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    A Cure for Life
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    3,2
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    398 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 6 octobre 2018
    Visuellement bluffant, j'ai décroché ma mâchoire à plusieurs reprises. Paysage des Alpes, ou sanatorium du siècle passé, plusieurs plans vraiment époustouflants me sont restés en tête.
    La sur-esthetisation, la symétrie labyrinthique, les reflets dans les miroirs ou dans l'eau, tout cela participe à l'ambiance oppressante de ce centre thermal.

    J'avais lu que le scénario était le point faible.
    A part la fin nanardienne qui n'a rien à faire là et fait tache par rapport au reste, je trouve que ça se tient bien.

    Les interrogations que beaucoup se sont posés, les incohérences, je ne les ai ici pas relevé, je me suis simplement laissé transporter.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 27 février 2017
    Avant toute chose, je tiens à remercier la demoiselle aux cheveux rouge s assise derrière nous et qui passait ses pieds sur le fauteuil à côté de nous et qui nous a permis d'avoir un film en odorama !
    Pour être parfait le film simplement de rythme mais l'idée sous jacente est intéressante. Nous avons affaire à un thriller philosophique !
    cinestef
    cinestef

    14 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 février 2017
    Il y avait de la place pour en faire un grand film. Mais trop d'effets visuels et une intrigue sans surprises m'ont laissé sur la fin. Dommage.
    Cosmos K
    Cosmos K

    3 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 février 2017
    le problème du film est son classicisme dans le traitement et dans l'histoire qui aurait du être bien plus surprenante et ça la que le bas blesse car sinon le jeu d'acteur est bon , l'image( un visuel bluffant ) les références ( on pense à un tas de films ) vous stimule le cerveau .Il y avait presque tout pourquoi ne pas faire une fin excitante surprenante bon sang pour peu c'était le film de l'année mais on s'embête un peu car rapidement on comprend tout dommage avec autant de référence que ça manque autant d'ambition
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 26 février 2017
    Hélas ne tient pas ses promesses ! Long long long
    L univers est chouette ! La lumière aussi
    Par contre trop de maquillage les gros plans ça pique!
    L'histoire était bien partie mais LA fin est trop tiré par les cheveux et on décroche !
    30 min de moins aurait été bien !
    Cest un film qui aurait pu être bien
    Jean-Fransix M
    Jean-Fransix M

    18 abonnés 94 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2017
    Voilà un film beau, avec un scénario de qualité et des décors sublimes. Le héros c'est le centre soin: magnifique bâtiment, tout est soigné, décors, costumes un pur bonheur. L'histoire se tient et tient le spectateur en haleine. L'interprétation est de qualité, bref un très beau film, presque un conte de fées...
    pitch22
    pitch22

