser sur lui même. N'aurait il pas, réellement, besoin d'une thérapie? Il n'y a que l'extrême fin qui dérape un peu dans le gore. Mais Verbinski tire magnifiquement partie des lieux; c'est un film d'esthète, monstrueusement beau.
    Absolument à voir quand on est fan du genre!
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 février 2017
    Proche de Shutter Island, parfois même trop similaire, A Cure for Life parvient tout de même à s'en détacher en insistant sur un travail remarquable de l'image. Ce décor parfait peut même troubler le spectateur, en raison de son absence de défauts et donc de l'effet non réel qu'il peut produire. Le scénario est quand à lui fascinant, bien qu'inégal dans sa mise en scène. Certains passages peuvent paraître négligés tandis que d'autres accaparent à outrance l'intrigue principale. La tension monte crescendo, et le malaise s'installe. Un film à voir ne serait-ce que pour son atmosphère si particulière.
    romano31
    romano31

    279 abonnés 1 543 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2017
    4 ans après l'échec cuisant de The Lone Ranger (échec qui n'était pas mérité selon moi), Gore Verbinski revient avec un thriller à petit budget : A Cure for Life. Et ce qui saute aux yeux au premier abord c'est la mise en scène. Elle est très soignée tout comme la photographie qui joue énormément sur le style visuel et l'ambiance du film avec son mélange de vert, de bleu et de blanc immaculé. Pour ce qui est du scénario, j'ai trouvé ce-dernier assez prenant et même si on devine plus ou moins les grosses trames de l'histoire, le film n'en reste pas moins plaisant à suivre. Enfin, du côté des acteurs, j'ai trouvée Dane DeHaan vraiment excellent tout comme Jason Isaacs parfait en directeur du sanatorium. J'ai passé un très bon moment devant A Cure for Life et si vous aimez les thrillers à ambiance, vous aimerez sans doute le film.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 18 février 2017
    C'est vraiment avec un grand regret que j'accorde cette note.
    Des plans sublimes, une façon de filmer excellente, une très belle lumière, des paysages hors normes.
    Mais le gros problème de ce film c'est le scénario; ce genre de film repose essentiellement sur la psychologie qui découle du scénario. Celui-ci est assez tiré par les cheuveux, extrêmement prévisible, et pas super bien clair... et donc le choc psychologique est moindre et le film perd sa crédibilité.
    Côté acteur, c'est pas une grande catastrophe mais on remarque qu'ils sont également piègés par le scénario et semble ne plus savoir où mener de la tête.
    Enfin des scènes gores assez basiques au final qui aurait eu le mérite d'être un peu plus poussé selon moi pour compenser le scénario qui négligeait l'atmosphère.
    En résumé un film avec un esthétisme fort grâce à une originalité qui n'est plus à démontrer mais qui selon moi n'arrive pas conclure correctement les attentes du spectateurs face à ce genre particulier.
    Sheogh
    Sheogh

    25 abonnés 74 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 février 2017
    La bande annonce le laissait présager, le film est beau.
    Malheureusement, si la forme est de qualité, le fond est assez indigeste.
    Plus l’histoire avance, plus elle s’enlise… Après un démarrage très prometteur, et plus de 2 heures à suivre l’enquête hésitante et laborieuse de Lockhart, le film s’achève de manière complètement grotesque.
    Même si de nombreux plans restent présents après la vision du film, je regrette vraiment de ne pas m’être limité à la bande annonce.
    Thibault F.
    Thibault F.

    52 abonnés 822 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 février 2017
    A cure for life fait le grand écart. Esthétiquement irréprochable grâce à une réalisation inspirée et inspirante de Gore Verbinski, le film fait défaut dans son scénario et sa cohérence jusqu'à perdre le spectateur dans une fin alambiquée, soporifique et curieuse. Cette fin qui finalement semble totalement déconnecté avec l'univers pesant et mystérieux des 2 premières heures du film. La fin par son rythme m'a totalement décontenancé car absolument par raccord avec le reste de l'oeuvre. spoiler: Je pense notamment au moment où le combat entre Lockhart et Volmer s'amorce en une forme de Terminator VS John Connor
    . Au delà de cette fin bancale, le film est esthétiquement réussis : chaque plan dessine un tableau inspiré contrastant entre le CBD de NY et le sanatorium suisse. Les couleurs et effets de lumière sont particulièrement réussis tout comme l'ambiance sonore dont son thème principal, certes répétitif et limite parodique par moment, qui permet d'installer une atmosphère lourde et mystérieuse. A cure for life est finalement un hommage à tous les fantasmes et références cinématographiques de Gore Verbinski en matière de série B. Et sacrément le bougre, il a très bon goût. Pour résumer, A cure for life, est une oeuvre avec des défauts mais qui s'apprécie à sa juste valeur. Quelques longueurs à prévoir !
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    767 abonnés 1 519 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 16 décembre 2021
    Un jeune cadre américain ambitieux se retrouve forcé de partir pour la Suisse retrouver son patron en pleine cure dans un établissement de soins.
    Une fois arrivé sur place, il se rend compte que cet endroit est aussi étrange qu'idyllique...
    Réalisateur des 3 premiers volets de la franchise "Pirates des Caraïbes", Gregor "Gore" Verbinski nous invite ici dans un thriller fantastique à l'ambiance pesante et toxique.
    Le film est plutôt long (2h27), mais la mécanique prenante et angoissante de l'histoire m'a bien tenu en haleine sans vraiment voir le temps passer, ce qui est plutôt bon signe.
    On sent une vraie recherche esthétique dans la qualité des plans et des images, de ce côté là, c'est vraiment réussi !
    Un assez bon divertissement donc, pour se mettre mal à l'aise aux frontières de l'étrange et du surnaturel.
    PaulGe G
    PaulGe G

    108 abonnés 607 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 février 2017
    des que vous entrez dans l'antre du diable vous êtes crispé a votre fauteuil. venir aux thermes pour ramené un collegue et y laissé son âme.tel est le sujet de ce film d'une très grande beauté et d'une mise en scène glaciale ce film foisonne de références aux grands réalisateurs du genre (Corman et Fischer) 2 heures vingt a couper le souffle et pas une seconde de trop. vous serez envouté par ce docteur diabolique qui veut trouver l'élixir de vie et par une jeune fille pas encore éveillée a la vie. admirable parabole ; admirable film.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 février 2017
    Sans commentaires, si vous voulez gacher 2h27 de votre vie aller voir ce film sans hésitation. J'ai pas compris la motivation du réalisateur et scenariste à réaliser un film avec une intrigue aussi peu captivante.
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