    165 abonnés 682 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 mars 2017
    Gore Verbinski, après une longue parenthèse, revient avec un cauchemar éveillé aux accents surnaturels. Âmes sensibles, prendre garde, quand bien même cela ne concerne que deux-trois scènes spoiler: (par exemple, l'éventrement d'une vache, assez trash)
    . On pourra reprocher à A CURE sa longueur excessive, avec, en-dehors des scènes critiques, un rythme globalement lent spoiler: (l'avancée en béquilles!)
    , détaillé jusqu'au superflu. Malgré tout, en faire l'économie aurait sans doute pâti à l'effet profondément envoûtant de ce qui s'avère un conte noir. On sent en effet que le scénario a cherché à privilégier un tempo équilibré, en alternant séquences fortes et moments plus calmes, mais aussi repli et confrontation, mystérieuse introspection et inspection éprouvante. Les adeptes de l'action sans temps mort s'y ennuieront sans doute. Gore Verbinski invite l'ombre de Stanley Kubrick (clins d'oeil à ORANGE MECANIQUE, EYES WIDE SHUT et SHINING), de G. A. Romero et de Martin Scorcese (SHUTTER ISLAND bien sûr, de par la thème de la folie). Certes, stylistiquement, il n'atteint pas le niveau de ses références, mais bon... c'est du Verbinski! Une quinzaine d'années après le fameux THE RING, on se retrouve tout de même plongé dans une ambiance fantastique similaire, véhicule d'une angoisse savamment instillée, le tout baigné de décors travaillés (mais pas très bien faits pour les raccords paysage). Cependant, contrairement à The Ring, l'histoire concerne ici des faits vraisemblables bien que déroutants. En effet, très vite, le jeu entre la part de vrai et celle issue de l'imagination est si bien enclenché que l'on se retrouve à se demander si ce que vit Lockhart, le protagoniste (Dane DeHaan), et même ce qu'on nous montre, est réel ou irréel. Embarrassant. Toutefois, malgré cette situation d'inconfort et de doute, le scénario se garde bien de nous rejouer celui de Shutter Island et là, c'est plutôt le spectateur lui-même qu'on tourne en bourrique. La carte de fond est celle de la machination, jusqu'à l'incroyable, jusqu'au dégoût. Même si l'issue rejoint le grotesque, le film offre dans son intégralité des choix élégants et d'habiles techniques d'effroi. Les symboles spoiler: (les anguilles sont en fait des sortes de serpents)
    , les métaphores se trouvent rejoints par quelques subtiles palindromes (le prénom de la fille, le numéro de chambre de Pembroke); tous accompagnent un effet miroir déstabilisant, comme l'expérimente Lockhart. Ce qu'on voit n'est pas forcément authentique. Le jeu façon «sain d'esprit» des «patients» s'avère extrêmement trompeur, puisqu'on glisse progressivement vers le dévoilement de la face sombre d'une mise en scène illusionniste dont les patients sont bien malgré eux les acteurs. Le défrichement, qui tend vers l'enquête individuelle de divulgation, s'opère par heurts, paliers de conscience et soubresauts révélateurs. La sombre réalité de ce château constitué en centre de cure porte un secret vertigineux dont l'ampleur se poursuit au-delà même de la fin. Psychologiquement, c'est tout de même terrifiant. Il faut noter que l'affiche reste peu parlante, l'image n'existant pas en tant que telle dans l'histoire; elle correspond à une vision cauchemardesque ou hallucinogène éphémère. Elle fait partie de ces séquences oniriques merveilleusement conçues. Le paysage environnant (avec effets de trompe-l’œil honorables), les décors sont remarquables, tout comme les effets spéciaux, à thème ici très organique. Au-delà, on a du mal à croire que Lockhart puisse aussi facilement balancer ce qu'il découvre, sans stratégie de méfiance: dans l'histoire, c'est là où le bât blesse. Quoiqu'il en soit, Dane DeHaan incarne parfaitement ce personnage d'allure malingre, idem Mia Goth en jeune adolescente, pure et ingénue. Quant à Jason Isaacs, ancien «Lucius Malfoy», il semble à sa place malgré un manque de malice pour coller à la fourberie du Dr Volmer, dupeur hors pair. A CURE ne plaira pas à tout le monde. Avoir confié le scénario à Justin Hayte n'était pas la meilleure idée. Et puis, certes, c'est relativement long. Mais c'est à prendre ou à laisser, et il serait dommage de passer à côté d'un film de cet acabit, aux plans sublimes et pour le moins dérangeant.
    laurence l
    laurence l

    136 abonnés 1 135 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 février 2017
    Bien bel univers à la sutland island mais un peu en dessous. Un climat qui vous fait froid dans le dos, de belles images et un scénario bien ficelé mais un peu en dessous au film que je m’attendait.
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    66 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 février 2017
    Tandis que vient d’être mise en ligne la bande-annonce du cinquième Pirates des Caraibes et que vient de sortir la suite de Le Cercle, deux franchises initiées par Gore Verbinski, le réalisateur signe avec A Cure for Life un thriller fantastique dont le trailer a su affoler la geekosphère. Le résultat est pourtant loin d’être à la hauteur de cette hype.

    Aquaphobie étouffante

    Trois ans et demi après l’échec commercial de Lone Ranger, Gore Verbinski revient et semble libéré des liens qui l’unissaient à la firme aux grandes oreilles. Il conserve tout de même quelques-uns des collaborateurs de cette mauvaise expérience, en particulier son co-scénariste et le chef opérateur. Il apparait pourtant, à la seule vue de la bande-annonce, que le film se dirige, loin des clowneries d’un Johnny Depp cabotin.

    Immanquablement, c’est à Shutter Island que l’on pense à la vue de ce bâtiment hospitalier aux méthodes non conventionnelles. Afin de s’éloigner du néo-classique de Scorsese, Verbinski fait le choix de poser son héros avant d’introduire ce décor horrifique. C’est ainsi que son long-métrage s’ouvre sur une plongée asphyxiante dans les bureaux de Wall Street, où le pouvoir angoissant de la photographie très froide fait d’ors et déjà son effet. En revanche, le personnage de Dane DeHaan n’y est pas caractérisé au-delà de la caricature du jeune carriériste impitoyable, mais surtout un esprit entièrement cartésien. Il ne sera pas davantage défini par la suite, mais ce début laborieux permet d’introduire une sous-intrigue d’émancipation socio-professionnelle annonciatrice d’un certain discours moral et politique… que l’on ne retrouvera que grotesquement bâclée dans la scène de fin
    Stéphane D
    Stéphane D

    119 abonnés 2 118 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 février 2017
    Une réalisation de haut niveau dans des décors magnifiques et une ambiance pleine de mystère qui attise notre curiosité. Dommage que 20mn n'aient pas été coupées dans la seconde partie qui s'enlise pour rien.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 331 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 février 2017
    Quand j’ai vu ce « Cure for Life » sortir, je me suis soudainement étonné d’une chose : d’un côté, j’ai constaté que je n’avais jamais pleinement été emballé par un film de Gore Verbinski, mais d’un autre côté, je me suis rendu compte que je ne pouvais m’empêcher d’apprécier malgré tout son cinéma. D’ailleurs c’est un petit peu ce que je retire comme bilan de ce « Cure for Life » : au final, dans ce film, j’ai continué d’apprécier le cinéma de Verbinski tout en rejetant presque intégralement son film… Alors OK… J’entends : vous voilà bien avancé vous dites-vous ! Bah oui, c’est vrai et je le sais : c’est quand même bizarre comme propos ! Mais bon, rassurez-vous, je vais creuser un petit peu ce que j’entends par là. Déjà, je vais commencer en précisant tout de suite ce que j’apprécie tout particulièrement dans le cinéma de Verbinski et qui se retrouve dans ce « Cure for Life ». Ce que j’apprécie beaucoup, c’est sa plastique. Mais par tous les dieux que ce film est beau ! Au niveau de la pertinence des plans, des travelings, du montage, de la photo (toujours sublime dans les films de Verbinski), je trouve que tout marche. Même au niveau de la mise en place de l’ambiance, je trouve que ça marche aussi… Pourtant, il n’empêche qu’au final, ce film, sur moi, il ne marche pas. Bah oui, mais c’est comme ça que voulez-vous… Du début jusqu’à la fin, j’ai soupiré. A aucun moment je ne me suis vraiment impliqué dans cet univers… Pourquoi ? Eh bien tout simplement parce que je pense que Gore Verbinski, comme beaucoup d’autres formalistes talentueux malheureusement, n’a finalement pas grand-chose à dire dans ses films. Et bon, avouons-le, dans un art du narratif comme peut l’être le cinéma, c’est tout de même un peu gênant… Bah oui, c’est tout bête, mais c’est un peu la base. Si tu n’as pas de propos, même formel, eh bah ton film il n’a pas d’âme. Il tombe à plat. D’ailleurs, moi c’est ce qui m’a choqué dans ce « Cure for Life ». A aucun moment je n’ai vu d’intérêt à l’histoire. Pire, je l’ai trouvé prévisible de bout en bout. Toutes ses révélations finales sont déjà connues dès le lancement de l’intrigue tant elles sont prévisibles et – osons le dire – clichées au possible. Du coup, il devient vite triste de constater à quel point tous ces jolis artifices sont au final mis en œuvre au service d’un long-métrage si lisse et si creux… J’aurais aimé m’en contenter, mais clairement le film ne me l’a pas permis sur la durée. Bah oui, mais c’est l’autre problème quand on brode sur du rien, à la longue ça se voit, et donc du coup, on en arrive à remplir avec ce qu’on peut, et comme souvent dans ce genre de situation, c’est rarement avec le meilleur. Le final pour moi est notamment un très bon exemple de dérapage non contrôlé. Alors qu’il avait su tenir le fil d’une atmosphère oppressive du petit thriller horrifique à l’ancienne, sur la fin, Verbinski cède un peu à la surenchère ridicule, offrant dans ce film des scènes qui gâchent définitivement le peu qui avait été entrepris (Par exemple, spoiler: le coup de la machine qui fait avaler des bestioles, j’ai trouvé ça too much et vraiment gratuit. Même chose quand le baron décide de s’arracher son visage, comme ça, pour le fun, à la toute fin.
    ) Et le pire dans tout ça, c’est qu’en fin de compte, le peu de scénario qui a été posé au court de ce film n’est même respecté sur le long terme ! Pour moi ça reste quand même le symbole ultime d’un film qui n’est pas mené comme il faut. Parce qu’il y en a des trucs qui ne tiennent pas la route ou qui restent sans réponse au final ! Et voici un petit florilège pour ceux qui en douteraient : spoiler: la substance dans l’eau que Dane DeHaan retrouve au bout de son doigt, c’est quoi finalement ? Et puis c’est quoi exactement le pouvoir de cette eau qui déshydrate ? Et puis pourquoi le dentiste s’est décidé de percer la dent de Dane DeHaan, comme ça, gratuitement ? Et pourquoi à la fin Dane DeHaan récupère toutes ses dents alors que tous les autres les perdent ? Pourquoi Dane DeHaan est à un moment zombifié en mode « moi-non-plus-je-veux-plus-partir » et pourquoi juste après il repasse en mode rebelle ? D’ailleurs, pourquoi en général les gros richards qui viennent se faire traiter ici décident de rester quoi qu’il en coûte ?
    Et je n’ose même pas parler de la morale finale qui dit que, en gros, spoiler: si aujourd’hui le baron arrive à ce point à exploiter les gens c’est parce que la société moderne s’est détournée de Dieu et qu’il est donc plus facile aujourd’hui d’exploiter les gens grâce à leur propre ambition
    . Dans d’autres films, j’aurais sûrement taillé comme pas possible ce bon vieux relent réactionnaire bien fumeux, mais là, je n’ai même pas envie de le faire. J’ai tellement l’impression qu’ici, Verbinski n’en pense pas un mot ! Oh non ! Moi ce que je vois là-dedans, c’est juste l’ami Gore allé chercher une ficelle narrative caricaturale parmi tant d’autres dans sa boîte à clichés. C’est triste à dire mais je pense que ce gars là en à strictement rien à faire des histoires et des propos qui structurent ses films. Pour lui, tout ce qui compte, c’est l’atmosphère, c’est le rendu plastique du film. Il n’attend pas que le cinéma fasse voyager son esprit. Il attend juste qu’il fasse voyager les sens. Ainsi, brode-t-il toujours des histoires très stéréotypées pour que l’esprit n’ait pas à se préoccuper d’un quelconque effort de compréhension. Je peux encore comprendre le trip, mais une chose est sûr ce n’est pas le mien. Du moins, ce n’est pas le mien quand il s’agit de raconter n’importe quoi… Il n’en reste pas moins que des fois, sur un « Pirate des Caraïbes » ou un « Lone Ranger », Verbinski parvient à faire des films sympas, sans « prise de tête », c’est vrai. Mais là, pour ce « Cure of Life », je suis désolé, mais je trouve que son film est plus « vain » voire « ridicule » que véritablement « sans prise de tête. » Donc tant pis pour moi j’ai envie de dire. Avec « Cure for Life », ce ne fut pas pour cette fois-là… Peut-être ce sera pour la prochaine…
    GrandSephiroth
    GrandSephiroth

    59 abonnés 727 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 février 2017
    Thriller à tendance horrifique réalisé par le talentueux Gore Verbinski (Le Cercle, la trilogie Pirates des Caraïbes), A cure for life traite de la valeur de la vie à travers des sujets comme la médecine, et d’autres plus sensibles comme l’enfantement et l’inceste. Lockhart, le personnage principal joué par Dane DeHaan (The Amazing Spider-Man, Valérian la cité des mille planètes), est un jeune cadre lancé sur les traces de son patron qui n’est pas revenu d’un étrange centre de bien-être situé en Suisse. Il découvre peu à peu la nature des soins appliqués aux patients par le docteur Volmer, joué par Jason Isaacs (Armageddon, Harry Potter et la chambre des secrets, Peter Pan), et le spectateur est invité pendant toute la trame à comprendre ce qu’il en découle. A la manière d’un Shutter Island, on se pose la question de savoir si Lockhart est réellement malade ou si l’Institut se sert de lui comme il semble s’être déjà servi des autres personnages, qui ne repartent jamais d’ici et se comportent souvent de manière stéréotypée. La jeune Hannah interprétée par l’étonnante Mia Goth donne une touche de féminité au film et sert de clé de voûte à l’intrigue, Lockhart s’intéressant de près à elle pour comprendre ce qui se passe.

    L’esthétique est très réussie grâce à la colorisation glauque des images et aux musiques souvent sinistres (ou envoûtante concernant la piste « Hannah and Volmer »), donnant au sanatorium un cachet vraiment fort et mystérieux qui donne envie de connaître ses secrets. Difficile à interpréter à cause de tous les sujets qu’il traite, le scénario semble faire comprendre que la cure incite les gens à rester où ils sont spoiler: car ça les maintient en vie bien plus longtemps (avec la fameuse espérance de vie des anguilles utilisées)
    , l’eau étant au centre de l’intrigue avec des plans très bien choisis comme clins d’œil (le robinet qui goutte, l’approche de la grille des égouts ou encore la baignoire avec la main qui dépasse, non sans rappelé le puits de Samara dans Le Cercle). Les plans de Volmer se voient plus ou moins venir quand on apprend que sa femme était stérile et étant donné son comportement spoiler: avec sa fille, qui fait plus femme que son âge réel et qui obtient ses premières règles lors d’une séquence aquatique.
    La bravade de l’interdit est également bien rendue lorsqu’ils se permettent d’aller en ville. Si l’on voit clairement Lockhart spoiler: devenir comme les autres, il reprend néanmoins ses esprits et son
    sourire final spoiler: remet bellement en cause sa santé mentale
    . Un thriller intéressant très réussi !
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 25 février 2017
    Un film indéniablement soigné au niveau de l'image mais pas assez convaincant. Pas assez prenant, oppressant. Et surtout, de l'aveu des spectateurs croisés à la sortie, trop long, trop lent. Le scénario pèche par son absence de mystère ou plutôt sa dissipation rapide à chaque apparition d'indice, abondamment surligné par des gros plans. Et puis, le final manque cruellement de panache et de rebondissement. Dommage, car les acteurs assument bien leur rôle, le décor du château-hôpital angoissant fonctionne à merveille et la mise en scène de qualité avait de quoi porter ce film bien plus haut.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 25 février 2017
    Lent... Intrigue proche du neant. Trop long... L'idée de départ du scénario ne prend jamais. Lent...
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 25 février 2017
    Comparer ce film à Shutter Island, c'est comme comparer Die Hard à White House Down juste parce qu'il y a des flingues et des terroristes dans le même bâtiment que le héro. A Cure For Life ne reprend de Shutter Island que son esthétique et son ambiance ou du moins, il essaye. Car le réalisateur de Cure for Life a complètement oublié l'essence même de Shutter Island, l'histoire, l'intrigue et le mystère. Alors que dans ce dernier on nous balade sur plusieurs hypothèses, et nous parsème d'indice subtilement, pour nous faire monter en pression, c'est tout le contraire dans ce film ou on nous crie au oreille les révélations de fin dès le début du film tellement fort qu'on sait exactement comment va finir le film avant la première heure passé. Ce film sonne creux, pour exemple sa violence et son gore, qui sont la eux aussi juste pour nous dire "hé hé, tu as vu se que j'ose montrer dans mon film". Au final la seul question qu'on se pose en sortant de la salle c'est : "Tout ça pour ça? Cela en valait vraiment la peine?"
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